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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

 

 

Le quatrain du Jeudi ;

Dans plusieurs quatrains Nostradamus parle d exilé, difficile encore aujourd’hui de dire qui sont vraiment ces exilés et qui les exileras

 

 

C 1 - Q 59

Les exilez deportez dans les isles,
Au changement d'un plus cruel monarque
Seront meurtris: & mis deux les scintiles,
Qui de parler ne seront estez parques.

 

Les exilés déportés dans les îles,
Au changement d'un monarque encore plus cruel
Seront meurtris: & mis deux les scintilles (au feu),
Qui d’avoir parler ne seront épargnés.

 

 

C 2 - Q 7

Entre plusieurs aux isles deportez,
L'vn estre nay à deux dents en la gorge
Mourront de faim les arbres esbrotez,
Pour eux neuf Roy, nouuel edict leur forge.

 

Parmi plusieurs transportés dans les îles,
L'un sera né avec deux dents dans la gorge
Ils mourront de famine les arbres dépouillés,
Pour eux, un nouveau roi publie un nouvel édit.

 

je pense que ces quatrains ne seront vraiment compris que lors du prochain conflit . Mais il pourrait s’agir, des musulmans qui vont occupés l’Italie (et le sud de la France) et  exiler les personnes qui leur déplaisent vers les îles de la Méditerranée

Notez les "deux dents dans la gorge "  comme le quatrain  C 3 - Q 42 que j ai postée jeudi dernier et qui est lié a l’Italie  et a une famine "L'enfant naîtra à deux dents en la gorge"

 

 

 

___________________________________

Les Infos du 22 septembre 2022

 

[Point de vue] Ukraine : après la déclaration par Poutine d’une « mobilisation partielle », l’inévitable escalade ?

 

 

« Fuite en avant », « signe de faiblesse », « aveu d’échec », les Occidentaux fustigent Vladimir Poutine pour une escalade qu’ils ont contribué à provoquer.

En multipliant les déclarations incendiaires et les appels à faire tomber le pouvoir russe, les Européens ont validé la thèse de ceux qui à Moscou critiquaient la « modération » de Vladimir Poutine et proclamaient que, face à un Occident qui veut la perte de la Russie, le pays devait jeter toutes ses forces dans le conflit ukrainien.

Sur le site de l’agence de presse russe RIA Novosti, Vladimir Kornilov écrivait le 19 septembre dernier : « Il est temps de se débarrasser des illusions. L'Occident fait la guerre pour détruire la Russie ». Sur le même média, quelques jours plus tôt, dans un commentaire du discours d’Ursula von der Leyen sur l’état de l’Union européenne, à Strasbourg, le 14 septembre dernier, Petr Akopov indiquait, « l'Europe a déclaré que la Russie était son ennemie, qu'il faut l’écraser : économiquement en détruisant notre économie, militairement en nous battant sur le champ de bataille ukrainien et politiquement en remplaçant notre pouvoir ».

Difficile de rendre les Russes seuls responsables de cette escalade quand on se rappelle qu’Ursula von der Leyen affirmait refuser l’« apaisement » et vouloir traduire Vladimir Poutine en justice. Dans le même temps, les récentes révélations du New York Times sur le rôle joué par les services de renseignement américains pour planifier la contre-offensive ukrainienne, ne pouvaient que confirmer la vision russe d’une confrontation non pas avec Kiev mais avec l’OTAN.

Or, depuis le 24 février dernier, la question posée par la progressive « montée aux extrêmes » est celle de la capacité des différentes parties à contenir l’expansion du conflit. C’est la problématique du « débordement du cadre » géographique et de l’embrasement de toute l’Europe voire d’une troisième guerre mondiale. La difficulté de fond, concernant le conflit en cours, provient du fait que l’enjeu fondamental n’est pas l’Ukraine. Elle est un des lieux de la confrontation des puissances, comme l’Afghanistan l’a été par le passé ou la Syrie plus récemment, mais elle n’en est pas véritablement l’objet.

Pour les Américains et leurs alliés européens, il ne s’agit pas tant d’aider les Ukrainiens de Kiev à battre les Russes et leurs alliés ukrainiens russophones, il s’agit de faire de l’Ukraine le tombeau de la Russie comme l’Afghanistan l’avait été pour l’URSS.

Dans un entretien accordé à l’Express, en juillet dernier, le professeur américain John Mearsheimer, une des rares voix à contrebalancer le récit atlantiste, expliquait bien les enjeux. D’un côté, des Russes déterminés à obtenir une victoire en Ukraine car ils considèrent la situation actuelle comme une menace pour leur survie. « Et quand vous faites face à une menace existentielle, vous vous battez jusqu'à la mort ». De l’autre, les États-Unis, qui ne sont pas intéressés par la négociation d'un accord susceptible d’accorder des gains aux Russes : « Les Américains veulent de manière catégorique vaincre militairement les Russes en Ukraine, et insuffler le maximum de dégâts à leur économie afin que la Russie soit rejetée hors du cercle des grandes puissances ».

Dans cette situation, aucune partie n'est prête à faire des compromis et l’incapacité de chacune d’entre elle à l’emporter sur le terrain ne peut que conduire à une intensification aux conséquences imprévisibles.

Dans leur commentaire de l’allocution de Vladimir Poutine, les médias occidentaux ont dénoncé son « chantage nucléaire ». Le président russe ayant déclaré : « Dans l’éventualité d’une menace portée à l’intégrité territoriale de notre pays et pour protéger la Russie et notre peuple, nous utiliserons certainement tous les systèmes d’armement à notre disposition. Ce n’est pas du bluff ».

Le Washington Post, le 17 septembre dernier, indiquait que des villes de l’ouest de la Russie comme Belgorod faisaient l’objet de frappes ukrainiennes. Comme le notait le journal américain, le fait que les citoyens russes commencent à subir directement l'impact de la guerre constituait une autre source de pression qui s’exerçait sur Poutine.

Dans ce contexte, où chaque partie exprime à nouveau, et de plus en plus clairement, sa capacité ou sa volonté de détruire l’autre, nous ne devrions pas sous-estimer la réponse de la Russie. En fermant la porte à toute solution de compromis et en ne cessant de renforcer Kiev, nous la persuadons qu’il n’est d’autre option qu’une guerre totale avec l’Occident.

Source

 

Note ; enfin des journalistes qui ont tous comprit, il n a pas d’issu a ce conflit 

 

 

Je rajoute ce twist qui ma bien amusé

 

 

Guerre en Ukraine EN DIRECT : L’Allemagne est prête à accueillir des déserteurs russes...

 

L'Allemagne est prête à accueillir des déserteurs de l'armée russe « menacés de grave répression », a déclaré la ministre allemande de l'Intérieur dans un entretien paru jeudi, au lendemain d'une annonce de mobilisation de réservistes russes pour combattre en Ukraine.

« Celui qui s'oppose courageusement à Poutine et se met ainsi en grand danger peut demander l'asile politique en Allemagne », a déclaré Nancy Faeser dans cette interview à l'édition dominicale du journal Frankfurter Allgemeine Zeitung, tandis que le ministre de la Justice Marco Buschmann a déclaré dans un tweet que les Russes fuyant leur pays étaient « les bienvenus ».

 

L’ESSENTIEL

  • L’Ukraine a annoncé mercredi l’échange avec la Russie de 215 militaires dont des chefs de la défense de l’aciérie Azovstal dans la ville de Marioupol. La Russie a récupéré 55 prisonniers dont l’ex-député Viktor Medvedtchouk, un proche de Vladimir Poutine.
  • L’ordre de mobilisation partielle de réservistes donnée par Vladimir Poutine a provoqué des manifestations improvisées dans au moins 38 villes de Russie et l’arrestation d’au moins 1.332 personnes.
  • S’exprimant par visioconférence lors de l’Assemblée générale annuelle de l’ONU, Volodymyr Zelensky a exigé un « juste châtiment » contre le Kremlin et appelé à la mise en place d’un tribunal spécial afin de juger Moscou « pour son crime d’agression ».

 

15h49 : L’Allemagne est prête à accueillir des déserteurs russes

L'Allemagne est prête à accueillir des déserteurs de l'armée russe « menacés de grave répression », a déclaré la ministre allemande de l'Intérieur dans un entretien paru jeudi, au lendemain d'une annonce de mobilisation de réservistes russes pour combattre en Ukraine.

« Celui qui s'oppose courageusement à Poutine et se met ainsi en grand danger peut demander l'asile politique en Allemagne », a déclaré Nancy Faeser dans cette interview à l'édition dominicale du journal Frankfurter Allgemeine Zeitung, tandis que le ministre de la Justice Marco Buschmann a déclaré dans un tweet que les Russes fuyant leur pays étaient « les bienvenus ».

 

12h23 : Six morts dans une frappe sur un marché à Donetsk, bastion séparatiste prorusse

Au moins six personnes ont été tuées et six autres blessées jeudi dans une frappe ayant touché un marché à Donetsk, bastion des séparatistes prorusses dans l’Est de l’Ukraine, a annoncé le chef de l’administration locale pro-Moscou.

« Selon les informations que l’on reçoit, six personnes sont mortes et six blessées dans le bombardement du marché Kryty », a indiqué sur Telegram Alexeï Koulemzine. Les médias séparatistes ont diffusé des images montrant un bus calciné et un cadavre ensanglanté sur la route, au milieu de bris de verre.

 

11h17 : « Nous voulons que l’Ukraine et la Russie se remettent autour de la table des négociations », ajoute Macron

L’annonce par la Russie de la mobilisation de centaines de milliers de réservistes et sa menace d’un recours à l’arme nucléaire, « de manière évidente, c’est du chantage, de manière évidente il dispose de ces armes et le risque est toujours là. Et c’est un moyen de faire pression dans un moment difficile de cette guerre », a estimé Emmanuel Macron. Mais « je ne ferai aucune interprétation ni n’aurai quelque propos qui soit qui participerait d’une escalade », a-t-il insisté.

« La France est une puissance nucléaire raisonnable (…). En général ce n’est jamais bon de faire de la politique-fiction, et en particulier sur ce sujet (…) parce qu’on est pris dans le jeu d’une escalade en disant "si ceci arrive, alors je ferai cela". Non », a encore dit Emmanuel Macron.

« Nous, nous voulons obtenir le résultat qu’on poursuit depuis le début, que l’Ukraine puisse résister, restaurer sa souveraineté, que l’Ukraine et la Russie se remettent autour de la table des négociations », a-t-il énuméré.

 

10h58 : Il faut "tenir notre ligne" face au "chantage" de Poutine, dit Emmanuel Macron

« Notre devoir c'est de tenir notre ligne » face au « chantage » du président russe Vladimir Poutine, a affirmé le président français Emmanuel Macron, dans un entretien à la chaîne BFMTV. « Notre devoir c’est de tenir notre ligne, c’est-à-dire d’aider l'Ukraine comme on le fait, à protéger son territoire, jamais à pouvoir agresser la Russie. Nous ne sommes pas en guerre avec la Russie », a déclaré le chef de l'Etat français, qui a dit qu'il « n'aurait (pas) quelque propos qui soit qui participerait d'une escalade ».

DIRECT

 

Note ; "Nous ne sommes pas en guerre avec la Russie" sauf que la France vend des armes a l’Ukraine depuis 2014, se qui prouve bien quelle fait  la guerre a la Russie  depuis 8 ans

 

Dans sa séquence “Nucléaire russe : le vrai du faux”, LCI utilise les images du jeu vidéo rétrofuturiste Fallout pour illustrer les “petites bombes nucléaires tactiques” utilisées par l’armée russe (màj. : la chaîne admet “un manque de précision”)

Note; des escrocs et des colabos  voila ceux que sont les journalistes de nos jours

 

 

Éric Zemmour : « Chacun a trouvé son vocabulaire. Ce que Mélenchon appelle “la créolisation”, Macron l’appelle “la transition démographique”. Je l’appelle le Grand Remplacement. Dans tous les cas, on parle du passage d’un peuple à un autre »

 

 

 

Loi immigration : les Français très partagés sur l’accueil des étrangers dans les zones rurales en manque de population

Emmanuel Macron a plaidé la semaine dernière pour une meilleure répartition des étrangers sur le territoire, en les accueillant davantage dans les zones rurales en manque de population. Une idée sur laquelle l’opinion est très partagée, comme le révèle, ce jeudi, un sondage exclusif de l’institut CSA pour CNEWS. En effet, 48 % des sondés sont contre ce projet, lorsqu’une légère majorité (52 %) y est favorable.

CNews

 

 

 

 

Dessin paru dans Charlie Hebdo : « 230e anniversaire de la proclamation de la république française »

 

 

Afflux record de migrants en Autriche : plus de 3.000 clandestins sont entrés dans le pays cette semaine

Le gouvernement autrichien est appelé à résoudre le problème de l’immigration clandestine, alors que plus de trois mille migrants et réfugiés en situation irrégulière sont entrés dans le pays cette semaine, dépassant ainsi le record atteint au cours de la première semaine de septembre.

Alors que les élections présidentielles sont prévues pour le 9 octobre et que la plupart des candidats appartiennent à l’extrême droite du spectre politique, la campagne électorale a placé des questions telles que l’immigration au premier plan dans le débat.

L’Autriche a connu un afflux considérable de réfugiés cette année, puisqu’elle en a enregistré 47 000, contre 19 000 en 2021. La plupart sont originaires du Moyen-Orient, notamment d’Afghanistan, du Pakistan et d’Inde.

« Les mauvais records se succèdent chaque semaine. Mais cela ne semble toujours pas inciter l’actuel ministre de l’Intérieur de l’ÖVP, [Gerhard] Karner, à agir », a expliqué Hannes Amesbauer, porte-parole de la sécurité du FPÖ (parti d’extrême droite), qui a mis en garde contre « 100 000 réfugiés illégaux ».

Le gouvernement a également été la cible du SPÖ social-démocrate, qui est actuellement membre de l’opposition.

« Le ministre de l’Intérieur [Gerhard] Karner est complètement débordé par les programmes d’asile », explique le parti. Ils notent une incapacité à chercher des solutions internationales « raisonnables ».

Pendant des années, les questions relatives aux réfugiés ont dominé la politique autrichienne, les politiques les plus restrictives ayant été mises en œuvre pendant le mandat de deux ans du ministre de l’Intérieur FPÖ, Herbert Kickl.

Cela signifie que le Président actuel du pays, Alexander van der Bellen, qui est plutôt de gauche, pourrait être contesté après tout, car la politique en matière d’accueil des réfugiés est traditionnellement de droite.

S’il ne parvient pas à obtenir une majorité simple au premier tour, la droite, réunie derrière le candidat FPÖ Walter Rosenkranz, pourrait défier M. van der Bellen.

Un second tour similaire en 2016 avait vu l’extrême droite frôler la victoire.

Euractiv.fr

 

 

 

La Chine appelle sa population à « ne pas toucher les étrangers » après un cas de variole du singe

 

La Chine veut prévenir la propagation de la variole du singe après un premier cas rapporté vendredi 16 septembre chez une personne rentrée au pays. Le pays demande aux gens d'éviter tout contact physique avec des étrangers.

Un haut responsable de la santé chinois conseille aux gens d'éviter tout contact avec des étrangers pour prévenir la transmission de la variole du singe. Vendredi dernier, la Chine a enregistré son premier cas chez une personne récemment rentrée au pays.

« Pour prévenir une éventuelle infection par la variole du sing et dans le cadre de notre mode de vie sain, il est recommandé de ne pas avoir de contact direct peau à peau avec des étrangers », a déclaré Wu Zunyou, épidémiologiste en chef aux Centres chinois de contrôle et de prévention des maladies.

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LIRE AUSSI: Cas de variole du singe : point de situation au 20 septembre 2022

 

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