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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Les Infos du 20 septembre 2022

 

 

 

 

Guerre en Ukraine EN DIRECT : Kiev promet de « liquider » la menace russe après l'annonce par Moscou de référendums d'annexion...

 

L’ESSENTIEL

  • Le Kremlin a qualifié de « mensonge » la découverte de centaines de tombes dans une forêt près de la ville d’Izioum, récemment reprises par les forces ukrainiennes, dernière dénégation russe en date quant à des exactions. Selon les autorités ukrainiennes, plus de 440 tombes ont été retrouvées dans cette forêt, où la police nationale a aussi dit avoir découvert des « salles de torture ».
  • Sur le terrain lundi, l’Ukraine a accusé l’armée russe d’avoir bombardé le site de la centrale nucléaire de Pivdennooukraïnsk, dans le Sud du pays, après des semaines de tensions autour de celle de Zaporojie, occupée par Moscou et visée par de multiples frappes.
  • La traditionnelle Assemblée générale des Nations unies s’ouvre ce mardi. Pendant près d’une semaine, quelque 150 chefs d’Etat et de gouvernement du monde entier vont prendre la parole à tribune de l’ONU. Vladimir Poutine et Xi Jinping ont par contre décidé de ne pas s’y rendre.

 

14h28 : Kiev promet de « liquider la menace russe »

L’Ukraine a promis mardi de « liquider » la « menace » russe face à l’annonce de l’organisation de référendums d’annexion par Moscou des régions séparatistes de Donetsk et de Lougansk, dans l’Est du pays.

« L’Ukraine va régler la question russe. La menace ne peut être liquidée que par la force », a écrit sur Telegram le chef de l’administration présidentielle ukrainienne, Andriï Iermak, dénonçant un « chantage » de la part de Moscou, motivé par « la peur de la défaite ».

 

13h57 : Référendums d’annexion par la Russie dans le Donbass du 23 au 27 septembre

Les territoires séparatistes prorusses de la région du Donbass, dans l’est de l’Ukraine, vont organiser des référendums pour intégrer la Russie du 23 au 27 septembre, ont rapporté mardi leurs autorités et agences de presse officielles.

Ces scrutins auront lieu dans les régions de Donetsk et de Lougansk, dont le président russe Vladimir Poutine a reconnu l’indépendance peu avant de lancer son offensive contre l’Ukraine. Leur intégration à la Russie représenterait une escalade majeure dans le conflit.

 

13h26 : Poutine défend sa politique « souveraine » avant l’Assemblée générale de l’ONU

Le président russe Vladimir Poutine a promis mardi de poursuivre sa politique étrangère « souveraine » et dénoncé la volonté d'« hégémonie » américaine avant l’Assemblée générale des Nations unies, marquée cette année par l’offensive de Moscou en Ukraine. S’il a dépêché son ministre des Affaires étrangères Sergueï Lavrov à New York, aucune allocution de Vladimir Poutine n’est prévue à l’Assemblée générale cette année, dans le contexte de l’intervention russe en Ukraine, largement condamnée dans le monde.

Mais en recevant mardi à Moscou les lettres de créance d’ambassadeurs étrangers récemment arrivés, le chef de l’Etat russe a prononcé un discours qui aurait pu avoir sa place à la 77e édition de la grand-messe diplomatique. « Le développement vers la multipolarité se heurte malheureusement à la résistance de ceux qui s’efforcent de garder un rôle hégémonique dans les affaires du monde et de tout contrôler : l’Amérique latine, l’Europe, l’Asie et l’Afrique », a déclaré Vladimir Poutine dans une allusion voilée à Washington.

 

13h14 : Poutine accuse l’Europe de bloquer le don de 300.000 tonnes d’engrais aux pays pauvres

Le président Vladimir Poutine a accusé mardi l’UE de bloquer le don de 300.000 tonnes d’engrais russes aux pays qui en ont le plus besoin, au moment où Moscou se plaint d’obstacles aux exportations de la part des Occidentaux.

« Le comble du cynisme, c’est que même notre offre (…) de transférer gratuitement 300.000 tonnes d’engrais russes bloqués dans les ports européens en raison des sanctions vers les pays qui en ont besoin reste toujours sans réponse », a déploré Vladimir Poutine lors d’une cérémonie de remise des lettres de créance à une vingtaine d’ambassadeurs.

« C’est clair : ils ne veulent pas laisser nos entreprises gagner de l’argent », a-t-il regretté. Avant d’ajouter : « Mais nous voulons donner [ces tonnes d’engrais] gratuitement aux pays dans le besoin », a-t-il fait valoir.

 

10h38 : Quelque 300 entreprises en France seront en difficulté cet hiver

Quelque 300 entreprises françaises risquent de se retrouver en difficulté d’ici la fin de l’année en raison de l’envolée des coûts de l’énergie, a indiqué mardi le ministre de l’Industrie, Roland Lescure.

« On parle aujourd’hui de quelques dizaines d’entreprise, un peu plus de 300, qui nous alertent en disant "là, je peux plus, il va falloir faire quelque chose" », a déclaré le ministre sur l’antenne de Sud Radio, interrogé sur un « risque de décrochage » pour certaines entreprises cet hiver.

 

09h15 : A New York, accent sur les crimes commis en Ukraine

À New York, l’accent sera aussi mis sur « la manière dont les crimes horribles commis au nom de la Russie en Ukraine peuvent être traités et poursuivis », a annoncé la ministre allemande des Affaires étrangères Annalena Baerbock.

De même sera évoquée la situation des centrales nucléaires ukrainiennes « que la Russie utilise comme monnaie d’échange dans cette guerre" au prix d’une "catastrophe pour des millions de personnes chaque jour ».

« Nous sommes fermement aux côtés de l’Ukraine et nous continuerons à la soutenir - avec tout ce dont elle a besoin - pour mettre fin à la guerre et aux souffrances incommensurables du peuple ukrainien », a-t-elle rappelé.

 

06h55 : L’Assemblée générale de l’ONU s’ouvre ce mardi

Les dirigeants de la planète se succèdent à partir d’aujourd’hui à la tribune de l’Assemblée générale de l’ONU. Quelque 150 chefs d’Etat et de gouvernement du monde entier vont prendre la parole lors de cette grand-messe diplomatique annuelle.

L’invasion de l’Ukraine par la Russie sera au cœur de cette semaine diplomatique, avec une intervention mercredi de Volodymyr Zelensky - par vidéo grâce à une autorisation spéciale votée la semaine dernière par les Etats membres - et un Conseil de sécurité jeudi au niveau des ministres des Affaires étrangères. Vladimir Poutine et Xi Jinping ont par contre décidé de ne pas s'y rendre.

DIRECT

 

 

 

 

 

La guerre mondiale en cours et l’asservissement des peuples européens

 

par Luciano Lago.

Les tensions internationales, les conflits et les changements qui se produisent dans le scénario mondial démontrent irréfutablement la phase de modification des équilibres de l’ordre international que le monde traverse.

On peut dire qu’une nouvelle guerre mondiale a commencé depuis longtemps en raison de la volonté des États-Unis, en tant que superpuissance hégémonique, de maintenir leur leadership perdu sur la scène internationale.

On pourrait imaginer une telle guerre comme une confrontation nucléaire entre les superpuissances, alors qu’aujourd’hui l’échange de coups se fait par des méthodes complètement différentes.

Aujourd’hui, les États-Unis cherchent désespérément à maintenir leur leadership par des actions destructrices non seulement contre leurs adversaires, mais aussi contre leurs alliés et ce, dans toutes les directions possibles. Cela est démontré à la fois par les nombreux conflits armés et les agressions dans le monde entier dont les États-Unis sont les instigateurs, et par les sanctions imposées aux pays qui ne veulent pas se plier aux directives de Washington et n’acceptent pas d’être les marionnettes de la superpuissance américaine. Sans compter que ces sanctions sont imposées en violation des normes généralement acceptées et sans l’approbation des organisations internationales.

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Poutine : les sanctions pèsent sur les États occidentaux et les pays les plus pauvres

 

Les pays occidentaux ont giflé la Russie avec plusieurs nouvelles séries de sanctions cette année en réponse au début de l'opération militaire spéciale en Ukraine. Depuis, ces pays ont dû faire face à une flambée de l'inflation, des prix de l'électricité et du carburant, en partie provoquée par leurs propres sanctions.

Le monde est en pleine transformation, en transition vers un ordre multipolaire, qui devient le vecteur dominant du développement, a déclaré le président russe Vladimir Poutine en accueillant les nouveaux ambassadeurs étrangers arrivés en Russie.

Le président a noté que les seuls États qui s'opposent à cette transition sont ceux qui veulent préserver leur hégémonie et contrôler le monde.

Vers une guerre de religion, infos du 20 septembre 2022

"Quant à la Russie, nous ne dévierons pas de notre cap souverain. En tant que membre permanent du Conseil de sécurité de l'ONU, nous avons l'intention de promouvoir davantage un agenda international unificateur, de contribuer à la résolution de nombreux défis et menaces de notre temps et d'aider à le règlement des conflits régionaux aigus. Ce sera le principal sujet de discussion de la Russie à l'ouverture de la 77e session de l'Assemblée générale des Nations unies", a déclaré Poutine.

Poutine a ajouté que les pays les plus pauvres étaient les plus durement touchés par leurs politiques hégémoniques, ainsi que par les sanctions imposées par les pays occidentaux. Il a noté que les obstacles aux expéditions d'énergie, de céréales et d'engrais créés par les sanctions occidentales affectaient négativement les pays pauvres et en développement "innocents" .

"Dans cette optique, il est très cynique de la part de l'Occident d'ignorer notre offre […] de transférer gratuitement 300 000 [tonnes] d'engrais russes bloqués dans les ports européens en raison des sanctions aux pays dans le besoin", a déclaré Poutine.

L'Occident a également été durement touché par sa politique de sanctions, a noté le président.

Les pays occidentaux ont connu une flambée de l'inflation, en particulier des prix du carburant et de l'énergie, après avoir imposé des sanctions à la Russie pour son opération militaire spéciale en Ukraine. Cette flambée a ajouté aux déboires des consommateurs occidentaux, qui avaient vu les prix en magasin augmenter depuis la fin de 2021.

Les sanctions ont également été responsables de la perturbation des approvisionnements en gaz russe vers l'Europe, ce qui a fait monter en flèche les prix locaux du gaz naturel parallèlement aux factures d'électricité. Les sanctions occidentales ont empêché l'entretien en temps opportun des pompes à turbine utilisées sur le pipeline Nord Stream. La maintenance est effectuée au Canada.

Source Spoutnik (traduction)

 

 

 

 

Guerre en Ukraine : "On aurait dû bombarder la Grande-Bretagne pendant les funérailles" de la reine Elizabeth II, "la poupée de Poutine" se lâche à la télévision

 

  • Guerre en Ukraine : "On aurait dû bombarder la Grande-Bretagne pendant les funérailles" de la reine Elizabeth II, "la poupée de Poutine" se lâche à la télévision
     

Olga Skabeïeva est belle. Mais cette présentatrice de télévision, star de la télévision russe, est aussi redoutable. Surtout quand il s'agit de propagande. 

Guerre en Ukraine, 209eme jour. Entre des Ukrainiens qui résistent plus que prévu et des Russes qui perdent du terrain, le conflit prend un tournant inattendu. Grâce notamment à ces armes fournies par l'Otan aux troupes du président Zelensky

Alors, si certains n'hésitent plus à changer de ton à Moscou, d'autres continuent de soutenir Vladimir Poutine, quoi qu'il arrive. Et de nourrir cette propagande à grands coups d'absurdités. Parmi lesquelles ces discours tenus à l'antenne des médias d'Etat

A lire aussi : Guerre en Ukraine : "Plonger l'Allemagne dans un chaos total", "transformer les îles britanniques en désert martien", un député russe propose d'utiliser les armes nucléaires "mais pas en Ukraine"

"La Grande-Bretagne, la racine du mal"

Ce mardi, Julia Davis, véritable sentinelle des médias russes - les rares auxquels la population a accès -, met en avant une nouvelle intervention d'Olga Skabeïeva, présentatrice vedette de la chaîne de télévision Russiya-1, connue sous le nom de "poupée de Poutine"

En plein talk-show diffusé ce lundi à une heure de grande écoute, Olga Sakabeïeva répondait au député de la Douma, Andrey Gurulyov, lancé dans une tirade dont il a le secret. "Biden a déclaré que pendant l'événement (en Ukraine), la Russie avait utilisé des armes chimiques ou conduit des frappes nucléaires sur le territoire ukrainien. Avez-vous entendu ce non-sens ?", hurlait le député. "Qu'est-ce qui peut lui faire penser que nous allons conduire une frappe nucléaire sur l'Ukraine ? On doit toujours vivre là-bas ! Et nous avons plein d'autres cibles, Ramstein (en Allemagne) en est une. Mais ça peut attendre. Pourquoi bombarderions-nous l'Ukraine ou l'Allemagne quand il y a la Grande-Bretagne, la racine du mal ?"

A lire aussi : Funérailles d'Elizabeth II : "Cela pourrait être le moment rêvé pour Poutine d’éliminer ses adversaires", quelles mesures prises pour assurer la sécurité des 2 000 invités ?

Ce à quoi la belle Olga a répondu : "Nous aurions dû le faire aujourd'hui (ce lundi). Toutes les meilleures personnes sont là à assister aux funérailles (de la reine)".

Sans commentaires. 

Source

 

 

 

 

Répartition des migrants dans les campagnes : « une formidable opportunité » dans le cadre d’une « transition démographique », selon Macron (MàJ)

 

«Un projet de loi relatif à l’asile, donc à l’immigration dans la République, sera déposé dès début 2023», a annoncé le chef de l’État lors d’une réunion avec des préfets.

Emmanuel Macron a annoncé jeudi 15 septembre qu’un projet de loi sur l’asile serait déposé «dès début 2023» face à une «politique absurde» qui est à la fois «inefficace et inhumaine». «Un projet de loi relatif à l’asile, donc à l’immigration dans la République, sera déposé dès début 2023», déclaré le chef de l’État devant les préfets. «Notre politique, aujourd’hui est absurde» car elle «consiste à mettre des femmes et des hommes qui arrivent, qui sont dans la plus grande misère» dans les quartiers les plus pauvres, a-t-il souligné.

Cette politique «est tout à la fois inefficace et inhumaine, inefficace parce que nous nous retrouvons avec plus d’étrangers en situation irrégulière que nombre de nos voisins, inhumaine parce que cette pression fait qu’on les accueille trop souvent mal», a-t-il constaté. «Nous devons réformer nos procédures pour pouvoir aller beaucoup plus vite et c’est indispensable. Il faut préserver les droits fondamentaux de toute personne mais il faut pouvoir aller beaucoup plus vite, avant toute chose, pour lutter contre toutes les pratiques dilatoires», a-t-il dit.

Meilleure répartition des étrangers

Il faut «différencier les procédures», «accélérer leur instruction» et «intégrer beaucoup plus vite et beaucoup mieux celles et ceux qui ont même un titre provisoire par la langue et par le travail», a relevé le chef de l’État. Il a plaidé pour une meilleure répartition des étrangers accueillis sur le territoire, notamment dans les «espaces ruraux, qui eux sont en train de perdre de la population».

Emmanuel Macron a aussi promis «d’améliorer l’efficacité des politiques de reconduite» à la frontière pour les étrangers en situation irrégulière. Il a dit vouloir envoyer «un message clair : nous sommes en train, nous avons commencé à renforcer très fortement nos politiques en conditionnant davantage» l’octroi des visas «à l’esprit de coopération pour reprendre les étrangers en situation irrégulière, à commencer par celles et ceux qui troublent l’ordre public». Une référence aux pays qui refusent d’accorder des laissez-passer consulaires nécessaires au retour de leurs ressortissants expulsés de France.

Le Figaro

 

 

 

Anzin (59) : un policier dans un état critique après avoir été percuté lors d’un refus d’obtempérer, le conducteur transportait de l’héroïne (MàJ : l’individu interpellé se nomme Sadallah F., né au Maroc)

Le fonctionnaire de police tenait un barrage afin de stopper le chauffard du véhicule.

Un policier a été sévèrement blessé ce lundi soir à Anzin après avoir été percuté par le chauffeur d’une voiture à la suite d’un refus d’obtempérer, ont indiqué les pompiers du Nord.

Aux alentours de 23 heures, une course-poursuite s’engage à la suite du refus d’obtempérer. L’agent de police tente alors de tenir un barrage afin de stopper le conducteur du véhicule. Le policier est finalement percuté par le chauffard.

Les secours se sont rendus sur place pour prendre en charge la victime, actuellement dans un état critique. Elle a été transportée au centre hospitalier de Valenciennes. Selon le syndicat Alliance Hauts-de-France, son pronostic vital n’est pas engagé.

[…]

 

BFMTV

 

 

« L’Etat est un adversaire, alors qu’il devrait être un allié » : en campagne, Giorgia Meloni, la cheffe de l’extrême droite, dénonce le déclin de l’Italie

A une semaine du scrutin législatif du 25 septembre, la cheffe de file de la coalition des droites a choisi la Campanie (Sud) pour aborder la dernière ligne droite de sa campagne. C’est à Caserte, à un jet de pierre du majestueux palais royal des Bourbon de Naples, connu comme le « Versailles italien », que le parti Fratelli d’Italia (extrême droite) a dressé tribune, dimanche 18 septembre dans la soirée. Arpentant les régions du Sud, la présidente de Fratelli d’Italia, attaque la gauche et un Etat qu’elle juge défaillant.

Dans la foule, Maria-Pia agite un drapeau de Gioventù Nazionale, le mouvement de jeunesse de Fratelli d’Italia, le parti postfasciste dirigé par Giorgia Meloni. En compagnie de deux amis d’Acerra, ville de la grande banlieue de Naples, la jeune étudiante en droit de 18 ans attend avec impatience son héroïne. « Les jeunes de mon âge sont déçus de la politique, mais c’est bien de lutter pour ses idées, et Giorgia Meloni est la seule à le faire avec cohérence », confie-t-elle.

Saluée par une foule en liesse, Giorgia Meloni arrive sur la grande scène, où un pupitre en Plexiglas a été installé. Mais, comme souvent, c’est en marchant, micro en main, qu’elle s’exprime, s’approchant au plus près de la foule. Dans cette campagne hyperpersonnalisée, la dirigeante du parti est la seule à s’exprimer ; les élus de sa formation politique sont relégués au pied de l’estrade.

D’emblée, la présidente de Fratelli d’Italia attaque la gauche. « Ils ont peur, ils n’ont rien à dire, ils veulent maintenir un système où leurs amis restent au pouvoir, s’écrie-t-elle sous un tonnerre d’applaudissements. Nous voulons une Italie fondée sur le mérite et non sur le privilège des relations. »

Giorgia Meloni a choisi le thème du déclin pour commencer son discours, une problématique qui trouve une résonance particulière dans cette Italie méridionale. « Une région comme celle-ci doit cesser d’être perçue comme celle où l’on reçoit le plus d’aides sociales, c’est insultant », développe-t-elle, estimant que « l’Etat doit assister dignement ceux qui n’arrivent pas à vivre correctement ». Giorgia Meloni défend une forme d’Etat-providence et plaide clairement pour un relèvement des minima sociaux, tranchant avec les positions de ses partenaires dans la coalition de droite. Elle cite notamment la pension d’invalidité à moins de 300 euros ou le niveau de certaines retraites, qui ne dépassent pas 500 euros par mois et « qui sont une honte dans ce pays ». « Vous méritez mieux ! », ­lance-t-elle à ses militants. « L’Etat est un adversaire, alors qu’il devrait être un allié », s’insurge-t-elle encore.  […]

Le Monde

 

 

Manifestation en Iran après la mort d’une femme de 22 ans, arrêtée par la police des mœurs : des Iraniennes se coupent les cheveux et brûlent leur voile pour protester contre le décès de Mahsa Amini (Màj)

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