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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Les Infos du 12 septembre 2022

 

 

 

 

Guerre en Ukraine EN DIRECT : L'Ukaine dit avoir repris 500 km2 aux Russes dans le sud du pays

 

L’ESSENTIEL

  • L'Ukraine a revendiqué tout au long du week-end de nouveaux succès militaires contre l'armée russe dans les parties orientale et méridionale de son territoire, Moscou reconnaissant avoir perdu du terrain.
  • Les frappes russes ont, d'après l'état-major ukrainien, touché 15 endroits dimanche, de Kramatorsk dans l'est à Mykolaïv dans le sud, en passant par Dnipro, dans le centre-est. La nuit dernière, le bombardement de Pokrovsk, ville de la région de Donetsk, a provoqué la mort de six habitants et détruit ou endommagé de «multiples bâtiments», a déploré son maire Rouslan Trebouchkine.
  • Parallèlement, la situation à la centrale nucléaire ukrainienne de Zaporijjia (sud), où tous les réacteurs sont désormais arrêtés, demeurait préoccupante. Vladimir Poutine a mis en garde contre les «conséquences catastrophiques» que pourraient avoir les «attaques régulières ukrainiennes» sur ce complexe de six réacteurs, «y compris le dépôt des déchets radioactifs», dans un entretien téléphonique avec son homologue français Emmanuel Macron.

 

15h : l’AIEA voit des signes positifs pour la zone de sécurité de la centrale nucléaire de Zaporojie

L’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), en consultations avec Kiev et Moscou pour l’établissement d’une zone de sécurité autour de la centrale nucléaire ukrainienne de Zaporojie, a fait état lundi de signaux positifs. « Nous discutons des différentes caractéristiques techniques », comme le périmètre de cette zone ou le travail des deux experts de l’AIEA présents sur place. « Et ce que j’observe, c’est que les deux parties coopèrent avec nous et posent des questions, beaucoup de questions », a poursuivi Rafael Grossi, directeur général de l’AIEA.

 

13h38 : La Norvège « sceptique » sur un plafonnement du prix du gaz ​

La Norvège, devenue le premier fournisseur de l’Europe en gaz naturel à la place de la Russie, est « sceptique » à l’égard d’un plafonnement du prix du gaz, a affirmé lundi son Premier ministre, Jonas Gahr Støre.

« Nous sommes d’accord pour avoir un dialogue encore plus étroit avec l’UE à l’avenir concernant les différentes propositions qui sont sur la table », a dit Jonas Gahr Støre dans un communiqué diffusé après un entretien téléphonique avec la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen. « Nous abordons les discussions avec l’esprit ouvert mais nous sommes sceptiques à l’égard d’un prix maximum pour le gaz ».

 

13h12 : « Pensez-vous toujours que nous ne sommes qu’un seul peuple ? »

On vous partage ce texte de Volodymyr Zelensky, qui remet en question la rhétorique russe. Alors que Moscou affirme que l’Ukraine et la Russie ne sont qu’un seul peuple, le chef d’Etat ukrainien le dément avec force - comme de nombreux experts de ces pays. « Pensez-vous toujours que nous ne sommes qu’un seul peuple ? Pensez-vous encore que vous pouvez nous effrayer, nous briser, nous persuader de faire des concessions ? Vous ne comprenez donc vraiment rien ? », s’interroge Volodymyr Zelensky.

« Sans gaz ou sans vous ? Sans vous. Sans électricité ou sans vous ? Sans vous. Sans eau ou sans vous ? Sans vous. Sans nourriture ou sans vous ? Sans vous. Parce que pour nous le froid, la faim, l’obscurité et la soif ne sont pas aussi terribles et mortels que votre ‘amitié et fraternité’ », assène-t-il.

 

12h50 : L’Ukaine dit avoir repris 500 km2 aux Russes dans le sud du pays

L’armée ukrainienne a revendiqué lundi la prise de 500 km2 de territoires aux forces russes en deux semaines de contre-offensive dans la région de Kherson (sud), une première estimation chiffrée des gains ukrainiens.

« Nos succès de ces deux dernières semaines sont assez convaincants », a dit à la presse Natalia Goumeniouk, porte-parole militaire pour le Sud, « nous avons libéré environ 500 km2 » notamment les localités de Vysokopillia, Biloguirka, Soukhy Stavok et Myrolioubivka.

 

12h25 : L’offensive sur l’Ukraine va continuer « jusqu’à ce que les objectifs soient atteints », affirme le Kremlin

« L’opération militaire spéciale va se poursuivre jusqu’à ce que les objectifs initialement fixés soient atteints », a affirmé à la presse le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov. Il a par ailleurs estimé qu’il n’y avait actuellement « pas de perspective de négociations » entre Moscou et Kiev.

 

10h48 : Vladimir Poutine va rencontrer le président chinois Xi Jinping

Les deux dirigeants sont attendus en Ouzbékistan les 15 et 16 septembre pour le sommet des dirigeants des États membres de l'Organisation de Coopération de Shanghai*. Frappée par les sanctions internationales, la Russie cherche à renforcer ses liens avec Pékin. La Chine n'a pas condamné les interventions de Moscou en Ukraine et a dénoncé les sanctions occidentales et les ventes d'armes à Kiev. La dernière rencontre de Vladimir Poutine et Xi Jinping date de début février à Pékin, avant les Jeux olympiques d'hiver, quelques jours avant que le président russe n'envoie des troupes en Ukraine.

*Et au fait, l'OCS est composée de la Chine, de la Russie, du Kazakhstan, du Kirghizstan, de l'Ouzbékistan du Tadjikistan, de l'Inde et du Pakistan.

 

9h45 : Le Premier ministre indien ira à un sommet avec la Russie, la Chine et le Pakistan

Le Premier ministre indien Narendra Modi participera la semaine prochaine à un sommet régional qui, selon Moscou, donnera lieu à des discussions en tête-à-tête entre le président russe Vladimir Poutine et chinois Xi Jinping, a annoncé dimanche le gouvernement indien.

 

7h58 : Kiev accuse Moscou de coupures d’électricité

Le président ukrainien a affirmé dimanche que la Russie était responsable des coupures de courant qui ont touché de larges territoires dans l’est de l’Ukraine et accusé Moscou de frapper délibérément des infrastructures civiles.

« Une coupure totale de courant dans les régions de Kharkiv et de Donetsk, une partielle dans les régions de Zaporojie, Dnipropetrovsk et Soumy », a-t-il écrit dans un communiqué sur les réseaux sociaux, blâmant les « terroristes russes ». « Aucune installation militaire » touchée, a-t-il ajouté. « Le but est de priver les gens de lumière et de chauffage ».

 

DIRECT

 

 

 

 

Guerre en Ukraine : Poutine alerte Macron contre les "conséquences catastrophiques des attaques ukrainiennes" sur la centrale nucléaire de Zaporijjia

 

  • La plus grande centrale nucléaire d'Europe est au cœur des préoccupations de la communauté internationale.
    La plus grande centrale nucléaire d'Europe est au cœur des préoccupations de la communauté internationale. EPA - YURI KOCHETKOV

Publié le

La situation de la centrale nucléaire de Zaporijjia, occupée depuis mars par les Russes, continue de susciter l'inquiétude

Le président russe Vladimir Poutine et son homologue français Emmanuel Macron se sont entretenus par téléphone de la situation sécuritaire en Ukraine, notamment à la centrale nucléaire de Zaporijjia, a rapporté dimanche le Kremlin. Les deux dirigeants se sont dits disposés à "une interaction dépolitisée" à Zaporijjia, la plus grande centrale nucléaire d'Europe, avec l'appui de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), précise le Kremlin dans un communiqué publié sur son site internet.

"La partie russe a signalé des attaques ukrainiennes regulières contre les infrastructures de la centrale, notamment pour le stockage des déchets radioactifs, ce qui pourrait impliquer des conséquences catastrophiques", ajoute-t-il.

La situation de la centrale nucléaire de Zaporijjia, occupée depuis mars par les Russes, continue de susciter l'inquiétude. L'opérateur ukrainien Energoatom a annoncé avoir mis à l'arrêt dans la nuit de samedi à dimanche le sixième et dernier réacteur en activité pour des raisons de sûreté. L'unité 6 a été déconnectée du réseau électrique et des procédures ont été engagées pour son refroidissement.

L'instauration d'une zone démilitarisée réclamée

L'Agence internationale de l'énergie atomique a précisé dimanche que l'approvisionnement électrique extérieur du site avait été rétabli pour ses besoins internes, comme les opérations de refroidissement du combustible.

Les abords de la centrale font l'objet de bombardements récurrents dont Russes et Ukrainiens se rejettent la responsabilité, alimentant les craintes d'une catastrophe nucléaire et incitant plusieurs pays et organisations internationales à réclamer l'instauration d'une zone démilitarisée. 

Vladimir Poutine et Emmanuel Macron ont également évoqué les questions de sécurité alimentaire mondiale, indique la partie russe. Le président russe a dit à son interlocuteur qu'il était important que l'Union européenne n'entrave pas les exportations de céréales et d'engrais russes vers l'Afrique, l'Amérique latine et le Moyen-Orient. 

Source

 

 

 

 

L'Iran affirme avoir mis au point un drone "conçu pour frapper Tel Aviv et Haïfa"

Vers une guerre de religion, infos du 12 septembre 2022

 

Téhéran se dit prêt à poursuivre sa coopération avec l'AIEA et appelle à "ne pas céder à la pression d'Israël"

L'Iran a annoncé lundi avoir mis au point un drone "suicide" sophistiqué de longue portée "conçu pour frapper Tel Aviv et Haïfa en Israël".

Selon le chef des forces terrestres iraniennes, le général de brigade Kiomars Heidari, le drone, nommé Arash-2, est une version plus récente de l'Arash-1, a rapporté le journal semi-officiel Mehr News.

Téhéran s'est par ailleurs dit prêt, lundi, à poursuivre sa coopération avec l'agence de surveillance nucléaire de l'ONU (AIEA), par la voix du porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères, Nasser Kanaani.

Ce dernier a appelé l'agence à "ne pas céder à la pression d'Israël" sur les activités nucléaires de Téhéran.

Le Conseil des gouverneurs de l'Agence internationale de l'énergie atomique se réunit lundi, trois mois après avoir adopté une résolution exhortant l'Iran à donner des réponses crédibles aux enquêtes de l'agence sur des traces d'uranium sur trois sites non déclarés en Iran. 

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Les Etats-Unis prêts à interdire les exportations de certains semi-conducteurs en Chine

 

L'administration Biden envisage de réduire le mois prochain les livraisons de certains semi-conducteurs et des équipements nécessaires à leur production à destination de la Chine. Des courriers ont été envoyés aux entreprises concernées.

Pour Joe Biden, les Etats-Unis ont besoin de composants électroniques perfectionnés pour les systèmes d'armement du futur.
Pour Joe Biden, les Etats-Unis ont besoin de composants électroniques perfectionnés pour les systèmes d'armement du futur. (Crédits : JONATHAN ERNST)

L'administration Biden pourrait durcir sa politique commerciale vis-à-vis de la Chine en envisageant d'y réduire les livraisons de certains semi-conducteurs. Selon l'agence Reuters, des lettres ont été envoyées en ce sens à KLA Corporation, Lam Research et Applied Materials leur notifiant qu'il leur était interdit d'exporter les équipements nécessaires à la production de semi-conducteurs avancés vers des usines chinoises, à moins d'obtenir un permis auprès du département du Commerce. D'autres courriers, adressés par le département du Commerce à Nvidia et Advanced Micro Devices  demandaient à ces entreprises de cesser les livraisons de puces utilisées dans le développement d'intelligence artificielle vers la Chine. Selon Reuters, la nouvelle réglementation contiendrait d'autres décisions relatives à la Chine.

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"Avec toutes les preuves à l’appui": le Mali portera plainte contre la France auprès de l’Onu

 

Le Mali, qui accuse la France d’avoir fourni des armes et des renseignements aux groupes terroristes, affirme disposer d’autres preuves. Il promet de les présenter au Conseil de sécurité de l’Onu pour montrer au monde le comportement d’un État membre, selon le Premier ministre par intérim.

Dans un entretien exclusif accordé à l’Office de radiodiffusion télévision nationale du Mali (ORTM), le Premier ministre par intérim, le colonel Abdoulaye Maïga, est revenu sur les accusations contre la France.

À la mi-août, le Mali avait déjà demandé au Conseil de sécurité de l’Onu d’œuvrer afin que "la République française cesse immédiatement ses actes d’agression" à son encontre. "En cas de persistance", le pays se réservait même le droit de "faire usage de la légitime défense".

Abdoulaye Maïga a cependant précisé qu’au Mali on faisait "très clairement la différence entre les autorités actuelles de la France" et le peuple français pour lequel les Maliens éprouvent un énorme respect.

Il a notamment reproché aux autorités françaises "des violations intempestives" de l’espace aérien du Mali, ainsi que d’avoir "fourni des renseignements et des armes à des groupes terroristes".

D’autres preuves seront présentées

"Nous avons encore d'autres preuves qui seront présentées à la suite de cette session spéciale du Conseil de sécurité des Nations unies, que la communauté internationale et le monde découvrent comment un état membre du conseil de sécurité se comporte", a-t-il déclaré.

Le colonel a rappelé que le Mali avait déjà "introduit une plainte avec toutes les preuves à l’appui" auprès du Conseil de sécurité.

À la mi-août, le ministre malien des Affaires étrangères Abdoulaye Diop avait réclamé une réunion d’urgence du Conseil de sécurité sur la situation dans son pays. En cause, "des violations répétitives et fréquentes de l’espace aérien malien", ainsi que la collecte et la livraison par la France de renseignements, d’armes et de munitions aux groupes terroristes.

Accusations réfutées

L’ambassade de France au Mali a réfuté dans la foulée ces accusations.

Elle a rappelé sur Twitter qu’en 9 ans d’intervention française au Mali, de nombreuses villes tombées entre les mains des terroristes avaient été libérées.

L’ambassade a indiqué que 53 soldats français dont "la mission consistait à lutter contre les groupes terroristes, et ce faisant, à améliorer la sécurité des Maliens", avaient trouvé la mort.

"La France n’a évidemment jamais soutenu, directement ou indirectement, ces groupes terroristes, qui demeurent ses ennemis désignés sur l’ensemble de la planète", a résumé l’ambassade.

Source
 
 
Note ; 53 soldats français morts pour le Mali , la France a sacrifié ces soldats pour les autres qui pour  remerciements nous traine en justice. Je reconnais bien là l'Islam
 
 

 

Nice : Zied B., un Tunisien déjà condamné 21 fois, tué par la police après un refus d’obtempéré, il était déjà impliqué dans une course poursuite mortelle, 2 mois auparavant (Màj : Une marche blanche sera organisée par « tous ses copains du quartier »)

 

 

Tout le spectre politique, dont Emmanuel Macron, s’inquiète d’une possible victoire de Marine Le Pen à l’élection présidentielle de 2027

Comme un mauvais rêve. En ce mois de mai 2027, Emmanuel Macron s’imagine planté là, debout sur le perron de l’Élysée, tapis rouge déployé et Gardes républicains sur les côtés, quand l’ombre de son successeur s’extrait de la voiture arrivée quelques instants plus tôt. Nous sommes le jour de la passation de pouvoir… et l’extrême droite vient de gagner l’élection présidentielle.

Qui, autour de lui, ne l’a jamais entendu professer cette antienne ? « Ça l’obsède. Il sait que tous ses prédécesseurs ont laissé une trace, un héritage politique. Il ne voudrait pas que le sien se résume au fait d’avoir été celui qui a donné les clés de l’Élysée à Le Pen, ou un de ses fac-similés », témoigne un ancien conseiller. « C’est un second mandat qui n’a pas de prolongation puisqu’il ne pourra pas se représenter. Donc, il est face à l’histoire. Et forcément… ça le taraude », appuie un autre. Ce qu’il a encore exprimé il y a dix jours, lors d’un dîner avec les cadres de la majorité à l’Élysée : « Si demain ça devait basculer, ce n’est pas la gauche qui gagnerait, mais l’extrême droite. Ma responsabilité, c’est qu’elle ne gagne pas », a-t-il avisé ce soir-là, selon des propos rapportés par Le Point.

Dans la bouche du président, cela n’a rien de nouveau. Déjà, il y a cinq ans, il manifestait cette inquiétude. C’était lors du tout premier Conseil des ministres de son premier quinquennat : « J’ai 39 ans, je n’ai pas vocation à être là toute ma vie. Il faudra que je puisse aussi assumer fièrement le bilan après », alertait-il à l’époque. Puis ces dernières semaines, ses tourments n’ont fait que progresser. Pour des raisons multiples. « Dans les réunions du G20, on voit bien qu’il y a de plus en plus de représentants des régimes autoritaires ou populistes. Il doit se dire que bientôt, le fait de ne pas être d’extrême droite sera une exception », décrypte un proche.

(…)

Le Parisien

De la fébrilité dans l’air. Si Emmanuel Macron s’inquiète de voir Marine Le Pen lui succéder à l’Élysée, cette angoisse est largement partagée dans les couloirs par l’opposition. À droite, accusée parfois d’entretenir une posture critique factice vis-à-vis de l’exécutif, on justifie souvent le besoin d’exister par le danger RN. « Si vous laissez demain l’espace sans alternance, vous finirez tôt ou tard par avoir Marine Le Pen », grimace un général LR. Une préoccupation qui existait déjà lors du premier quinquennat mais qui a été renforcée par le résultat des dernières législatives. Il n’a échappé à personne que dans certains territoires traditionnellement de droite, le RN a raflé largement la mise, comme dans le Var, les Alpes-Maritimes ou la Haute-Marne, où se situe Colombey-les-deux-Églises.

« Le succès du RN lors des élections législatives ouvre la possibilité d’une institutionnalisation du parti de Marine Le Pen », souligne le politologue Dominique Reynié dans une étude récente de la Fondation pour l’innovation politique (Fondapol). Laquelle souligne que les électeurs de droite se reconnaissent désormais davantage dans les idées du RN (61 %) que dans celles de LR (52 %). « Je serais dingue de vous dire qu’il n’y a pas de risque RN en 2027. Soit je réussis, soit c’est Mélenchon-Le Pen au second tour », souffle en petit comité Laurent Wauquiez.

(…)

À gauche, on reproche à Macron de tout faire pour « banaliser » le RN à l’Assemblée

« Je me bats pour que dans cinq ans, il y ait des jours heureux. Et ce sera ça ou ce sera des jours sombres et noirs, ou des jours heureux et dignes », répond le communiste Fabien Roussel quand on lui demande si le second quinquennat d’Emmanuel Macron prépare l’arrivée au pouvoir de Marine Le Pen. « Si la gauche ne se reconstruit pas sur une base sérieuse, si la droite ne se rétablit pas et si on a encore une nouvelle fois le choix en 2027 entre l’extrême-droite et le courant macroniste pour la troisième fois, les gens se diront : bon bah va pour Le Pen », abonde un poids lourd socialiste, opposé à la Nupes. « Marine Le Pen dit Essayez-nous, vous ne nous avez jamais essayés. Mais si, on les a essayés : en 1940 ! On ne joue pas avec ça. Après, on n’aura que nos yeux pour pleurer », conclut un ténor de droite.

Le Parisien

 

 

Paris : une jeune femme de 18 ans victime d’un viol dans une camionnette, retrouvée nue en pleine rue, le suspect, Karim K., défavorablement connu de la police pour des faits d’agression sexuelle (Màj : Le suspect remis en liberté)

11/09/2022

La garde à vue de l’homme de 45 ans suspecté de viol a été levée. L’enquête confiée à la police judiciaire se poursuit.

L’homme de 45 ans suspecté d’avoir violé une jeune femme de 18 ans dans sa camionnette blanche, mercredi 24 août dans le 13e arrondissement de Paris, a été remis en liberté, a appris Le Figaro du parquet de Paris. Sa garde à vue a été levée mais l’enquête, confiée au 3e district de police judiciaire (3e DPJ), se poursuit néanmoins en préliminaire.

Selon nos informations, la victime se montrerait peu coopérative avec les enquêteurs et n’aurait «pas tout dit». Des photos d’elle et du suspect en train de s’embrasser auraient notamment été retrouvées dans son téléphone.

Mercredi 24 août vers 2h45, cette jeune femme de 18 ans avait été retrouvée nue, en état de choc, au niveau de la rue de la Vistule (Paris 13e). Très choquée, la victime – originaire du Morbihan et de passage à Paris -, s’était montrée mutique à l’arrivée des policiers. Au bout de quelques minutes, les fonctionnaires étaient parvenus à comprendre qu’elle avait passé la soirée au bar «Le Coche», rue de Tolbiac, avec un homme de 45 ans prénommé Karim.

Cet homme l’aurait ensuite attirée à l’arrière de sa camionnette blanche pour lui imposer plusieurs actes sexuels, notamment une pénétration vaginale et une fellation. Le suspect, très défavorablement connu pour des faits d’agressions sexuelles, de violences ou encore de vols, avait été interpellé à 3h50. Une couverture, un oreiller, des chaussures et un soutien-gorge appartenant à la victime avaient été découverts à l’arrière de sa camionnette blanche. Un ticket du bar «Le Coche» avait également été retrouvé dans sa poche.

Le Figaro


24/08/2022

Âgée de 18 ans, la victime aurait été violée à bord d’une camionnette blanche. Son agresseur présumé est actuellement en garde à vue.

Une jeune femme de 18 ans a été retrouvée nue, en état de choc, en pleine rue, la nuit dernière dans le 13e arrondissement de la capitale, a appris Le Figaro d’une source proche du dossier. Un homme de 45 ans a été interpellé par les policiers dans une camionnette blanche : il est soupçonné de l’avoir violée.

(…) Après avoir retrouvé ses esprits, la victime, originaire du Morbihan et de passage à Paris, donne une description précise de son agresseur aux policiers : un individu de type nord-africain, mesurant environ 1m65, porteur de petites lunettes.

Le Figaro


Un homme a été interpellé dans la nuit du mardi 23 au mercredi 24 août, accusé d’avoir violenté et violé une jeune femme de 19 ans, avec qui il avait passé la soirée dans un bar situé dans le 13e arrondissement de Paris.

La victime a été signalée vers 2h30 du matin ce mercredi 24 août, et a ensuite expliqué avoir passé la soirée dans un bar avec un homme de 48 ans, Karim K, qui l’aurait attirée à l’arrière d’une camionnette avant de la violer.

Originaire de Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme) et domicilié à Paris, l’homme a finalement été appréhendé, retrouvé alcoolisé dans sa camionnette garée non loin de là. A l’arrière, se trouvaient des chaussures correspondant à celles de la plaignante et un soutien-gorge. Un ticket du bar a également été trouvé sur lui.

Placé en garde à vue dans les locaux du troisième district de police judiciaire de Paris, Karim K. serait d’ailleurs «défavorablement connu des forces de l’ordre pour différents faits, dont des faits d’agression sexuelle», selon une source judiciaire.

CNews

 

 

« Nous ne lâcherons jamais rien » : l’élue patriote Isabelle Surply a poussé l’État à faire retirer la mosquée turque Millî Görüs de Saint-Chamond (42) des Journées du Patrimoine

 

Alors que doivent se tenir les Journées du patrimoine le week-end des 17 et 18 septembre prochain, la ville de Saint-Chamond, dans la Loire, met à l’honneur une mosquée sous influence de la confédération islamiste Millî Görüş. L’affaire connue de tous sur place illustre à nouveau les compromissions des pouvoirs publics. Enquête.

Valeurs

 

 

Chicago : Après s’être félicitée d’accueillir des migrants venant du Texas, la maire Lori Lightfoot les envoie sans concertation dans une banlieue républicaine. Réaction de l’élu local : “Cette hypocrite les utilise comme des pions politiques”

Le contexte

Le gouverneur républicain du Texas, Greg Abbott, a lancé en avril dernier l’opération « Drop-off » (NDR : débarquement, livraison…) consistant, après leur avoir demandé leur accord, à transférer les demandeurs d’asile passés par la frontière mexicano-texane vers des « villes sanctuaires » démocrates.

Cette opération, qui a coûté 12 millions de dollars au Texas, vient en réaction à la politique d’immigration du président Joe Biden. « L’inaction du président Biden à notre frontière sud continue de mettre la vie des Texans – et des Américains – en danger et submerge nos communautés », a ainsi déclaré Abbott dans un communiqué à l’époque.

Les destinations proposées aux migrants, ont été retenues en raison des politiques locales interdisant aux autorités de demander aux résidents leur statut d’immigration tout en s’abstenant de divulguer des informations aux autorités fédérales. Sont ainsi éligibles à ce programme des villes comme Washington DC, New York, Boston, San Francisco, Portland, Seattle ou Chicago.

La situation à Chicago

En vertu de la «Welcoming City Ordinance» de Chicago, les responsables ne poseront pas de questions sur le statut d’immigration et ne divulgueront pas non plus ces informations aux autorités fédérales. La semaine dernière, lorsque les premiers migrants sont arrivés dans la ville, la mairesse de Chicago, Lori Lightfoot, a déclaré que son administration était au courant du plan et que la ville s’efforçait de trouver un abri et d’autres services pour les personnes transportées par autobus.

« C’est un moment si important pour Chicago car notre ville a été un sanctuaire pour des milliers de nouveaux arrivants. Nous les accueillons et nous ne tournerons pas le dos à ceux qui ont le plus besoin de notre aide », a déclaré Lightfoot mercredi dernier dans un communiqué.

« Nous comprenons que beaucoup fuient des environnements violents, traumatisants ou autrement instables. Nous offrirons à ces personnes les services de première nécessité, nos partenaires communautaires ayant travaillé avec diligence pour leur fournir tout ce dont ils ont besoin ».

Une ville républicaine de la banlieue ouest de Chicago a cependant eu la surprise de recevoir un bus de 64 migrants, venant de Chicago sans en être avertis… « Je n’ai reçu aucune information officielle de la ville de Chicago, de l’État ou du comté de Cook », a déclaré le maire de Burr Ridge, Gary Grasso, à NBC 5 jeudi.

« Ces personnes ne devraient pas être utilisées comme des pions politiques », a déclaré Grasso lors de l’interview. « Malgré tout, nous allons les aider à repartir dans la vie, et tant mieux si cela se fait à Burr Ridge, mais il est hypocrite pour Lightfoot de se plaindre du fait que le gouverneur du Texas envoie des migrants à Chicago, pour ensuite les envoyer dans les banlieues ».

Fox News, NBC Chicago

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