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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Les Infos du 7 aout 2022

 

 

 

Guerre en Ukraine EN DIRECT : Nouveau bombardement sur la centrale nucléaire de Zaporijjia, Zelensky demande des sanctions…

 

L’ESSENTIEL

  • La responsable d’Amnesty International en Ukraine, Oksana Pokaltchouk, a démissionné à la suite du rapport de l’ONG reprochant aux forces armées ukrainiennes de mettre en danger des civils, qui a provoqué la colère de Kiev
  • Les exportations de céréales ukrainiennes trouvent progressivement un rythme régulier. Cinq cargos vont prendre la mer ce dimanche au départ des ports de Tchernomorsk et Odessa avec, au total, plus de 161.000 tonnes de maïs et de produits alimentaires
  • L’AIEA a jugé samedi « de plus en plus alarmantes » les informations venant de la centrale nucléaire de Zaporijjia, la plus grande d’Europe, au lendemain de frappes à proximité. Il y a « vrai risque réel de catastrophe nucléaire pouvant menacer la santé et l’environnement en Ukraine et au-delà », selon le directeur général de l’Agence

 

14h24 : Les autorités d’occupation accusent Kiev d’un nouveau tir sur la centrale de Zaporijjia

L’administration d’occupation russe a affirmé dimanche que l’armée ukrainienne avait endommagé des bâtiments administratifs lors d’une frappe sur la centrale nucléaire de Zaporijjia, cible de tirs dont s’accusent mutuellement Moscou et Kiev. Dans la nuit de samedi à dimanche, « l’armée ukrainienne a mené une frappe avec une bombe à sous-munitions tirée d’un lance-roquettes multiple Ouragan », ont indiqué les autorités d’occupation de la ville d’Energodar, où se trouve la centrale, dans le sud de l’Ukraine.

« Les éclats et le moteur de la roquette sont tombés à 400 mètres d’un réacteur en marche », a affirmé cette source, citée par l’agence russe de presse publique TASS, ajoutant que cette frappe avait « endommagé » des bâtiments administratifs et touché « une zone de stockage de combustible nucléaire usagé ». Elle n’a pas fourni plus d’éléments pour prouver ces dires et l’AFP n’a pas pu confirmer ces allégations de source indépendante.

 

 

14h10 : Zelensky demande « une réponse plus forte de la communauté internationale » aux bombardements sur Zaporijjia

Le président ukrainien a déclaré sur Twitter avoir parlé au téléphone à Charles Michel, président du Conseil européen, et demande « réponse plus forte de la communauté internationale » au « terrorisme nucléaire russe ». Il a évoqué des sanctions contre l’industrie nucléaire russe et son combustible.

 

13h37 : La Suède rejoint le programme de formation de soldats dirigés par Londres

Le secrétaire britannique à la Défense Ben Wallace a salué la décision de la Suède de rejoindre le programme de formation des soldats ukrainiens au Royaume-Uni, "aux côtés de nos partenaires canadiens et néerlandais". "Les forces armées suédoises apporteront leur expertise inestimable" aux Ukrainiens formés, se réjouit-il.

 

10h49 : Bruxelles fait le bilan de ses sanctions

La Commission européenne a dressé le bilan de ses sanctions économiques contre la Russie. Avec le retrait de plus 1.000 entreprises internationales et l’arrêt de nombreuses importations, le PIB du pays a ainsi chuté 10 %. La production automobile s’est effondrée, comme celle de l’électroménager et des « missiles de précision » en raison des sanctions sur les semi-conducteurs, affirme Bruxelles.

 

Note ; et si Bruxelles nous donnez les chiffres du résulta de leurs sanctions sur l'Europe ! !  

Vers une guerre de religion, infos du 7 aout 2022

 

 

Les troupes ukrainiennes bombardent la centrale nucléaire de Zaporozhye pendant la nuit, selon les autorités locales

 

ENERGODAR, Ukraine (Spoutnik) - Les troupes ukrainiennes ont lancé une attaque contre la centrale nucléaire de Zaporozhye pendant la nuit, à l'aide d'un lance-roquettes multiples Uragan, avec des éclats d'obus et un moteur de fusée tombant à 400 mètres (1 312 pieds) de l'unité d'alimentation en fonctionnement de la centrale, l'armée et l'administration civile de la ville d'Energodar.

"La nuit dernière, les forces armées ukrainiennes ont mené une frappe à l'aide d'un lance-roquettes Uragan de 220 millimètres", a déclaré le porte-parole de l'administration.

Le missile s'est déployé et a libéré des ogives d'obus alors qu'il s'approchait des unités motrices, a noté le porte-parole.

"La zone de l'installation de stockage à sec pour le combustible nucléaire traité et le poste de contrôle automatisé de la situation radiologique semblaient être dans la zone de frappe. Les bâtiments administratifs et le territoire adjacent de l'installation de stockage ont été endommagés par les armes à sous-munitions. Il est important de notez que les ogives d'obus tombées et le moteur-fusée lui-même ne sont pas tombés à plus de 400 mètres de l'unité de puissance active », a ajouté le porte-parole.

Depuis mars, la centrale nucléaire de Zaporozhye est sous le contrôle total des forces russes, mais les forces ukrainiennes l'ont attaquée à plusieurs reprises par des drones, ce qui a incité la Russie à demander l'aide de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) pour répondre aux problèmes de sécurité de la centrale.

Source Spoutnik (traduction)

 

 

 

 

Guerre en Ukraine: "Un risque de désastre nucléaire" si les bombardements continuent sur la centrale de Zaporijjia

 

Le directeur général de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) a condamné samedi les bombardements qui se sont déroulés vendredi près de la centrale nucléaire de Zaporijjia, dans le centre-sud de l'Ukraine.

  • La centrale nucléaire de Zaporijjia est la plus grande d'Europe.
    La centrale nucléaire de Zaporijjia est la plus grande d'Europe. EPA - SERGEI ILNITSKY

"Je suis très préoccupé par les bombardements d'hier qui se sont déroulés près de la plus grande centrale nucléaire d'Europe, ce qui souligne le risque extrêmement réel de désastre nucléaire qui menace la santé publique et l'environnement en Ukraine et ailleurs", a déclaré Rafael Grossi dans un communiqué.

Il a également appelé les parties prenantes du conflit à exercer la "plus grande retenue" autour de la centrale.

Une ligne électrique à haute tension alimentant la centrale nucléaire de Zaporijjia a été touchée par des bombardements russes vendredi. Les Russes qui accusent, pour leur part, les Ukrainiens d'être responsables de ces bombardements, évoquant des actes terroristes.

L'opérateur de la centrale a alors décidé de déconnecter le réacteur, bien qu'aucune radiation n'ait été détectée. Zaporijjia est la plus grande centrale nucléaire d'Europe.

Source

 

 

 

Guerre en Ukraine : Amnesty International présente ses excuses après son rapport accusant les autorités ukrainiennes de mettre en danger la population civile

 

Amnesty International a présenté ses excuses dimanche pour la "détresse et la colère" causées par son rapport accusant les autorités ukrainiennes de mettre en danger la population civile, qui a provoqué la colère du président ukrainien et entraîné la démission de la directrice de l'antenne de l'ONG à Kiev.

  • Amnesty International a présenté ses excuses dimanche pour la "détresse et la colère" causées par son rapport accusant les autorités ukrainiennes de mettre en danger la population civile.
    Amnesty International a présenté ses excuses dimanche pour la "détresse et la colère" causées par son rapport accusant les autorités ukrainiennes de mettre en danger la population civile. - MAX PPP

Dans un rapport publié jeudi, l'organisation de défense des droits de l'Homme a accusé l'Ukraine de mettre en danger des civils en déployant des troupes dans des quartiers d'habitation dans le cadre de sa guerre contre la Russie.

"Amnesty International regrette profondément la détresse et la colère provoquées par notre communiqué de presse sur les tactiques de combat de l'armée ukrainienne", écrit Amnesty International dans un courriel à Reuters.

"La priorité d'Amnesty International dans ce conflit, comme dans tout autre conflit, est de veiller à ce que les civils soient protégés. En effet, ceci est l'unique objectif de la publication de ce dernier rapport. Tout en maintenant entièrement nos conclusions, nous regrettons la douleur causée", poursuit l'ONG.

Kiev s'est insurgé contre le rapport d'Amnesty qui participe selon lui de la propagande de Moscou.

Volodymyr Zelensky a reproché à l'ONG de "tenter de faire basculer la responsabilité de l'agresseur vers la victime".

Source

 

Note: on vie dans un drôle de monde où les plus faibles doivent s’excuser pour avoir dit la vérité

LIIRE AUSSI : Guerre en Ukraine : ce que contient le rapport d’Amnesty International vivement critiqué par Kiev

 

 

Trump met en garde contre le risque d'une troisième guerre mondiale en raison de "personnes incompétentes" et "méchantes" à Washington

 

 

L'ancien président, qui a laissé entendre à plusieurs reprises qu'il ferait une autre candidature à la Maison Blanche en 2024 ces derniers mois, a exprimé une fierté considérable "d'être le premier président depuis des décennies à n'avoir déclenché aucune nouvelle guerre" lors de son discours d'adieu en 2021.

Les États-Unis pourraient se diriger vers une nouvelle conflagration militaire mondiale grâce aux personnes "incompétentes" et "diaboliques" qui dirigent Washington, a déclaré l'ancien président Donald Trump.

"Tout ce que vous avez à faire est de regarder les 200 dernières années, ça va se reproduire. Nous pourrions nous retrouver dans la troisième guerre mondiale parce que nous sommes gouvernés par des gens incompétents. Cela pourrait arriver », a déclaré lors de la conférence d'action politique conservatrice à Dallas samedi.

Vers une guerre de religion, infos du 7 aout 2022

"Et cette guerre sera pire que n'importe quelle guerre parce que nous avons des armes comme personne n'en a jamais vues auparavant. Mais vous dites 'où cela s'arrête-t-il ?' 'Où est-ce que ça finit ?' Cela ne s'arrête probablement pas, car malgré les grands dangers extérieurs, notre plus grande menace reste les personnes malades, sinistres et perverses de notre propre pays », a ajouté Trump.

Qualifiant les États-Unis de « nation en déclin » et de « nation du tiers monde », Trump a déploré que Washington « ne soit plus respecté ni écouté dans le monde entier », et a affirmé que bon nombre des crises internationales qui font rage aujourd'hui, notamment à propos de Taïwan et de l'Ukraine, ne serait "jamais" arrivé s'il était encore président.

Sur le plan intérieur, Trump s'est plaint de la politique identitaire devenue sauvage, de l'"effondrement" de l'économie américaine, de l'inflation, des chaînes d'approvisionnement brisées, d'un marché boursier en plein essor, d'un crime "rampé", des restrictions à la liberté de la presse, d'un système éducatif défaillant et d'autres problèmes.

Trump a suggéré que les prochaines élections de mi-mandat en novembre, et «les prochaines années» après cela, «détermineront si la civilisation américaine s'effondrera ou échouera, ou si elle triomphera et prospérera comme jamais auparavant».

« Nous devons nous débarrasser des chaînes du mondialisme et réaffirmer deux mots très importants. Vous savez quels sont les mots? L'Amérique d'abord… Si nous faisons cela, non seulement nous licencierons Joe Biden, Chuck Schumer, la folle Nancy Pelosi – que faisait-elle à Taïwan ? Tout ce qu'elle touche devient – ​​je ne veux pas le dire… La femme apporte le chaos et c'est exactement ce qui se passe, ce qui se passe en Chine en ce moment, ce qui se passe en Chine et à Taiwan. Elle a joué entre leurs mains, car maintenant ils ont une excuse pour faire ce qu'ils font et je vous dirai que cela ne serait jamais arrivé en un million d'années sous Trump », s'est-il vanté.

Trump est devenu le premier président depuis Jimmy Carter à ne pas entraîner les États-Unis dans une nouvelle guerre étrangère. Le mandat de Trump a vu des retraits des forces américaines en Allemagne, en Irak, en Afghanistan et en Somalie, la signature d'un accord de paix avec les talibans en 2020 qui a abouti à l'effondrement du gouvernement fantoche de l'OTAN à Kaboul en août 2021, et des plans ( qui n'ont jamais été mis en œuvre ) pour mettre fin à l'occupation militaire américaine illégale de l'est de la Syrie. La présidence de Trump n'était cependant pas entièrement non belliqueuse, le républicain ayant ordonné le bombardement de la Syrie en 2017 et 2018 sur de fausses allégations d'utilisation d'armes chimiques par Damas, signant des accords d'armes de plusieurs milliards de dollars avec l'Arabie saoudite pour sa guerre au Yémen, et menaçant de pulvériser l'Iran et la Corée du Nord sur Twitter pendant les périodes d'escalade des tensions.

Source Spoutnik (traduction)

 

 

 

 

Taïwan : dernier jour des vastes manœuvres militaires chinoises autour de l’île

 

Ces exercices devaient s’achever dimanche à la mi-journée, même si Pékin compte en mener de nouveaux, « à tir réel », jusqu’au 15 août dans la mer Jaune, qui sépare la Chine de la péninsule coréenne.

Sur cette photo fournie par l’agence de presse chinoise Chine nouvelle et datée du 5 août 2022, un militaire chinois surveille les exercices autour de Taïwan.

La Chine bouclait dimanche 7 août ses plus grandes manœuvres militaires jamais menées autour de Taïwan, qui furent une réaction de colère à la visite de la représentante de la Chambre des députés des Etats-Unis, Nancy Pelosi, sur l’île. Ce déplacement a fait plonger les relations entre Pékin et Washington au plus bas depuis des années.

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Taïwan : à Washington, la crainte que « Pékin prenne le contrôle de la production des semi-conducteurs »

 

Nancy Pelosi lors de sa visite à Taïwan, le 3 août dernier
Nancy Pelosi lors de sa visite à Taïwan, le 3 août dernier (Sam Yeh / AFP)

Ce n’est pas totalement un hasard si Nancy Pelosi cette semaine à Taïwan s’est retrouvée en photo dans le Taipei Times en compagnie de Morris Chang, le cofondateur de Taiwan Semiconductor Manufacturing Company (TSMC) qui détient 92 % du marché mondial des puces haut de gamme extrafines. Elle fournit notamment les géants américains Apple, Qualcomm ou Nvidia. Son savoir-faire unique au monde lui permet de graver des puces de 2 nanomètres seulement, soit l’équivalent de 50 milliards de transistors sur la taille d’un ongle ! Une technologie que ne maîtrisent ni les Américains ni les Chinois.

Dépendance des États-Unis

« Taïwan et ses semi-conducteurs sont bien plus importants pour l’économie américaine que l’Ukraine, commente Martijn Rasser, chercheur au think tank Center for a New American Security (CNAS) de Washington. Cela signifie qu’il sera très probablement impossible pour les États-Unis de rester en dehors d’un conflit impliquant Taïwan. » L’île représente en effet près de 70 % de la production mondiale de ces puces, essentielles au fonctionnement des téléphones portables, de l’électronique grand public, des voitures ou des équipements militaires. La Corée du Sud, son concurrent le plus proche, détient seulement 17 % du marché et les États-Unis à peine 12 % d’un marché mondial estimé à 600 milliards d’euros.

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Propos sur Taïwan. Mélenchon persiste et signe, confirmant les désaccords diplomatiques de la Nupes

 

Jean-Luc Mélenchon a écrit à deux reprises sur son blog, qu’il n’y a « qu’une seule Chine », malgré la volonté de Taïwan de ne pas être considérée comme appartenant à la Chine. Des propos loin de faire l’unanimité au sein de l’alliance de la gauche.

Les écrits de Jean-Luc Mélenchon sur Taïwan et la visite de Nancy Pelosi sur l’île remettent sur le devant de la scène les divergences de vue des membres de la gauche unie sous la bannière Nupes.

En pleines tensions entre Pékin et Taïpei, le leader de LFI a considéré dans deux billets de blog successifs, jeudi et samedi, que la visite de la présidente de la Chambre des représentants des États-Unis constituait « une provocation », alors qu’« il n’y a qu’une seule Chine », qui « siège parmi les cinq membres permanents du conseil de sécurité de l’ONU », et que « Taïwan est une composante à part entière de la Chine » – un vocable défendu par le régime de Pékin mais refusé par les autorités de Taïpei.

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Note ; les problèmes entre la Chine et Taïwan ne nous regarde pas.

 

 

 

EN DIRECT - Violences à Gaza: Israël a accepté une trêve proposée par l'Égypte

 

Violences à Gaza: Israël a accepté une trêve proposée par l'Égypte

Israël a accepté une trêve, proposée par l'Égypte, dans la bande de Gaza, annonce ce dimanche une source au sein des services de sécurité égyptiens à l'Agence France-Presse (AFP), précisant que Le Caire attendait désormais la réponse palestinienne, après que des tirs à Gaza ont fait au moins 31 morts, dont 6 enfants.

"La partie israélienne a accepté la trêve", a déclaré ce responsable sous le couvert de l'anonymat, sans donner de détail sur le calendrier de cette trêve. Une source au sein du groupe palestinien a confirmé que des négociations étaient en cours.

 

Tirs à Gaza: le Premier ministre israélien assure que l'opération durera "aussi longtemps que nécessaire"

Le Premier ministre israélien Yaïr Lapid a affirmé que l'opération à Gaza continuerait "aussi longtemps que nécessaire", qualifiant la frappe ayant tué l'un des principaux chefs militaires du Jihad islamique à Gaza Khaled Mansour de "résultat extraordinaire".

La frappe menée à Rafah, dans le sud de la bande de Gaza, a fait huit morts, selon le ministère de l'Intérieur.

En tout, neuf immeubles résidentiels ont été détruits dans des raids israéliens, selon le gouvernement du Hamas.

DIRECT

 

 

Tribunal de Perpignan : « Je suis ici [en prison] pour me former à la haine et au terrorisme. Quand je sortirai je tuerai plein de gens car ils ne sont pas bons. Je sais les reconnaître », Samir est relaxé

[…]

 

“Je suis ici pour me former à la haine et au terrorisme. Quand je sortirai je tuerai plein de gens car ils ne sont pas bons. Je sais les reconnaître. Et des enfants d’un an et demi, deux ans, car ils sont innocents, avant qu’ils ne soient pris par Satan”.

Placé en détention provisoire pour une énième détention de stups et port d’arme blanche, Samir est entendu par un gradé à son arrivée à la maison d’arrêt. Il va sans dire que la cheffe, signale sans attendre les terribles menaces qui viennent d’être proférées.. Et le parquet le renvoie devant les juges pour apologie du terrorisme et menaces de mort réitérées.

En écoutant le président relater ses paroles, Samir affiche un large sourire. “Bah, j’ai pas dit vraiment tout ça, j’étais énervé. Je ne suis pas dangereux, ma mère vous le dirait“.

[…]

Le tribunal ne peut que l’admettre : “il n’y a pas eu publicité et les menaces ne visent pas quelqu’un de déterminé”. Le prévenu est relaxé.

L’Indépendant

 

Note: on remarquera que les journalistes comme les tribunaux refusent de rajoutés le mot islamique après le qualificatif de terroriste. 

 

 

 

Marseille : Jérôme passe la soirée avec des amis, lorsque vient l’heure de rentrer chez lui, Nour Al Islam, un Algérien de 24 ans en situation irrégulière le tabasse et le dépouille

C’est un samedi entre amis, dans un pub sur le Vieux-Port, qui aurait pu virer au drame pour un rien. Ce 30 juillet, Jérôme passe la soirée avec des amis, lorsque vient l’heure de rentrer chez lui, dans le 6e arrondissement.

[…]

 

À peine est-il sorti au niveau de la Canebière qu’il est projeté par une “balayette” et roué de coups par les deux hommes. “Je les avais aperçus vers la sortie, mais d’un coup je me suis retrouvé au sol, le polo complètement déchiré. Je n’ai rien pu faire”, explique la victime au tribunal, qui s’en sortira légèrement blessée et dépouillée de son téléphone portable, après deux longues minutes de passage à tabac.

Mais les agresseurs ont été immortalisés par la vidéosurveillance du réseau. Deux suspects sont repérés quelques jours plus tard par des policiers à la station Colbert mais seul l’un d’entre-deux correspond parfaitement au signalement. Nour Al Islam a 24 ans. En garde à vue, il nie les faits mais, confronté à la victime, malgré la barrière de la langue, cet Algérien en situation irrégulière finit par reconnaître quelques coups de pied et de poing.

[…]

 

On a affaire à des prédateurs à l’affût de leurs victimes. Et en plus, lui, il rigole“, s’étrangle le procureur Ahmed Chafai. Ce sera 18 mois de prison, assortis d’un mandat de dépôt.

La Provence

 

 

 

Nicaragua : expulsion de missionnaires, blocus d’un évêché, fermeture de radios… bras de fer entre le régime d’Ortega et l’Eglise catholique locale accusée «d’incitation à la haine» par la police

Les relations entre le pouvoir du Nicaragua et l’Eglise catholique locale s’enveniment. La police nicaraguayenne a annoncé, vendredi 5 août, avoir ouvert une enquête pour « agissements délictueux », et a dénoncé « la situation créée (…) sous les auspices de l’évêque de Matagalpa », assiégé depuis jeudi dans son évêché par les forces de police. « Sa soutane ne lui accorde pas l’impunité », a averti M. Navarro député du parti sandiniste. La dernière vague de répression du pouvoir a conduit cette semaine à la fermeture de plusieurs radios catholiques. Les missionnaires de la Charité, ordre fondé par Mère Teresa en 1950, ont été expulsées mercredi 6 juillet. Réélu en novembre 2021 pour un quatrième mandat consécutif, les principaux candidats potentiels à cette élection avaient été arrêtés et emprisonnés. Sept opposants ont été condamnés à des peines allant jusqu’à treize ans de prison.

Dans un communiqué officiel, les autorités policières accusent les « hautes autorités de l’Eglise catholique du diocèse de Matagalpa », mené par l’évêque Mgr Rolando José Alvarez Lagos, de « tenter d’organiser des groupes violents, en les incitant à commettre des actes de haine contre la population ».

Les « agissements » de l’Eglise ont « pour objectif de déstabiliser l’Etat du Nicaragua et d’attaquer les autorités constitutionnelles », assure le communiqué de la police, qui annonce avoir « ouvert une enquête afin de déterminer la responsabilité pénale des personnes impliquées dans ces agissements délictueux ».

Mgr Rolando Alvarez, critique du gouvernement du président Daniel Ortega, a célébré vendredi une messe retransmise depuis son évêché sur les réseaux sociaux en direct de son évêché de Matagalpa, à 130 kilomètres au nord-est de la capitale, Managua. Des policiers antiémeutes « continuent de fermer la rue » de l’évêché, a-t-il dénoncé lors de cet office. « La porte principale et le garage sont également bloqués » par la police, a déclaré le prélat âgé de 55 ans, qui est empêché depuis jeudi de rejoindre sa cathédrale, à quatre rues de là. « Nous sommes dans l’évêché. Personne ne peut sortir ni entrer », a décrit à l’Agence France-Presse (AFP) l’un des prêtres retranchés avec M. Alvarez.

« Les personnes soumises à l’enquête resteront à leur domicile », précise encore la police, qui empêche depuis jeudi l’évêque et les prêtres qui l’accompagnent de quitter le siège épiscopal. Mgr Alvarez avait réclamé jeudi le respect de la « liberté » religieuse après la fermeture par les autorités de plusieurs radios catholiques et dénoncé un « harcèlement » policier. […]

Le Monde

Les sœurs de Mère Teresa ont été expulsées mercredi 6 juillet du Nicaragua. Le Parlement a jugé leurs activités illégales, comme des centaines d’autres ONG présentes dans le pays. Cette décision vient s’ajouter aux nombreuses persécutions menées par le gouvernement de Daniel Ortega contre l’Église catholique dans le pays.

Les missionnaires de la Charité, ordre fondé par Mère Teresa en 1950, ont été contraintes mercredi 6 juillet par le gouvernement du Nicaragua de quitter le pays où elles accueillaient les plus pauvres. Le Parlement a en effet jugé leurs activités « illégales » et reproche à la congrégation, comme à des centaines d’ONG, de ne pas communiquer leurs revenus financiers et la source de leurs dons. D’autre part, le ministère de l’Intérieur n’avait pas accrédité leurs activités sociales. Les religieuses seraient sorties du pays par la frontière terrestre avec le Costa Rica.  

Cette suite de décisions unilatérales intervient alors que les relations entre le gouvernement nicaguais et l’Église sont tendues depuis que des paroisses ont accueilli en 2018 des manifestants fuyant la répression. Les mouvements sociaux avaient été réprimés dans le sang faisant 55 morts, 2.000 blessés, un demi-millier de prisonniers et des dizaines de milliers d’exilés, selon des organisations de défense des droits humains. Le président Daniel Ortega avait alors tenu l’Église pour complice de ces mouvements sociaux qualifiés de coup d’État. Ainsi, celui-là même qui avait accueilli Mère Teresa de Calcutta dans les années 1980 pousse désormais les petites sœurs de la Charité à l’exil. […]

Aleteïa

 

 

En Afghanistan, l’opium au cœur du régime : « Les Talibans s’installent dans une forme d’hypocrisie institutionnalisée où ils prétendent combattre le « péché » des stupéfiants tout en supervisant et en taxant la production »

La production et l’exportation d’opium, ainsi que, dans une moindre mesure, d’héroïne constituent la principale ressource des talibans afghans, malgré la condamnation, par leur chef religieux, du trafic de stupéfiants.

[…]


L’ONU, du fait des difficultés d’accès au terrain afghan et de l’opacité généralisée du régime taliban, est à ce stade incapable d’évaluer les superficies aujourd’hui consacrées au pavot dans le pays. Il est cependant clair que les talibans n’ont en rien entravé la campagne de culture du pavot à l’automne dernier, afin de maximiser, au printemps 2022, les revenus tirés de l’opium et de ses dérivés. Du fait de la très forte teneur en opium du pavot local, l’Afghanistan couvre à lui seul 80 à 90 % des besoins du marché mondial en opium et en héroïne. Les réseaux transfrontaliers de trafic de stupéfiants vers l’Iran et, plus encore, le Pakistan sont, en outre, tenus par des partenaires historiques des talibans, à qui ils offrent en retour l’opportunité de s’approvisionner en armes et de contourner les sanctions internationales.

Ce n’est qu’en avril, donc une fois la récolte d’opium bien entamée, que le chef théoriquement « suprême » des talibans, le mollah Haibatullah Akhundzada, a émis un décret « interdisant la culture du pavot dans tout le pays ». Alors que la fatwa du mollah Omar avait eu, en 2000, un effet immédiat et spectaculaire, rien de comparable n’a été enregistré cette année, y compris en termes de fluctuation des prix des stupéfiants, pourtant très sensibles à ce type de diktat. Il est vrai qu’Akhundzada, à la différence du dirigeant politico-militaire qu’était le mollah Omar, n’a de légitimité que religieuse et a prouvé à maintes reprises son impuissance à s’imposer à la branche armée du mouvement. Les talibans s’installent donc dans une forme d’hypocrisie institutionnalisée où ils prétendent combattre le « péché » des stupéfiants tout en supervisant et en taxant production et trafic.

En cela, oui, la génération actuelle des talibans peut apparaître « nouvelle ». Il est douteux que cela soit une consolation pour les femmes et les hommes d’Afghanistan.

Le Monde

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K
Votre blog quasi-quotidien est comme un rapport émis, mais reçu, parmi d’autres… sur cette planète en accusation.
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