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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale

 

 

Guerre en Ukraine EN DIRECT : L'Ukraine dénonce un massacre de civils dans une gare, Moscou dit avoir tué des soldats…

 

L’ESSENTIEL

  • Le septième mois de guerre en Ukraine a été entamé hier. C’était également l’anniversaire de l’indépendance du pays face à l’URSS en 1991.
  • Une date symbolique à laquelle le gouvernement ukrainien redoutait de nouvelles attaques. Une gare du centre du pays a effectivement été frappée, faisant 22 morts.
  • En six mois, 1 million de réfugiés fuyant l’Ukraine ont été enregistrés en Allemagne, même si « un nombre considérable » d’entre eux n’est pas resté dans le pays.

 

 

14h20 : L’Ukraine dénonce un massacre de civils dans une gare, Moscou dit avoir tué des soldats

L’Ukraine a dénoncé jeudi le bombardement russe meurtrier qui a frappé la veille une gare du centre du pays, et fait selon elle au moins 25 morts civils, alors que Moscou affirme de son côté avoir visé un train militaire et tué des soldats.

Perpétré le jour de la fête nationale ukrainienne qui marquait aussi le sixième mois de l’offensive russe contre l’Ukraine, le bombardement sur la gare de Tchapliné, dans la région de Dnipropetrovsk, a été fermement condamné par l’Union européenne.

 

13h50 : La France dépasse les 90 % de remplissage pour l’hiver, mais craint quand même d’avoir froid

La France avait rempli jeudi matin à 90 % ses stocks de gaz pour l’hiver, selon la plateforme européenne Agregated Gas Storage Inventory (AGSI) et était en bonne route pour tenir ses objectifs afin d’affronter cet hiver de potentielles pénuries d’énergie liées à la guerre en Ukraine.

 

12h28 : Moscou affirme avoir tué 200 « militaires » lors de la frappe sur la gare

La Russie a affirmé jeudi avoir tué la veille « plus de 200 militaires ukrainiens » dans une frappe sur une gare ferroviaire dans le centre de l’Ukraine, Kiev faisant état de son côté d’au moins 25 personnes tuées.

Un missile Iskander « a directement touché un train militaire dans la gare de Tchapliné, dans la région de Dnipropetrovsk, éliminant plus de 200 militaires de la réserve des Forces armées ukrainiennes » ainsi que des équipements, a déclaré le ministère russe de la Défense dans un communiqué.

 

11h59 : Clément Beaune appelle à « faire la lumière » sur les accusations contre TotalEnergies

Le ministre délégué aux Transports, Clément Beaune, a appelé jeudi à « faire la lumière » sur les accusations contre TotalEnergies après la publication d’informations selon lesquelles du gaz produit par une de ses coentreprises aurait servi aux avions de guerre russes.

« C’est un sujet extrêmement sérieux, donc il faut bien vérifier que, volontairement ou involontairement, il n’y a pas de détournement soit des sanctions, soit de l’énergie qu’une entreprise française, ou autre, produirait », a déclaré le ministre sur France 2.

Selon le journal Le Monde, qui se base sur plusieurs documents et une enquête de l’ONG Global Witness, le champ gazier russe de Termokarstovoïe, exploité par l’entreprise Terneftegaz - codétenue par le groupe français à 49 % avec le russe Novatek (51 %) –, a fourni du condensat de gaz à une raffinerie proche d’Omsk, qui en a fait du carburant, lequel a ensuite été expédié pour alimenter des avions russes engagés dans le conflit en Ukraine au moins jusqu’en juillet.

« Non, TotalEnergies ne produit pas de kérosène pour l’armée russe », avait réagi mercredi le groupe dans un communiqué, réfutant « l’ensemble des allégations infondées qui sont faites dans cet article » et déplorant des « erreurs, raccourcis, et contre-vérités ».

DIRECT

 

LIRE AUSSI: Céréales : Le blé et le maïs se rapprochent de leurs prix d’avant la guerre en Ukraine

Guerre en Ukraine : Poutine signe un décret pour augmenter les effectifs de l'armée russe

 

Cette mesure comprend une augmentation de 137 000 soldats. 

Le président russe Vladimir Poutine a signé jeudi un décret portant augmentation de la taille des forces armées russes de 1,9 million à 2,04 millions alors que la guerre en Ukraine entre dans son septième mois, a rapporté l'agence de presse russe RIA Novosti.

Moscou n'a révélé aucune perte dans le conflit depuis ses premières semaines, mais les responsables occidentaux et le gouvernement de Kyiv disent qu'ils se comptent par milliers.

L'augmentation comprend une augmentation de 137 000 du nombre de combattants à 1,15 million. Il entre en vigueur le 1er janvier, selon le décret publié sur le portail législatif du gouvernement.

Lourdes pertes humaines

La dernière fois que Poutine a fixé la taille de l'armée russe, c'était en novembre 2017, lorsque le nombre de combattants a été fixé à 1,01 million sur un effectif total des forces armées, y compris les non-combattants, de 1,9 million.

La Russie n'a pas précisé le nombre de victimes qu'elle a subies en Ukraine depuis les premières semaines de la campagne, lorsqu'elle a déclaré que 1 351 de ses soldats avaient été tués.

Les estimations occidentales indiquent que le nombre réel pourrait être au moins 10 fois supérieur, tandis que l'Ukraine affirme avoir tué ou blessé au moins 45 000 soldats russes depuis le début du conflit le 24 février. 

 

 

 

L’OTAN est entré en guerre contre la Russie le 22 Aout 2022

 

 

22 août 2022

Les hypocrisies de l’OTAN qui d’une part depuis 6 mois fournit des armes à l’Ukraine contre la Russie, et d’autre part vient explicitement « d’autoriser l’Ukraine à utiliser ces armes contre la Crimée », touchent à leur fin puisque depuis quelques jours, même s’il n’y a pas eu de communiqué, des unités polonaises combattent en Ukraine contre les forces russes. Non pas « à distance » mais sur le terrain, avec des véhicules et des hommes.

 

C’est ce qu’a déclaré un député de la Douma d’Etat de la Fédération de Russie, l’ancien Premier ministre de la République Populaire de Donetsk, Alexander Borodai. Selon lui, l’armée du personnel de Pologne prend une part active aux hostilités.

« Maintenant, dans la région de Kherson, nous sommes en guerre avec des unités régulières de l’armée polonaise. Officiellement, ce n’est pas annoncé, mais nous sommes en fait en guerre avec l’OTAN, puisque la Pologne est membre de l’alliance », a résumé le politicien.

On comprend le silence officiel à ce sujet puisque les pays européens sont en pleine crise économique et leurs populations auront à choisir entre se nourrir et se chauffer dans les semaines qui viennent.

Malgré celà dans les milieux militaires les choses sont claires. Un officier en France, sympathisant de la cause Russe, m’a informé que l’Etat-Major a ordonné à l’encadrement (aux officiers donc) de se tenir prêts à partir « défendre l’Europe contre la Russie » (je cite).

En Grande-Bretagne, c’est moins discret puisque les medias l’annoncent: Selon l’édition britannique du Mirror, on a dit aux soldats de se préparer à la guerre contre la Russie en Ukraine et de préparer leurs proches – faisant référence à l’adjudant Paul Carney et au général Richard Dannat.

« Les soldats doivent préparer leurs familles à la possibilité d’être envoyés en Ukraine pour combattre la Russie dans une guerre qui dure depuis six mois. »

Vers une guerre de religion, infos du 25 aout 2022

Angleterre et France sont les 2 pays les plus hystériques mais d’autres ne se font pas prier pour suivre. La Pologne donc, en douce, est entrée en Ukraine. Son but n’est pas tant d’aider l’Ukraine mais de lui piquer ses territoires du Nord! Les Pays Baltes, eux, amassent du matériel militaire américain et serviront de plateforme de stockage. Dans le même temps ils donnent libre cours à leur anti-russisme primaire en allant jusqu’à démonter les monuments commémorant la victoire de la Seconde Guerre Mondiale. Rien d’étonnant dans ces pays où le nazisme est glorifié lors de parades régulières à la mémoire du régime d’Hitler.

Cette extension du conflit est nécessaire aux occidentaux car ils comprennent que le sort de l’Ukraine est déjà règlé et que leurs livraisons d’armes ne font que retarder la chute de Zelenski. Il faut donc aller plus loin et le seul moyen est d’envoyer des soldats. C’est donc ce qu’ils ont commencé à faire par les polonais, le reste suivra petit à petit.

Un « coup d’éclat » pourrait servir de prétexte à l’intervention officielle de l’OTAN, comme par exemple l’explosion de la centrale nucléaire de Zaporozhe, bombardée en quasi-permanence par les ukrainiens. La Russie, qui contrôle la centrale, pourrait d’ailleurs décider de la débrancher par sécurité, coupant de facto l’électricité à une grande partie de l’Ukraine.

Un ami officier supérieur Russe me disait ce matin

« Tu vois, ils interdisent l’entree des Russes en Europe maintenant, nous allons voir s’ils pourront interdire l’entree de nos chars« .

A travers cette boutade, il montre que nous sommes parfaitement prêts à répondre aux menaces étrangeres, sur leurs propres territoires. D’ailleurs il est clair pour beaucoup d’entre nous que cette issue était prévisible depuis plusieurs années, et ce bien avant le lancement de l’opération spéciale en Ukraine: Les provocations permanentes des européens et américains, le mépris permanent affiché à notre encontre, le soutien ouvertement apporté aux forces d’opposition « non-systémiques » (mouvements révolutionnaires), les tentatives d’opérer des « révolutions de couleur » à nos frontières voire chez nous, et bien sûr la multiplication des bases militaires à nos frontieres, montraient bien qu’il y allait avoir un moment ou nous ne pourrions plus rester sans réagir.

Ce fut le lancement de l’opération militaire en Ukraine, prélude à une guerre globale contre les pays occidentaux. Nous nous y sommes préparés depuis des années, nous y sommes aujourd’hui prêts.

Source

 

 

 

Emmanuel Macron en Algérie : cette petite phrase que les Algériens n'ont toujours pas digérée sur laquelle le Président français est attendu

  • Sa visite de 2017 s'était déroulée dans un contexte bien différent.
    Sa visite de 2017 s'était déroulée dans un contexte bien différent. MAXPPP - - APP

Vu d'Algérie, les propos tenus par Emmanuel Macron suggérant que l'identité nationale du pays s'était forgée sous domination française et que les dirigeants algériens avaient réécrit l'histoire ne passent toujours pas, même un an après... Sa visite débutant ce 25 août et se terminant le 27 pourrait être un moyen d'éteindre les braises de la polémique. 

Si les questions du gaz, de l'innovation ou encore du développement du pays sont au programme de la visite d'Emmanuel Macron en Algérie, il y a une phrase prononcée par le Président français qui irrite toujours les esprits sur place. Lors d'un dîner en septembre 2021, il avait affirmé que le "système politico-militaire" algérien s'était construit sur "une rente mémorielle".

Des propos qui avaient durement endommagée les relations diplomatiques entre les deux pays, au point que l'ambassadeur d'Algérie à Paris avait été rappelé par Alger quelques jours plus tard. "On a frôlé la rupture des relations diplomatiques", commente El Watan, premier journal francophone algérien.

En Algérie, "Macron marche sur des œufs" écrit Le journal de l'Afrique

Les déclarations n'avaient pas seulement agacé la classe politique algérienne, mais également la population, à un tel niveau que des débats sur l'apprentissage scolaire du français s'en étaient suivis, "certains réclamants carrément le remplacement du français par l’anglais", explique El Watan dans un autre article. 

Éviter les sujets qui fâchent ?

Et bien que l'Elysée a annoncé que la visite d'Emmanuel Macron permettrait de"poursuivre le travail d’apaisement accompli sur le plan mémoriel", certains médias comme Le journal de l'Afrique considèrent que le Président français s'est "taillé un programme sur mesure pour éviter les questions qui fâchent." Le média titre même son article : "En Algérie, pour Emmanuel Macron, le choix de la facilité".

"Cette visite de trois jours – un calendrier exceptionnel à l’échelle du temps diplomatique – offre une précieuse opportunité aux deux parties pour prendre le temps de se parler, de dissiper les malentendus en se tenant un langage de vérité. Il ne faut pas la rater, même si on sait pertinemment qu’il y aura encore des orages, des petites phrases assassines, des surenchères, des résistances des deux côtés…", estime El Watan qui espère que les deux pays pourront "repartir du bon pied et œuvrer à construire une relation plus fructueuse et plus apaisée."

Quoi qu'il en soit, l'ambiance sur place sera bien différente que lors de son dernier déplacement en Algérie, fin 2017, après avoir qualifié la colonisation française de crime contre l'humanité...

Source

 

Note: et la France a du mal a digéré les millions de délinquants algeriens qui la pourrisse depuis bien 50 ans

 

 

 

À Lyon, Paris et Marseille, 39 %, 48 % et 55 % des actes de délinquance sont le fait d’étrangers (MàJ : 48% pour Montpellier, dont deux tiers sont originaires du Maroc et d’Algérie)

 

 

Malika Sorel : « La surreprésentation des étrangers parmi les auteurs de faits de délinquance constatée par Darmanin était connue, mais le ”politiquement correct” paralysait »

ENTRETIEN – Gérald Darmanin a déclaré dans le JDD qu’«il serait idiot de ne pas dire qu’il y a une part importante de la délinquance qui vient de personnes immigrées». Pour l’essayiste, il s’agit d’un fait avéré, et le reconnaître est nécessaire, car cette réalité a été longtemps peu ou prou occultée.

Malika Sorel-Sutter, essayiste, est ancien membre du collège du Haut Conseil à l’Intégration et de sa mission Laïcité. Elle a reçu le prix Honneur et Patrie de la Société des membres de la Légion d’honneur pour son essai Décomposition française (Fayard, 2015). Son dernier ouvrage publié est Les Dindons de la farce – En finir avec la repentance coloniale (Albin Michel, mars 2022, 224 p., 18,90€).

FIGAROVOX. – Dans un entretien accordé au Journal du dimanche du 21 août, Gérald Darmanin a affirmé qu’«il serait idiot de ne pas dire qu’il y a une part importante de la délinquance qui vient de personnes immigrées. 48 % des gens interpellés pour des actes de délinquance à Paris, 55 % à Marseille et 39 % à Lyon sont des étrangers.» Il a ensuite résumé ainsi sa position: «Bien sûr que l’étranger n’est pas par nature un délinquant. Mais il est évident que nous avons un problème de délinquance étrangère». Que pensez-vous de sa déclaration ?

Malika SOREL. – C’est très bien que le ministre de l’intérieur dise la vérité qui est due aux citoyens. Dire la vérité et communiquer au peuple les informations importantes est même à la base de la démocratie. À défaut, le peuple décide à l’aveugle, ou son jugement est induit en erreur.

(…) Ayant vécu quinze ans en Algérie, j’ai pu mesurer à quel point la société d’accueil – ici, française – ainsi que les discours de repentance et de mise en accusation récurrente des «Français de souche» ont pu jouer un rôle de premier plan dans le sentiment d’impunité qui a ouvert la voie à bien des dérives.

Comment expliquer les chiffres spectaculaires avancés par le ministre de l’Intérieur ?

Ils ne m’étonnent guère. Ils résultent des politiques menées ces dernières décennies, et de la dictature ravageuse du «politiquement correct» qui a empêché de déployer les actions qui s’imposaient. Ces chiffres sont très préoccupants car ils révèlent qu’aux yeux de ces délinquants, la France où ils vivent ne mérite aucun respect. C’est cet irrespect qui doit le plus inquiéter la société.

Dans un pays qui fonctionne normalement, voilà longtemps que les frontières auraient cessé d’être des passoires et que toutes les mesures qui s’imposent auraient été mises en œuvre, y compris la refonte du Code de la nationalité telle que je l’ai recommandée lors de mon audition par la mission parlementaire sur le droit de la nationalité. Pour les lecteurs que cela intéresse, j’ai transcrit et intégré le contenu de cette audition dans mon dernier livre. Outre les préconisations, j’y explique par le menu pourquoi et comment certaines décisions politiques parées de bonnes intentions ont participé à faire le lit de la Berezina actuelle (…)

De façon plus générale, la France, par rapport aux autres démocraties libérales, disposerait-elle de moins d’outils statistiques pour connaître de façon objective la réalité de la délinquance ? Ou le problème vient-il d’un manque de sérénité du débat public, de son caractère passionnel ?

La question se pose en d’autres termes. Les gouvernants disposaient-ils, oui ou non, d’informations suffisantes pour agir ? La réponse est oui. Au Haut Conseil à l’intégration, dont j’ai été membre, nous disposions de toutes les remontées de terrain utiles et nécessaires. Au demeurant, existent également de nombreux rapports parlementaires qui constituent une mine d’informations. Pour qui veut agir, toutes les données existent.

Bien sûr, l’absence de sérénité du débat public a joué un rôle. Il suffit d’analyser les enquêtes d’opinion à travers le temps pour noter que le peuple était prêt, mais que c’est une partie de la classe politique, des médias et des intellectuels qui ont fait le choix de «pourrir» le débat et de ruiner ainsi sa sérénité nécessaire.

Il convient aussi de mentionner le rôle joué par le Conseil d’État. J’ai déjà eu l’occasion de lister un certain nombre de ses décisions qui, depuis 1977, ont empêché la résolution des problèmes dans ce dossier. Au vu de la gravité des conséquences, une réflexion sur la réforme du Conseil d’État, son fonctionnement ainsi que les modalités de désignation de ses membres, s’impose.

(…) Le Figaro

 

 

Bulgarie: deux policiers tués en tentant de stopper un bus avec 47 migrants clandestins; un “acte conscient et délibéré” de la part du chauffeur selon le procureur

 

Deux policiers bulgares sont morts tôt jeudi alors qu’ils tentaient d’arrêter un bus avec des migrants à bord qui étaient entrés illégalement dans le pays, a déclaré un haut responsable du ministère de l’Intérieur.

L’incident s’est produit à 05h00 du matin dans la ville de Burgas, sur la mer Noire, après que le véhicule a refusé de s’arrêter à deux postes de contrôle frontaliers consécutifs de la police, a déclaré Stanimir Stanev aux journalistes.

À bord du bus, qui portait des plaques d’immatriculation turques, se trouvaient 47 migrants dont les nationalités n’ont pas été révélées.

Le bus était entré dans une zone résidentielle lorsque les agents ont arrêté leur voiture devant lui. Le bus a percuté la voiture de patrouille et l’a écrasée avant de s’écraser contre un arrêt de bus.

Les deux policiers qui se trouvaient dans la voiture sont morts sur place. Aucune autre blessure n’a été signalée et une enquête sur l’incident a été ouverte.

Aucune charge n’a été retenue contre le conducteur jusqu’à présent, mais le procureur de district Georgi Chinev a déclaré que ses actions étaient un “acte conscient et délibéré”.

La Bulgarie, pays balkanique de sept millions d’habitants, se trouve sur l’une des principales routes empruntées par les migrants en provenance du Moyen-Orient et d’Afghanistan pour rejoindre l’Europe. Seuls quelques-uns d’entre eux souhaitent rester dans le partenaire le plus pauvre de l’UE, qu’ils utilisent comme un couloir de transit sur leur chemin vers l’ouest.

AP

 

 

10 139 migrants tunisiens, dont plus de 2 000 mineurs, arrivés clandestinement en Italie depuis janvier

Plus de 2 000 mineurs tunisiens ont rallié clandestinement l’Italie depuis janvier 2022, a indiqué, mercredi 24 août, le Forum tunisien des droits économiques et sociaux (FTDES). Cette ONG, spécialisée dans les dossiers de l’immigration clandestine, ne donne toutefois pas plus de détails sur l’âge de ces mineurs. Au total 10 139 Tunisiens, dont 498 femmes, ont pu atteindre les côtes italiennes depuis le début de l’année, indique le FTDS dans son communiqué. Les départs sont repartis à la hausse dans ce pays en proie à une crise économique, sociale et politique majeure, plus de dix après la révolution du printemps arabe.

En revanche, plus de 14 700 migrants clandestins, dont plusieurs Subsahariens, ont été interceptés et empêchés de poursuivre leur traversée et 443 sont morts ou portés disparus durant la même période, selon la même source.

La mort d’une enseignante tunisienne au chômage et de son fils de 4 ans noyés lors d’une tentative de rallier clandestinement l’Europe depuis les côtes de Monastir (centre est) le 14 août, a suscité l’émoi en Tunisie. Un drame révélé par la presse et confirmé mardi par la garde maritime.

Le désespoir, la détérioration des services publics, l’épuisement au quotidien dans un pays où l’avenir reste ambigu « rendent le danger de la mer secondaire pour ces migrants qui rêvent d’une vie meilleure pour eux et pour leurs enfants », a estimé le FTDES. Cette ONG a aussi condamné « les politiques inhumaines de l’Union européenne qui restreignent la liberté de mouvement ».

La Tunisie, qui traverse une grave crise politico-économique, compte désormais 4 millions de pauvres sur près de 12 millions d’habitants. Le pays est également très divisé depuis le coup de force, il y a un an, du président Kaïs Saïed qui s’est arrogé les pleins pouvoirs dans l’attente de législatives promises pour la fin de l’année.  […]

L’Italie, dont certaines côtes sont à seulement 200 km du littoral tunisien, est l’un des principaux points d’entrée pour les migrants en provenance d’Afrique du Nord. Selon l’agence européenne Frontex, la route de Méditerranée centrale a été empruntée par plus de 42 500 migrants entre janvier et juillet, 44 % de plus que sur les sept premiers mois de 2021.

Le Monde

 

 

Un ministre de la République islamique des Maldives poignardé par un islamiste qui récitait le Coran

 

Le ministre maldivien Ali Solih a été poignardé lundi après-midi par un individu armé d’un couteau à Hulhumale, au nord de la capitale Malé. Il a été blessé au bras gauche.

L’agresseur a été arrêté peu après l’incident violent.

Solih est ministre d’État à l’Environnement, au Changement climatique et à la Technologie. Il est également le porte-parole du Parti Jumhooree (JP), qui est un partenaire de coalition du Parti démocratique maldivien (MDP) au pouvoir du président Ibrahim Solih.

Selon le Times of Addu, Solih a été attaqué alors qu’il conduisait sa moto sur une route à Hulhumale. Les médias maldiviens ont rapporté que l’auteur a récité quelques versets du Coran avant de lancer l’attaque sur le cou de Solih par derrière. Le couteau a manqué le cou mais a fendu une partie de son bras gauche.

Solih est descendu de la moto et s’est enfui pour se sauver de l’agresseur. Il est soigné à l’hôpital de Hulhumale.

Les Maldives sont confrontées à une menace de la montée du radicalisme islamique ainsi que du recrutement pour des organisations militantes mondiales.

Le gouvernement actuel, dirigé par le président Solih et le président Nasheed, est connu pour être démocratique et libéral dans son approche de la gouvernance et des normes sociales. Le MDP a mené une bataille prolongée contre la croissance des tendances radicales dans le pays de l’océan Indien avec le soutien international.

Zee News

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