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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Les Infos du 7 juillet 2022

 

 

 

 

Guerre en Ukraine EN DIRECT : Un bombardement sur Kramatorsk fait au moins un mort et plusieurs blessés...

 

L’ESSENTIEL

  • Les civils ont continué mercredi d’évacuer la ville bombardée de Sloviansk, objectif des forces russes dans leur plan de conquête totale du bassin du Donbass. Selon le maire « il reste en ce moment 23.000 habitants », pour environ 110.000 avant le conflit, et « 17 sont morts et 67 ont été blessés » depuis le début des hostilités.
  • Les forces ukrainiennes affirment repousser les tentatives de percée russes vers Sloviansk et sa ville jumelle de Kramatorsk, le centre administratif de la partie du Donbass contrôlée par Kiev.
  • Après sa prise dimanche de Lyssytchansk, l’armée russe clame que la quasi-totalité de la province de Lougansk est entre ses mains, ce que les Ukrainiens continuent de nier. Les Russes cherchent maintenant à conquérir la province de Donetsk.
  • L’ancien président russe Dmitri Medvedev a évoqué le recours à l’arme nucléaire, pour mieux exclure toute éventualité de sanctions contre Moscou par la justice internationale, à l’heure où la Cour pénale internationale enquête sur des crimes de guerre présumés commis en Ukraine.

 

 

13h26 : Que le G20 ne serve pas de « plateforme de propagande » pour Moscou

L’UE refuse que la Russie se serve des réunions du G20 en Indonésie comme d'« une plateforme pour sa propagande » sur le conflit en Ukraine, a averti jeudi la porte-parole du chef de la diplomatie européenne Josep Borrell. 

Une rencontre des ministres des Affaires étrangères des pays du G20 se déroule dans l’île de Bali jeudi et vendredi pour préparer le sommet des dirigeants des vingt puissances prévu pour novembre au même endroit. Josep Borrell n’a programmé aucune rencontre avec le chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov pendant ces deux journées. « La guerre effroyable contre l’Ukraine et les conséquences de l’agression de la Russie seront abordées au cours de ces réunions, mais nous ne permettrons pas que Moscou utilise le G20 comme une plateforme pour sa propagande », a déclaré sa porte-parole, Nabila Massrali, au cours du point de presse quotidien de la Commission européenne. Et d'ajouter : « La participation de la Russie à un haut niveau peut constituer une menace pour la crédibilité, l’efficacité et la pertinence du G20. »

 

11h40 : Le Kremlin espère que des « gens plus professionnels » arriveront au pouvoir au Royaume-Uni

Le Kremlin a dit espérer ce jeudi l’arrivée au pouvoir au Royaume-Uni de « gens plus professionnels », alors que le Premier ministre Boris Johnson est plus que jamais sur la sellette. « Nous espérons, qu’un jour, des gens plus professionnels et en mesure de prendre des décisions à travers le dialogue arriveront au pouvoir en Grande-Bretagne », a jugé le porte-parole de la présidence russe Dmitri Peskov.

 

11h38 : Le monde a toujours plus faim

L'objectif d'éliminer la faim en 2030 s'éloigne dangereusement, ont prévenu mercredi à l'ONU cinq agences internationales oeuvrant pour la sécurité alimentaire, qui dressent un «sombre tableau» de 2021 avant même le début de la guerre en Ukraine.

«Entre 702 et 828 millions de personnes ont été touchées par la faim en 2021», soit environ 9,8% de la population mondiale, indiquent dans un rapport conjoint la FAO, le Fonds international pour le développement de l'agriculture (Fida), l'Unicef, le Programme alimentaire mondial (PAM) et l'Organisation mondiale de la santé (OMS).

C'est 46 millions de plus qu'en 2020 et 150 millions de plus qu'en 2019, deux années marquées par l'épidémie de Covid-19 qui a durablement affaibli les systèmes alimentaires.

 

10h47 : Le soutien militaire et financier en graphique

 

 

10h01 : La Russie dénonce le « battage public » américain

La diplomatie russe a dénoncé jeudi le « battage public » des dirigeants américains sur le cas de la basketteuse Brittney Griner, jugée et détenue en Russie pour trafic de drogue, un dossier dont Joe Biden a fait une « priorité ». « Le battage public qu’affectionnent tant les politiciens contemporains ne peut, dans ce cas concret, être que gênant. Non seulement cela détourne l’attention de l’affaire, mais cela la parasite », a jugé, selon les agences de presse russes, le vice-ministre des Affaires étrangères, Sergueï Riabkov.

 

 

7h57 : L’île aux Serpents touchée par deux missiles

L’îlot stratégique de la mer Noire, dont les Russes sont partis la semaine dernière a été frappé à deux reprises ce matin, indique Serhiy Bratchuk, porte-parole de l’administration militaire d’Odessa. « Deux moissonneuses agricoles ont été touchées, 35 tonnes de céréales ont été détruites », a-t-il déclaré.

DIRECT

 

 

 

 

La Turquie a présenté des "lignes rouges" sur le terrorisme à l'OTAN, à la Finlande et à la Suède, déclare Erdogan

 

ANKARA (Spoutnik) - La Turquie a informé les dirigeants de l'OTAN, de la Suède et de la Finlande des soi-disant lignes rouges concernant les organisations qu'Ankara considère comme terroristes, a déclaré jeudi le président Recep Tayyip Erdogan, commentant la manière dont un mémorandum a été conclu à Madrid.

"Ankara a clairement indiqué à l'OTAN et aux dirigeants des deux pays scandinaves les "lignes rouges" de la Turquie dans la lutte contre le terrorisme. La Turquie a clairement indiqué que si [les organisations kurdes] PYD/YPG et FETO [l'organisation Fethullah Gulen] sont pas clairement désignées comme des organisations terroristes dans les documents de l'OTAN, Ankara ne changera pas sa position. En conséquence, elles [la Finlande et la Suède] ont été forcées d'accepter nos conditions", a déclaré Erdogan, cité par l'agence de presse turque Anadolu.

Le 28 juin, la Turquie, la Suède et la Finlande ont signé un mémorandum les engageant à se soutenir pleinement dans la lutte contre les menaces à la sécurité de l'autre. La Turquie a déclaré que toutes ses préoccupations existantes avaient été prises en compte et a retiré ses objections à l'adhésion de la Finlande et de la Suède à l'OTAN .

La Finlande et la Suède ont abandonné leur position neutre après que la Russie a lancé une opération militaire en Ukraine le 24 février. Depuis lors, les deux pays ont pris les mesures nécessaires pour rejoindre l'OTAN et leur statut de candidat a été approuvé à l'unanimité lors du sommet de l'alliance à Madrid.

Source Spoutnik (traduction)
 
 

 

 

Crise au Royaume-Uni : le Premier ministre Boris Johnson annonce sa démission (MàJ)

07/07/22


Boris Johnson va démissionner jeudi 7 juillet de la tête du Parti conservateur. Selon les informations de la BBC, le premier ministre britannique, qui s’exprimera dans la journée, devrait rester en poste jusqu’à l’automne prochain, le temps pour les Tories de désigner un nouveau chef. Une campagne pour la direction du parti aura lieu cet été et un nouveau premier ministre sera en place à temps pour la conférence du Parti conservateur en octobre, explique la BBC.

Le Figaro

Le Premier ministre britannique Boris Johnson va démissionner ce jeudi 7 juillet de la tête du Parti conservateur, a rapporté la BBC alors que les départs se multiplient au sein du gouvernement. Selon Downing Street, M. Johnson fera une déclaration au pays dans la journée.

Nommé en 2019, Boris Johnson a ensuite triomphé dans les urnes mais a été affaibli par une série de scandales ces derniers mois. « Boris Johnson démissionnera aujourd’hui de son poste de leader du Parti conservateur », a assuré Chris Mason, journaliste politique à la BBC.

Une cinquantaine de membres de l’exécutif britannique ont quitté leurs fonctions depuis le départ fracassant mardi soir des ministres des Finances et de la Santé, Rishi Sunak et Sajid Javid, en mettant explicitement en cause le Premier ministre, désormais jugé inapte à conduire le pays dans le sillage d’une série de scandales.

RFI


06/07/22

Après la démission presque simultanée du chancelier de l’Echiquier, Rishi Sunak, et du ministre de la santé, Sajid Javid, deux poids lourds de son gouvernement, mardi 5 juillet, le premier ministre britannique lutte désormais pour sa survie. Chaque jour risque d’être le dernier, surtout si les départs se multiplient. Mercredi matin, de nouveaux responsables, à l’instar du secrétaire d’Etat à la famille, Will Quince, ont annoncé leur démission, alors que M. Johnson devait affronter deux périlleux rendez-vous dans la journée : la séance des questions au premier ministre, à la Chambre des communes, et une audition programmée de longue date devant la « commission de liaison » du Parlement, chargée de surveiller l’activité du gouvernement.

(…)

Ces deux hommes politiques, dont les opposants à Boris Johnson au sein des tories espéraient le départ depuis des semaines, ont pris leur décision dans la foulée de l’affaire Chris Pincher. Jusqu’à la fin juin, ce député était l’adjoint du chief whip, un des élus chargés de la discipline de vote au sein du Parti conservateur, et un rouage essentiel de l’autorité de Boris Johnson dans le parti. Chris Pincher a démissionné, le 30 juin, après avoir beaucoup trop bu et fait des avances appuyées à deux collègues hommes dans un des clubs privés les plus courus de Westminster. Pendant plusieurs jours, le porte-parole de Downing Street a soutenu que Boris Johnson avait promu Chris Pincher tout en ignorant ses écarts répétés de comportement. Mardi, le même a finalement admis que le dirigeant avait été mis au courant dès 2019, mais qu’il ne s’en était pas « rappelé immédiatement » au moment de nommer M. Pincher adjoint du chief whip, en février. Outré, Simon McDonald, un ancien numéro deux du Foreign Office siégeant à la Chambre des Lords, a publiquement accusé Downing Street d’« induire en erreur » les Britanniques. Mardi soir, juste avant la démission de ses deux ministres, Boris Johnson a tenté de s’expliquer dans une vidéo préenregistrée, admettant avoir « commis une erreur » en nommant Chris Pincher, sans franchement convaincre.

Car cet épisode en rappelle de nombreux autres, mettant en doute la sincérité et le rapport à l’éthique du premier ministre. Celui du papier peint hors de prix dans son logement de fonction, dont le financement avait été avancé par un donateur des tories ; celui des fêtes à Downing Street, alors qu’il assurait que « toutes les règles [sanitaires] avaient été respectées » avant d’être passé à l’amende par la police. Sous le coup d’une enquête parlementaire visant à établir s’il a menti dans l’affaire du « partygate », Boris Johnson se refuse pourtant à faire ce que les conventions dictaient jusqu’à présent à tous les politiques britanniques pris en faute : démissionner.

(…)

Les départs de Sajid Javid et de Rishi Sunak resserrent l’étau autour de M. Johnson. Ces deux ministres – le premier d’origine pakistanaise, le second d’origine indienne –, sont connus pour leur ambition. M. Javid s’est déjà mis sur les rangs en 2019 pour devenir chef du parti. M. Sunak peaufine une image de « vrai » conservateur, sérieux, adepte des baisses d’impôts et de la discipline budgétaire. S’ils se lancent activement en campagne pour entrer à Downing Street, ils pourraient incarner ces alternatives crédibles qui ont jusqu’à présent manqué pour ­convaincre des élus tories allergiques au style du premier ministre mais réticents à l’idée de se retrouver, en le poussant vers la sortie, avec un parti sans tête.

Le Monde

 

 

Immigration : l’Allemagne veut régulariser des dizaines de milliers d’immigrés déboutés du droit d’asile (Màj)

 

06/07/2022

Le gouvernement allemand a adopté mercredi 6 juillet un projet de loi ouvrant la possibilité de régulariser des dizaines de milliers de personnes immigrées bien intégrées en Allemagne, mais sans permis de séjour durable dans ce pays. Ce texte, une promesse de la coalition au pouvoir depuis fin 2021, vise à faciliter l’intégration des étrangers dits «tolérés», qui ne peuvent pas être expulsés mais n’ont pas le droit de travailler.

Approuvé mercredi en conseil des ministres par le gouvernement d’Olaf Scholz, il concerne environ 130.000 étrangers vivant en Allemagne depuis au moins cinq ans mais ne pouvant y faire de projets à long terme faute de disposer d’un titre de séjour permanent. «Ces personnes, qui ont trouvé leur cadre de vie en Allemagne grâce à une longue durée de séjour, doivent se voir ouvrir une perspective en matière de droit de séjour et se voir offrir une chance de réunir les conditions nécessaires à un séjour légal», peut-on lire dans le texte du ministère de l’Intérieur.

Elles pourront obtenir un permis de séjour d’un an, le temps pour elles de prouver notamment qu’elles peuvent se prendre en charge financièrement. À l’issue de cette période d’essai, elles pourront recevoir un titre de séjour définitif. Le regroupement familial pour ces personnes doit en outre être facilité, selon le projet gouvernemental.

(…) Le Figaro

(Merci à Josselin)


06/06/2022

La ministre allemande de l’Intérieur Nancy Faeser prépare un texte pour assouplir les lois sur l’immigration. Cela doit permettre d’accorder un titre de séjour à des dizaines de milliers de personnes immigrées bien intégrées en Allemagne, mais toujours en situation irrégulière.

La situation de ces personnes déboutées du droit d’asile, mais non-expulsables en raison de la situation politique de leur pays d’origine, revient régulièrement au coeur du débat politique en Allemagne. Elle était au centre de l’une des promesses de campagne des libéraux et des écologistes, associés aux sociaux-démocrates au sein de la coalition qui a remporté les élections législatives allemandes fin 2021.

Environ 100’000 d’entre elles vivent depuis plus de cinq ans en Allemagne, reconduites d’un titre de séjour temporaire à l’autre, privées de la possibilité de se projeter dans l’avenir. Pour les libéraux du FDP, cette situation est absurde.

Aberration économique et sociale

“De nombreux maires, de nombreux artisans se plaignent que nous expulsons les mauvaises personnes. Dans la plupart des cas, on n’arrive pas à se débarrasser des criminels et des personnes dangereuses. Mais les familles bien intégrées, les jeunes qui ont trouvé un emploi, qui parlent allemand et sont culturellement bien intégrés, ceux-là, on veut les expulser”, déplorait notamment le député FDP Stephan Thomae au micro de la radio Deutschlandfunk.

[…]

 

RTS

 

 

La ministre lituanienne de l’Intérieur déclare que la Lituanie ignorera les injonctions de l’UE et continuera à refouler des migrants, à leur refuser l’asile, ainsi qu’à les détenir s’ils franchissent la frontière

Le gouvernement lituanien insiste sur le fait que la Lituanie ne changera pas sa politique d’immigration malgré les divergences avec le droit européen.

La Lituanie doit “se défendre” et ne reviendra pas sur ses politiques concernant les migrants et les demandeurs d’asile, a déclaré le ministre de l’Intérieur du pays, Agnė Bilotaitė, à la suite d’un arrêt accablant de la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE).

“La Lituanie a pris toutes les décisions et mesures importantes pour protéger sa sécurité nationale et la frontière extérieure de l’Union européenne, et à l’heure actuelle, nous ne voyons pas la situation changer de manière significative au point de pouvoir revenir sur nos décisions. La Lituanie se défendra certainement si de telles menaces persistent”, a déclaré Bilotaitė aux journalistes vendredi.

La Lituanie a connu une crise migratoire l’été dernier lorsque plusieurs milliers de migrants, principalement originaires du Moyen-Orient et d’Afrique, ont traversé le pays depuis la Biélorussie.

Vilnius a accusé Minsk d’orchestrer le trafic de migrants comme moyen de pression politique, le qualifiant d’“attaque hybride”. La Lituanie a ensuite adopté des politiques consistant à détenir les migrants en situation irrégulière pendant une période pouvant aller jusqu’à un an et à repousser ceux qui tentent de franchir la frontière.

La CJUE a statué jeudi que les lois lituaniennes empêchent les migrants en situation irrégulière de demander l’asile et permettent de les placer en détention automatique, ce qui va à l’encontre des directives européennes.

Lrt.lt


Dans sa décision du 30 juin 2022, la Cour de Justice de l’Union européenne a conclu que la loi lituanienne, qui permet de refuser à une personne demandant une protection internationale le droit d’asile et de la placer en détention automatique au seul motif qu’elle a franchi illégalement la frontière, n’est pas compatible avec la législation de l’UE.

La Cour a estimé que la pratique qui consiste à refuser le droit d’asile était contraire au droit européen, notamment à la Charte des droits fondamentaux de l’UE, et a démenti les affirmations de la Lituanie selon lesquelles le pays a le droit de déroger au droit européen dans des « situations extraordinaires » ou lors d’un « afflux massif d’étrangers ».

En outre, la Cour a confirmé la conclusion d’Amnesty International selon laquelle les mesures appliquées en Lituanie constituent à tous égards une détention, indépendamment du fait que les autorités les qualifient d’« hébergement temporaire » ou de « mesure de substitution à la détention ».

Amnesty

 

 

Paris : laissé libre après avoir tenté d’attaquer des policiers avec un couteau, un clandestin nigérian récidive et agresse à nouveau des policiers (MàJ : les policiers pourraient être sanctionnés suite à l’interpellation musclée)

 

06/07/2022

Arrivé en 2017 en France par la Lybie, puis par l’Italie, le parcours d’Ahmed I. est jalonné de déboires judiciaires et administratifs. Malgré plusieurs interpellations, il n’a pourtant jamais été sanctionné ni renvoyé dans son pays. Les policiers auteurs de l’interpellation gare de Lyon pourraient quant à eux être sanctionnés.

(…) Outre les images, la brutalité de l’interpellation se constate aisément par les séquelles laissées. Il a été délivré à Ahmed I. un jour d’ITT à l’issue de sa visite médicale, tandis que le gardien de la paix D., dont le nez aurait été cassé, s’est vu attribuer deux jours d’ITT, selon une source policière. Ce dernier a passé ce mercredi 6 juillet un scanner pour analyser l’état de son nez. « Tout ça ne serait pas arrivé si la justice avait décidé de le mettre en détention provisoire en attendant son jugement », déplore Yvan Assioma, membre du syndicat de police Alliance. Même indignation du côté de Matthieu Valet, du syndicat SCICP, qui s’est exprimée sur CNews ce matin (voir plus bas). D’après nos informations, le parquet aurait décidé de saisir le service interne d’inspection de la préfecture de police (le SDSE), pour qu’un enquête interne soit diligentée à l’encontre des policiers auteurs de l’interpellation.

Valeurs



05/07/2022


21/05/2022


19/05/2022

Un comportement initialement observé aux États-Unis sous le terme de «suicide by cop», qui consiste à menacer les forces de l’ordre dans le but de se faire abattre.

Mardi 17 mai en début de soirée, deux gardiens de la paix ont interpellé un individu armé d’un couteau gare de l’Est, dans le 10e arrondissement de Paris. Âgé de 25 ans, cet homme d’origine nigériane en situation irrégulière sur le sol français voulait visiblement mettre fin à ses jours selon la méthode du «suicide by cop» ou «suicide par policier interposé», apprend-on ce jeudi de source policière. Un comportement qui consiste à menacer les forces de l’ordre dans le but de se faire abattre.

Tout commence aux alentours de 20h, lorsqu’un employé du McDonald’s implanté dans le hall Saint-Martin se présente au poste de police de la gare. Le restaurateur vient signaler la présence d’un individu muni d’un couteau. Ce dernier aurait notamment menacé un employé du fast-food en lui mimant un signe d’égorgement avec son arme. Deux policiers se rendent immédiatement sur place et tombent nez à nez avec l’agresseur. Particulièrement agité, l’homme s’attaque à un agent de sécurité de la gare. Il progresse dans sa direction, le couteau à la main.

Les gardiens de la paix dégainent alors leur arme de service, et le somment à plusieurs reprises de poser son arme. Loin de se rendre, celui-ci les menace avec son couteau de manière «hostile» – comme l’indiqueront les deux agents dans leur procès-verbal que nous nous sommes procuré. «You can shoot me ! [Vous pouvez m’abattre !]», «Shoot me ! [Tuez-moi !]», va-t-il jusqu’à implorer, espérant que les policiers ouvrent le feu dans sa direction.

(…) Le Figaro

 

Traversées de la Manche : 39 arrestations font tomber un réseau de passeurs irako-kurde soupçonné d’avoir fait passer jusqu’à 10.000 migrants de la France vers le Royaume-Uni

Une grande opération internationale a permis le démantèlement d’un important réseau d’immigration clandestine, organisant des traversées de la Manche par bateaux. Il s’agit de la plus grande opération internationale de la sorte qui a mené à 39 arrestations.

Un important réseau d’immigration clandestine, organisant des traversées de la Manche par bateaux, a été démantelé lors de la plus grande opération internationale de la sorte menant à 39 arrestations, a-t-on appris mercredi lors d’une conférence de presse à Eurojust.

Il s’agit d’une grande organisation criminelle irako-kurde, structurée et de haut niveau, qui avait la mainmise sur le passage de migrants de la France vers le Royaume-Uni par la traversée de la Manche, selon les enquêteurs.

Des bateaux pneumatiques saisis

Le réseau est soupçonné d’avoir fait passer jusqu’à 10 000 migrants originaires du Moyen-Orient et d’Afrique de l’Est de la France vers le Royaume-Uni au cours des 12 à 18 derniers mois avec de petites embarcations pneumatiques.

« Il s’agit de la plus grande opération internationale jamais menée contre les passeurs de petits bateaux », a déclaré Jean-Philippe Decouffe, directeur exécutif d’Europol, lors d’une conférence de presse à Eurojust.

Les 39 arrestations ont été effectuées lors d’une opération internationale menée conjointement par la France, l’Allemagne, la Belgique, les Pays-Bas et le Royaume-Uni, coordonnée par Europol et Eurojust, toutes deux basées à La Haye.

Au cours de plus de 50 perquisitions, 1 200 gilets de sauvetages, près de 150 bateaux pneumatiques et 50 moteurs ont été saisis, tout comme plusieurs milliers d’euros en liquidités, des armes et de la drogue, ont précisé les agences.

Ces chiffres sont provisoires puisque des perquisitions sont encore en cours.

Des « donneurs d’ordres » identifiés, une première en France

Les suspects facturaient en moyenne 2 500 à 3 500 euros par migrant, selon la nationalité, générant pas moins de 15 millions d’euros de chiffre d’affaires, selon les estimations d’Europol.

« L’organisation supervisait l’acheminement de personnes de toutes nationalités vers les plages et les traversées maritimes proprement dites », a déclaré lors de cette même conférence de presse Carole Etienne, procureure du tribunal de Lille, dans le nord de la France.

« L’opération a permis pour la première fois en France d’identifier » des « donneurs d’ordres » au sein des réseaux, a-t-elle soulevé.

(…) Ouest-France

 

 

Abdelkrim K., un Algérien de 46 ans, soupçonné d’avoir coulé dans le béton de la cave de son bar à Nice, le corps d’un homme qui « l’importunait »

“Akim”, patron du bar-PMU L’Atrium, a tué un client lors d’une rixe, le 6 février à Nice. Selon lui, la victime l’importunait depuis six mois. Mais jamais il n’a voulu le tuer, assure son avocat.

La porte de la cave est placée sous scellés. Tout comme le bar aux rideaux métalliques fermés. “Enlèvement, séquestration suivie de mort”: côté caves, l’affiche est explicite. Côté rue, elle a été déchirée. Mais le drame qui s’est noué au bar-PMU L’Atrium, au 66 rue de France à Nice, n’est pas près de s’effacer des mémoires.

Voilà une semaine, ce mercredi, qu’un corps a été extrait de la cave située au rez-de-chaussée. Il était prisonnier d’un “sarcophage de béton”, dixit le procureur de la République de Nice. Cette découverte sordide découlait de quatre mois et demi d’enquête.

M.G., 34 ans, père de famille, avait disparu dans la nuit du 6 au 7 février dernier. Saisie le 15, la sûreté départementale a remonté sa trace jusqu’à L’Atrium. Un bar-restaurant qu’il fréquentait, et où il a été tué. Ce bar, Abdelkrim K. l’avait acquis le 30 avril 2019. Cet Algérien de 46 ans prenait là un nouveau départ. Il travaillait jusqu’alors dans le bâtiment, comme directeur de chantier

[…]

 

Nice-Matin

« Il y avait des personnes peu recommandables, des prostituées et même des jeux clandestins au sous-sol »

Pour l’heure, les circonstances précises de ce fait divers ne sont pas connues. À la suite de ce dénouement macabre, plusieurs individus ont été placés en garde à vue mercredi dont le gérant de la brasserie qui aurait reconnu avoir eu un différend avec un homme, l’avoir tué, puis l’avoir coulé « dans une dalle de béton récemment », selon une source policière citée par l’AFP. Le parquet n’a pas confirmé cette information ce jeudi 30 juin, ni voulu s’exprimer sur les circonstances et les motivations de ce crime possible.

Si ce bar n’est pas spécialement connu des services de la justice, selon la magistrate, des riverains assurent que l’établissement n’était pas forcément bien fréquenté la nuit. Dans le quartier, des rumeurs vont bon train sur le profil du gérant. « La journée, ça allait mais pas le soir. Il y avait des personnes peu recommandables, des prostituées et même des jeux clandestins au sous-sol », assurent plusieurs hommes se disant des habitués des lieux. Des affirmations non vérifiables pour le moment. « Franchement, moi je n’ai rien remarqué de spécial, dit au contraire Josy, le patron était très sympa et accueillant. Il était là depuis environ trois ans. Son bar était bien tenu. En tant que voisine je n’ai jamais eu à me plaindre. »

Le Parisien

 

 

Les Africains ayant fui l’Ukraine continuent de se plaindre de ne pas bénéficier du même régime d’aides que les Ukrainiens : “Le président Macron a dit qu’il ouvrait grand les portes aux réfugiés”

Des cartes bancaires remplies de lettres cyrilliques… symboles de sa vie d’avant. Philippe Ilunga a fui l’Ukraine aux premiers jours de l’offensive russe. Le Congolais avait choisi ce pays il y a plus de cinq ans pour y étudier puis y travailler.

Son périple à travers l’Europe en passant par la Pologne et l’Allemagne se termine en France, dans les Côtes-d’Armor, aux côtés d’Alhassane Bah. Lui était en Ukraine depuis sept mois. Il étudiait l’économie et les finances à Odessa, avec un objectif : Devenir professeur dans mon pays, la Guinée-Conakry.

Ils n’ont pas choisi la France par hasard. “Le président Macron a dit qu’il ouvrait grand les portes aux réfugiés.” ​Et puis, ils sont francophones. Sur place pourtant, ils ont vite déchanté. Accueillis sur la côte de Granit rose, à Trégastel, ils ont compris qu’ils n’étaient pas considérés comme des réfugiés comme les autres, même s’ils sont aussi suivis par l’association Coallia. La cause ?

(…) Ouest-France


Les étudiants africains ayant fui la guerre en Ukraine ne bénéficient pas, en France, du même régime d’aides que les autres réfugiés. Parmi eux, Lovia et Constant, accueillis à la Village Bellagio, à Amboise. Témoignages.

(…) Originaires du Congo-Brazzaville et de Côte d’Ivoire, ils font partie des milliers d’étudiants africains ayant fui leur vie ukrainienne aujourd’hui accueillis en France. Eux sont hébergés à la Villa Bellagio, à Amboise. Loin de la guerre, mais dans une situation doublement précaire : sans ressources financières, ils ne peuvent ni travailler ni bénéficier des mêmes aides sociales que les autres réfugiés. Quant à leur avenir en France, il s’écrit pour le moment en pointillés. (…)

Pas d’expulsion jusqu’à fin octobre

Comme des milliers d’autres étudiants africains venus d’Ukraine, Lovia et Constant bénéficient en France d’un régime de protection temporaire, prévu par le droit européen. Ils ont néanmoins été exclus du dispositif d’aide réservé aux réfugiés ukrainiens, les autorités françaises considérant qu’ils pouvaient regagner “de manière sûre et durable” leurs pays d’origine, puisque ceux-ci n’étaient pas en guerre. Depuis leur arrivée, planait donc la menace d’une expulsion. Le gouvernement a toutefois annoncé en début de semaine la mise en place d’un moratoire : aucune obligation de quitter le territoire français (OQTF) ne sera prononcée jusqu’au 30 octobre 2022.

“D’ici là, leur situation personnelle, leur projet étudiant et leurs ressources vont faire l’objet d’un examen individuel. Ils bénéficieront du même statut que les étudiants étrangers demandant un visa en France”, indique-t-on à la préfecture d’Indre-et-Loire. Un titre de séjour étudiant ouvre un droit au travail dans la limite de 964 heures par an, ainsi que l’ensemble des droits sociaux, via l’inscription à la Sécurité sociale.

La Nouvelle République

 

 

 

 

Pour Pap Ndiaye, «être attaqué par l’extrême droite est un badge d’honneur»

À la suite de la déclaration de politique générale d’Élisabeth Borne, la présidente du groupe RN s’est exprimée au perchoir, et en a profité pour pointer «l’invraisemblable nomination du wokiste Pap Ndiaye».

Interrogé sur France Inter, l’intéressé a riposté : «Que je sois attaqué par l’extrême droite ne me fait ni chaud, ni froid. Au fond, c’est un badge d’honneur.» Il ajoute : «Je suis d’une génération qui est entrée dans la vie citoyenne par le combat contre les idées du Front National.» Le ministre de l’Éducation estime par ailleurs que son «travail d’historien», et notamment au sein du «musée national de l’Histoire de l’immigration», inscrit dans la «lutte contre toutes les formes de racisme, d’antisémitisme». Pap Ndiaye a considéré la République «minée par les inégalités» dont les «devises ne se concrétisent pas pour une partie de la population». Et de conclure : «Pour moi, lutter contre le racisme et les discriminations, c’est renforcer la République.»

Le Figaro

 

 

Commenter cet article

K
Je m'adresse à l'exégète, spécialiste des traductions mot à mot de Nostradamus:<br /> 'Crise au Royaume-Uni : le Premier ministre Boris Johnson annonce sa démission', pensez-vous qu'il s'agissait de quelque-chose de prévisible dans le vers "Boristhenes premier viendra faillir"?
Répondre
K
Comme quoi on peut discuter de tout, sauf des chiffres... du moins avec ceux qui ont l'âme, pour voir et entendre!
3
Sauf que le Boristhenes (C3,Q95) désigne la Russie, Boristhène est un fleuve de Russie, qui passe par la Biélorussie qui finir en Ukraine, aujourd’hui appelais le Dniepr <br /> https://fr.wikipedia.org/wiki/Dniepr