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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Les Infos du 1er juillet  2022

 

 

Guerre en Ukraine EN DIRECT : Berlin dénonce une attaque « inhumaine et cynique » à Odessa...

 

 

L’ESSENTIEL

  • Sur le front, l’Ukraine s’est félicité du départ des forces russes de l’île aux Serpents, qu’elles avaient prise dès les premières heures de leur offensive, une victoire hautement symbolique pour Kiev.
  • Quatorze personnes ont été tuées dans un tir de missile sur un immeuble de la région d’Odessa, dans le sud de l’Ukraine, tiré par un « avion stratégique » depuis la mer Noire selon Kiev.
  • Cette frappe est intervenue alors que l’Otan a promis son soutien indéfectible à l’Ukraine en clôturant jeudi son sommet à Madrid.

 

15h49 : L’ambassadrice de Russie en Bulgarie s’explique sur la fermeture de l’ambassade

L’ambassadrice de Russie à Sofia a envisagé vendredi la fermeture de son ambassade dans le pays, après le refus de la Bulgarie de revenir sur la décision d’expulser 70 membres du personnel diplomatique russe.

« Malheureusement, notre appel au ministère des Affaires étrangères a été ignoré », a déploré Eleonora Mitrofanova dans un message publié sur le réseau social Facebook.

« J’ai donc l’intention d’aborder sans délai avec les dirigeants de mon pays la question de la fermeture de l’ambassade de Russie en Bulgarie, qui entraînera inévitablement celle de la mission diplomatique bulgare à Moscou », a-t-elle déclaré.

 

15h38 : Le bilan d’Odessa monte à 19 morts et 38 blessés

Toujours provisoire, « le bilan est de 19 morts et 38 blessés, dont six enfants », a précisé Serguiï Krouk, chef du service national d’urgence d’Ukraine.

La première frappe a « touché un immeuble résidentiel de neuf étages, dans la région de Bilgorod-Dniester », à environ 80 km au sud-ouest d’Odessa, selon le porte-parole de l’administration de la région, Serguiï Bratchouk. Le porte-parole du Kremlin Dmitri Peskov a assuré que ses forces ne visaient pas de « cibles civiles ».

 

15h08 : L’Otan « maîtrise le risque d’escalade » avec la Russie

D’après Camille Grand, secrétaire général adjoint de l’OTAN, la Russie a choisi de « tourner le dos à la coopération avec l’Otan et l’Europe ». Soulignant un « tournant majeur » avec la guerre en Ukraine, il a assuré sur BFMTV que l’organisation avait fait le « choix très délibéré de ne pas transformer ce conflit dans une guerre en Europe, donc de maîtriser le risque d’escalade en se gardant d’une rhétorique agressive et en ne répondant pas à un certain nombre de postures et de discours du président Poutine ».

 

Note; capture d’écran pour ce passage. Je garde des preuves de leur inconscience qui finira  par nous emportez dans une Troisième guerre monde, puisqu'ils n’arrêtent pas de jeté de tuile sur le feu,  tout en affirmant qu'il contrôle la situation. On l'a vu encore hier, lorsque leur grand gourou, Joe Biden est venue et qu'ils ont tous sortit le carnet de chèque pour ENCORE donner plus d'armement à l'Ukraine

 

 

14h22 : L’ambassadrice russe appelle à une rupture des relations diplomatiques avec la Bulgarie

L’ambassadrice de Russie à Sofia a prôné vendredi une rupture des relations diplomatiques entre les deux pays, après le refus de la Bulgarie de revenir sur la décision d’expulser 70 membres du personnel diplomatique russe. « Malheureusement, notre appel au ministère des Affaires étrangères a été ignoré », a déploré Eleonora Mitrofanova dans un message publié sur le réseau social Facebook. « J’ai donc l’intention d’aborder sans délai avec les dirigeants de mon pays la question de la fermeture de l’ambassade de Russie en Bulgarie, qui entraînera inévitablement celle de la mission diplomatique bulgare à Moscou », a-t-elle déclaré.

 

 

13h25 : La Pologne achète 32 hélicoptères militaires AW149

La Pologne, pays de l’Otan et voisin de l’Ukraine, va acheter à l’italien Leonardo 32 hélicoptères militaires polyvalents AW149 d’une valeur de 8,25 milliards de zlotys (1,75 milliard d’euros), a annoncé vendredi le ministre polonais de la Défense. Les premiers hélicoptères doivent être livrés à l’armée polonaise dès l’année prochaine « ce qui compte dans le contexte de la situation internationale, de l’agression russe en Ukraine » voisine, a indiqué Mariusz Blaszczak lors de la signature du contrat sur le site de production aéronautique à Swidnik qui appartient à Leonardo. Selon le ministre, la Pologne a commandé à Leonardo une version d’AW149 « fortement armée », équipée notamment de missiles antichars.

 

Note ;  je l'ai déjà affirmé , la guerre c'est un marche très lucratif

 

DIRECT

 

 

 

Guerre en Ukraine : l'armée de drones devient un enjeu majeur, Kiev a besoin de 200 engins supplémentaires pour combattre la Russie

 

Le vice-premier ministre a lancé dans une vidéo ce vendredi un appel aux dons pour financer une "armée de drones" pour l'Ukraine.

  • Le projet présenté vise à "couvrir toute la ligne de front d'une largeur d'environ 2 470 km avec des drones.
    Le projet présenté vise à "couvrir toute la ligne de front d'une largeur d'environ 2 470 km avec des drones. Capture d'écran YouTube

L'armée de drones dont parle le vice premier ministre ukrainien, Mykhailo Fedorov, n'est pas une fiction tirée d'un film d'action. Le projet présenté vise à "couvrir toute la ligne de front d'une largeur d'environ 2 470 km avec des drones. Ils permettront de surveiller les actions de l'ennemi, de changer les stratégies militaires et, à l'avenir, de sauver le plus de vies militaires possible", indique 

Les volontaires civils au sein de la "défense territoriale ukrainienne" se démarquent par des faits d’armes dans le ciel ukrainien depuis le début du conflit avec l'unité Aerorozvidka, littéralement traduite comme "reconnaissance aérienne". Cette organisation compte 10 membres civils et 100 réservistes qui aident les armées du président Zelensky face à l'envahisseur russe.

Composée de pilotes de drones et de passionnés de nouvelles technologies, cette équipe s'est faite comme spécialité de traquer les chars russes avec des drones artisanaux transformés en arme de guerre.

L'objectif avoué par le gouvernement ukrainien est d'acheter rapidement "200 drones capables de voler jusqu'à 24 heures à une distance de 160 km tout en restant presque invisibles pour l'ennemi. Et par conséquent, plus difficiles à abattre".

Depuis 2022, le groupe Aerorozvidka a développé la "militarisation" des drones R18 pour larguer des bombes et des grenades antichars sur les blindés russes. Le R18 dispose de huit hélices avec une portée d'environ 4 kilomètres et peut rester en l'air pendant environ 40 minutes.

Si le groupe Aerorozvidka ne manque pas d'indiquer sur son site web qu'il accepte les dons "PayPal" pour l'aider à s'équiper dans son combat contre les forces russe.

Enfin, le nouvel appel aux dons du vice président a été fait via la fameuse plate-forme "United24" lancée pour que chacun puisse aider l'Ukraine dans le financement de sa défense.

Enfin, des dernières vidéos ces dernières heures sur YouTube, non vérifiées toutefois, montrent des attaques significatives menées par les drones ukrainiens contre les forces russes. Des coups retentissants s'ils se confirmaient et qui donneraient aux drones un peu plus encore de poids dans cette guerre

Source

 

 

La Finlande n'extradera pas ses citoyens, déclare FM alors que la Turquie lui demande d'abandonner davantage de "terroristes" du PKK

 

La Finlande, ainsi que la Suède, avaient précédemment conclu un accord avec la Turquie pour revoir ses demandes d'extradition des membres du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK), qu'Ankara considère comme une organisation terroriste. Cet accord était une condition préalable au soutien de la Turquie à l'adhésion des deux pays à l'OTAN.

La Finlande n'extradera jamais ses citoyens s'ils étaient menacés de torture ou de peine capitale, a déclaré le ministre des Affaires étrangères du pays, Pekka Haavisto, dans une interview accordée à la chaîne de télévision Yle. Le ministre a expliqué que la Finlande est « liée par des obligations » à cet égard.

Haavisto a précisé que la Finlande procédera à l'extradition "conformément aux accords européens" et a rappelé que pour que cela se produise, une personne doit soit commettre un acte de terrorisme en Finlande, soit en planifier un.

Les commentaires du ministre interviennent après que la Finlande a conclu un accord avec la Turquie, qui s'est opposée à l'adhésion du pays (ainsi que de la Suède) à l'OTAN au sujet d'Helsinki abritant les membres du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK). Ankara considère cette dernière comme une organisation terroriste et a exigé que la Suède et la Finlande acceptent de les extrader avant que la Turquie ne donne le feu vert aux deux pays pour rejoindre l'alliance militaire.

Les parties sont parvenues à un accord lors du sommet de l'OTAN à Madrid le 28 juin, la Finlande et la Suède acceptant d'examiner les demandes d'extradition de la Turquie étayées par des preuves et des renseignements sur les personnes d'intérêt.

Cependant, le président turc Recep Tayyip Erdogan a noté que le processus d'adhésion à l'alliance est long et ne commencera pas tant que le parlement turc ne l'aura pas sanctionné (comme l'ont fait les autres États membres). Erdogan a en outre déclaré le 1er juillet que toutes les demandes d'extradition de la Turquie n'avaient pas été satisfaites jusqu'à présent. Il a déclaré que la Suède avait renoncé à trois ou quatre des 73 "terroristes", dont Ankara avait demandé l'extradition.

Source Spoutnik International (traduction)

 

 

Fierté nationale en baisse : la majorité des Américains sont déçus par les États-Unis, selon un sondage

 

Depuis juin 2011, le nombre de citoyens américains fiers de leur pays est passé de 69 % à 39 %, selon un nouveau sondage réalisé par Fox News.
Vers une guerre de religion, infos du 1er juillet 2022
 

Il semble que l'année 2022 semble être assez difficile pour la fierté nationale des États-Unis, avec un sondage montrant que la majorité des Américains se sentent moins fiers de leur pays.

En juin 2022, seuls 39% des citoyens américains étaient fiers de l'Amérique, ce nombre diminuant considérablement par rapport au chiffre de 2017 de 51%, et bien inférieur aux 69% rapportés en juin 2011.

Plus de la moitié des répondants républicains (60%) et indépendants (64%) disent ne pas être fiers des États-Unis aujourd'hui, les démocrates s'affrontant: 46% sont toujours fiers, tandis que 48% ne peuvent pas partager le sentiment.

Les chiffres contrastent fortement avec ceux de 2017, lorsque les républicains (avec une marge de 31 points) et les indépendants (avec une marge de 4 points) étaient fiers.

Les hommes sont désormais plus susceptibles d'être déçus par les États-Unis qu'en 2017 : seuls 41 % d'entre eux sont fiers aujourd'hui, contre 58 % en 2017. Les femmes, à leur tour, n'étaient pas trop fières en 2017 (seulement 44% étaient de retour à l'époque), avec un nombre qui se réduisait à 36% en 2022.

Les électeurs noirs, au contraire, sont devenus fiers de leur pays : du chiffre de 2017 de seulement 34 % d'être fiers, le nombre est passé à 45 %. Pour les électeurs hispaniques, c'est tout le contraire : le nombre de ceux qui sont fiers des États-Unis est passé de 57 % en 2017 à 35 % en 2022.

Selon le sondeur démocrate Chris Anderson, qui, avec le républicain Daron Shaw, a mené le sondage pour Fox News, le patriotisme américain s'avère ne plus porter sur les valeurs démocratiques mais plutôt sur qui est en charge du bureau ovale.

"Alors qu'autrefois être fier de l'Amérique était considéré comme une condition préalable pour être patriote, cela aussi a été subsumé par la partisanerie. Il semble que pour beaucoup, la fierté et le patriotisme ne concernent plus nos libertés démocratiques mais la personne à la Maison Blanche", a conclu Anderson. .

L'enquête comprenait 1 002 électeurs inscrits de tout le pays qui ont été sélectionnés au hasard dans un fichier électoral national, selon Fox News.

Source Spoutnik international (traduction)

 

 

Un avocat d’extrême-gauche attristé par la peine d’Abdeslam : “Il faut un droit à l’espoir. Aussi bien pour la personne condamnée que pour la société. Sinon, c’est un aveu d’impuissance que je trouve extrêmement triste”

Salah Abdeslam a été condamné à la réclusion criminelle à perpétuité assortie d’une peine de sûreté incompressible. «Une peine de prison à vie», prononcée seulement quatre fois dans l’histoire judiciaire française, qui empêche «le droit à l’espoir» du condamné, estime Matthieu Quinquis, président de l’Observatoire international des prisons.

(…) Libération

 

Note: et on remarqueras que ce genre d'article est publié dans le journal d'islamo gauchiste, Libé

 

 

 

Les vols violents en France en 2021 : 29 % des mis en cause sont de nationalités de pays d’Afrique, alors que la population résidente en France compte 3 % de personnes ayant ces nationalités

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Ministère de l’Intérieur

 

Note: 29 % ! Mdr !  s'ils ajoutaient a leur listes  le nombre d'africains qui ont la nationalité française (depuis 1, 2 ou 3 générations), ce chiffre monterais facilement  a 70 %

 

 

 

Double meurtre d’Élise et Julien à Rouen : un Rwandais, récidiviste et interdit de territoire français depuis 2011, condamné à perpétuité (MàJ : L’État mis en cause par les familles des deux victimes)

Les familles des deux jeunes victimes tuées par Jean-Claude Nsengumukiza en 2015, place de la Pucelle à Rouen, demandent des comptes à l’État. Le coupable, condamné à la peine maximale, était un récidiviste sous obligation de quitter le territoire français (OQTF).

Le double meurtre d’Élise Fauvel, 24 ans, et de Julien Tesquet, 31 ans, en 2015 en plein centre-ville de Rouen a marqué les esprits à plus d’un titre. Après le choc, le deuil, le procès, les familles n’en ont pas fini avec cette terrible affaire qui avait mis en cause les ministères de la Justice et de l’Intérieur. Elles ont lancé devant le tribunal administratif une procédure visant l’État pour faute.

(…) Devant le tribunal administratif de Rouen, jeudi 30 juin 2022, la procédure lancée par les familles vise donc l’État, après qu’une commission d’inspection du ministère de la Justice a rendu ses conclusions en 2016. Déjà condamné par les assises à Rouen pour un viol en 2011, Jean-Claude Nsengumukiza avait été relâché en 2015, à peine un mois avant le double meurtre. Il était alors sous le coup d’une obligation de quitter le territoire français (OQTF).

« Il est donc sorti le 17 novembre 2015 sans mesure d’accompagnement ni d’éloignement », rappelle le rapporteur devant le tribunal administratif. La question à laquelle le tribunal administratif doit répondre est celle de la responsabilité de l’État, d’autant plus que « quelques semaines avant le crime, l’auteur a fait l’objet d’un contrôle de police rue de la République et a été convoqué mais ne s’est jamais présenté devant les autorités », poursuit-il.

Le rappel des faits

Le 20 décembre 2015, les corps en partie dénudés de Julien Tesquet, 31 ans, infirmier, et de son amie Élise Fauvel, 24 ans, assistante de direction, sont découverts dans l’appartement de la jeune femme à deux pas de la place du Vieux-Marché à Rouen. Recouverts d’un drap, ils sont allongés sur le sol et présentent de très nombreuses ecchymoses. Les deux amis ont été étranglés. La jeune femme originaire de Dieppe a été violée. Les deux victimes ont fait la connaissance de leur bourreau en sortant d’un bar et Jean-Claude Nsengumukiza aurait alors proposé de raccompagner la jeune femme. Il sera interpellé dix jours après les faits par le Service régional de police judiciaire (SRPJ) de Rouen, sur la base de la vidéosurveillance et de traces d’ADN.

Paris-Normandie


05/04/19

Jean-Claude Nsengumukiza a écopé ce vendredi de la prison à perpétuité pour avoir violé et étranglé Élise, 24 ans, et étranglé Julien, 31 ans. À l’époque du drame, en décembre 2015, il n’aurait pourtant pas dû se trouver sur le territoire français.

(…) « Le scénario le plus vraisemblable est que Julien ait d’abord été étranglé, puis qu’Élise ait été frappée, violée à plusieurs reprises et enfin étranglée », déclare au Figaro Me Dominique Lemiègre, conseil de la famille d’Élise.

Le meurtrier a été condamné à plus d’une dizaine de reprises, dont une fois à huit ans de prison, en 2011, pour viol. À la faveur d’une remise de peine, il était sorti de prison mi-novembre 2015, soit un mois avant le double meurtre. Mais malgré l’interdiction du territoire français prononcée contre lui, il n’avait pas été reconduit à la frontière à sa sortie de détention.

«Il y a eu un dysfonctionnement total entre les services de l’administration pénitentiaire et ceux de l’administration préfectorale», tempête Me Lemiègre, qui souligne que le trentenaire a fréquemment tenté de brouiller les pistes pour éviter d’être expulsé en déclinant systématiquement des identités, dates de naissance et nationalités diverses. «Ça pose la question de savoir si la République protège vraiment ses enfants», abonde Me Yves Mahiu, conseil de la famille maternelle de Julien.

(…) Le Figaro


(…) Depuis le drame, les familles se sentent « brisées », comme si le temps pour elles s’était arrêté le 20 décembre 2015. « On a l’impression que les gens sont passés à autre chose, explique Claude, le père d’Élise. Mais nous, on est jamais passé à autre chose. Chaque jour est un combat. »

Ce combat c’est celui de la justice. Et c’est Coralie, sœur cadette d’Élise qui l’a exprimé avec le plus de force, sans vaciller. Plus tôt dans l’après-midi, le président du tribunal a lu les conclusions de l’inspection menée pour déterminer pourquoi l’obligation de quitter le territoire de l’accusé n’avait pas été respectée. « Comment pouvons-nous encore croire en la justice française quand on voit tant d’erreurs ? », s’interroge Coralie.

 On ne serait pas là aujourd’hui s’il n’y avait pas eu ces erreurs.

Avant elle, Anne, la mère de Julien a exprimé vigoureusement ce désir de justice. « Je veux que la justice fasse son travail et punisse ce monstre », réclame-t-elle avant de se tourner vers l’accusé et de lui lancer d’une voix forte : « Il a tué ma chair, mon sang ! »

Actu.fr

 

 

Le père d’une victime du 13-Novembre : “Cette condamnation, c’est l’arbre qui cache la forêt. Pour une demi-douzaine de fanatiques qui vont en prison, ce sont plusieurs centaines qui sortiront dans les mois qui viennent

Jean-Pierre Albertini, père d’une victime du Bataclan lors des attentats survenus le 13 novembre 2015, a jugé ce jeudi sur CNEWS que la condamnation des accusés n’était peut-être «que l’arbre qui cache la forêt».

Six ans et demi après la nuit d’horreur du 13 novembre 2015, la cour d’assises spéciale de Paris a rendu son verdict mercredi soir. 

Interrogé dans La Matinale ce jeudi matin sur CNEWS, Jean-Pierre Albertini, père d’une victime du Bataclan, a confessé qu’il craignait que «cette condamnation de quelques fanatiques ne soit que l’arbre qui cache la forêt». 

Pour ce dernier, si «une demi-douzaine de fanatiques va entrer en prison, c’est une autre dizaine, voire centaine de fanatiques qui pourrait  sortir» du système carcéral. 

CNews

 

 

Attentat islamiste et homophobe à Oslo : Zaniar Matapour, né en Iran et suivi par les renseignements norvégiens, tire à l’arme automatique dans plusieurs lieux dont un bar gay, 2 morts et 21 blessé, la Pride annulée (Màj)

 

Bamdad Amin, « un prédateur sexuel », condamné à 2 ans ferme pour deux viols et une agression sexuelle en récidive, n’ira pas en prison et ressort libre du tribunal. Suite à la colère des victimes, le Parquet fait finalement appel (MàJ)

 

01/07/2022

Après l’appel à l’aide lancé par Karine sur les réseaux sociaux, le parquet a décidé de faire appel concernant la condamnation à deux ans de prison ferme de Bamdad A., jugé pour viols et agression sexuelle. Sur BFMTV ce vendredi, une autre victime témoigne.



(…) La cour d’assise a bien rappelé, dans ses motivations, la “gravité” et la “multiplicité des faits” sur des victimes “en état de vulnérabilité”.

Elle a aussi retenu les viols, estimant que la “contrainte morale” était bien caractérisée. “Notamment au regard de la forte insistance et de la pression physique exercée par Bamdad A. dans un habitacle fermé”, précise Le Parisien.

Pourtant, dans son verdict, la cour a retenu la bonne insertion professionnelle de Bamdad A., sa situation “familiale”.

“En fait il a eu cette peine là parce qu’il a eu un enfant, il y a deux ans. Et on veut pas briser la vie d’un père”, dénonce Karine dans sa vidéo, avec un difficile et douloureux ton sarcastique. 

Dans l’attente d’un nouveau procès, Bamdad A. est ressorti libre.

Marie-Claire

 

Villeneuve-le-Roi (94) : armé d’un couteau, Youssef M. menace plusieurs clients et la caissière d’un McDo puis il s’enfuit, se réfugie par hasard chez un couple et agresse la femme

 

Joseph Macé-Scaron : «J’habite près de la place de la République (…) quand ma fille vient me voir elle ne peut pas repartir et prendre le métro, elle ne peut plus traverser la place (…) et c’est vrai pour d’autres endroits à Paris»

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