Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion
Le président serbe déclare que la troisième guerre mondiale a déjà commencé
Je n’aime pas Vucic à cause de son incapacité à s’engager comme pro-russe, s’identifiant plutôt comme « neutre ».
Cependant, il mérite un grand crédit pour avoir été le premier chef d’État à dire en public ce que je dis depuis mars : La troisième guerre mondiale a déjà commencé.
Le fait que les États-Unis financent l’armée ukrainienne pour combattre la Russie signifie que les États-Unis sont en guerre avec la Russie. Chaque pays sur terre prend parti entre les deux équipes.
« Le conflit en Ukraine est en fait déjà une guerre mondiale, étant donné que l’Occident combat la Russie via ses mandataires à Kiev, a déclaré mercredi le président serbe Aleksandar Vucic aux médias locaux. …
« Nous devons comprendre qu’au milieu de la guerre mondiale – car tous les discours selon lesquels il s’agit d’une guerre régionale ou locale doivent être abandonnés – l’ensemble du monde occidental se bat contre la Russie via les Ukrainiens. C’est un conflit mondial », a-t-il déclaré dans une interview accordée à Pink TV »1.
Si nous sommes honnêtes, nous ajouterons également que c’est la Chine qui permet à la Russie de maintenir son économie. C’est donc l’Ouest contre l’Est.
« Le président a déclaré que la guerre mondiale en cours est ce qui l’inquiète le plus et, selon lui, elle ne fera qu’empirer. Il a également ajouté que le conflit en Ukraine fait des ravages dans les Balkans, réaffirmant que la Serbie fera de son mieux pour maintenir la paix dans la région. …
En outre, Vucic pense qu’après que la Russie aura gagné un peu plus de terrain dans l’est de l’Ukraine, le président Vladimir Poutine approchera l’Occident avec une certaine « proposition ». …
« Je sais ce qui nous attend. Dès que Vladimir Poutine aura fait son travail à Seversk, Bakhmut et Soledar, après avoir atteint la deuxième ligne Slaviansk-Kramatorsk-Avdeevka, il présentera une proposition. Et s’ils [les Occidentaux] ne l’acceptent pas, – et ils ne l’accepteront pas – l’enfer se déchaînera », a-t-il prédit, sans donner de détails sur cette initiative »[1].
Vucic, étant un lecteur du Daily Stormer, a confirmé. Maintenant, je me sens mal de m’être moqué de lui. Même si je suis sûr que cela ne doit pas le déranger à ce stade.
Le président serbe a également rappelé que son pays entretient des relations étroites avec la Russie et la Chine, ajoutant que la poursuite de telles politiques n’est pas facile pour Belgrade en ce moment.
Guerre en Ukraine : des soldats américains sont-ils au maniement des lance-roquettes Himars engagés sur le front ?
Un expert militaire russe se dit convaincu que des militaires britanniques et américains sont engagés sur le terrain en Ukraine.
"Je suis sûr à 250% des Américains et des Britanniques sont en train de tirer sur les lance-roquettes américains Himars" en Ukraine, assure le capitaine de réserve russe Vladimir Yeranosyan.
Selon cet expert militaire, dans un entretien au site ukrainia.ru (filiale de Rossia Segodnia, l'organisme de communication officiel de la Russie, NDLR), les pays de l'Otan ne feraient pas que former des soldats ukrainiens au maniement de ces armes. Contrairement à leurs déclarations, ils auraient également bien envoyé des hommes sur place.
Des Marines ayant "acquis une expérience en Irak"
Yeranosyan pense qu'il pourrait s'agir notamment de Marines américains rompus à l'utilisation de ces lance-roquettes multiples depuis l'invasion de l'Irak par les États-Unis en 2003 où ils ont "acquis une expérience". "Ce sont eux qui sont maintenant en Ukraine, ce sont eux qui tirent sur nos dépôts d'armes et de munitions, et sur les postes de commandement", insiste-t-il
L'expert russe ajoute que les forces armées ukrainiennes seraient cantonnées à un rôle de garde et protection des Himars et des leurs opérateurs occidentaux.
Depuis que ces lance-roquettes Himars, très redoutés de Moscou, sont arrivés en Ukraine, les forces de Kyiv ont frappé à plusieurs reprises des cibles stratégiques comme des dépôts de munition.
Pour la première fois depuis le début de l'invasion russe le 24 février, la ville de Donesk dans le Donbass a même été visée dans la nuit du 11 au 12 juillet dernier.
Note: c'est justement ce que je pense depuis que les Ukrainiens avec ce nouveau matériel US touche autant de cibles russes. Mais en plus que des Américains sont sur place en Ukraine, je pense aussi que les Américains donnent les coordonnés des cibles russe pour que les Himars touchent leurs cibles
C'est très grave, les Américains sont trop impliqués dans cette guerre, je le dis depuis le début cette guerre finira par une guerre mondiale
Guerre en Ukraine EN DIRECT : La Nasa annonce reprendre les vols avec les Russes vers la Station spatiale internationale...
L’ESSENTIEL
La guerre en Ukraine va durer et parce que « la Russie utilise l’énergie, comme elle utilise l’alimentation, comme une arme de guerre », les Français doivent se préparer à un automne difficile sans gaz russe à Avertit Emmanuel Macron dans son discours du 14 juillet.
Des frappes russes à Vinnytsia au centre du pays ont fait au moins 23 morts.
Le secrétaire général de l’ONU s’est dit « atterré » et l’UE a dénoncé de nouvelles « atrocités » après des frappes très éloignées des lignes de front.
15h02 : L’Ukraine fait appel aux civils pour constituer une « Armée des drones »
Si les drones de combat turcs de l’armée ukrainienne ont beaucoup fait parler d’eux depuis le début du conflit, infligeant des dommages sévères aux blindés russes, l’Ukraine était avant la guerre démunie en matière de drones de surveillance.
Sans unité consacrée, elle doit compter sur le patriotisme et les dons pour l’équipement et la formation des pilotes. Début juillet, le président ukrainien Volodymyr Zelensky a lancé un appel aux dons pour l’achat d’une flotte de drones militaires dans le monde entier afin que soit constituée une « Armée des drones » ukrainienne.
Environ 13,5 millions d’euros ont été récoltés, qui financeront une première série de 200 engins équipés de caméras thermiques, de GPS et de logiciels de cartographie.
11h18 : Capturé, le Britannique Paul Urey meurt en détention
Le Britannique Paul Urey, capturé en avril par les forces prorusses de l’est de l’Ukraine lors d’une mission humanitaire selon des proches, est mort en détention le 10 juillet, ont annoncé vendredi les autorités séparatistes.
« Malgré la gravité de (ses) crimes, Paul Urey recevait une aide médicale adéquate. Malgré cela, au regard de son diagnostic et du stress, il est mort le 10 juillet », a indiqué sur Telegram la chargée des droits des séparatistes de la région de Donetsk, Daria Morozova, assurant qu’il s’agissait d’un mercenaire et non d’un travailleur humanitaire.
10h12 : L’UE va cibler l’or russe dans ses prochaines sanctions contre Moscou
L’Union européenne va viser les exportations d’or russe dans son prochain train de sanctions, comme l’avaient décidé les pays du G7 fin juin, a annoncé vendredi le commissaire européen Maros Sefcovic, lors d’une réunion des ministres des Affaires européennes à Prague.
Elle va aussi chercher « à fermer les échappatoires » pour ceux qui contournent les précédents trains de sanctions pris contre la Russie en raison de son offensive contre l’Ukraine, a précisé le commissaire. L’UE a déjà adopté six paquets de sanctions, dont un embargo sur l’essentiel du pétrole russe d’ici la fin de l’année.
7h30 : Il va falloir se serrer la ceinture cet automne
« Nous devons aujourd’hui nous préparer à un scénario où il nous faut nous passer en totalité du gaz russe », a averti Emmanuel Macron dans son discours du 14 juillet.
« Il faut nous préparer tous à ce que (la guerre) dure. L’été et le début de l’automne seront sans doute très durs », a poursuivi le président, en évoquant la situation d'« économie de guerre »
Guerre en Ukraine : quelles sont les mesures prévues par la Commission européenne dans son 7e paquet de sanctions contre la Russie ?
La Commission européenne doit présenter ce vendredi un septième paquet de sanctions contre la Russie a-t-on appris de deux responsables de l'UE.
Ces nouvelles mesures "de maintenance et d'alignement" pourraient même être qualifiées de "sixième paquet et demi" de sanctions depuis le début de la guerre en Ukraine, a déclaré l'une des sources, en raison de leur portée limitée par rapport aux précédents trains de mesures punitives visant notamment le pétrole ou le charbon importés de Russie.
La Commission européenne devrait présenter ces nouvelles sanctions dans la journée. Les ambassadeurs des pays membres en débattront la semaine prochaine avant une adoption définitive prévue avant la pause estivale.
L'interdiction des ventes d'or russe concernera les importations via des pays tiers, a indiqué l'une des sources ayant requis l'anonymat, sans préciser par quel mécanisme.
Bruxelles renforcera la mise en oeuvre de mesures existantes en imposant de nouvelles limites aux importations de biens à double usage civil et militaire, dans les secteurs de la chimie et de la machinerie industrielle notamment, a précisé cette source.
Accès aux ports de l'Union
De nouvelles personnes ou entités jugées proches du Kremlin seront en outre ajoutées à la liste noire de l'UE, ont indiqué les deux sources ainsi qu'une troisième interrogée par Reuters.
Plus de 1.000 personnes dont le président russe Vladimir Poutine et une centaine d'entités font déjà l'objet d'un gel des avoirs et d'une interdiction d'entrer sur le territoire de l'UE car leurs actions ont compromis l'intégrité territoriale, la souveraineté et l'indépendance de l'Ukraine, selon le site de l'UE.
La Commission va parallèlement modifier certaines mesures restrictives afin de garantir qu'elles n'affecteront par les exportations russes de céréales et de produits agricoles.
Les pays africains accusent l'Union européenne de contribuer par ses sanctions à la crise alimentaire mondiale en cours, principalement provoquée par la guerre en Ukraine et le blocus par la Russie des ports ukrainiens. L'UE rejette cette analyse.
Les modifications apportées aux sanctions doivent garantir que les règles ne seront pas mal interprétées par les négociants, a expliqué un des responsables de l'UE, notamment celle qui concerne l'interdiction des navires russes dans les ports des pays membres.
En vertu de cette mesure, les navires russes sont autorisés à entrer dans les ports de l'UE s'ils transportent de la nourriture ou des médicaments. Mais des courtiers ont bloqué les exportations de produits alimentaires en provenance de certains ports russes qui sont indirectement la propriété d'entreprises publiques russes sanctionnées par Bruxelles.
Le nouveau paquet de sanctions précisera que ces ports sont exempts de sanctions, a dit la source.
Washington prêt à utiliser «toute» sa puissance pour empêcher l'Iran d'avoir l'arme nucléaire
Le 14 juillet 2022
Joe Biden et le Premier ministre israélien Yaïr Lapid ont signé cette «déclaration de Jérusalem sur le partenariat stratégique entre les Etats-Unis et Israël».
Les Etats-Unis sont prêts à user de «tous les éléments de leur puissance nationale» afin d'empêcher l'Iran de se doter de l'arme atomique, souligne une déclaration signée jeudi à Jérusalem par le président Joe Biden et le Premier ministre israélien Yaïr Lapid.
Les deux dirigeants ont signé cette «Déclaration de Jérusalem sur le partenariat stratégique entre les Etats-Unis et Israël» à l'occasion de la première visite du président Biden au Moyen-Orient consacrée en partie au programme nucléaire iranien. L'Iran nie catégoriquement chercher à acquérir l'arme nucléaire.
18 expositions sur les arts et les cultures de l’Islam pour “changer la vision des Français sur l’Islam” : pour la responsable des expositions “il s’agit aussi d’un patrimoine français, notre héritage” (MàJ : nommée Chevalier de la Légion d’honneur)
MàJ : “Il s’agit aussi d’un patrimoine français, notre héritage”
Conservatrice générale du patrimoine, directrice du département des arts de l’Islam au Louvre depuis 2013, Yannick Lintz, 57 ans, est la commissaire générale des dix-huit expositions « Arts de l’Islam, un passé pour un présent ». Dotée de 4 millions d’euros de budget, cette manifestation mise sur la proximité, la connaissance et l’ouverture des regards. L’exposition disséminée dans dix-huit villes française, veut rapprocher la culture de la population et propose une autre image des arts islamiques.
[…] Au Louvre, nous conservons la dénomination, qui est à l’origine une décision politique : c’est Jacques Chirac qui a voulu le département et a déterminé son nom, à une époque où son ambition à l’international était le dialogue des cultures et, en France, la résorption de la fracture sociale. Mais l’appellation suscite de mauvaises interprétations, surtout dans une période où le mot « Islam » hystérise facilement le discours. Notre responsabilité, c’est de sortir de l’orientalisme. D’apporter de la connaissance. Et de rappeler qu’il s’agit aussi d’un patrimoine français, notre héritage, parfois venu du Moyen Age
Dans le contexte d’aujourd’hui, il s’agit donc d’une exposition politique ?
Quand on faisait le Maroc médiéval au Louvre en 2014, c’était politique aussi. Chaque convention avec les villes a fait l’objet d’une délibération au conseil municipal : toutes ont été votées à l’unanimité, et les couleurs des dix-huit élus concernés vont des communistes aux Républicains. J’ai présenté les œuvres, en visioconférence, aux dix-huit conseils municipaux.
Certaines, les poignards notamment, ont posé problème. A Blois, nous avons conservé un kandjar, une arme d’apparat qui n’a sans doute jamais tué personne. A Rouen, le directeur des musées m’a fait comprendre que l’assassinat, en 2016, du père Jacques Hamel était encore trop proche. Les imams, les recteurs de mosquée ont été aussi consultés. Bon nombre ont été surpris, à cause de cette confusion de terme : pour nous, l’art islamique, ce n’est pas tant une religion qu’une culture.
Pourquoi ce choix d’expositions en province plutôt qu’une grande exposition à Paris ?
Cela s’est déjà fait en 1977 au Grand Palais. Aujourd’hui, c’est différent. J’ai pensé que c’était bien d’aller au plus près des populations – je n’emploie pas le terme de « public », on ne fait pas du tourisme : un jeune des quartiers de Rillieux-la-Pape a peu de chance de venir au Louvre voir une telle exposition.[…]
Ces jeunes qu’on amène dans l’exposition ne peuvent pas se contenter de voir un âge d’or passé. Ils sont dans le présent. Raconter l’histoire de ces artistes contemporains, ce peut être aussi parler de la souffrance, de l’exil, des banlieues dont beaucoup sont issus. Et que de tout cela, avec une double culture souvent, peut naître autre chose. Nous avons aussi essayé d’avoir autant de femmes que d’hommes représentant, si possible, deux ou trois générations, depuis les années 1970 à aujourd’hui. […]
France : 18 expositions simultanées sur les arts et les cultures de l’Islam pour «contribuer à changer la vision des Français sur l’islam» selon Bachelot
Les Français ont rendez-vous, du 20 novembre 2021 au 27 mars 2022, avec une initiative inédite d’ampleur nationale baptisée «Arts de l’Islam, un passé pour un présent» à travers 18 expositions simultanées visant à poser un nouveau regard sur les arts et les cultures de l’islam. Roselyne Bachelot, ministre de la Culture, souligne que l’exposition entend notamment «contribuer à changer la vision des Français sur l’islam, qui n’est pas uniquement une religion, mais aussi une civilisation qui couvre une grande partie du monde».
Les expositions auront lieu à Angoulême, Blois, Clermont-Ferrand, Dijon, Figeac, Saint-Louis, Limoges, Mantes-la-Jolie, Marseille, Nancy, Nantes, Narbonne, Rennes, Rillieux-la-Pape, Rouen, Saint-Denis, Toulouse, Tourcoing.
Plus de 180 œuvres au total seront présentées dans des musées, médiathèques, bibliothèques ou espaces culturels dans la perspective d’éclairer le public sur la «grande diversité» des territoires et des populations concernées par l’islam. Ces expositions ont pour objectif commun d’apporter des clés de lecture sur les cultures, la civilisation et les arts de l’islam.
Ce projet destiné au grand public et aux jeunes générations en particulier a mobilisé la réunion de plusieurs musées nationaux, comme le Grand Palais et le musée du Louvre ainsi que les ministères de l’Éducation et de la culture, avec l’implication notamment de la Fondation de l’islam de France. […]
Le premier ministre Jean Castex, a commenté l’évènement en affirmant qu’évoquer le lien entre la France et les arts islamiques, «c’est tirer le fil d’un dialogue entre des cultures qui s’enrichissent mutuellement depuis plus de 13 siècles». Pour lui, l’exposition revient sur «les liens intimes que les arts islamiques ont tissés avec notre pays, nourrissant notre art de vivre et notre culture».
Roselyne Bachelot, ministre de la Culture, souligne de son côté que l’exposition entend notamment «contribuer à changer la vision des Français sur l’islam, qui n’est pas uniquement une religion, mais aussi une civilisation qui couvre une grande partie du monde».
Son objectif ? « Mieux faire connaître sur notre territoire les cultures islamiques […] et rappeler l’importance des échanges anciens, étroits et féconds tissés entre la France et l’Orient », explique le ministre Jean-Michel Blanquer. Une démarche qui s’inscrit dans la lutte contre les séparatismes souhaitée par le gouvernement. […]
Note: une occasion pour moi de poster ce quatrain (mon interprétation n'est pas encore concluante, je bloque sur le deuxième vers, mais je comprend le sens du quatrain)
C 7 - Q 14 38
Faux exposer viendra topographie,
Seront les cruches des monumens ouuertes:
Pulluler secte, saincte philosophie,
Pour blanches noires, & pour antiques vertes.
On viendra exposer de fausse topographie,
Seront les cruches (ou urnes) des monuments ouvertes:
Secte et sainte philosophie pulluleront,
Pour blanches (ils diront) noires, & pour ancienne vertes. (vert étant la couleur de l'Islam)
Le recteur de la Grande Mosquée de Paris fait pression sur E. Macron : “L’islam est l’affaire de tous les Français. Notre vote (musulman) oblige en premier lieu le Président de la République” (MàJ : promu Officier de la Légion d’honneur)
Le recteur de la Grande Mosquée de Paris fait pression sur Emmanuel Macron : « L’islam est l’affaire de tous les Français. Notre vote (musulman) oblige en premier lieu le Président de la République »
N’en déplaise à certains, les musulmans vivent en France en citoyens égaux en droits et en devoirs
Les millions de Français pratiquant l’islam, qui ont « toujours été au rendez-vous lorsque le destin du pays était en jeu », ne méritent pas le mépris, les soupçons et les blessures que leur infligent les ennemis de la communauté nationale, estime le recteur de la Grande Mosquée de Paris
Je termine l’une de mes prières régulières à la Grande Mosquée de Paris et je reviens progressivement au tumulte de la vie quotidienne, actuellement marquée par une compétition politique très inquiétante. Je regarde discrètement ces humbles fidèles qui m’entourent et je ne peux m’empêcher de penser à leur vulnérabilité face aux violences verbales dont ils font l’objet et qui s’intensifient à l’approche de chaque scrutin. Systématiquement, ils deviennent alors la cible de certains milieux qui font d’eux les boucs émissaires du marasme national.
Les gesticulations et les braillements des troubadours politico-médiatiques auraient pu nous amuser s’ils ne relevaient pas du pernicieux. En fait, nous subissons depuis trop longtemps les divagations de ces dangereux charlatans dont la nuisance se présente sous forme de chroniques et débats télévisés, de livres chez des éditeurs dits « sérieux » et autres messages bien acérés et propagés sur les réseaux sociaux.
Les millions de musulmans anonymes qui ne demandent qu’à vivre en paix ne devraient pas susciter un tel mépris. Ils ne méritent pas ces blessures que leur infligent les véritables ennemis de la communauté nationale, car ils ont toujours été au rendez-vous lorsque le destin de la France était en jeu.
Alors, qui est le véritable ennemi ? C’est celui qui nous fait peur. C’est celui qui nous maintient dans l’angoisse pour nous démoraliser et conduire notre nation à sa perte. Ces annonciateurs de malheurs disent promouvoir la grandeur de la France. Ils ne protègent pas la nation qu’ils prétendent aimer. Ils la découragent pour mieux vivre de ses phobies. Ils ne sont rien d’autre que des marchands de peur. Ils sont les véritables adeptes du « grand remplacement », celui qui consiste à remplacer un peuple fier et fort par des individus égoïstes et tourmentés, au sein d’une nation qu’ils veulent fragile et désorientée. En vérité, ils rêvent d’une population craintive, captive d’un système où règne le chaos.
Cette vision est aux antipodes de la civilisation, tout comme l’est le terrorisme par rapport à l’islam. Fière de sa diversité et de ses prouesses, la France ne saurait sombrer dans cette forme de lâcheté que lui prodiguent des marionnettes agitées par les parrains de la discorde.
Il est aujourd’hui établi que la force de pénétration de ces agents nuisibles bénéficie d’un puissant soutien. Ces derniers disposent de moyens humains, logistiques, techniques et financiers. La paranoïa nationale est devenue un véritable marché obéissant à une logique de rentabilité des capitaux investis, au bénéfice des idéologues du passé fantasmé. Comment expliquer autrement cet essor spectaculaire d’une formation politique qui prétend redonner son éclat à la France tout en prêchant la haine ?
Un ancien candidat à la présidence de la République s’est permis des propos dont certains ont été condamnés par la justice. Dans la patrie des droits de l’homme, il est des condamnations qui sonnent comme un déshonneur. Le bon sens aurait voulu que l’individu condamné devienne infréquentable, parce que dangereux. Même déshonoré, il continue pourtant à s’agiter et à être soutenu. Pire, il a été le chef d’orchestre d’une campagne présidentielle qui faisait de l’islam et des musulmans les responsables de tous les maux. Les pervers de la République la déshonorent. Il est temps de les arrêter.
Avalanche d’insultes
Qu’ils soient condamnés encore et encore ! Seule une réponse abrasive convient à ces ensorceleurs des temps modernes. Il leur faut une réponse politique et judiciaire qui se trouve dans les urnes comme dans les tribunaux.
N’en déplaise à certains, les musulmans vivent et vivront en France en citoyens égaux en droits et en devoirs. Ils ont voté et voteront encore plus dans le futur. Ils ont participé au scrutin le plus important : l’élection présidentielle. Ils ont impacté l’opinion. C’est la meilleure réponse à cette avalanche d’insultes et de médisances qui n’ont pas outre mesure ému les politiciens, les médias ou les défenseurs des droits de l’homme. « Français de papiers », nous a-t-on qualifiés pour nous exclure. Nous aurons tout entendu. Non, la véritable menace ne vient pas de mon voisin musulman prosterné à la mosquée. Elle ne vient pas non plus de cette mère de famille qui apprend à ses enfants à invoquer le nom de Dieu avant de manger ou de sortir du domicile familial pour se rendre à l’école ou au travail. Elle vient de ceux qui nous stigmatisent pour nous exclure.
Quittant la salle de prière, je passe devant le mur adjacent à la rue Geoffroy-Saint-Hilaire. Dessus est accrochée une plaque commémorative qui nous rappelle que des milliers de musulmans sont morts pour que les Français vivent dans la dignité et la liberté. C’est à la Grande Mosquée de Paris que se trouve la meilleure preuve que les arguments des discoureurs antimusulmans sont fallacieux et sont conçus pour prêcher la division. La manœuvre est connue depuis la nuit des temps : diviser permet de régner. Alors, qui veut régner sur des Français tétanisés par la peur ? Pas nous, musulmans de France.
J’en appelle à la responsabilité des intellectuels français ainsi qu’aux femmes et hommes politiques. Nous avons un ennemi commun que je n’ai de cesse de dénoncer : le terrorisme islamiste. Mais comprenons que la matrice de ce terrorisme se nourrit de la stigmatisation des citoyens musulmans.
Qu’attendons-nous de la conscience française ? Qu’elle s’exprime sur cette question comme elle s’est toujours exprimée dans les moments décisifs, qu’elle dénonce explicitement les attaques contre l’islam et les musulmans et qu’elle mette un terme à ce silence assourdissant. L’islam est l’affaire de tous les Français. Aujourd’hui, notre vote oblige en premier lieu le président de la République réélu, ainsi que toutes celles et tous ceux qui militent pour construire une France plus grande. Arrêtez de nous considérer comme des citoyens condamnés aux marges de la société.
Chems-eddine Hafiz est recteur de la Grande Mosquée de Paris
Loriol-sur-Drôme (26) : Un homme de 37 ans meurt en pleine rue après avoir été agressé de plusieurs coups de couteau. Il était en compagnie de sa femme au moment du drame
15/07/2022
Un homme de 37 ans a été poignardé ce jeudi 14 juillet avenue du général de Gaulle à Loriol-sur-Drôme. Il est mort des suites de ses blessures.
Que s’est-il passé ce jeudi 14 juillet à Loriol-sur-Drôme ? Un homme de 37 ans est mort suite à une agression au couteau avenue du général de Gaulle, non loin de la mairie. L’homme, accompagné de sa conjointe au moment du drame, a été touché à plusieurs reprises au niveau du thorax aux alentours de 20h45. Les sapeurs pompiers et le Smur de Valence ont tenté pendant près d’une heure de le ranimer, sans succès.
(…) Un homme a été arrêté un peu plus tard dans la soirée même s’il est encore trop tôt pour affirmer que c’est l’agresseur selon le parquet. S’agit-il d’un règlement de comptes ? D’une affaire qui aurait mal tourné ? L’enquête des gendarmes doit le déterminer.
Metz : Un jeune homme de 22 ans poignardé à mort en pleine rue, alors qu’il se promenait avec des amis. “Ils ont été agressés par deux hommes armés d’au moins un couteau”
15/07/2022
Un jeune homme de 22 ans a été tué dans la nuit de jeudi à vendredi, vers 1 h 30 du matin, dans l’hypercentre de Metz, à l’angle de la rue des Clercs et de la rue Marguerite-Puhl-Demange.
Il se trouvait en compagnie d’un groupe d’amis lorsqu’ils ont été agressés par deux hommes armés d’au moins un couteau.
(…) Lorsque la police municipale est arrivée sur place, le jeune homme se trouvait en arrêt cardio-respiratoire et présentait une plaie saignant au niveau de la cage thoracique. Les deux agresseurs avaient, eux, pris la fuite.
Le jeune homme a été transporté à l’hôpital où il est décédé dans la nuit.
Suède : Une fillette de 9 ans a été violéeet laissée pour morte sur une aire de jeux par un migrant éthiopien, qui venait d’obtenir un permis de séjour permanent. La petite fille est dans le coma
14/07/2022 à
Suède – Une fillette de neuf ans a été victime d’un viol et d’une tentative de meurtre brutal sur une aire de jeux de Skellefteå. Un mineur est soupçonné du crime.
Il n’y aurait aucun lien connu entre la victime et son agresseur.
Le garçon de 13 ans soupçonné d’avoir tenté de tuer une fillette de neuf ans à Skellefteå pourrait être plus âgé qu’il ne le prétend. C’est ce que déclare à plusieurs médias Andreas Nyberg, le procureur chargé de l’enquête.
Nyberg déclare à TV4 que la qualification pénale dans cette affaire, en plus de la tentative de meurtre, est désormais le viol aggravé d’un enfant. La jeune fille grièvement blessée est toujours à l’hôpital et n’a pas encore été entendue.
Le procureur déclare à plusieurs médias que l’âge du garçon suspecté, âgé de 13 ans, est incertain, et qu’il est possible qu’il soit en fait majeur.
Les enquêteurs s’efforcent maintenant de rassembler des documents afin de préciser l’âge réel du garçon. En outre, il fera l’objet d’une évaluation médicale de son âge.
Le garçon suspecté et sa famille sont arrivés en Suède depuis l’Éthiopie à l’été 2017. Le garçon est accusé d’avoir abusé d’autres filles et jeunes femmes à Skellefteå.
L’été dernier, il était soupçonné d’avoir agressé une femme adulte dans la ville. Le garçon est connu dans la municipalité et a été déplacé dans différentes écoles.
À la fin du mois de juin de cette année, il a obtenu un permis de séjour permanent en Suède.
Le suspect étant âgé de 13 ans, il n’a été ni arrêté ni détenu. On s’interroge à Skellefteå sur le fait que le garçon ait réellement 13 ans. Beaucoup soupçonnent qu’il est en fait en âge de commettre un crime et qu’il aurait donc dû être détenu pour la tentative de meurtre de la petite fille.
“A la lumière des nouvelles données scientifiques” l’OMS va mettre à jour l’un de ses manuels pour y inscrire que “le sexe ne se limite pas à homme ou femme”
15/07/2022
Le manuel “L’intégration de la dimension de genre pour les gestionnaires de la santé : une approche pratique” traite de la manière dont les normes, les rôles et les relations entre les sexes influencent les comportements et les résultats liés à la santé ainsi que les réponses du secteur de la santé. Dans le même temps, il reconnaît que l’inégalité entre les sexes est un déterminant transversal de la santé qui fonctionne en conjonction avec d’autres formes de discrimination fondées sur des facteurs tels que l’âge, le statut socio-économique, l’appartenance ethnique ou le lieu d’origine et l’orientation sexuelle. Le manuel fournit une base pour aborder d’autres formes de discrimination liées à la santé.
La première édition du manuel date de 2011, et l’OMS est en train de le mettre à jour à la lumière des nouvelles données scientifiques et des progrès conceptuels sur le genre, la santé et le développement….
Le processus de révision et de mise à jour s’appuiera sur les travaux approfondis qui figurent déjà dans le manuel. Il sera axé sur :
La mise à jour des concepts clés autour du genre ;
Mettre en évidence et développer le concept d’intersectionnalité, qui étudie la manière dont les dynamiques de pouvoir liées au genre interagissent avec d’autres hiérarchies de privilèges ou de désavantages, entraînant des inégalités et des résultats de santé différents pour différentes personnes. Les facteurs d’intersection comprennent le sexe, l’origine ethnique, la race, l’âge, la classe, le statut socio-économique, la religion, la langue, la situation géographique, le statut de handicap, le statut migratoire, l’identité et l’expression de genre, l’orientation sexuelle et la situation politique
Dépasser les approches binaires du genre et de la santé pour reconnaître la diversité sexuelle et de genre, ou les concepts selon lesquels l’identité de genre existe sur un continuum et que le sexe ne se limite pas à homme ou femme.
Introduire de nouveaux cadres et outils relatifs au genre, à l’équité et aux droits de l’homme afin de soutenir davantage le renforcement des capacités autour de ces concepts et l’intégration de leurs approches dans le travail de l’OMS.
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