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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Les Infos du 15 juin 2022

 

 

 

 

Guerre en Ukraine EN DIRECT : Berlin accuse la Russie de chercher à « faire monter les prix » du gaz...

 

 

L’ESSENTIEL

  • La Russie a appelé les Ukrainiens à cesser leur « résistance absurde » à Severodonetsk et proposé un « couloir humanitaire » pour en évacuer ce mercredi les civils, sans réponse de Kiev qui a exhorté au contraire à « tenir le coup ».
  • Selon le chef de l’administration de Severodonetsk, Oleksandr Striouk, « 540 à 560 personnes » sont réfugiées dans les souterrains de la vaste usine chimique Azot, emblématique de cette ville industrielle de l’est de l’Ukraine.
  • Kiev affirme n’avoir « reçu qu’environ 10 % » des armes dont l’Ukraine à « besoin ». « Oui, l’Ukraine devrait avoir plus d’armes lourdes », a assuré de son côté le secrétaire général de l’Otan, Jens Stoltenberg à la veille d’une réunion, à Bruxelles, du Groupe de contact pour l’Ukraine autour du secrétaire à la Défense américain.
  • Emmanuel Macron est arrivé mardi soir en Roumanie, pour saluer les 500 soldats français déployés sur une base de l’Otan. Il se rendra ensuite en Moldavie, avant une possible venue à Kiev jeudi. Toutefois, sur une visite en Ukraine, « rien n’est acté » à ce stade, selon l’Elysée.

 

DIRECT

 

16h46 : Berlin accuse la Russie de chercher à « faire monter les prix » du gaz

Gazprom cherche à faire « monter les prix » du gaz, a dénoncé mercredi le gouvernement allemand, après la décision du géant russe de réduire une nouvelle fois ses livraisons de gaz à l’Europe via Nord Stream, à hauteur de 33 %.

« Il s’agit clairement d’une stratégie visant à perturber et faire grimper les prix », a dénoncé le ministre de l’Économie et du Climat Robert Habeck, dans un communiqué.

Note: qui a mis des sanctions  sur le gaz et la pétrole de  Russie , la Russie ou  l'Europe !  Qui refuse de payer le gaz RUSSE avec de l'argent RUSSE !

 

 

15h40 : Moscou réduit d’encore 33 % ses livraisons de gaz par Nord Stream à l’Europe

« Gazprom arrête le fonctionnement d’une autre turbine à gaz de Siemens à la station de compression Portovaïa », où se fait le remplissage de Nord Stream, et dont la production quotidienne passera jeudi de 100 à 67 millions de mètres cubes par jour, après une première baisse de 167 à 100 millions de m3 mardi.

 

 

15h30 : La Russie et la Chine renforcent leur alliance face à l’Occident

Vladimir Poutine et Xi Jinping ont annoncé vouloir renforcer la coopération économique de leurs deux pays face aux conséquences des sanctions occidentales. « Il a été convenu d’élargir la coopération dans les domaines énergétiques, financier, industriel, des transports et autres, en tenant compte de la situation économique mondiale qui s’est compliquée en raison des sanctions illégitimes de l’Occident », a indiqué le Kremlin dans un communiqué, ajoutant que les deux dirigeants ont aussi parlé « du développement des relations militaires ».

Note: voir article plus bas

 

 

15h18 : L’Otan demande encore un peu de patience à Kiev

« Nous avons pris la mesure de l’urgence, mais les efforts demandent du temps », a expliqué le secrétaire général de l’Alliance Jens Stoltenberg. « La transition entre le matériel de l’époque soviétique et le matériel moderne de l’Otan impose que les Ukrainiens soient prêts à l’utiliser », a-t-il souligné. « Il s’agit d’une transition difficile, exigeante », a-t-il insisté.

 

13h40 : La Norvège va livrer d’autres armes

Le ministre norvégien de la Défense Bjørn Arild Gram a indiqué que son pays « envisageait d’autres dons » d’armement à l’Ukraine, en plus des 22 obusiers M-109, de la centaine de missiles antiaériens Mistral et de quelque 4.000 armes antichars M72 déjà fournis.

 

13h45 : Livraison « imminente » de lance-roquettes multiples britanniques

Le Royaume-Uni va livrer de façon « imminente » des systèmes de lance-roquettes multiples à l’Ukraine, qui réclame ce type d’armement pour enrayer l’invasion russe, a indiqué mercredi le ministre britannique de la Défense, Ben Wallace.

Emboîtant le pas aux Etats-Unis, Londres avait annoncé le 6 juin qu’elle fournirait à Kiev ces systèmes, dits GMLRS, dont la portée et la précision dépassent celles de l’artillerie russe. Outre les lance-roquettes multiples, Ben Wallace a précisé que le Royaume-Uni réfléchissait à l’envoi de missiles antinavires de type Harpoon en complément de ceux déjà promis, selon lui, par le Danemark et les Pays-Bas.

 

 

13h33 : L'armée russe tente d'intercepter les livraisons d'armes

Des livraisons que l'armée russe tente d'intercepter. Elle a affirmé mercredi avoir détruit avec des missiles Kalibr un entrepôt d'armes fournies par l'Otan, notamment des obusiers M777 de 155 mm, près de Lviv, dans l'ouest de l'Ukraine.

 

13h20 : La livraison à l’Ukraine des armes lourdes de l’Otan « demande du temps »

Les pays de l’Otan vont fournir des armes lourdes modernes à l’Ukraine, mais cela « demande du temps », car il faut former les militaires ukrainiens à leur utilisation, a annoncé mercredi le secrétaire général de l’Alliance Jens Stoltenberg.

« Nous avons pris la mesure de l’urgence, mais les efforts demandent du temps, a-t-il expliqué au cours d’une conférence de presse avant le début d’une réunion des ministres de la Défense de l’Alliance. La transition entre le matériel de l’époque soviétique et le matériel moderne de l’Otan impose que les Ukrainiens soient prêts à l’utiliser. » « Il s’agit d’une transition difficile, exigeante », a-t-il insisté.

 

DIRECT

 

 

 

Macron nous fait entrer « dans une économie de guerre »

 

Les Français qui ont gardé un minimum de raison ne peuvent qu’halluciner en entendant leur Président les emmener, tranquillement, à coups de formules choc, vers la guerre. Le Figaro résume cette nouvelle folie présidentielle, dans la droite ligne des « Folamour » de l’OTAN et de l’hyperclasse qui dirige le monde dit libre, mais qui ne l’est plus depuis longtemps, s’il l’a jamais été :

La formule fait choc. Trois mois et demi après le début de l’invasion de l’Ukraine par la Russie, le chef de l’État Emmanuel Macron a souligné lundi les défis posés au secteur de la défense, celui « d’une entrée dans une économie de guerre ». « Nous allons devoir durablement nous organiser », a-t-il déclaré en inaugurant le Eurosatory près de Paris, « aller plus vite, réfléchir différemment sur les rythmes, les montées en charge, les marges pour reconstituer plus rapidement ce qui est indispensable pour nos armées, pour nos alliés, pour celles et ceux que nous voulons aider, une économie où nous ne pouvons plus vivre avec la grammaire d’il y a même un an », a-t-il prévenu. L’industrie de la défense doit se déshabituer au temps de paix pour accroître ses cadences. La formule est un avertissement. Le gouvernement envisage aussi, selon Le Monde, une modification législative pour pouvoir réquisitionner, dans certaines circonstances, des entreprises civiles à des fins militaires.

«Nous sommes entrés dans une économie de guerre» estime #Macron. Un texte de loi permettra de réquisitionner des matériaux ou des entreprises civiles à des fins militaires😳
➡️Ce type devient fou, il faut l’empêcher d’obtenir la majorité aux #législativeshttps://t.co/GpFUAOmvIE

— Philippe Herlin (@philippeherlin) June 13, 2022

La déclaration n’a pas l’air de choquer les observateurs politiques de RFI, qui entérinent la marche forcée vers la guerre. D’abord l’économie de guerre, c’est-à-dire « le passage de l’abondance à la pénurie » (le test fonctionne bien avec l’huile, la moutarde, donc adieu les vinaigrettes), et enfin la guerre elle-même, puisque nos armes combattent déjà là-bas. Les hommes suivront

🇫🇷 «La #France doit entrer dans une économie de #guerre» a prévenu hier le président #Macron, lors de son déplacement à #Eurosatory, le salon de l’armement terrestre.
►En termes économiques, comment interpréter cet avertissement ?
🎧 Aujourd’hui l’éco @dbaillard #RFIMatin 👇 pic.twitter.com/5k752NT6Gg

 

 

Le big crash économique tant annoncé, depuis la crise financière de 2008, est donc là : il est produit par un Système qui a été au bout de lui-même, de ses contradictions, et qui va tout sacrifier pour se sauvegarder. L’économie financière mondialisée a besoin de détruire de la valeur, et de la valeur réelle, car la masse d’argent en circulation ne correspond plus à rien, elle n’est plus indexée sur la valeur réelle. La guerre, historiquement, apporte cette destruction de valeur qui régénère le capitalisme. L’hyper classe a donc besoin de la guerre, qu’elle a soigneusement fabriquée et relancée depuis 2014 à la frontière russe.

L’augmentation du budget militaire de la France, qui avait été demandé par les armées, exsangues depuis 2013 et l’intervention au Mali, vient enfin de tomber. Mais cela se fera au détriment des autres postes gouvernementaux, c’est-à-dire les services publics de la santé, et peut-être de la sécurité, sauf si le pouvoir a besoin des forces de la répression pour mater les insurrections sociales qui ne vont pas manquer d’éclater ici et là. Car les Français vont découvrir le sens du mot stagflation : inflation, baisse de la production, chômage encore plus massif, diminution des revenus…
On n’en est pas encore à la famine mais on nous y pousse gentiment. Déjà, Bill Gates et ses amis trouvent qu’on est trop sur Terre. Faisons un effort pour eux, merde.

La vraie guerre que Macron mène, c’est la guerre sociale contre les Français, contre le peuple, au profit des puissances mondialistes.

Source

LIRE AUSSI: Avec la Chine, le monde bascule vers une "économie de guerre"

 

 

 

Michel Onfray sur Macron et Mélenchon: «c’est exactement la même chose, l’avers et le revers de la même médaille. Ce sont des gens qui ont envie de détruire la France, ils ont la détestation de la France en commun»

 

 

 

La Chine est prête à soutenir la Russie sur les questions de souveraineté et de sécurité, déclare Xi Jinping après avoir parlé à Poutine

 

Le porte-parole du président russe, Dmitri Peskov, a confirmé plus tôt des informations selon lesquelles les présidents de la Russie et de la Chine auraient eu une conversation téléphonique, promettant que des détails supplémentaires seraient publiés ultérieurement.

Vers une guerre de religion, infos du 15 juin 2022

La Chine et la Russie continueront de se soutenir mutuellement sur les questions de souveraineté et de sécurité , a déclaré le président chinois Xi Jinping, cité par CCTV suite à sa conversation téléphonique avec son homologue russe Vladimir Poutine.

Le dirigeant chinois a en outre déclaré que la coopération entre les deux pays se poursuivra également dans d'autres domaines, malgré les instabilités mondiales actuelles. Il a notamment mentionné le renforcement de la coopération stratégique entre la Russie et la Chine.

"Depuis le début de cette année, malgré les changements globaux et l'instabilité dans le monde, les relations sino-russes ont maintenu une bonne dynamique de développement. La partie chinoise est prête à coopérer avec la partie russe pour assurer le développement stable et à long terme de coopération commerciale bilatérale", a déclaré Xi Jinping.

Xi Jinping s'est également dit prêt à approfondir la coopération entre la Chine et la Russie au sein des organisations internationales et régionales, notamment l'ONU, les BRICS et l'Organisation de coopération de Shanghai (OCS). Le président chinois a salué le "fort développement" de la coopération économique et commerciale entre les deux pays ces dernières années.

Les deux présidents ont également abordé la question du conflit en cours en Ukraine, Xi Jinping disant à Poutine que toutes les parties concernées devraient travailler pour y mettre fin. Le dirigeant chinois, à son tour, a promis que Pékin continuerait à jouer son rôle constructif dans ce processus.

La Chine a été critiquée par les pays occidentaux pour son refus de condamner l'opération spéciale russe en Ukraine et d'appliquer des sanctions contre les responsables, les structures gouvernementales et les entreprises russes. Pékin a fermement rejeté les demandes en ce sens et a sévèrement critiqué les sanctions occidentales contre la Russie.

L'Ukraine figurait parmi les sujets abordés par les présidents Xi Jinping et Vladimir Poutine lors d'un appel téléphonique plus tôt dans la journée. Le porte-parole du président russe, Dmitri Peskov, a confirmé les informations selon lesquelles la conversation avait eu lieu, mais a déclaré que les détails de son contenu seraient rendus publics ultérieurement.
Source Spoutnik (traduction)

 

 

Israël craint une attaque de l’Iran et demande à ses ressortissants de quitter la Turquie

 

L’Etat hébreu a peur que les Israéliens en vacances soient attaqués par des Iraniens. Plusieurs tentatives d’attentats auraient déjà été déjouées, selon des sources anonymes.

 

 13 juin 2022
 

Simple paranoïa ou réel danger ? Ce lundi, le ministre israélien des Affaires étrangères, Yaïr Lapid, a appelé ses concitoyens qui se trouvent en Turquie à quitter «dès que possible» le pays par crainte d’attaques iraniennes. «A la suite d’une série de tentatives d’attentats terroristes iraniens ces dernières semaines contre des Israéliens en vacances à Istanbul, nous appelons les Israéliens à ne pas prendre l’avion pour Istanbul et, […] si vous êtes déjà à Istanbul, retournez en Israël dès que possible», explique le ministre dans un communiqué.

«Danger réel et immédiat»

Plus tard dans la journée, le Conseil national de la sécurité, une entité chargée entre autres de la coordination de la lutte antiterroriste, a élevé au niveau 4 (le plus haut sur l’échelle israélienne) la menace pour les ressortissants israéliens à Istanbul et à 3 dans le reste de la Turquie. Au cours des dernières semaines, la presse israélienne a fait état de tentatives d’attaques contre des Israéliens en Turquie, citant des sources anonymes. Ces attentats auraient été déjoués grâce à une collaboration entre services de sécurité israéliens et turcs, les deux pays ayant resserré leurs relations ces derniers mois. Evoquant un «danger réel et immédiat d’assassinat et de kidnapping», Yaïr Lapid a indiqué que «la vie de plusieurs Israéliens [avait] été sauvée». Avant de s’adresser à l’Iran sur un ton pour le moins menaçant : «Quiconque cause du tort aux Israéliens en paiera le prix, nous les traquerons peu importe où ils se trouvent.»

Lire la suite

 

 

 

 

 

L’incroyable omerta médiatique et politique autour de l’assassinat d’Alban Gervaise, égorgé “au nom d’Allah” par Mohamed L. (MàJ)

ANALYSE – Ce père de famille a été tué en mai au nom d’Allah, devant une école catholique. Depuis, c’est l’indifférence médiatique et politique.

(…) L’AFP alimente les quotidiens régionaux. La plupart ont au mieux mentionné l’égorgement d’Alban Gervaise, puisque c’est de lui qu’il s’agit, en quelques lignes à la rubrique «faits divers». À l’exception notable de L’Union , quotidien de l’Ardennais, qui a publié le 31 mai un éditorial intitulé «Alban Gervaise, un nom qui ne vous dit rien», pour s’indigner du traitement médiatique réservé à son assassinat.

Qu’on en juge: dans la presse écrite nationale, Le Figaro, Le Point et Valeurs Actuelles ont été les seuls à traiter le sujet pour ce qu’il est, un meurtre commis au nom d’Allah. Le Monde, Libération et Le Parisien-Aujourd’hui en France n’en ont pas dit un mot, ni dans leurs éditions papier, ni sur leur site. Dans le reste de la presse, à part France info.fr et TF1 Info, les rares grands médias à s’y être réellement intéressés sont Europe 1, Sud Radio et CNEWS.

L’épouse de la victime a refusé toute médiatisation, pour protéger ses trois enfants. Mais le respect de leur drame personnel n’empêchait pas que les médias fassent leur travail, comme les militaires sont les premiers à le demander. «J’aimerais comprendre pourquoi le meurtre barbare de notre camarade Alban Gervaise a été aussi peu traité par la presse, lance un officier supérieur de l’armée de Terre en poste à Paris. Est-ce parce qu’il était militaire ? Par idéologie ou pour nier la réalité ? Nous sommes nombreux autour de moi à nous poser la question. Et nous voulons une réponse car ce silence médiatique est comme une deuxième mort.»

«Depuis l’annonce de son assassinat, les mêmes interrogations tournent en boucle dans ma tête, assure un chef d’escadron récemment breveté de l’École de Guerre. Que vaut vraiment la mort d’un militaire dans notre pays ? En nous engageant, nous savons et assumons les risques que nous prenons. En servant les armes de la France, nous n’attendons aucune reconnaissance particulière. Nous faisons notre devoir sans nous plaindre. Mais là, je ne comprends pas pourquoi la mort du médecin chef Alban Gervaise, victime du terrorisme, a été occultée à ce point. C’est une honte

(…) Le Figaro


14/06/2022

MàJ : entre deux messes célébrées à son intention, sa paroisse convie ses fidèles à une “Rencontre festive Chrétiens et Musulmans”

Paroisse Saint-Jérôme – Saint-Just – La rose, Marseille

Diocèse de Marseille
Association chemins du dialogue / VSMF Provence


13/06/2022

MàJ : Cérémonie militaire “discrète” pour honorer sa mémoire


07/06/2022


31/05/22

MàJ : Il venait d’être promu chevalier de l’ordre national du Mérite par E. Macron

Décret du 28 avril 2022 portant promotion et nomination dans l’ordre national du Mérite en faveur des militaires appartenant à l’armée active

Pour son décès, le ministre des Armées a rédigé un communiqué de presse :

Communiqué de presse du 27/05/22 du ministre des Armées

 

 

Les incidents scolaires liés au voile et aux tenues islamiques se multiplient, confirme le Renseignement territorial. 144 entorses à la laïcité en 3 mois (MàJ : Pap Ndiaye demande “du calme” et agira “s’il y a lieu d’agir”)

14/06/2022


Selon des chiffres du Service central du renseignement territorial, divulgués par RTL mardi 14 juin, 144 entorses à la loi de 2004 sur la laïcité à l’école ont été recensées au deuxième trimestre 2022 contre 97 sur les trois premiers mois de l’année, soit une augmentation de plus de 48 %.

« Je suis universitaire et scientifique, j’ai besoin de données avant de pouvoir agir, s’il y a lieu d’agir », a expliqué Pap Ndiaye

Public Sénat


Info RTL 144 entorses à la loi de 2004 sur la laïcité à l’école ont été recensées au deuxième trimestre, contre 97 au premier d’après les policiers du SCRT qui ont livré le 8 juin une analyse du phénomène. Ils alertent sur des enseignants “démunis”.

Certains y verront une publication opportuniste du ministère de l’Intérieur après l’article de l’Opinion dénonçant début juin une “épidémie de tenues islamiques” dans les établissements scolaires. D’autres, au contraire, la confirmation d’un phénomène qui inquiète le corps enseignant. 

Le Service central du renseignement territorial (SCRT), service de police héritier des RG et chargé notamment du suivi des communautarismes, a publié le 8 juin une note confidentielle, consultée par RTL, sur les entorses à la loi de 2004 sur la laïcité à l’école. S’il ne reprend pas le terme polémique “d’épidémie” le document de douze pages confirme la “multiplication” ces derniers mois de cas d’élèves qui refusent d’ôter leur voile islamique ou qui souhaitent porter des tenues “traditionnelles”, pour les filles des robes amples qui couvrent le corps type jilbebs ou abayas, pour les garçons kamis ou djellabas.

(…)

Dans le détail le document relève que 144 entorses à la loi de 2004 ont été recensées par le ministère de l’Éducation nationale entre janvier et mars 2022 principalement dans le secondaire. Ce qui représente 50% d’augmentation par rapport au premier trimestre ou 97 entorses avaient été rapportées. Un chiffre important mais à rapporter aux 5,6 millions d’élèves scolarisés dans les lycées et collèges. Autre point de comparaison, on en comptait 150 sur toute l’année 2018.

En théorie ces 144 incidents concernent toutes les religions car la loi ne permet pas de les catégoriser en fonction des confessions. Mais “l’écrasante majorité” des faits concerne l’Islam précise à RTL la source policière au fait du dossier.

(…) RTL.fr

(Merci à turlututu2)


02/06/2022


[…] “Là-dessus je vais être très clair, la politique que je veux conduire est toujours la même, celle de la vérité. Il ne doit y avoir aucun tabou, aucun interdit et non plus aucun fantasme. Donc moi je veux de la vérité, de la clarté sur tous les chiffres. Et ensuite je veux que la loi de la République s’applique”, a-t-il ajouté. “Et la loi est très claire: pour tous les élèves dans nos écoles, il n’y a pas de signes religieux, quels qu’ils soient”, a-t-il encore dit.

 

“Cette recrudescence est une réalité”

“Nous allons avec monsieur le ministre (de l’Éducation, Pap Ndiaye, ndlr) regarder, mesurer et répondre avec la plus grande clarté à toutes les situations qui ne respectent pas les lois de la République”.

L’Opinion affirme jeudi que l’Education nationale est confrontée à une “épidémie” de “tenues islamiques” et que “plusieurs incidents ont éclaté dans diverses académies ces derniers mois”. Selon le journal, des abayas (robe traditionnelle noire) et kamis (tunique musulmane) “ont fait leur apparition ces derniers mois aux portes de plusieurs lycées”. […]

BFM TV


[…] Plusieurs académies, à des degrés divers, sont concernées. Le phénomène a récemment pris de l’ampleur, laissant penser qu’il s’agit, si ce n’est d’une opération concertée, du moins d’un prosélytisme affirmé. Des « défis » sont même apparus sur les réseaux sociaux, incitant les jeunes à tester leur lycée.

 

Selon les informations de l’Opinion, les renseignements territoriaux ont alerté le ministère de l’Intérieur, comme les rectorats l’ont fait pour l’Education nationale. Le dossier va vite être soumis à Pap Ndiaye et pourrait servir d’examen de passage au nouveau ministre quant à sa fermeté sur les atteintes à la laïcité. A Grenoble, deux jeunes filles ont été rappelées à l’ordre mi-mai. La direction du lycée Mounier a ensuite envoyé aux parents d’élèves un mail, cité par le Dauphiné libéré, rappelant que « les tenues non adaptées (claquettes, les tenues de plage ainsi que les tuniques longues considérées comme un signe ostentatoire religieux) ne sont pas acceptées ». Dès le lendemain, les abayas étaient plus nombreuses à l’entrée, puis une pétition « contre les discriminations faites aux lycéennes » mise en ligne sur le site change.org. Ces incidents ont eu lieu la semaine où la majorité d’Eric Piolle (EELV) votait l’autorisation du burkini dans les piscines municipales. «Hausse significative». Dans l’Aisne, des familles ont eu la surprise de voir des garçons en kamis le jour de la fête de l’Aïd ; d’autres, dans l’Oise, dénoncent une “épidémie” de port du voile. Les régions de Bordeaux, Clermont-Ferrand, la banlieue francilienne comme Paris intra muros sont aussi concernées. Parfois, les élèves retirent leur voile-capuche à l’entrée pour mieux le rabattre dans la cour ou dans les couloirs, tandis que les surveillants s’évertuent à faire respecter le règlement. Quand quelques lycéennes se voient priées de rentrer chez elles, c’est parfois un groupe de 10 ou 15 qui se présente le lendemain.

[…]

Le dossier est suivi avec d’autant plus d’attention qu’en 2011, une « affaire de longues robes » à Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis), avait provoqué une polémique. Quelques lycéennes drapées dans des tenues sombres avaient fait des émules au lycée Auguste-Blanqui, aussitôt soutenues par deux groupuscules fondamentalistes, Forsane Alizza ( « Les Cavaliers de la fierté ») et le Collectif cheikh Yassine (CCY), dissous administrativement depuis. Le second avait été créé en 2004 par Abdelhakim Sefrioui. L’homme avait, plus tard, été identifié par la proviseure du lycée Blanqui comme « l’oncle » venu défendre avec véhémence les élèves en cause. En 2019, après un cours sur la laïcité et la présentation de caricatures de Mahomet dans un collège des Yvelines, Abdelhakim Sefrioui faisait un scandale auprès de la direction. L’enseignant visé s’appelait Samuel Paty. Soupçonné d’avoir participé à l’engrenage mortel ayant conduit à l’attentat, l’islamiste est aujourd’hui incarcéré, mis en examen pour complicité d’assassinat.

L’Opinion

 

 

Nice : après un refus d’obtempérer, une fourgonnette transportant des migrants fonce sur les policiers, deux migrants blessés par balle. Ces clandestins ont été convoyés depuis la frontière italienne (MàJ)

Tout a commencé lors d’une opération conjointe de la police franco-italienne à la frontière sur la commune de Sospel . Une voiture qui transportait des migrants a d’abord refusé d’obtempérer au contrôle de la police. Une course-poursuite de 40 kilomètres s’est alors engagée jusqu’à Nice, jusqu’au quartier des Moulins, dans la nuit de mardi à mercredi. La voiture s’est arrêtée avant de redémarrer et a foncé sur les policiers de la police aux frontières. Ces derniers ont alors fait usage de leurs armes et ont tiré à quatre reprises. Deux personnes, des migrants, à bord du véhicule ont été blessés. Le conducteur et un autre passager ont réussi à s’enfuir.

France Bleu


Deux migrants ont été blessés par balles dans la nuit de mardi à ce mercredi après une course-poursuite dans le quartier de Moulins à Nice (Alpes-Maritimes). Selon les informations de Franceinfo, ces deux personnes étaient convoyées depuis la frontière italienne.

(…) Le conducteur et deux de ses acolytes ont pris la fuite, abandonnant cinq migrants à bord de la  fourgonnette.

France 3


Cette nuit deux migrants ont été blessés par balles à l’issue d’une course-poursuite de 40 km qui s’est terminée dans le quartier des Moulins à Nice. 

Deux personnes ont été blessées par balles dans la nuit du mardi 14 au mercredi 15 juin à l’issue d’une course poursuite avec la police. 

Les faits se sont déroulés aux alentours de 3h du matin. Une voiture transportait des migrants a d’abord a forcé deux barrages de police dans le secteur de Sospel. Une course-poursuite s’est alors engagée avec la police aux frontières. Elle s’est étendue sur 40km et s’est terminée dans le quartier des Moulins à Nice. 

 

[…]

 

L’article dans son intégralité sur Nice Matin

 

 

 

 

Sur le 1,5 million de migrants arrivés en Allemagne en 2015, près de 900 000 vivent encore de prestations sociales

Des données publiques officielles ont révélé que près de 900 000 migrants, soit environ la moitié de ceux qui sont arrivés en Allemagne pendant la crise des migrants de 2015-2016, vivent toujours de prestations sociales.

Les données, publiées par l’Agence fédérale pour l’emploi d’Allemagne suite à une demande du député de l’Alternative für Deutschland (AFD) René Springer, ont révélé que 893 000 des demandeurs d’asile qui sont arrivés en Allemagne pendant la crise des migrants de 2015/16 sont actuellement bénéficiaires de prestations sociales Hartz IV, rapporte Junge Freiheit.

Sur les quelque 1,6 à 1,8 million de demandeurs d’asile arrivés au cours de cette crise de deux ans – dont la plupart étaient originaires de Syrie, d’Afghanistan, de Somalie, d’Irak, d’Iran, d’Érythrée, du Pakistan et du Nigeria – seuls 460 000 ont un emploi, selon les chiffres de l’Agence fédérale pour l’emploi. La moitié de ceux qui travaillent sont employés dans le secteur de la main-d’œuvre non qualifiée en Allemagne, et beaucoup reçoivent encore des prestations sociales en raison de leurs faibles revenus.

Le rapport indique également que 670 000 demandeurs d’asile sont soit sans emploi, soit à la recherche d’un emploi, dont 235 000 au chômage et 437 000 à la recherche d’un emploi. Parmi les deux groupes, 11 % possèdent des qualifications professionnelles, dont environ 4 % ont une formation professionnelle, tandis que les autres 7 % ont une formation académique.

À l’heure actuelle, le pourcentage de demandeurs d’asile vivant des allocations standard Hartz IV s’élève à environ 50 %, ce chiffre atteignant près de 60 % pour les Syriens. En revanche, 5,6 % des citoyens allemands sont bénéficiaires des prestations sociales Hartz IV.

Parmi les demandeurs d’asile qui ont un emploi et qui paient des impôts, 43,3 % sont titulaires de ce que l’on appelle des “certificats de fin d’études”, l’équivalent d’un diplôme d’études secondaires aux États-Unis, d’un certificat général d’éducation (GCE) au Royaume-Uni et d’un baccalauréat dans la plupart des pays européens. Par conséquent, le pourcentage de demandeurs d’asile employés dans des professions dites d’aide est assez élevé, à un peu plus de 50 % – un chiffre qui a bondi de près de 7 % depuis janvier 2016. Sur la même période, le pourcentage de demandeurs d’asile employés travaillant dans le secteur de la main-d’œuvre qualifiée a diminué.

“Malgré tous les euphémismes du gouvernement et des médias, la part des immigrés dans nos systèmes sociaux ne peut plus être niée”, a déclaré le député de l’AfD René Springer, à la lumière de ces chiffres peu reluisants, ajoutant que les milliards d’euros de taxes qui ont été consacrés aux mesures d’intégration ont jusqu’à présent été “dépensés le plus souvent de manière inefficace.”

Les tentatives de formation de la grande masse des nouveaux arrivants ont malheureusement été largement infructueuses, puisque 15 000 des 25 000 (60 %) demandeurs d’asile qui ont fait appel au système allemand de formation professionnelle n’ont toujours pas été placés.

Les paiements aux bénéficiaires de prestations sociales Hartz IV sans passeport allemand ont doublé depuis 2007, pour atteindre près de 13 milliards d’euros en 2020. C’est précisément la raison pour laquelle “l’Allemagne a besoin d’une politique d’immigration restrictive qui empêche efficacement la migration de pauvreté”, a déclaré Mme Springer, ajoutant que “le Danemark nous montre qu’une telle politique est possible si la volonté politique est là.”

Même si les travailleurs allemands paient le deuxième plus haut taux d’impôt au monde sur les revenus du travail, d’éminents libéraux de gauche de la “coalition feu rouge” au pouvoir ont demandé que les prestations Hartz IV soient étendues à tous les demandeurs d’asile dès leur arrivée – même à ceux qui restent dans le pays après le rejet de leur demande.

Si cette mesure est introduite dans la loi, les demandeurs d’asile déboutés seraient placés sur un pied d’égalité avec les travailleurs allemands au chômage, ce qui leur permettrait de recevoir 450 euros par mois, comme l’a précédemment rapporté The European Conservative.

European Conservative

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