Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a exigé des sanctions internationales « maximum » avec notamment « aucun commerce avec la Russie ».
Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion
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Les Infos du 23 mai 2022
L’ESSENTIEL
14h07 : La Russie renforce sa flotte en mer Noire
La Russie a transféré l’un de ses plus récents navires de guerre, l’amiral Makarov, en mer Noire. Le gouvernement russe renforce ainsi sa flotte de sept navires amphibies et 2 navires lance-missiles. Cette manœuvre augmente la probabilité de frappes de missiles près d’Odessa.
14 heures : Les forces russes prennent la ville de Mironovsky
Une petite ville de la région de Donetsk, au sud de Popasna.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a exigé des sanctions internationales « maximum » avec notamment « aucun commerce avec la Russie ».
« C’est la condamnation la plus sévère et toute personne sensée ferait appel », a déclaré l’avocat du jeune homme, Viktor Ovsiannikov. « Je demanderai l’annulation du verdict », a-t-il déclaré.
12h09 : Le soldat russe jugé pour crime de guerre condamné à la prison à vie
« Le tribunal a décidé de reconnaître Chichimarine coupable et de le condamner à réclusion à vie », a déclaré le juge Serguiï Agafonov.
Les règles de discipline budgétaire imposées aux Etats membres de l'UE, qui ne sont plus appliquées depuis mars 2020, resteront suspendues en 2023 en raison du choc économique provoqué par la guerre en Ukraine, a annoncé lundi la Commission européenne.
Le président américain Joe Biden a déclaré lundi à Tokyo que la Russie « doit payer un prix à long terme » pour sa « barbarie en Ukraine » en termes de sanctions imposées par les Etats-Unis et leurs alliés.
« Il ne s’agit pas seulement de l’Ukraine », a déclaré Joe Biden. Car si « les sanctions n’étaient pas maintenues à de nombreux égards, alors quel signal cela enverrait-il à la Chine sur le coût d’une tentative de prise de Taïwan par la force ? », s’est-il interrogé.
Note; " la Russie doit payer le prix" Biden passe son temps a sortir sa phrase fétiche, du "prix a payez" , et sa fait des années qu'il menace Poutine "qu'il devras payez le prix", et sa 1 an avant que Poutine envahisse l'Ukraine
17 mars 2021, interrogé sur Vladimir Poutine par la chaine ABC, Joe Biden laisse entendre qu’il était «un tueur» et rajoute « Vous verrez bientôt le prix qu’il va payer » (allusion a la supposée ingérence russe dans la campagne présidentielle de 2020. (source)
2 mars 2022, lors de son premier discours sur l'état de l'Union, devant le Congrès américain à Washington, Joe Biden s'en prent avec force à Vladimir Poutine, un "dictateur" qui est "plus isolé que jamais" il rajoute "Poutine paiera un prix élevé (...) il ne sait pas ce qui l'attend" et "La guerre de Poutine était préméditée et n'a pas été provoquée...." (source)
Pékin a réagi en appelant le président américain à «ne pas sous-estimer» sa «ferme détermination» à «protéger sa souveraineté».
Le président américain Joe Biden, en visite à Tokyo, a multiplié lundi les mises en garde à Pékin, avertissant que les Etats-Unis défendraient Taïwan en cas d'invasion de l'île par la Chine qui a vivement réagi.
Après une visite de trois jours en Corée du Sud, Joe Biden est depuis dimanche soir au Japon, les responsables américains considérant ces deux pays comme les chevilles ouvrières du dispositif américain face à la montée en puissance de la Chine dans la région.
Lors d'une conférence de presse commune avec le premier ministre japonais Fumio Kishida lundi, Joe Biden a prévenu que les Etats-Unis défendraient militairement Taïwan si Pékin envahissait l'île autonome, jugeant que la Chine «flirte avec le danger».
«Nous étions d'accord avec la politique d'une seule Chine, nous l'avons signée (...) mais l'idée que (Taïwan) puisse être prise par la force n'est tout simplement pas appropriée», a-t-il ajouté.
Pékin a rapidement réagi en appelant le président américain à «ne pas sous-estimer» sa «ferme détermination» à «protéger sa souveraineté».
«Nous demandons instamment aux Etats-Unis (...) d'éviter d'envoyer de mauvais signaux aux forces indépendantistes» de Taïwan, a déclaré Wang Wenbin, un porte-parole du ministère des Affaires étrangères.
Un responsable de la Maison Blanche a cependant assuré que les commentaires de Joe Biden étaient conformes à la politique américaine sur Taïwan.
«Notre politique n'a pas changé. Il a réitéré notre politique d'une seule Chine et notre engagement en faveur de la paix et de la stabilité de part et d'autre du détroit de Taïwan», a dit ce responsable.
Affichant un front uni face à Pékin, Biden et Kishida ont aussi réaffirmé leur «vision commune d'un Indo-Pacifique libre et ouvert» et dit s'être mis d'accord pour surveiller l'activité navale chinoise dans la région, où la Chine montre des ambitions croissantes.
Le président américain a également visé la Russie, déclarant que Moscou devait «payer un prix à long terme» pour sa «barbarie en Ukraine» en termes de sanctions imposées par les Etats-Unis et leurs alliés.
«Il ne s'agit pas seulement de l'Ukraine», a dit M. Biden. Car si «les sanctions n'étaient pas maintenues (...) quel signal cela enverrait-il à la Chine sur le coût d'une tentative de prise de Taïwan par la force?».
Mardi, toujours à Tokyo, Biden cherchera à renforcer le leadership américain dans la région Asie-Pacifique en se joignant aux dirigeants de l'Australie, de l'Inde et du Japon pour un sommet d'une alliance informelle, le Quad.
Il s'agit d'une «occasion essentielle d'échanger des points de vue et de continuer à stimuler la coopération pratique dans la région indo-pacifique», a déclaré la Maison Blanche.
Toutefois, l'Inde, membre du Quad, s'est distinguée jusqu'ici par son refus de condamner ouvertement Moscou concernant la guerre en Ukraine ou de réduire ses échanges avec la Russie. Biden aura un entretien en tête-à-tête mardi avec le premier ministre indien Narendra Modi.
Il n’a pas survécu. Le jeune homme grièvement blessé dimanche, en fin de journée, à son domicile de la rue Bernard-Ortet, derrière la gare Matabiau à Toulouse, est décédé. Lucas, 18 ans, avait été transporté peu avant 20 heures à l’hôpital de Rangueil avec un pronostic vital engagé après avoir reçu trois coups de lame.
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L’article dans son intégralité sur La Dépêche
Un agent de sécurité a été tué ce lundi matin à l’ambassade du Qatar à Paris (VIIIe). Un suspect a été interpellé sur place par la police selon nos informations.
Les faits se sont déroulés vers 07h45 à l’intérieur de l’ambassade située au 1 rue de Tilsitt, à proximité des Champs-Élysées. L’agresseur serait entré de force dans l’ambassade et une altercation aurait éclaté avec l’agent de sécurité. Ce dernier a ensuite été violemment roué de coups et étranglé.
Les policiers sont rapidement arrivés sur place et ont interpellé le suspect âgé de 38 ans. Cet homme est déjà bien connu des services de police indique une source proche de l’affaire. Il aurait hurlé “Allah Akbar” au moment de l’agression mortelle.
La victime de 44 ans a été prise en charge par les secours alors qu’elle était en arrêt cardio-respiratoire mais n’a pu être réanimée. Elle a été déclarée morte sur place à 08h24. Des constatations sont en cours sur place. Les motivations du tueur présumé restent inconnues. Ce dernier va faire l’objet d’un examen de comportement et serait connu pour schizophrénie. Il aurait été testé positif à la cocaïne.
Une enquête pour “homicide volontaire” a été ouverte par le parquet de Paris et confiée à la brigade criminelle. Le parquet national antiterroriste (PNAT) ne s’est pas saisi du dossier à ce stade des investigations.
Trois projets scolaires engagés et deux belles initiatives ont été primés ce samedi par l’association des membres de l’ordre national du mérite.
Nettoyage des rues, collecte pour les gens dans le besoin, actions contre le harcèlement ou pour la laïcité… L’association nationale des membres de l’ordre du mérite a remis ce samedi 21 mai au matin, dans les salons de l’hôtel de ville d’Angoulême, trois prix de l’éducation citoyenne et deux prix du civisme à des jeunes qui se sont investis dans des projets méritants.
Note : on se croirais à Dakar
L’Arcom a publié les temps de parole des chaînes et des stations pour les 15 premiers jours de mai. La France insoumise triomphe, notamment sur le service public.
Si on additionne France Inter, France Info et France Culture, le parti de Jean-Luc Mélenchon a bénéficié d’un temps d’antenne de plus de 3 heures. Pour les chaînes de télévision (France 2, France 3, France 5 et France Info), le total monte à 4 h 40. En tout, près de 7 h 40 d’antenne contre, par exemple, moins de 3 heures pour Renaissance (le parti d’Emmanuel Macron) et 1 h 56 pour le Rassemblement national, les deux partis finalistes de la présidentielle. L’actualité de début mai a été marquée par les tractations entre La France insoumise et les autres forces de gauche pour présenter des candidats communs dans le plus grand nombre de circonscriptions – d’où des temps de parole importants.
(…) Si on regarde les autres chaînes d’info, on voit la même différence de compteur. Sur BFM, LFI a eu la parole 1 h 41 contre 33 minutes pour Renaissance, 23 minutes pour le Rassemblement national et 18 minutes pour Les Républicains. LCI a consacré 1 h 33 minutes au parti de Jean-Luc Mélenchon, 24 minutes pour Renaissance, 6 minutes pour le Rassemblement national et seulement 39… secondes pour Les Républicains. Sur CNews, on respecte parfaitement le podium du premier tour : plus de 2 heures pour Renaissance, 1 h 50 pour le parti de Marine Le Pen et 1 h 45 pour les Insoumis. Les Républicains (1 h 11) et Reconquête ! (1 h 9) suivent. Prochain point de passage en fin de mois.
ANALYSE – Si la nomination de cet universitaire, spécialiste de la question des minorités, divise la classe politique, elle suscite également un vif débat au sein du monde intellectuel.
Pierre-André Taguieff avoue avoir été traversé par «un moment de stupeur». Alain Finkielkraut ne cache pas non plus que sa surprise fut grande à l’annonce du nom de Pap Ndiaye au ministère de l’Éducation nationale. Si la nomination de cet universitaire, spécialiste de la question des minorités, divise la classe politique, elle suscite également un vif débat au sein du monde intellectuel. Les défenseurs de l’école laïque et républicaine voient dans cette nomination, et dans l’éviction de Jean-Michel Blanquer, un camouflet. Ils redoutent que Pap Ndiaye fasse entrer la pensée décoloniale à l’Éducation nationale. Les partisans du multiculturalisme espèrent, tout au contraire, que le nouveau ministre, qui revendique son engagement antiraciste, fera évoluer un modèle universaliste qu’ils jugent obsolète et hypocrite.
Alain Finkielkraut : « Pap Ndiaye ne s’est jamais exprimé sur l’effondrement de la connaissance, la crise de la transmission. Il ne s’est exprimé que pour demander plus de diversité »
Benjamin Stora, historien de gauche, sur Pap Ndiaye : « Ces propos flirtant avec l’indigénisme ne sont pas compatibles avec l’éloge de la République qui a été le sien durant la passation de pouvoirs. Il va devoir choisir… »
Benjamin Stora dément avoir tenu les propos que lui prête Le Figaro. Alexandre Devecchio, l’auteur de l’article, affirme que les “propos rapportés ont été naturellement tenus par chacun des intervenants” :
Note : il est dans la mm idéologie de pensée que celui qui la choisie, Macron
Le 22 mai 2022
Un colonel des Gardiens de la révolution, l'armée idéologique de l'Iran, a été «assassiné» dimanche par balle dans l'est de Téhéran, a-t-on appris de sources officielles.
«Sayyad Khodaï, un défenseur du sanctuaire, a été assassiné lors d'une attaque armée menée par deux motards dans la rue Mojahedin-é Eslam à Téhéran», a indiqué l'agence de presse officielle Irna.
Le terme «défenseur du sanctuaire» désigne toute personne travaillant pour le compte de la République islamique en Syrie et en Irak. Les Gardiens ont pour leur part précisé que la victime était un colonel.
Ils ont dénoncé dans un communiqué publié sur leur site, un «acte terroriste» commis par des «éléments liés à l'arrogance mondiale» (les Etats-Unis et leurs alliés, dans la phraséologie officielle de la République islamique, NDLR).
Une enquête est en cours pour identifier «l'agresseur ou les agresseurs», a ajouté le communiqué des Gardiens.
L'agence Irna a publié des photos montrant un homme couvert de sang, assis sur le siège du conducteur d'une voiture dont les vitres avait été brisées. Sayyad Khodaï a été atteint de cinq balles lors de cette attaque survenue vers 16h (11h30 GMT), alors que le colonel rentrait chez lui, selon la même source.
L'agence Tasnim a pour sa part précisé que Khodaï se trouvait «près de chez lui» quand il a été assassiné. «Sa femme fut la première personne à découvrir le corps», selon la même source.
Note : si Israël est derrière cette assassina, les "relations" entre les deux pays vont encore plus se dégradé
L’ancien directeur de campagne d’Hillary Clinton a témoigné devant une cour fédérale de justice qu’Hillary Clinton avait personnellement autorisé à l’automne 2016 des fuites à la presse affirmant que Donald Trump avait des liens avec une banque russe.
Robby Mook a déclaré avoir assisté à une réunion avec d’autres hauts responsables de la campagne où ils ont été informés d’une cyberactivité étrange qui suggérait une relation entre la Trump Organization et Alfa Bank, localisée à Moscou. Le groupe a décidé de partager l’information avec un journaliste, et Mook en a parlé à Hillary Clinton elle-même. “Nous en avons discuté avec Hillary”, a déclaré Mook, ajoutant plus tard qu'”elle était d’accord avec cette décision”.
Un membre du personnel de la campagne a ensuite transmis l’information à un journaliste du magazine Slate, dont la campagne espérait qu’il “passerait l’information au crible et écrirait ce qu’il croit être vrai”, a déclaré Mook. Slate a publié un article le 31 octobre 2016, soulevant des questions sur les étranges liens informatiques Trump-Alfa. Après la publication de cette histoire, Clinton a tweeté à ce sujet et a publié un communiqué de presse qui disait : “Ce soutien mutuel pourrait être la clé pour percer le mystère des liens de Trump avec la Russie.”
Le témoignage a eu lieu lors du procès de l’avocat de la campagne de Clinton, Michael Sussmann, qui est poursuivi par l’avocat spécial de l’ère Trump, John Durham. Durham enquête sur les fautes potentielles liées à l’enquête Trump-Russie du FBI. Le procès a mis en lumière les tactiques cachées de l’opposition politique – comment les campagnes déterrent les sales histoires et les proposent à la presse.
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Sussmann a transmis les mêmes informations sur Trump et Alfa Bank à un fonctionnaire du FBI en septembre 2016. Les procureurs l’ont accusé de mentir au FBI et allèguent qu’il a faussement dit à l’agent du FBI qu’il n’était pas là pour un client, alors qu’il était là au nom de Clinton. Il a plaidé non coupable et maintient qu’il est allé “aider le FBI” en tant que citoyen concerné, et que les équipes de la campagne de Clinton n’auraient pas voulu qu’il rencontre le FBI en premier lieu. Mook et un autre haut responsable de la campagne Clinton, le conseiller général Marc Elias, l’ont répété cette semaine à la barre. Ils ont déclaré qu’ils n’avaient ni autorisé ni ordonné à Sussmann d’aller au FBI avec ce renseignement explosif sur Trump. Mook a déclaré vendredi qu’il ne savait même pas qui était Sussmann pendant la campagne 2016 et qu’il se serait opposé à une rencontre avec le FBI.
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