L'armée ukrainienne a délibérément tiré sur le monastère de Svyatogorsk en utilisant l'artillerie à lance-roquettes multiples Grad pour blâmer l'armée russe pour le crime et exacerber les tensions, a révélé Denis Nuryga, un sergent subalterne du bataillon néo-nazi Aidar qui s'est rendu aux forces russes.
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Les Infos du 2 avril 2022
Manque de temps, je poste aujourd’hui l'actualité au minimum (j'ai quelques bons articles de Spoutnik de coté que je posterais, j'espére demain)
Guerre en Ukraine EN DIRECT : Plus de 30 villes « libérées » par l’armée ukrainienne autour de Kiev...
L’ESSENTIEL
- La Russie a accusé l’Ukraine hier d’avoir mené une attaque en hélicoptère sur son territoire. Un acte qui pourrait rendre encore plus difficiles les négociations, prévient Moscou.
- Plus de 3.000 personnes ont réussi à fuir Marioupol hier selon Volodymyr Zelensky, même si la Croix-Rouge annonce avoir échoué à mettre en place un couloir humanitaire.
- Le secrétaire général adjoint de l’ONU pour les Affaires humanitaires, le Britannique Martin Griffiths, doit se rendre demain à Moscou pour essayer d’établir un « cessez-le-feu humanitaire ».
Les forces ukrainiennes ont délibérément bombardé un monastère dans le Donbass pour blâmer la Russie, révèle un ex-combattant néo-nazi
Le 02/04/2022
Le monastère de Svyatogorsk, un monument architectural majeur de la région de Donetsk et un lieu saint orthodoxe dont l'histoire remonte à près de 500 ans, a été bombardé dans la nuit du 12 mars. Le gouvernement et les médias ukrainiens ont accusé la Russie. L'armée russe a réfuté les allégations.
"Récemment, un monastère a été bombardé à Sviatogorsk, il y avait des gens à l'intérieur. Il y a eu des victimes. Tout a été fait exprès, pour donner l'impression qu'il a été bombardé par les forces russes. En réalité, c'est l'armée ukrainienne qui a tiré, pour envenimer davantage le conflit avec la Russie », a déclaré Nuryga.
« Il y a eu de lourds bombardements de Grad sur ce monastère. Autant que je sache, deux personnes y ont été tuées », a-t-il déclaré.
Le monastère de Svyatogorsk a été bombardé dans la nuit du 12 mars, avec des obus tombant près d'un pont reliant le lieu saint à la ville de Svyatogorsk, et endommageant le sanctuaire lui-même , brisant des fenêtres, endommageant le toit, renversant des arbres à proximité et laissant des éclats d'obus dans le murs du monastère. L'Ukraine a blâmé la Russie pour l'attaque. Le porte-parole du ministère russe de la Défense, Igor Konashenkov, a rejeté ces allégations et déclaré que des militants d'Aidar opéraient dans la région avant d'être débusqués.
Le combattant qui s'est rendu a également révélé que l'armée ukrainienne se déguisait en médecin et circulait dans des ambulances avec des mortiers cachés à l'intérieur.
« J'ai vu un exemple dans le village de Yuzhny où ils sont arrivés dans une ambulance, les gens sont sortis, pensant que les médecins étaient venus fournir une assistance médicale, ils voulaient leur demander des médicaments. Mais ils ont commencé à tirer en l'air avec des mitrailleuses automatiques pour disperser les civils. Ensuite, ils ont installé un mortier, tiré quelques coups de feu, sont montés dans l'ambulance et sont partis », a déclaré Nuryga.
Nuryga a en outre noté que les militaires ukrainiens se déguisaient en civils et voyageaient dans des camionnettes bancaires avec des pancartes « Enfants » peintes.
Nuryga, originaire de la ville d'Alushta, en Crimée, a déclaré qu'il s'était rendu aux forces russes parce qu'il voulait rentrer chez lui et parce que lui et les Ukrainiens en général en avaient assez de la discrimination contre la langue russe par le gouvernement.
« Mes parents sont [en Crimée], mon père, ma mère. Je viens de là. Je veux rentrer chez moi, car je ne les ai pas vus depuis longtemps. Je veux vivre ici. Parce que les gens en ont marre de l'atteinte à leurs droits linguistiques, d'abord et avant tout. Tous les documents, peu importe où vous travaillez, doivent être en ukrainien, à l'école, les enfants sont fortement contraints d'étudier en ukrainien. Pour moi, c'est inacceptable. Je veux parler la langue que je parle depuis l'enfance. J'en ai marre de la situation dans le pays. Je veux qu'il y ait la paix et rentrer chez moi », a-t-il déclaré.
Le bataillon Aidar est l'un des nombreux bataillons nationalistes volontaires ukrainiens incorporés dans la garde nationale du pays. La force combattante est connue pour ses meurtres arbitraires, ses tortures, ses pillages et autres crimes, et a été accusée de crimes de guerre contre des miliciens et des civils du Donbass par le HCR et Amnesty International.
De nouvelles analyses génétiques suggèrent une continuité de peuplement en France depuis 3.000 ans, sans apport massif d’immigration
(…)
Parmi ces 65 individus, il y a 33 hommes et 32 femmes. Ces données ont été comparées à d’autres génomes anciens ou contemporains d’Europe. Les auteurs ont réalisé une Analyse en Composantes Principales. Tous les gaulois de l’Âge du Fer se répartissent dans la zone de variabilité de la population française contemporaine.
Les échantillons de l’Âge du Fer de Grande-Bretagne et d’Espagne se superposent également avec les populations actuelles de ces mêmes régions. Tous ces résultats suggèrent une forte continuité génétique en Europe occidentale depuis l’Âge du Fer jusqu’à maintenant. La figure ci-dessus montre également un gradient de la répartition de ces individus de l’Âge du Fer corrélé avec la position latitudinale. Les individus du nord de la France sont situés plus haut, vers les individus de l’Âge du Fer de Grande-Bretagne, alors que ceux du sud de la France sont situés plus bas proche des individus de l’Âge du Fer de la péninsule Ibérique. Ce gradient est lié à la proportion d’ascendance des steppes plus élevée et à la proportion d’ascendance des fermiers du Néolithique plus basse dans les populations du nord que dans celles du sud.
(…)
L’étude qui démontre la continuité de peuplement entre l’Age de Fer et l’Age de Bronze
Points-clés
- 49 génomes analysés provenant de 27 sites français datés d’environ 1200 à 80 ans avant Jésus-Christ.
- Pas d’immigration majeure, ni de renouvellement de population entre l’âge du bronze et l’âge du fer en France (environ 1.000 ans avant JC).
- Une structuration génétique progressive Nord/Sud des populations de l’âge de fer.
Résumé
La période de l’âge du fer est importante dans l’histoire de France, puisque les Gaulois sont régulièrement présentés comme les ancêtres directs de la population française actuelle. Nous avons étudié ici la diversité génomique des communautés de l’âge du fer originaires de six régions françaises. Les 49 génomes étudiés nous ont permis de démontrer une absence de discontinuité entre les groupes de l’âge du bronze et de l’âge du fer en France (NDFDS : vers 1.000 ans avant JC), ce qui plaide en faveur d’une transition culturelle liée à des changements économiques locaux progressifs plutôt qu’à un afflux massif de groupes allochtones. Les analyses génomiques ont révélé une forte homogénéité génétique entre groupes régionaux associés à des cultures archéologiques distinctes. Cette homogénéisation génomique semble être liée à la mobilité des individus entre régions ainsi qu’au flux génétique avec les groupes voisins d’Angleterre et d’Espagne. Ainsi, les résultats montrent globalement un héritage génomique commun pour les populations de l’Age de Fer habitant sur le territoire français contemporain qui pourrait être lié à un flux génétique récurrent entre communautés régionales culturellement distinctes.
Origines et mobilités des groupes gaulois de l’âge de fer révélées par la génomique archéologique (en anglais)
Éric Zemmour : “Je pense que la catastrophe qui menace la France n’est pas écologique mais démographique. C’est un remplacement de population et de civilisation”
Isère : un homme abattu après avoir menacé les gendarmes avec un cutter
02/04/2022
Un homme de 49 ans a été abattu par les gendarmes après avoir menacé ces derniers avec un cutter dans la nuit de vendredi à samedi en Isère a indiqué le parquet de Grenoble.
D’après les premiers éléments de l’enquête, un différend familial serait à l’origine du drame. Un couple de personnes âgées, domicilié à Pierre-Châtel (Isère), a appelé les gendarmes alors que leur fils venait de les menacer avec un cutter.
Après avoir consommé de l’alcool, il aurait tenté de les tuer avant d’être désarmé par son frère qui habite également sur les lieux.
Une fois sur place, les gendarmes ont découvert la famille barricadée dans sa maison. L’agresseur a alors surgi avec son arme et a menacé les forces de l’ordre avant d’être abattu.
«Malgré plusieurs sommations pour lâcher son arme, l'individu continuait d'avancer vers les militaires qui, dos à un grillage et ne pouvant plus reculer, faisaient usage de leur pistolet pour se protéger et stopper son action. Ils tiraient chacun au moins une cartouche et touchaient l'individu au thorax», a déclaré le procureur Éric Vaillant.
L'homme est décédé des suites de ses blessures. Il était défavorablement connu des services de la gendarmerie et de la justice, notamment pour violences aggravées, outrage et dégradations.
Une enquête a été ouverte.
Haillicourt (62) : un homme âgé de 43 ans frappé à coups de marteau à la tête et poignardé par quatre individus, il est entre la vie et la mort
La victime a été évacuée à l’hôpital dans un état grave, avec un pronostic vital engagé.
Un homme de 43 ans a fait l’objet d’une violente agression à son domicile de la cité des Fleurs à Haillicourt, près de Béthune (Pas-de-Calais) dans la nuit de lundi à mardi.
Quatre individus ont fait irruption dans son domicile peu avant 23 heures. C’est la mère du quadragénaire qui a ouvert la porte de l’appartement quand elle a entendu frapper. L’un des agresseurs l’a mise en joue avec un fusil à pompe et lui a réclamé de l’argent. Une fois à l’intérieur, le quatuor s’est dirigé vers sa victime qui sortait de la douche. “L’homme a reçu des coups de marteau à la tête et a été poignardé à plusieurs reprises au niveau du dos”, selon une source proche du dossier, qui décrit une véritable tentative de meurtre. “Il pourrait s’agir d’un règlement de comptes”, précise cette source.
Noémie Halioua : “À Sarcelles comme ailleurs, les personnes issues de cultures diverses ne veulent pas vivre ensemble. C’est la communauté la plus importante numériquement qui dicte ses codes aux autres”
Dans Les uns contre les autres (Cerf), la journaliste Noémie Halioua, originaire de Sarcelles, raconte les transformations de la ville du Val-d’Oise depuis trois décennies, sur fond de clientélisme électoral et de communautarisme.
Noémie HALIOUA. – (…) Le «vivre-ensemble», à Sarcelles comme ailleurs, est un mythe. D’instinct, les personnes issues de cultures diverses ne veulent pas vivre ensemble, elles se regroupent par affinités. (…)
Cette dégradation est progressive et multifactorielle. La ghettoïsation sociale et ethnique, le regroupement familial, la loi Dalo ont eu leur rôle à jouer. Et puis le 11 septembre, l’instrumentalisation du conflit israélo-palestinien, la recrudescence d’attaques contre les chrétiens en Orient, la progression d’un islam revendicatif. Au fond, les points de bascule à Sarcelles sont les mêmes que ceux de la France, car Sarcelles et une métaphore de la France d’aujourd’hui sur toutes les questions de communautarisme et d’entrisme. (…)
Ces nouvelles communautés se regroupent entre elles facilement, accueillent les nouveaux arrivant et oublient le reste du monde. Des frontières se dressent entre les communautés. (…)
L’entrisme aussi a des conséquences très concrètes sur la façon dont sont gérés les conflits : je discutais récemment avec un policier de Sarcelles, qui m’expliquait que les communautés réglaient leurs comptes comme dans leurs pays d’origine, parfois directement en se plantant un couteau dans le thorax. Sans parler des crimes d’honneur qui se règlent entre clans, des mariages de jeunes adolescentes à peine pubères ou des cas de viols mis sous le tapis pour ne pas «salir» les communautés… (…)
À Sarcelles, tout est parfaitement structuré de sorte que les revendications de chaque communauté aient voix au chapitre : politiques et religieux sont main dans la main dans une somme d’intérêts communs. En fonction de son poids électoral, chacun réclame sa part du gâteau et le politique la lui apporte sur un plateau d’argent, en échange d’une réserve de voix. Qu’il s’agisse de budgets aux associations «culturelles», de prêts de salles municipales pour des festivités etc. Vous vous retrouvez avec des noms de ronds-points qui se réfèrent à des événements historiques des quatre coins du monde dont vous n’aviez même pas idée de l’existence. Autant vous dire que le jour où des islamistes chercheront une assise locale, Sarcelles sera une cible idéale, tout y est déjà prêt.
(…) En 2014, une manifestation propalestinienne s’est transformée en émeute antijuifs et ce traumatisme a conduit des familles à faire leurs valises du jour au lendemain. Avec le temps, la communauté juive s’est vidée. (…)
C’est une illustration à échelle locale de l’éclatement de la nation en une ribambelle de communautés revendicatives, exigeantes, qui vont tout droit vers l’affrontement. Car ce système communautaire finit par promouvoir la loi du plus fort : c’est la communauté la plus importante numériquement, la plus puissante, qui dicte ses codes aux autres. (…)
Flers (61): un migrant en situation irrégulière, délinquant multirécidiviste qui “baise la France”, est condamné pour des menaces de mort en récidive, outrage, rébellion en récidive et dégradations
À Flers, il menace de mort un voisin et outrage les policiers : prison ferme
Un homme de 23 ans a menacé de mort un habitant de la rue du 6-Juin à Flers (Orne) et outragé les policiers. Il a été condamné à de la prison ferme.
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Interdit de sortie, il va chercher son amie
Le 27 mars 2022, il n’est pas encore 6 h lorsque les policiers de Flers sont appelés pour intervenir rue du 6-Juin à Flers. Un individu serait en train de défoncer la porte d’un appartement.
À leur arrivée, ils constatent que cet individu, visiblement très énervé, est fortement alcoolisé et c’est par une pluie d’insultes qu’ils sont accueillis : « Vous n’êtes que des petits flics de Flers, la France je la b…, vous êtes de la merde… »
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23 ans, déjà incarcéré
Son casier judiciaire porte déjà trace de plusieurs condamnations avec des incarcérations et la présidente souligne qu’il a été mis en examen et placé sous contrôle judiciaire par le tribunal de Meaux (Seine-et-Marne) pour une instruction en cours avec une mesure qui lui interdit de sortir de chez lui entre 20 heures et 8 heures du matin
[…]
L’article dans son intégralité sur L’Orne Combattante
Un piéton percuté par un tramway à Bobigny (93) : “La mort de Jeremy Cohen est liée à une agression dont il a été victime par une bande de jeunes immédiatement avant d’être percuté par le véhicule” (MàJ)
L’histoire remonte à février dernier. Vous en avez probablement entendu parler, un jeune juif meurt écrasé par un tramway à Bobigny.
Jeremy Cohen est décédé après avoir été heurté par un tram de la ligne 1. La victime, transportée à l’hôpital en état d’urgence absolue, n’a pas survécu à ses blessures.
Contre toute attente, ses frères se lancent à la recherche de témoignages. Ils distribuent des flyers dans les sites aux lettres, lancent des appels à témoins et récupèrent des vidéos de la mort du jeune. Il s’avère qu’il a été agressé par une bande juste avant les faits
Son père Gérald et son frère Raphaël Cohen témoignent avec Shana présidente de l’association Paul Marer au micro de Bernard Abouaf
Radio Shalom17/02/22
Un homme est décédé après avoir été heurté par un tram de la ligne 1 mercredi soir. D’après la RATP, il a traversé les voies hors des passages piétons.
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