Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion
Résultats présidentielle 2022 : Emmanuel Macron et Marine Le Pen s'affronteront au second tour, Jean-Luc Mélenchon troisième
Ils recueillent respectivement 27,84% et 23,15%, selon les résultats définitifs du ministère de l'Intérieur publiés lundi à la mi-journée.
Le premier tour de la présidentielle a donc livré son verdict. Emmanuel Macron et Marine Le Pen seront face à face lors du second tour, après avoir respectivement recueilli 27,84% et 23,15% des voix, selon les résultats définitifs du ministère de l'Intérieur, lundi 11 avril. Alors que les sondages donnaient le président sortant talonné par la candidate du RN, le premier obtient donc un meilleur score que prévu. Cette affiche prend un air de revanche après l'élection de 2017, où les deux candidats s'étaient déjà affrontés.
L'insoumis Jean-Luc Mélenchon a effectué une remontée tout au long de la soirée dans les estimations, à la faveur du dépouillement plus tardif dans les grandes villes, mais il échoue à la troisième place (21,95%). Il rate d'une courte tête la marche du second tour, malgré la mobilisation du "vote utile". Il essuie là son troisième échec à la présidentielle, malgré un meilleur score qu'en 2017, qui conforte le rôle central à gauche de La France insoumise.
Effondrement de LR et du PS
Après avoir brièvement rêvé du second tour à l'automne, Eric Zemmour (Reconquête !) recueille pour sa part 7,07% des suffrages. Ce scrutin confirme la relégation des deux partis ayant gouverné la France de la Ve République jusqu'en 2017, qui réalisent le pire score de leur histoire : Valérie Pécresse (LR) recueille simplement 4,78% des suffrages – et n'atteint pas le seuil de remboursement des frais de campagne – et Anne Hidalgo (PS) se contente de 1,75%. Le candidat écologiste Yannick Jadot plafonne à 4,63%, devant le candidat de Résistons ! Jean Lassalle (3,13%), le communiste Fabien Roussel (2,28%), le candidat de Debout la France Nicolas Dupont-Aignan (2,06%), le candidat du NPA Philippe Poutou (0,77%) et la candidate de Lutte ouvrière Nathalie Arthaud (0,56%).
La grande majorité de la classe politique a appelé à voter pour Emmanuel Macron au second tour face à la candidate d'extrême droite Marine Le Pen, qui a de son côté reçu le soutien d'Eric Zemmour. Le président de la République sortant a remercié les candidats – Anne Hidalgo, Yannick Jadot, Fabien Roussel et Valérie Pécresse – qui lui ont accordé dès dimanche leur "soutien" et salué la "clarté" de ceux qui appellent comme LFI à "faire barrage à l'extrême droite". Le président sortant semble disposer d'un court avantage, sans certitude toutefois sur les réserves de voix des deux finalistes.
Note : grosse déception, j'aurais tellement aimé voir Éric Zemmour au second tour. Pourtant cela avait commencé très fort pour lui, avec des sondages lui donnant la seconde place, malheureusement de destin a tourné a son désavantage. Pourquoi a-t-il chuté dans les sondages ! peut-être à cause du nom de son partie "reconquête", trop guerrier (mais qui dans l'avenir deviendras logique*) ! ces prises de position pro Poutine ? !
Enfin, j’espère que M L Pen seras a la hauteur face au débat contre Macron. Mais comme je l'ai fait comprendre c'est Macron qui va redevenir président, parce que les prophéties parlent d'un incapable qui sera au pouvoir lors de ce prochain conflit
"N’attendez rien de celui qui règne comme roi et qui, aujourd’hui, est assis dans le même fauteuil que les autres (président) : fauteuil qui ne porte aucune marque d’un pouvoir spécial et plus grand.
Sa pensée est accordée à la pensée des autres, sa parole à leur parole, sa volonté à leur volonté.
Sa puissance et ses pouvoirs ne sont pas plus que ceux de celui qui est le dernier.
N’attendez rien de ce côté : il ne mérite pas plus de respect que tout le reste. Dans la tempête, sa voix criera aussi fort que les autres, contre tout ce que Dieu a établi...
Il n’y a pas de fermeté en lui : ils l’ont mené ; ils l’ont dirigé.
Voilà le portrait de cet homme : c’est un poteau de boue. Plaignons-le, mais n’y pensons guère." (Marie Julie Jahenny -
"Sa pensée est accordée à la pensée des autres, sa parole à leur parole, sa volonté à leur volonté."
L’actualité (McKinseyGate / Open Society Foundation de Soros/ Forum économique mondial ) prouve que c'est bien Macron. Car jamais un président français n'a autant été la marionnette des américains, que Macron
PS ; un quatrain de Nostradamus, semble parlais d'une personne, qui lors de ce grand prochain conflit seras très attendu, (comme l'a été le Général de Gaule qui été a l’étranger), mais Zemmour ne revendras jamais
C 10 - Q 75
Tant attendu ne reuiendra iamais,
Dedans l'Europe en Asie apparoistra:
Vn de la ligue yssu du grand Hermes,
Et sur tous Roys des Orients croistra.
Le tant attendu ne reviendra jamais,
(Mais) un européen en Asie apparaitra:
Un de la ligue issu du grand Hermès (messager de Dieu),
Et sur tous les Rois Orientaux croitra.
Le carton de Jean-Luc Mélenchon en Seine-Saint-Denis : en tête dans 37 villes sur 40, plus de 60% des voix à Saint-Denis, Bobigny, Clichy-sous-Bois, Aubervilliers…
11/04/2022
Mais Jean-Luc Mélenchon (LFI) aura fait le plein de voix en Seine-Saint-Denis, bastion de gauche où il est, plus encore qu’en 2017, arrivé très nettement en tête lors de ce premier tour.
Selon les résultats définitifs, publiés peu après 1 heure du matin par le ministère de l’Intérieur, le leader de la France insoumise y obtient près d’une voix sur deux (49,09), très loin devant Emmanuel Macron (20,27 %).
(…) Très largement en tête dans les plus grandes villes du département (Saint-Denis, avec 61,13 % ; Bobigny, 60,14 % ; Aubervilliers, 59,99 % ; Montreuil, 55,22 %…), Jean-Luc Mélenchon se paye même le luxe d’arriver aussi devant dans des villes administrées par des municipalités de droite, comme Aulnay-sous-Bois (où il atteint 50,68 %, devant Macron, qui y obtient 19,21 %), Le Blanc-Mesnil (52,88 % devant Macron, à 16,67 %), Montfermeil (41,12 % devant Le Pen, à 20,09 %), Neuilly-sur-Marne (41,29 % devant Macron à 24,01 %), ou encore Noisy-le-Grand, où l’écart est légèrement plus serré (36 %, devant Macron, 28,81 %). L’abstention, elle, atteint 30,15 %, soit environ trois points de plus qu’en 2017.
Que feront les électeurs de Mélenchon en Seine-Saint-Denis au second tour ? En 2002 et 2017, le front républicain face à Jean-Marie puis Marine Le Pen avait fonctionné à plein dans le département, qui compte de très nombreux habitants d’origine étrangère. Jacques Chirac et Emmanuel Macron y avaient respectivement obtenu 82,56 % et 78,82 %.
Note ; le plus inquiétant dans cette élection, c'est le résultat de Mélenchon, a 1 point juste derrière ML Pen. Comment des français de souche, peuvent être aussi pervertie pour votez ce maitre de la collaboration qu'est Mélenchon, et son équipe !
Présidentielle : à Roubaix, Jean-Luc Mélenchon recueille 52,5% des voix, soit une hausse de 16 points par rapport à 2017
11/04/2022
Sevran (93) : des policiers attaqués par des dizaines d’individus lors d’un contrôle routier, 2 agents blessés, l’un a reçu un pavé à l’arrière du crâne. “C’est un peu le sport départemental en Seine-Saint-Denis”, ironise un policier (MàJ)
L’un des fonctionnaires a notamment reçu un pavé à l’arrière de la tête. «Ce sont des miraculés», observe un policier.
De la fumée, des cris, des jets de pierres : la vidéo a fait le tour des réseaux sociaux. Un équipage de police secours a été violemment pris à partie dimanche 10 avril en fin d’après-midi après-midi à Sevran (Seine-Saint-Denis) par une trentaine d’individus surexcitée.
(…) Les policiers étaient occupés à consulter le fichier des véhicules volés sur leur téléphone portable lorsque des jets de projectiles ont commencé à pleuvoir. De nombreux pavés de béton ont atterri sur le véhicule de police ainsi que sur les fonctionnaires qui n’avaient pas eu le temps de remonter à bord. L’un a été blessé au niveau des mains et à l’arrière du crâne, l’autre au niveau du dos. La violence est encore montée d’un cran quand des appels au meurtre ont été proférés. « Tuez-les!», se sont écriés à plusieurs reprises les agresseurs, comme on peut l’entendre sur la vidéo amateur capturée par un homme depuis un terrain de pétanque.
(…) «Ce sont des miraculés», pointe la même source policière, qui se dit persuadée que l’équipage est tombé dans un guet-apens «parfaitement organisé». «Malheureusement, ce n’est pas rare que les collègues tombent dans ce genre de guet-apens. C’est un peu le sport départemental en Seine-Saint-Denis», ironise un policier.
« Pour lutter contre la fracture qui menace d’engloutir notre fonctionnement démocratique il faut prendre en compte une partie du diagnostic » posé par le vote RN.
11/04/2022
A la vérité, on s’est accoutumé à ce que deux France – il y en a d’autres – s’affrontent dans les urnes au second tour de l’élection présidentielle. Pour schématiser, car il y a bien sûr des nuances : la France de ceux qui sont ouverts sur le monde, confiants dans l’avenir, et qui ne se sentent pas lésés par le cours des choses (35% des cadres, notamment, ont voté Macron selon Ipsos), contre les pessimistes, les fâchés, les déçus qui se projettent dans un déclassement culturel, social et géographique (36 % des ouvriers et des employés ont opté pour Le Pen). Or la seule façon de lutter durablement contre cette fracture qui, à chaque élection, menace un peu plus d’engloutir notre fonctionnement démocratique traditionnel, n’est pas la “rediabolisation express” du vote lepéniste à laquelle l’on assiste depuis quelques jours, mais la prise en compte par le pouvoir politique d’une partie du diagnostic et des revendications de cet électorat. Sans l’idéaliser. Mais sans le disqualifier, non plus.
A chaque élection, on pourrait croire que le message est passé. C’est juré, la main sur le coeur, et l’oeil grave : “Plus rien ne sera jamais comme avant” (le président l’a redit dans son discours, dimanche). Mais dans les faits, l’attitude du pouvoir macroniste à cet égard n’a pas différé de ceux qui l’ont précédé : considérer que, finalement, l’électorat qui vote pour les candidats les plus radicaux n’est pas assez intelligent pour savoir ce qui est faisable, ni même ce qui est bien pour lui. Rarement avouée, cette façon de voir les choses est en réalité partagée par une partie des élites françaises. Nombre d’économistes, par exemple, en sont venus à considérer que si les électeurs populaires rejettent leurs préconisations ou leurs avis, c’est “parce qu’ils sont “nuls en maths”, ou “intoxiqués par des fake news””, résument – pour déplorer cette facilité de pensée – Augustin Landier et David Thesmar, deux brillants libéraux, auteurs d’un récent livre décoiffant* sur le fossé entre l’avis du peuple et l’analyse économique. Sur la demande d’un protectionnisme européen, l’exigence d’une réindustrialisation, ou le contrôle de l’immigration, tout n’est pas jugé par tout le monde à l’aune de l’efficience mondiale, constatent-ils à raison.
La disqualification va même, parfois, jusqu’à balayer d’un revers de main le diagnostic que nombre de citoyens font de leur propre situation et de leur propre avenir. “La France est un paradis peuplé de gens qui se croient en enfer”, entend-on. Variante : “Le déclassement, c’est dans la tête”… Traiter les moins bien lotis d’enfants gâtés, voilà une acrobatie devenue monnaie courante chez nombre de radicalisés du camp du bien. La version plus douce étant de croire qu’en faisant “plus de pédagogie”, ces égarés changeront d’avis et de vote. Curieux déni, ou méconnaissance de ce qu’est la politique même…
Mathieu Bock-Côté et le “vote utile” : “Les sondages déforment la mécanique du choix démocratique, en produisant souvent la réalité qu’ils prétendent décrire”
Présidentielle 2022 : la Corse place Marine Le Pen largement en tête
11/04/2022
Comme il y a cinq ans, Marine Le Pen fait la course en tête en Corse. Cette fois, sa domination est même sans appel. La candidate est en effet arrivée largement devant dimanche au premier tour du scrutin présidentiel marqué dans l’île, où les partis indépendantistes avaient appelé au boycott de l’élection, par une forte abstention. Par ailleurs, Jean Lassalle a lui aussi réalisé un bon score. Le candidat a obtenu 10,41 % des suffrages exprimés dans l’île, près de 7 points de plus que son score national (3 %).
Avec 28,58 %, Marine Le Pen devance donc Emmanuel Macron de plus de 10 points (18,11 %) suivi de Jean-Luc Mélenchon, de la France insoumise (13,37 %) et d’ Eric Zemmour (12,80 %). La candidate du Rassemblement national arrive nettement en tête des suffrages dans les deux plus grandes villes corses, avec 30,56 % des suffrages à Ajaccio et 29,30 % à Bastia contre respectivement 18,99 % et 17,51 % pour Emmanuel Macron. En 2017 déjà, Marine Le Pen était arrivée en tête dans cette île de 340.000 habitants avec 27,88 % des suffrages exprimés, devant François Fillon (25,52 %) et près de 10 points devant Emmanuel Macron (18,48 %).
(…) Face à ces résultats, le chef de l’opposition de droite à l’Assemblée de Corse et maire (Horizons/DVD) d’Ajaccio, Laurent Marcangeli, a indiqué avoir voté Emmanuel Macron au premier tour et compter le faire également au second, « pour que Mme Le Pen ne soit pas présidente de la République ». Le président autonomiste du conseil exécutif de Corse, Gilles Simeoni, qui a voté à Bastia, ne s’est quant à lui pas exprimé dimanche soir.
Présidentielle : Éric Zemmour dépasse les 50% chez les Français d’Israël
11/04/2022
Lavrov : L'opération spéciale russe en Ukraine vise à mettre fin à la course américaine à la domination mondiale
Le haut diplomate russe a fustigé les politiques américaines et européennes, alors que les nations occidentales se sont engagées à envoyer plus d'armes à Kiev.
Le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, a déclaré lundi que Moscou ne céderait pas aux pressions de l'étranger, notant que l'opération en Ukraine vise à mettre un terme aux plans américains de domination mondiale.
"Notre opération militaire spéciale est conçue pour mettre fin à l'expansion imprudente et à la course imprudente vers la domination totale des États-Unis et, sous eux, le reste des pays occidentaux sur la scène mondiale. Cette domination est construite avec des violations flagrantes du droit international , et conformément à certaines règles [peu claires], qui sont imposées à l'occasion », a déclaré Lavrov dans une interview avec le radiodiffuseur Rossiya 24.
Il a également critiqué le haut diplomate européen Josep Borrell pour ses dernières déclarations, après que le diplomate européen a déclaré que la crise en Ukraine devait être résolue par des moyens militaires.
Borrell a également exhorté les États membres du bloc à fournir à Kiev les armes qu'il a demandées. Lavrov a noté qu'après de telles affirmations, les règles ont radicalement changé, et a ajouté que Borrell était devenu personnel, avait fait une erreur ou avait même déclaré quelque chose qu'il n'était pas autorisé à dire.
"Il s'agit d'un changement tout à fait sérieux, même dans la politique que l'UE et l'Occident sous la direction des États-Unis - cela ne fait aucun doute - ont commencé à poursuivre après le début de notre opération militaire spéciale. Une politique qui reflète la colère, à certains égards même la frénésie, et qui, bien sûr, est déterminée non seulement par [la situation en] Ukraine, mais par la transformation de l'Ukraine en un point d'appui pour la suppression définitive de la Russie », a noté le ministre.
Il a également déclaré qu'il était possible que les troupes ukrainiennes, soutenues par les services de renseignement occidentaux, mènent de nouvelles provocations, citant un incident récent dans le Donbass, lorsque les forces de Kiev ont tenté de blâmer la Russie pour leur propre attaque contre la ville de Kramatorsk . Lavrov a noté qu'après que la Russie a montré les données réelles sur l'incident, tout le scandale a été rapidement balayé sous le tapis.
La situation reste tendue en Ukraine, alors que les forces russes poursuivent l'opération spéciale , lancée en février en réponse au bombardement massif du Donbass. Le président Vladimir Poutine a souligné que l'opération avait été lancée pour arrêter la guerre contre le peuple du Donbass menée par Kiev, qu'il a qualifiée de génocide. Il a également souligné que l'objectif de la Russie est la démilitarisation et la dénazification de l'Ukraine.
Note ; aujourd’hui priorité au résultat des élections .
J'ai deux articles de Spoutnik de coté, sur "les Génocide des civils du Donbass" , que je posterais demain
Guerre en Ukraine EN DIRECT : Les séparatistes prorusses disent avoir conquis la zone du port de Marioupol…
L’ESSENTIEL
Le chancelier autrichien Karl Nehammer sera ce lundi à Moscou pour y rencontrer Vladimir Poutine
Après avoir revu ses plans à la baisse et retiré ses troupes de la région de Kiev et du nord de l’Ukraine, la Russie a fait sa priorité de la conquête totale du Donbass, dans l’est
Alors que la population tente de fuir les régions orientales de l’Ukraine pour échapper à la bataille qui s’y annonce, les frappes aériennes et les bombardements continuent : dimanche, ils ont fait au moins deux morts à Kharkiv, la deuxième ville du pays, et dans sa banlieue, selon le gouverneur régional
Le président Zelensky a appelé les Occidentaux à « suivre l’exemple du Royaume-Uni », dont le Premier ministre Boris Johnson a effectué une visite surprise en Ukraine samedi, en imposant « un embargo total sur les hydrocarbures russes »
Les ministres des Affaires étrangères de l’UE, qui se réunissent ce lundi, doivent étudier un sixième paquet de sanctions contre Moscou, qui ne touchera toutefois pas les achats de pétrole et de gaz
Pakistan : renversé par une motion de censure, le Premier ministre Imran Khan quitte le pouvoir
10/04/2022
Imran Khan est le premier chef du gouvernement de l'histoire du pays à tomber sur une motion de censure depuis l'indépendance du pays, en 1947.
Aucun Premier ministre n'est allé jusqu'au bout de son mandat au Pakistan, depuis l'indépendance du pays en 1947. Imran Khan n'aura pas fait exception, mais surtout, il est le premier à tomber sur un vote de défiance. En poste depuis 2018, l'ancien champion de cricket (sport national au Pakistan) a été renversé, dimanche 10 avril, par une motion de censure votée à son encontre par l'Assemblée nationale, à l'issue de plusieurs semaines de crise politique et d'une dernière journée sous très haute tension.
La motion a été "approuvée" par 174 des 342 députés, a annoncé le président par intérim de la chambre, Sardar Ayaz Sadiq.
Le leader de la Ligue musulmane pressenti comme successeur
C'est Shehbaz Sharif, le leader de la Ligue musulmane du Pakistan (PML-N) et frère cadet de Nawaz Sharif, qui fut trois fois Premier ministre, qui devrait lui succéder à la tête de cette république islamique de 220 millions d'habitants, dotée de l'arme nucléaire. Il devrait être confirmé lundi à ce poste par l'Assemblée.
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