Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
troisiemeguerremondiale.net

troisiemeguerremondiale.net

Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

___________________________________

Les Infos du 25 mars 2022

 

 

 

 

 

L'armée de l'air ukrainienne, les défenses aériennes presque complètement détruites, la marine a cessé d'exister, déclare le ministère de la Défense russe

 

 

La Russie a lancé une opération militaire pour "démilitariser" l'Ukraine en février après avoir reçu une demande officielle d'assistance des républiques du Donbass nouvellement reconnues, qui ont dû faire face à des semaines d'escalade de bombardements, de sabotages et d'attaques de tireurs d'élite par les forces ukrainiennes.

Les forces aériennes et de défense aérienne de l'Ukraine ont été presque complètement détruites et la marine du pays a effectivement cessé d'exister, a déclaré le chef de la direction opérationnelle principale de l'état-major russe, Sergei Rudskoy.

La campagne de démilitarisation de l'Ukraine se déroule par la réalisation de frappes de précision contre des infrastructures militaires, des zones de déploiement de formations de troupes, ainsi que des aérodromes, des postes de commandement, des arsenaux et des dépôts contenant des armes et du matériel, ainsi que des batailles entre les forces ukrainiennes et russes. , a déclaré Rudskoï lors d'un briefing vendredi.

"À l'heure actuelle, l'armée de l'air ukrainienne et le système de défense aérienne ont été presque complètement détruits. Les forces navales du pays ont cessé d'exister", a déclaré l'officier.

Rudskoy a averti que la Russie "ne laisserait pas sans surveillance" toute tentative de fournir à Kiev de nouveaux avions et un système de défense aérienne, et a mis en garde l'OTAN contre la mise en place d'une zone d'exclusion aérienne au-dessus de l'Ukraine.

« Certains États membres de l'Alliance de l'Atlantique Nord proposent la fermeture de l'espace aérien au-dessus de l'Ukraine. J'attire votre attention sur le fait que les forces armées de la Fédération de Russie répondront immédiatement à de telles tentatives de manière appropriée », a déclaré Rudskoï.

Pertes

Selon l'officier, les forces armées ukrainiennes ont subi des pertes s'élevant à 30 000 personnes, dont 14 000 tués et 16 000 blessés, depuis le début de l'opération militaire russe le 24 février. Ces pertes ont affecté les 24 groupes d'unités terrestres qui existaient avant le début de l'opération, a déclaré Rudskoï.

L'armée ukrainienne n'a plus organisé de forces de réserve et les pertes sont désormais compensées par des troupes de défense territoriale qui n'ont pas la formation nécessaire, ce qui augmente le risque de pertes plus élevées, a déclaré l'officier.

Rudskoy a rappelé que les forces armées ukrainiennes et les formations de la Garde nationale se composaient de 260 200 militaires.

Source Soutnik (traduction)

 

 

 

 

Guerre en Ukraine EN DIRECT : Joe Biden a atterri à Rzeszow, en Pologne, à 100 km de la frontière...

 

 

L’ESSENTIEL

  • Après Bruxelles, Joe Biden passe la journée de vendredi en Pologne et va se rendre près de la frontière ukrainienne.
  • L’Otan a promis « une réponse » à Moscou en cas de recours à des armes chimiques.
  • A Marioupol, le dirigeant tchétchène Ramzan Kadyrov a affirmé que sa milice paramilitaire a pris la mairie, mais cela n’est pas confirmé.

 

 

14h16 : Le flux de réfugiés ralentit

Près de 3,7 millions de personnes ont fui l’Ukraine depuis l’invasion de l’armée russe le 24 février, selon le décompte de l’ONU. L’organisation estime à presque 6,5 millions le nombre de déplacés à l’intérieur de l’Ukraine, soit au total, plus de dix millions de personnes (un quart de la population) qui ont dû quitter leur foyer. L’ONU confirme cependant un ralentissement du nombre de passages ces derniers jours.

 

14h06 : Les livraisons d’armes occidentales sont « une erreur » qui prolonge le conflit lance l’armée russe

 

14h03 : Joe Biden a atterri à Rzeszow, en Pologne, à 100 km de la frontière ukrainienne

Le président américain doit d’abord rencontrer des soldats américains stationnés dans cette ville, avant de gagner Varsovie pour des entretiens avec les dirigeants polonais et une visite dans un centre d’accueil de réfugiés ukrainiens qui ont fui l’invasion russe de leur pays.

 

14h02 : L’armée russe admet la mort de 1.351 de ses soldats en Ukraine

« 1.351 militaires ont été tués et 3.825 blessés », a déclaré l’adjoint au chef de l’état-major des armées Sergueï Roudskoï.

L’armée indique aussi que la Russie a accueilli 419.736 réfugiés d’Ukraine.

 

13h48 : Pas d’armes chimiques côté américain

Les Etats-Unis « n’ont pas l’intention d’utiliser des armes chimiques quelles que soient les circonstances », c’est-à-dire même si la Russie en emploie en Ukraine, a assuré la Maison blanche. Le conseiller à la sécurité nationale américain Jake Sullivan a cependant prévenu que Moscou payerait « un prix très élevé » en cas d’utilisation d’armes chimiques.

 

 

Note:  combien de temps encore avant que les USA et leurs amis néonazie d'Ukraine mettre en exécutions leur plan diabolique, pour faire porter le chapeau aux russes (comme en Syrie, avec leurs amis islamistes) 

Mon dossier sur l'Ukraine sera prés demain

 

 

 

13h35 : Poutine compare les sanctions contre le monde de la culture russe aux autodafés nazis

« La dernière fois, ce sont les nazis en Allemagne, il y a près de 90 ans, qui ont mené une telle campagne de destruction d’une culture indésirable. On se souvient bien des images des livres brûlés sur les places publiques », a dit le président russe, lors d’une rencontre avec des personnalités de la culture.

Les autodafés sont des actions menées, à partir de 1933, par des groupes étudiants composés majoritairement de Nazis qui entreprennent de brûler les livres qu’ils revendiquent « non allemands », à savoir des œuvres d’écrivains juifs, libéraux et de gauche.

 

13h21 : La Finlande stoppent ses trains reliant la Russie à l’Union européenne

La compagnie ferroviaire finlandaise a annoncé l’interruption du trafic sur la ligne reliant Saint-Pétersbourg et Helsinki, où circulent les derniers trains permettant aux Russes de rejoindre l’Union européenne. Le dernier train « Allegro » en provenance de Russie doit arriver dimanche dans la capitale finlandaise, a indiqué l’opérateur national VR.

La liaison avait été maintenue pour permettre à des citoyens finlandais ou russes – seules nationalités autorisées à embarquer – de quitter la Russie. Le gouvernement finlandais estime désormais qu’un laps de temps suffisant a été laissé et qu'« opérer le service n’est plus approprié » au regard des sanctions contre la Russie.

 

12h17 : Kiev confirme le bombardement russe d’une réserve de carburant

Le ministère ukrainien des Situations d’urgence a confirmé vendredi « un bombardement » jeudi « vers 18 heures GMT » (19 heures, heure française) sur « la réserve de carburant de Kalynivka », à 40 km au sud-ouest de Kiev, sans donner de détails sur l’importance de ce site.

« Il n’y a aucune menace de propagation du feu en dehors de la réserve », a ajouté la même source. L’incendie était toujours en cours vendredi matin dégageant une épaisse fumée noire, ont constaté des journalistes de l’AFP.

« On a vu l’explosion, c’était vraiment puissant », a raconté un agent de sécurité du site ayant requis l’anonymat. « Heureusement, il n’y a pas de victimes », a-t-il précisé.

 

10h04 : Plus d’infos sur la « task force » pour réduire la dépendance énergétique de l’Europe

Les États-Unis et l’Union européenne ont annoncé vendredi la création d’un groupe de travail visant à réduire la dépendance de l’Europe envers les énergies fossiles russes, en raison de la guerre menée par Moscou en Ukraine.

Les États-Unis s’efforceront de fournir à l’Europe 15 milliards de mètres cubes supplémentaires de gaz naturel liquéfié (GNL) cette année, dans le cadre de cette initiative dévoilée par le président américain Joe Biden et la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen, selon un communiqué.

 

Note ; et voila, les journalistes de Spoutnik avaient raison, lorsqu’ils affirmaient que les américains voulaient  saboté les ventes de gaz russes, parce qu'ils voulaient vendre leurs gaz a l’Europe  !  Comment l’Europe peut être a ce point naïve et pas comprendre les manœuvres crapuleuses américaines

 

09h40 : L’Allemagne vise une « quasi-indépendance » au pétrole russe d’ici fin 2022

L’Allemagne a annoncé ce vendredi qu’elle allait fortement et rapidement réduire sa dépendance à l’égard des ressources énergétiques de la Russie, en se passant de son charbon d’ici l’automne et de son pétrole à la fin de l’année.

« D’ici le milieu de l’année, les importations de pétrole russe en Allemagne devraient avoir diminué de moitié, à la fin de l’année, nous visons une quasi-indépendance », a indiqué le ministère de l’Economie dans un communiqué, ajoutant que « d’ici l’automne, nous pouvons devenir globalement indépendants du charbon russe ». Pour le gaz, l’Allemagne pourra être « largement indépendante (…) d’ici mi-2024 », a-t-il ajouté.

DIRECT

 

LIRE AUSSI: Guerre en Ukraine : à Varsovie, les Polonais se considèrent déjà sur la ligne de front

 

 

 

 

L'Occident a déclaré une "guerre totale" hybride à la Russie, selon Lavrov

 

Selon le ministre des Affaires étrangères, la volonté des États-Unis et de leurs alliés occidentaux de maintenir leur domination dans les affaires internationales et de revenir à un ordre mondial unipolaire sont désormais des "illusions".

L'Occident a déclaré une "guerre totale" hybride contre la Russie, a déclaré le ministre des Affaires étrangères Sergueï Lavrov.

 
Vers une guerre de religion, infos du 25 mars 2022

"Aujourd'hui, une véritable guerre hybride, une 'guerre totale' a été déclarée contre nous. Ce terme, qui était utilisé par l'Allemagne nazie, est maintenant utilisé par de nombreux politiciens européens lorsqu'ils expliquent ce qu'ils veulent faire à la Fédération de Russie. Et leur les objectifs ne sont pas cachés : détruire, casser, étrangler l'économie russe et la Russie dans son ensemble", a déclaré M. Lavrov lors d'un forum diplomatique vendredi.

"Ici, quand on voit ces sanctions à la volée, force est de constater que toutes ces valeurs que nos collègues occidentaux ne cessent de nous prêcher à propos de la liberté d'expression, de l'économie de marché, de l'inviolabilité de la propriété privée et de la présomption d'innocence, toutes ces valeurs sont sans valeur", a déclaré Lavrov lors d'un entretien séparé avec des journalistes vendredi après avoir rencontré le président abkhaze Aslan Bzhania.

Le diplomate a déclaré que la plupart des pays en dehors de l'Occident collectif ne veulent pas "s'engager dans un jeu unilatéral" au milieu de la crise actuelle, malgré les "énormes pressions" et la "propagande jonglant avec le nombre de votes exprimés pour des résolutions provocatrices de l'ONU".

Lavrov s'est dit convaincu que la plupart des pays du monde ne rejoindront pas les jeux de sanctions de l'Occident. "La grande majorité des pays du monde sont intéressés par le développement d'une coopération équitable basée sur les principes clés énoncés dans la Charte des Nations Unies, en premier lieu - le principe de l'égalité souveraine des États", a-t-il déclaré.

Le diplomate russe a également laissé entendre que les efforts de l'Occident pour "piétiner brutalement" ces principes pour tenter d'"imposer sa supériorité" sont "voués à l'échec", comme l'a montré même l'histoire de l'Europe.

 

Crise ukrainienne

Commentant la crise en Ukraine et la réaction des puissances occidentales face à la situation, Lavrov a rappelé que les médias américains et européens avaient "étouffé" les meurtres de civils et le blocus économique des Républiques populaires de Donetsk et de Lougansk par les forces ukrainiennes pendant près de huit ans. Il a également souligné le travail américain et européen pour doter l'Ukraine d'armes et les efforts pour encourager Kiev à "résoudre" la crise du Donbass par la force.

 
 

Lavrov a également promis de faire de la récente série de révélations sur les laboratoires biologiques financés par les États-Unis en Ukraine par le ministère russe de la Défense un thème constant au Conseil de sécurité, "parce qu'il est directement lié aux risques et aux menaces pour la paix et la sécurité internationales". Moscou, a-t-il dit, continuerait à évoquer ce thème encore et encore, non seulement en ce qui concerne l'Ukraine, mais aussi l'activité trouble des biolabs américains dans le monde entier, en particulier dans l'ex-URSS, où Washington a mis en place ou financé des dizaines de ces installations après la fin de la guerre froide.

La situation actuelle dans le monde a été "réchauffée à la limite", selon Lavrov. "En fait, nous assistons à l'aboutissement de la politique d'endiguement de la Russie, que l'Occident mène depuis longtemps." "L'apogée de cette ligne russophobe a été le soutien de Washington et de Bruxelles au régime de Kiev", a-t-il déclaré.

"Il convient de rappeler les lois qui ont été systématiquement adoptées en Ukraine [après le coup d'État de Maïdan de 2014] concernant la langue russe, ou plutôt concernant l'interdiction de l'utilisation de la langue russe dans l'éducation, dans les médias et dans la vie quotidienne, et ainsi, en fait, déraciner de l'Ukraine toutes ses racines russes et biffer l'histoire commune des peuples russe et ukrainien », a déclaré M. Lavrov.

Nouvel ordre mondial déclaré après la fin de 1991

"Le désir de l'Occident de maintenir sa domination dans les affaires internationales, de subjuguer tout et tout le monde et de revenir à un monde unipolaire - ce sont, bien sûr, des illusions", a déclaré Lavrov.

Les efforts de l'Occident pour maintenir son hégémonie « de gré ou de force, mais plutôt de gré à gré », sont la cause de « graves tensions dans les relations internationales », selon Lavrov, et ne peuvent être contrecarrés « qu'avec nos partenaires et alliés ». "

Le ministre des Affaires étrangères a souligné qu'en dépit des meilleurs efforts des puissances occidentales, on ne peut parler de l'isolement de la Russie sur la scène mondiale. "Nous n'allons pas nous isoler. Nous avons de nombreux amis, alliés et partenaires dans le monde, un grand nombre d'associations dans lesquelles la Russie travaille avec des pays de tous les continents, et continuera de le faire", a-t-il déclaré.

Source Spoutnik (traduction)

 

 

 

 

 

 

L'OTAN est persuadée de déployer des troupes dans l'ouest de l'Ukraine et c'est de la folie, selon un expert militaire américain

 

 

Suite aux affirmations de la presse occidentale selon lesquelles l'opération russe en Ukraine est "au point mort" et que Moscou pourrait utiliser des "armes chimiques ou biologiques" par désespoir, des sources du DoD américain ont déclaré à Newsweek et à Reuters qu'aucune des deux hypothèses n'était correcte. Scott Ritter, ancien inspecteur des armes de l'ONU et dénonciateur d'ADM, s'est entretenu avec Sputnik pour discuter de l'opération spéciale.

 

 

Sputnik : S'adressant à Maverick Multimedia le 19 mars, vous avez déclaré que l'opération spéciale de la Russie en Ukraine est « sur le point d'être terminée » en faveur de la Russie et que l'opération militaire de Moscou sera ensuite étudiée par des spécialistes. Qu'y a-t-il de si spécial dans l'opération russe, selon vous ?

Scott Ritter : Je pense que ce qui sépare l'opération spéciale russe en Ukraine, des autres opérations militaires de cette nature, c'est le fait que la Russie n'a pas l'intention d'occuper l'Ukraine. C'est quelque chose que les dirigeants russes ont dit dès le début. Une opération militaire conçue pour occuper est une opération beaucoup plus compliquée nécessitant beaucoup plus de troupes. Il s'agit de tenir des villes, de tenir des routes, de tenir des zones géographiques spécifiques.

 

L'opération russe se concentre sur deux axes d'efforts militaires non géographiques. Le premier est la dénazification, l'élimination des formations militaires néonazies de droite et des partis politiques qui les soutiennent, et aussi la démilitarisation, l'élimination de l'infrastructure militaire de l'OTAN qui avait été installée en Ukraine.

Vers une guerre de religion, infos du 25 mars 2022

Ce type de concentration permet à la Russie d'éviter le piège d'être obligée de mener des opérations de conquête de territoire, mais de se concentrer sur une tâche plus spécifique d'élimination de formations militaires dans le but de quitter éventuellement l'Ukraine.

Sputnik : Pourquoi les grands médias occidentaux continuent-ils d'affirmer que l'opération russe en Ukraine est au point mort ? Est-ce à dire qu'ils ne comprennent pas la stratégie et les objectifs de la Russie ? Ou ce récit sert-il à d'autres fins?

Scott Ritter : Je pense qu'il y a deux raisons pour lesquelles l'Occident décrit mal l'opération militaire russe en Ukraine. Premièrement, l'Occident évalue cela comme si c'était l'intention de la Russie d'occuper l'Ukraine. Dès le début, le fait que la Russie arrive avec seulement 200 000 soldats n'a aucun sens militaire lorsque nous parlons d'une nation de 40 millions d'habitants avec une capacité militaire combinée d'environ 600 000 soldats.

 

Normalement, vous voulez un avantage de 3 contre 1 lorsque vous êtes à l'offensive, et la Russie arrive avec un avantage militaire de 1 contre 3. Et donc les gens regardent la carte, regardent les progrès réalisés par les forces russes et ils la caractérisent comme étant "bloquée" parce que les Russes ne capturent pas Kiev, ne capturent pas Kharkov, ne conquièrent pas de caractéristiques physiques sur le sol. Ils ne comprennent pas que l'objectif russe n'est pas de conquérir un territoire mais de détruire une capacité militaire, ce que les Russes font plutôt bien.

L'autre aspect de la mauvaise interprétation est qu'il y a un aspect de guerre de l'information dans cette guerre. L'Occident espère qu'ils seront en mesure d'utiliser l'opération russe en Ukraine comme un véhicule pour motiver des troubles politiques intérieurs en Russie qui obligeront au minimum les dirigeants russes à se retirer de l'Ukraine avec leur mission inachevée, et au maximum à conduire à le renversement, la destitution du président russe et du gouvernement russe, une sorte de révolution de couleur, si vous voulez dire.
Pour ce faire, ils créent une image d'un désastre militaire en Ukraine de la part de l'armée russe, et ils essaient de projeter ce récit d'un désastre militaire en Russie dans le but de démoraliser la population russe et donner l'impulsion à des manifestations populaires massives contre le gouvernement russe.

Spoutnik : Des experts, des politiciens et des experts occidentaux spéculent sur une « éventuelle attaque chimique » de la Russie en Ukraine. Ils n'ont présenté aucune preuve que la Russie possède de telles armes, ni fourni aucune preuve que de tels plans existent. Quel pourrait être le but premier de ce récit ?

Scott Ritter : Le récit actuel diffusé par les dirigeants occidentaux et les médias occidentaux sur les Russes préparant une attaque aux armes chimiques en Ukraine est né de la réaction standard lorsqu'une partie est surprise en train de faire quelque chose qu'elle n'aurait pas dû faire et qu'elle cherche projeter le blâme sur l'autre camp. Il ne fait aucun doute dans mon esprit que les Russes ne préparent pas une attaque aux armes chimiques. Cela n'a aucun sens d'un point de vue militaire et politique. De plus, cela suppose l'existence d'une capacité de guerre chimique à l'échelle militaire en Russie que la Russie ne possède tout simplement pas.

Mais ce qui s'est passé, c'est que la Russie a découvert des installations de recherche biologique à l'intérieur de l'Ukraine, exploitées par le ministère de la Défense des États-Unis, et ils ont découvert certaines activités de recherche difficiles à expliquer par les États-Unis qui pourraient avoir une capacité de guerre biologique offensive . Et les États-Unis en sont embarrassés.

Donc, ce que font les États-Unis, plutôt que de répondre au fait qu'ils avaient un programme en cours en Ukraine qui a soulevé des questions, ils détournent l'attention en disant que la raison pour laquelle la Russie soulève ce problème est que la Russie se prépare à une attaque aux armes biologiques .

Donc, cela renvoie le récit vers la Russie. Et ce faisant, ils élargissent le récit basé sur des allégations passées selon lesquelles la Russie aurait soutenu les armes chimiques utilisées par le gouvernement syrien en Syrie, que la Russie aurait utilisé des agents chimiques contre la famille Skripal au Royaume-Uni. Que la Russie a utilisé des agents chimiques contre le dissident politique Navalny en Russie. Et donc, parce que la Russie est "coupable" de ces trois choses, la Russie se prépare à utiliser des armes chimiques en Ukraine. C'est une absurdité. C'est ridicule, mais cela fait partie intégrante de la campagne de guerre de l'information en cours menée par l'Occident contre la Russie.

Spoutnik : L'OTAN a renforcé sa présence militaire le long de ses frontières orientales depuis le début de l'opération spéciale russe en Ukraine. Qu'y a-t-il derrière ce renforcement militaire, à votre avis ?

Scott Ritter : Le renforcement en cours de l'OTAN sur son flanc oriental, je crois, est un exercice de renforcement de la confiance de la part de l'OTAN. On parle d'une organisation qui vient de subir, l'été dernier, un retrait terriblement démoralisant d'Afghanistan. Celle qui l'a fait s'interroger sur sa relation avec la première puissance de l'OTAN, les États-Unis. Et remettre en question la viabilité actuelle de l'OTAN en tant qu'alliance militaire. Je veux dire quel est le but de l'OTAN ? L'incursion russe en Ukraine a insufflé une nouvelle vie à ceux qui croient que l'OTAN a un objectif permanent. Mais c'est une chose de dire que l'OTAN est pertinente, c'en est une autre de rendre l'OTAN pertinente. Et l'une des choses que nous savons de l'OTAN au cours de la dernière décennie, c'est qu'elle est militairement impuissante. Il n'a pas de capacité militaire viable.

Donc, ce qui se passe en ce moment, c'est un effort de l'OTAN pour montrer ses muscles et se convaincre qu'elle a la capacité de tenir tête à la Russie. Donc, ils mobilisent ces forces dans ce que j'appelle une opération "feel good". Les forces sont insuffisantes pour affronter la Russie de manière significative, mais elles sont suffisantes pour bien paraître sur le papier et faire en sorte que l'OTAN se sente bien dans sa peau. Le danger est que si l'OTAN fléchit dans le miroir et est trop impressionnée par ce qu'elle voit pour croire qu'elle dispose d'une véritable capacité militaire, alors elle cherche à l'utiliser.

Des discussions sont en cours à Bruxelles en ce moment dans le cadre du sommet d'urgence que l'OTAN a convoqué sur la possibilité d' envoyer les forces de maintien de la paix de l'OTAN dans l'ouest de l'Ukraine . Vous savez, c'est de la folie. En aucun cas, l'OTAN n'a la capacité de le faire et de l'emporter. Mais encore une fois, ils ont rassemblé ces forces, ils se regardent dans le miroir, ils pensent qu'ils aiment ce qu'ils voient et ils pensent qu'il y a là un vrai muscle. Et, qui sait, ils pourraient être contraints de croire qu'ils ont plus de capacités qu'ils n'en ont réellement et d'essayer de projeter ces forces dans l'ouest de l'Ukraine, auquel cas il y aura malheureusement un affrontement militaire entre l'OTAN et la Russie.

 

Spoutnik : Quelles sont les chances que les troupes de l'OTAN soient impliquées dans le conflit ukrainien ?

Scott Ritter : Si quelqu'un m'avait demandé au début de l'incursion russe en Ukraine quelles sont les chances que l'OTAN soit impliquée ? Je dirais zéro parce que l'OTAN avait clairement indiqué qu'elle ne participerait à aucun combat entre l'Ukraine et la Russie sur le territoire ukrainien. Mais alors que ce conflit se poursuit, alors que des millions et des millions d'Ukrainiens cherchent refuge dans les pays de l'OTAN, nous assistons maintenant à une catastrophe économique et humanitaire pour l'OTAN. Et il y a maintenant des gens qui parlent non seulement d'imposer une zone d'exclusion aérienne, mais aussi d'envoyer des casques bleus de l'OTAN sur le terrain dans l'ouest de l'Ukraine.

Jusqu'à présent, le bon sens a prévalu et la zone d'exclusion aérienne a été rejetée. Mais je pense que plus cette crise dure, plus de réfugiés apparaissent à la frontière, plus de réfugiés sont accueillis par les pays de l'OTAN, plus il est probable que quelqu'un au sein de l'OTAN va penser que mettre ce qu'on appelle le maintien de la paix forces dans l'ouest de l'Ukraine est une bonne idée. Si cela se produit, nous passons soudainement de zéro chance d'un conflit entre l'OTAN et la Russie à 100 % de chance d'un conflit entre l'OTAN et la Russie. En ce moment, je dirais que c'est cinquante-cinquante

Je ne pense pas que l'OTAN va prendre la décision aujourd'hui d'envoyer des casques bleus, mais je pense que cette question est en cours de discussion et sera déposée pour examen à une date ultérieure. Et cette date ultérieure pourrait arriver plus tôt que tard si de plus en plus de réfugiés apparaissent à la frontière entre l'Ukraine et les pays de l'OTAN comme la Roumanie, la Hongrie et la Pologne.

Source Spoutnik ( traduction)

 

LIRE AUSSI: Le Kremlin : "Envoyer des casques bleus en Ukraine est une idée téméraire et dangereuse"

 

 

 

 

 

 

La Russie exigera des explications sur les liens de Hunter Biden avec les biolabs en Ukraine, selon le Kremlin

 

 

Le porte-parole présidentiel russe a également évoqué les spéculations américaines sur la soi-disant menace des "armes chimiques russes" comme une tentative de détourner l'attention au milieu du scandale avec les laboratoires biologiques américains en Ukraine et dans d'autres pays.

La Russie exigera des explications sur l'implication de Hunter Biden dans le financement de laboratoires biologiques en Ukraine, a déclaré le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov.

Vers une guerre de religion, infos du 25 mars 2022

"... Il s'agit d'informations très sensibles - à la fois pour nous et pour le monde entier. Bien sûr, nous exigerons des explications. Et nous ne sommes pas seuls : vous savez que la Chine a déjà demandé des éclaircissements aux États-Unis, les exhortant à rendre cette situation transparente au monde...", a déclaré le porte-parole.

Il a ajouté que "l'avertissement" américain selon lequel la Russie envisageait d'utiliser des armes chimiques lors de son opération spéciale en Ukraine est une tactique pour détourner l'attention des biolabs américains dans le pays.

Peskov a également commenté les affirmations du président ukrainien Volodymyr Zelensky selon lesquelles l'armée russe aurait utilisé des bombes au phosphore pendant l'opération, soulignant que la Russie n'avait jamais violé la Convention sur les armes chimiques.

Plus tôt cette semaine, le ministère russe de la Défense a révélé de nouvelles informations sur les biolabs financés dans l'est de l'Ukraine, affirmant que l'une des sociétés liées à ces laboratoires avait été fondée par Hunter, le fils du président américain Joe Biden, et Christopher Heinz, le beau-fils de l'ancien secrétaire américain au État John Kerry. Selon le chef des troupes russes de défense contre les radiations, chimiques et biologiques, Igor Kirillov, ils ont réussi à retracer le schéma d'interaction entre les organismes gouvernementaux américains et les biolabs ukrainiens. Le fonds de capital-investissement Rosemont Seneca de 2,4 milliards de dollars géré par Hunter Biden faisait partie des entreprises impliquées dans le financement de ces activités.

Source Spounik ( tradustion)

 

Note ; encore le fils Biden !! Attendez demain mon dossier sur l'Ukraine pour comprendre  

 

 

 

 

Kim Jong-un met en scène le lancement d'un missile balistique nord-coréen dans une vidéo théâtrale

 

Le 25 mars 2022

Jeudi, Pyongyang a déclaré avoir tiré son plus puissant missile balistique intercontinental. Une réunion du Conseil de sécurité doit se tenir ce soir à l'ONU.
 

Les portes d'un hangar s'ouvrent, dévoilant trois hommes. Au centre figure Kim Jong-un, le dirigeant nord-coréen affublé d'un blouson d cuir et d'une paire de lunettes de soleil. Il est flanqué de deux militaires, et avance devant un véhicule transportant un imposant missile.

Cette scène, accompagnée d'une musique kitsch rappelant de mauvais films d'action, s'inscrit dans une vidéo longue de près de 12 minutes qui a été diffusée à la télévision nord-coréenne. Elle est censée montrer le lancement du missile balistique intercontinental (ICBM) Hwasong-17, comme l'indique le site spécialisé NK News.

 
Photo extraite de la vidéo de propagande nord-coréenne diffusée le 25 mars 2022.
Photo extraite de la vidéo de propagande nord-coréenne diffusée le 25 mars 2022. © AFP

Explosion visuelle

Lancé jeudi, ce missile est le plus puissant que possède la Corée du Nord. Il a parcouru 1090km en 4,052 secondes, selon KCNA, l'agence de presse gouvernementale nord-coréenne, et a atterri dans la zone économique exclusive du Japon.

Lire la suite et voir vidéo

 

 

 

 

Sondage : 66% des Français sont favorables à la “Remigration” (expulsion massive d’étrangers), dont 85% de ceux qui se déclarent de droite

Éric Zemmour, candidat d’extrême droite à l’élection présidentielle, condamné par la justice pour complicité de provocation à la haine et de complicité d’injure publique à l’égard des personnes immigrées, continue ses annonces tonitruantes et agressives contre l’immigration. L’ancien journaliste et polémiste a annoncé lundi 21 mars 2022 vouloir créer, s’il est élu, « un ministère de la remigration ». Un concept de la pensée identitaire pour expulser les « étrangers dont on ne veut plus », « clandestins », « délinquants », « criminels » et « fichés S ».

Ouest France

Qu’en pensent les Français ? sondage IFOP / Fiducial / Sud Radio

 

 

En 2020, 60 % des naturalisés français étaient d’origine africaine. Le Maroc, l’Algérie, la Tunisie et la Turquie en tête du classement des pays d’origine

Classement par pays d’origine – 2016 à 2020 – Top 10 2020

Eurostat – Acquisition de nationalité par nationalité précédente de 2004 à 2020

Classement par continent d’origine – 2016 à 2020

Note FDS : Pour Eurostat, la Turquie est située dans le continent européen et non asiatique (illustration)

Eurostat – Acquisition de nationalité par continent précédent de 2004 à 2020

 

 

Reportage à Sarcelles (95) : “Ici, c’est le Tiers-monde, c’est l’Afrique” ; “C’est une ville de non-droit, personne ne pourra y faire respecter les règles, même pas Zemmour !” ; “Je suis la seule Blanche de mon immeuble”

Sarcelles bat régulièrement des records d’abstention : entre 30 et 80% en fonction des élections. À la veille du scrutin présidentiel et dans le cadre de Ma France 2022, nous avons sillonné cette ville métissée de 60 000 habitants, classée parmi les plus pauvres de France, pour comprendre les attentes et les craintes des électeurs.

(…) “Les élections ? Tout le monde s’en fout ! Ici, c’est la misère, le tiers-monde, c’est l’Afrique. Les gens ne pensent pas à voter mais à survivre !”, analyse Sélim entre deux cigarettes. Lui s’en sort en travaillant souvent 7 jours sur 7. Quand il ne vend pas au marché, il roule pour Uber.

(…) Selim ira peut-être voter, s’il a le temps… “Mais cela ne changera rien à mon quotidien”, conclut-il, résigné. Et même si Zemmour passe, je m’en fous. C’est une ville de non-droit, personne ne pourra y faire respecter des règles, même pas lui ! Sarcelles est une ville à part. Regardez sur le marché, il n’y a pas un seul blanc !”

(…) De l’espoir, d’autres candidats en suscitent dans le quartier juif.

Librairie hébraïque, restaurants casher, enfants courant avec une kipa sur la tête, ces quelques rues situées à cinq minutes du marché multicolore du Grand Ensemble sont surnommées “la petite Jérusalem.” Sarcelles est connue pour avoir, au fil des années, sectorisé ses habitants en fonction de leurs origines. Autour de la grande Synagogue habitent 10 à 15 000 Juifs, la plupart sépharades, dont les origines sont de l’autre côté de la Méditerranée. Et ici, pas de doute, Eric Zemmour fera son meilleur score de la ville.

“Il n’est pas raciste, il dit la vérité”, affirme ce commerçant qui préfère rester anonyme. “C’est vrai, les agressions, c’est souvent à cause des noirs et des Arabes. Les autres politiques n’osent pas le dire. Zemmour, lui, il dit tout haut ce que les autres pensent tout bas”.

(…) Marlène tempère : “Moi, ça fait 43 ans que je vis à Sarcelles, et il ne m’est jamais rien arrivé.” “Oui, mais avoue qu’on est plus en France !”, l’interrompt sa voisine de table Josiane qui détaille : “Dans ma copropriété, il y a 10 appartements. Avant, c’étaient des familles juives. Maintenant, je suis la seule blanche. Mes voisins sont Pakistanais, Haïtiens, Syriens… Ils ne parlent même pas français !”

(…) France 3

 

 

 

C’est ça la France aujourd’hui (…) Il faut renvoyer tous ces gens-là: Visite d’Éric Zemmour à la colline du crack à Paris, il est ciblé par des jets de projectiles, des habitants le remercient (MàJ)

 

 

 

 

La journaliste Noémie Halioua témoigne être victime de “graves menaces et d’intimidation” suite à la parution de son livre dénonçant le “mythe du vivre-ensemble” à Sarcelles

 

 

Un Tchétchène de 17 ans, en contact avec des terroristes, projetait d’attaquer Mila, il a été mis en examen puis relâché… La famille de Mila, rongée par l’inquiétude, questionne la justice (MàJ)

Commenter cet article