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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Les Infos du 2 mars 2022

 

 

 

 

Guerre en Ukraine EN DIRECT : Plus de 350 civils ukrainiens tués pepuis le début de l'offensive, selon Kiev...

 

L’ESSENTIEL

  • L’armée russe a progressé dans le sud, prenant le contrôle de zones de Kherson et menaçant Mariupol.
  • Au nord, des troupes aéroportées russes ont débarqué à Kharkiv et des combats s’y déroulent.
  • Joe Biden a qualifié Poutine de « dictateur » et loué le « courage du peuple ukrainien » et du président Zelensky.

 

 

15h06 : Moscou exige le retrait de Londres du projet OneWeb

La Russie a menacé mercredi de n'envoyer plus de satellites de l'opérateur OneWeb, exigeant le retrait du gouvernement britannique du projet et des garanties sur son usage non militaire, en pleine invasion russe de l'Ukraine.

 

14h41 : L'économie US dans l'incertitude

Les « conséquences » de la guerre en Ukraine pour l’économie américaine sont « très incertaines », a estimé mercredi Jerome Powell, le président de la Banque centrale américaine (Fed), dans un discours préparé à l’occasion de son audition devant la Chambre des représentants.

 

13h50 : Le Premier ministre britanique, accuse aussi la Russie de « crime de guerre » en Ukraine

Le Premier ministre britannique Boris Johnson a accusé mercredi la Russie de s'être rendue coupable de «crime de guerre» en Ukraine en raison des armes utilisées contre des civils et appelé l'ONU à «exiger» un retrait russe. «Ce que nous avons déjà vu de la part du régime de Vladimir Poutine concernant l'utilisation des munitions larguées sur des civils innocents, cela constitue déjà à mon avis un crime de guerre», a-t-il déclaré devant les députés britanniques, qui se sont levés pour une ovation à l'ambassadeur ukrainien Vadym Prystaïko, présent dans les galeries de la Chambre des Communes.

 

13h07 : L’Espagne annonce l’envoi de « matériel militaire offensif » à la « résistance ukrainienne »

Pressé par l’opposition de droite, le Premier ministre socialiste Pedro Sanchez a annoncé mercredi l’envoi par l’Espagne de « matériel militaire offensif » à la « résistance ukrainienne », malgré les réticences de son allié de gauche radicale Podemos. « Comme je vois qu’il y a des groupes (politiques) qui

remettent en question l’engagement du gouvernement » à participer à l’aide militaire à l’Ukraine, « je veux également vous annoncer que l’Espagne livrera du matériel militaire offensif à la résistance ukrainienne », a déclaré M. Sánchez à la Chambre des députés.

 

12h55 : L'Allemagne débloque 1,5 milliard d'euros pour acheter du gaz naturel liquéfié

L'Allemagne va débloquer une enveloppe exceptionnelle de 1,5 milliard d'euros pour acheter dans les plus brefs délais du gaz naturel liquéfié afin d'assurer son approvisionnement en énergie dans le contexte de la guerre en Ukraine, a indiqué mercredi le ministère de l'Economie et du Climat.

 

Note : a qui ? Ils l’achètent a qui !

 

11h15 : Les actions de Saudi Aramco atteignent un record

Les actions du géant pétrolier saoudien Aramco ont atteint mercredi un niveau record depuis son entrée en Bourse fin 2019, dans un contexte de flambée des prix du pétrole en raison de l'invasion de l'Ukraine par la Russie. L'action d'Aramco s'échangeait mercredi à 42,9 ryals (environ 10,3 euros) à Ryad, selon le site de la Bourse de l'Arabie saoudite, première exportatrice de brut au monde et actionnaire majoritaire d'Aramco.

 

10h36 : Record historique du cours du gaz naturel, à 194,715 euros le mégawattheure

Le cours européen de référence du gaz naturel, le TTF néerlandais, s'est envolé mercredi à 194,715 euros le mégawattheure (MWh), un sommet historique, propulsé par la guerre en Ukraine, la Russie étant un important producteur et exportateur de gaz.

Le prix du gaz britannique pour livraison le mois prochain a atteint 463,83 pence par thermie (une unité de quantité de chaleur), très proche de son record historique atteint en décembre dernier, à 470,83 pence.

 

LIRE AUSSI: les cours du maïs et du blé battent de nouveaux records sur le marché européen

 

10h30 : Le pétrole s'envole, au plus haut depuis près de dix ans

Les cours du pétrole continuaient à s'envoler mercredi, enfonçant des niveaux plus observés depuis près d'une décennie à cause de la guerre en Ukraine qui continue d'alimenter les craintes quant à l'approvisionnement en or noir.

Voir DIRECT

 

 

LIRE AUSSI: Guerre en Ukraine : la délégation russe se dit prête à reprendre les pourparlers avec Kiev dès mercredi soir

 

 

 

 

Menace nucléaire: la France peut-elle intercepter un missile russe?

La menace brandie par Vladimir Poutine contre les pays qui soutiennent l'Ukraine n'est pas forcément à prendre au pied de la lettre. Mais la France dispose-t-elle d'un bouclier antimissiles efficace?

 

GUERRE EN UKRAINE - C’est la menace ultime. Le 27 février, Vladimir Poutine a placé les forces de dissuasion russe en “régime spécial d’alerte”, une manière d’agiter l’épouvantail nucléaire face aux puissances mondiales opposées à l’attaque de l’Ukraine. La réalité de ces menaces est débattue, et rien aujourd’hui de plus ne permet d’affirmer qu’elles seront mises à exécution. Pourtant la possibilité, même infime, d’une attaque nucléaire, interroge forcément.

La France peut-elle se protéger face à un missile chargé d’une ogive nucléaire? Comme vous pouvez le découvrir dans la vidéo en tête de cet article, la réponse est non... s’il s’agit d’une attaque provenant de la Russie, et si on s’en tient aux informations connues du grand public sur les capacités de défense de l’armée française.

Depuis 2010, dans le cadre de l’OTAN mais également sur le territoire hexagonal, des systèmes ont bien été mis en place. En Roumanie et en Pologne, l’Organisation du traité de l’Atlantique Nord a ainsi installé son système Aegis, qui comprend des missiles américains SM-3s. Ces derniers ont déjà démontré qu’ils étaient capables d’intercepter un missile longue portée. 

 

En France, le système SAMP/T permet de lancer, depuis des unités mobiles, des missiles Aster 30 sol-air, produits par le consortium EUROSAM. Ces derniers peuvent faire exploser un missile de croisière en vol, comme un test mené en 2020 l’a encore démontré.

Pourquoi alors sommes-nous tout de même vulnérables à une attaque russe?

15 minutes pour un missile russe intercontinental

Aucun de ces parapluies n’est prévu contre l’arsenal russe, pléthorique et constitué de missiles intercontinentaux susceptibles d’atteindre des vitesses moyennes de 7km/s. La protection offerte par le système Aegis est pensée pour se protéger contre un tir de la Corée du Nord ou de l’Iran: des pays dont les stocks et les capacités n’ont rien à voir avec ceux de Moscou. 

Les missiles Aster, extrêmement versatiles et dont est également équipée l’Italie, la Turquie ou encore Singapour, sont également pensés pour d’autres situations de défense sol-air. Sur terre, ils servent prioritairement à défendre des sites stratégiques comme une base militaire ou un aéroport contre des missiles de courte ou moyenne portée: rien à voir avec une ogive nucléaire tirée par exemple du silo de Barnaoul, dans le sud de la Russie, à 6100 kilomètres de Paris.

Autrement dit, il semble impossible de parer une éventuelle attaque nucléaire russe visant l’Hexagone, si on s’en réfère aux informations connues du grand public sur les capacités antimissiles de la France. Côté américain, le constat est le même: malgré ses capacités militaires et un système Aegis embarqué pour protéger son territoire, il ne pourrait empêcher le feu nucléaire de l’atteindre.

Mais des deux côtés de l’Atlantique, cette éventualité reste inconcevable. Avec ou sans système antimissile, la dissuasion nucléaire entre pays possesseurs de la bombe atomique reste le meilleur des boucliers. Le président américain, interrogé le 28 février sur la possibilité d’un tel péril, a tout simplement répondu: “non”.

Source

 

 

 

 

Discours sur l'état de l'Union : Joe Biden condamne le "dictateur" Poutine, "plus isolé que jamais"

 

 

Le gaz russe devrait échapper aux sanctions européennes sur Swift

Le gaz russe devrait échapper aux sanctions européennes sur Swift

Selon un document obtenu par Bloomberg, Gazprombank, la banque contrôlée par le géant du gaz Gazprom, ne devrait pas être exclus du réseau interbancaire.

Question particulièrement épineuse pour les Européens: comment sanctionner les banques russes sans (trop) s’exposer aux conséquences néfastes? Selon un premier document de travail de l’Union européenne, obtenu par Bloomberg, Bruxelles prévoit d’exclure 7 banques russes du fameux réseau Swift. Ce système mondial, qui réunit 11.000 entreprises, permet de sécuriser les transactions financières.

Concrètement, la deuxième banque du pays, Vneshtorgbank (VTB) sera bien exclue tout comme Otkritie, Rossia, Novikom, Sovcom, VEB.RF et Promsviazbank. Leur sortie du Swift est un coup dur qui les empêchera en pratique de réaliser des transactions avec l’étranger.

En revanche, deux noms manquent sur cette liste. Le premier est Gazprombank, troisième banque du pays et surtout filiale du géant gazier russe Gazprom. Son absence n’est pas un mystère: plusieurs pays dont l’Allemagne craignaient de ne plus pouvoir être approvisionnés en gaz. Le commerce pourra donc se poursuivre.

L’exclusion du Swift, présentée comme “l’arme nucléaire financière” a été annoncée par Bruxelles mais doit encore être mise à exécution. En parallèle, la Russie a mis en place un système concurrent qui regroupe principalement des banques russes et biélorusses: environ 400 établissements seulement y sont inscrits.

www.bfmtv.com

 

 

Note:  leur soit disante "bombe atomique Swift " a fait plouf en moins d'une semaine

 

 

L’éviction de Swift imposée par les pays occidentaux a conduit Moscou à chercher refuge en Chine

L’éviction de Swift imposée par les pays occidentaux a conduit Moscou à chercher refuge ailleurs. Après avoir été bloquées du système de messagerie interbancaire, les banques russes se sont tournées vers le système de paiement interbancaire transfrontalier (CIPS).

Développé par la Chine – principal partenaire du Kremlin – en 2015, le système de paiement CIPS est principalement utilisé pour régler les crédits internationaux en yuan et les échanges liés à l’initiative “Belt and Road”, agissant comme un système alternatif au traditionnel Swift créé en 1973, bien qu’il n’en soit pas encore totalement indépendant.

Ce système, le CIPS, permet aux banques mondiales d’effectuer des transactions transfrontalières directement en yuan sur le territoire national, plutôt que par l’intermédiaire de banques de compensation dans des centres offshore, et vise à faire de la monnaie de Pékin une monnaie de réserve mondiale à part entière.

Selon le journal d’État Jiefang Daily, le système chinois a traité environ 80 000 milliards de yuans (12 680 milliards de dollars) en 2021, soit une augmentation de 75 % en glissement annuel, tandis que fin janvier, la société qui gère la plateforme a déclaré qu’environ 1 280 institutions financières dans 103 pays et régions s’étaient connectées au système.

Il s’agit notamment de 30 banques au Japon, de 23 banques en Russie et de 31 banques dans des pays africains qui reçoivent des fonds en yuan dans le cadre de projets d’infrastructure relevant de l’initiative “Belt and Road” de Pékin. En outre, des banques occidentales telles que HSBC (LON:HSBA), Standard Chartered (LON:STAN), Citigroup (NYSE:C) et BNP Paribas (PA:BNPP) ont également décidé d’utiliser le système, selon les données de Qichacha.

(…) Investing

 

 

 

 

Bruno Le Maire revient sur ses propos et regrette d’avoir utilisé le mot “guerre” contre la Russie (MàJ)

Ces sanctions vont aussi toucher les économies des pays européens. Mais pour le ministre “c’est la Russie qui va souffrir, pas l’Europe”.

BFMTV

 

 

Ukraine : des migrants syriens, irakiens ou afghans se mêlent au flot des réfugiés ukrainiens pour essayer de franchir la frontière polonaise et d’entrer dans l’UE (MàJ : certains “tentent de se faire passer pour des étudiants”)

Le flot de réfugiés venu d’Ukraine ne se tarit pas, il change de nature. Côté ukrainien, des milliers de migrants syriens, irakiens, afghans ou kurdes pris en otage l’été dernier par le dictateur biélorusse Alexandre Loukachenko se retrouvent désormais mêlés au flux. Coincés là, dans une nouvelle impasse.

Des milliers de migrants originaires d’Afrique, d’Asie et de Proche-Orient arrivent en Ukraine à pieds après plusieurs jours de marche, près de la frontière polonaise

Shehyni, en territoire ukrainien, ce mardi, fin de matinée (…) Des milliers de réfugiés que l’on ne connaît plus que par ce vocable de « migrants » et qui désigne toute immigration ni européenne ni blanche, des milliers de réfugiés irakiens, syriens, kurdes ou africains, des hommes quasi-exclusivement, sont coincés entre deux rangées de barrières métalliques surmontées de barbelés. Parqués, le terme est plus juste, dans un étroit corridor jonché de détritus, d’excréments aussi.

Depuis combien de temps ces gens n’ont-ils pas dormi, ni mangé, ni bu… Depuis combien de temps n’ont plus eu chaud… Debout dans le vent qui vous fend la figure en deux, ils attendent. Quoi on ne sait pas, ils ne sauraient plus le dire puisque la plupart n’espèrent même plus passer la frontière qui est là pourtant, toute proche. Ils attendent c’est tout. Certains s’endorment d’un coup, la tête contre le grillage, d’autres sont prostrés dans un coin. Des miliciens vêtus de gilets jaunes ou verts et armés de batte de baseball maintiennent la discipline que l’on sent fragile. La tension est pour tout dire extrême.

Ces réfugiés-là ne sont pas les bienvenus en Ukraine qui entend s’en débarrasser au plus vite et ils sont encore moins les bienvenus en Pologne où ils ont déjà été refoulés. C’était entre le mois d’août dernier et celui de novembre quand le dictateur biélorusse Alexandre Loukachenko, pour protester contre les sanctions de l’Europe à son égard, avait décidé de faire exploser une bombe humaine aux frontières de l’Union.

Des milliers de migrants avaient alors été acheminés en Biélorussie puis jetés contre les frontières lituaniennes et polonaises. Repoussés violemment, la plupart étaient restés en Biélorussie, faute de pouvoir rentrer chez eux. Avec cette guerre, les revoici sur les routes. Loukachenko, allié de Poutine, a ouvert les vannes et les a poussés dehors à coups de pied dans le dos pour se débarrasser de cette population encombrante et, aussi sans doute, ajouter du chaos à l’horreur.

Alors, ces jeunes hommes se sont remis en route. Ils ont marché des jours et des nuits, usant les semelles de leurs mauvaises chaussures de sport de contrefaçon. Et ils ont fini par arriver aux confins de l’Ukraine après avoir parfois tenté de se faire passer pour des étudiants étrangers qui fuient également le pays. (…)

(…) Le Progrès

 

 

 

Parrainages pour la présidentielle : Eric Zemmour, Marine Le Pen et Nicolas Dupont-Aignan dépassent le seuil des 500 signatures d’élus

Et de onze. Nicolas Dupont-Aignan, Éric Zemmour et Marine Le Pen ont dépassé, ce mardi, le seuil des 500 parrainages nécessaires pour pouvoir se présenter à l’élection présidentielle. Éric Zemmour en a précisément 620, devant Nicolas Dupont-Aignan (535) et Marine Le Pen (503). Ils respectent aussi les deux critères requis par le Conseil constitutionnel, à savoir que ces 500 parrainages proviennent de 30 départements différents dans la limite de 10% (soit 50) pour chacun d’entre eux.

(…) Le Parisien

 

 

Marine Le Pen : “Il faut accueillir les réfugiés ukrainiens qui souhaitent rejoindre la France”

 

 

 

Claude Malhuret (Agir) : “Vladimir Zemmour, Joseph Vissarionovitch Mélenchon et Anastasia Le Pen sont depuis longtemps les généraux en chef de cette cinquième colonne”

 

 

 

 

Orléans : un commissariat incendié en représailles à des opérations anti-drogues. Des renforts envoyés sur place (MàJ)

Un commissariat de police attaqué avec des poubelles en feu à Orléans

Une quarantaine de policiers ont été envoyés sur place, en prévision de possibles violences urbaines.

Lundi 28 février au soir, quatre individus cagoulés ont mis le feu à des conteneurs poubelles pour incendier le commissariat de proximité de l’Argonne. Les façades sont toutefois calcinées, ce qui va nécessiter plusieurs milliers euros de travaux. Contacté par Le Figaro, Davido Reverdy, secrétaire national Alliance Police confirme que l’incendie est en représailles aux opérations antidrogue réalisées quelques heures auparavant dans le quartier. «La Brigade spécialisée de Terrain a réalisé une opération de stupéfiants lundi après-midi dans deux cités qui sont des plaques tournantes du trafic de stupéfiants, explique-t-il. Des jeunes ont alors menacé directement de représailles le bureau de police.»

Le Figaro

01/03/22

Le commissariat de police du quartier de l’Argonne, à Orléans, a été attaqué par plusieurs individus qui ont mis le feu à des poubelles placées de manière à enflammer le bâtiment, dans la soirée du 28 février. Une enquête a été ouverte.

D’après une source proche de l’enquête, des poubelles avaient été disposées “sur les accès avant et arrière” du commissariat, dans le but vraisemblable de propager l’incendie. Aucun blessé n’est à déplorer. Officiellement, la police orléanaise confirme qu’une enquête a été ouverte et mentionne un rapport possible avec l’intensification de la présence policière sur les “points de deal” du quartier.

france3-regions.francetvinfo.fr

 

 

Présidentielle : Manuel Valls appelle à voter Macron, le « seul choix possible »

«Comme beaucoup de républicains de tous bords, je voterai pour Emmanuel Macron dès le 10 avril», a écrit dans une tribune publiée sur ses comptes l’ancien chef du gouvernement de François Hollande (2014-2016), qui avait déjà voté pour l’actuel président au premier tour en 2017.

Ce nouveau soutien, «de responsabilité et d’exigence», est annoncé juste après celui d’un autre Premier ministre, de droite celui-ci, Jean-Pierre Raffarin et alors que le président de la République, qui s’exprimera à 20h00 sur la guerre en Ukraine, a jusqu’à la fin de la semaine pour se déclarer. «Jamais la France n’aura eu à affronter d’aussi grands défis mettant en cause, à l’intérieur, son indivisibilité et, à l’extérieur, sa place singulière dans l’Europe et dans le monde. Face aux risques à l’horizon, faisons bloc derrière le seul choix possible», argumente Manuel Valls dans cette tribune.

Il avance aussi des «raisons politiques», estimant que «cette campagne jette une lumière criante sur les faillites des deux familles politiques qui ont longtemps structuré notre vie démocratique». «Enfermées dans une opposition systématique, avides de revanche, gauche et droite, déboussolées par le dégagisme et l’implosion du système en 2017, n’ont pas su se renouveler», critique celui qui avait été député de la majorité pendant plus d’un an en 2017 avant de tenter sa chance aux municipales à Barcelone. Il dit avoir du «respect et de l’estime pour Anne Hidalgo et Valérie Pécresse», «toutes deux profondément républicaines», mais «hélas otages des errements de leur camp».

«Si, comme je le souhaite, le Président de la République est réélu, il devra donner un sens nouveau à son second mandat pour enfin réduire les fractures françaises et réconcilier le peuple avec la politique», avertit toutefois Manuel Valls. «Il faudra une majorité aux racines, idéologiques comme locales, plus profondes afin de ne plus laisser le Président seul face au peuple», estime-t-il, ajoutant qu’«un pôle républicain puissant devra émerger dans ce qui devra être une véritable recomposition afin de stabiliser notre système politique».

Le Figaro

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