Le gouvernement des États-Unis a envoyé une lettre au responsable des droits de l’homme des Nations unies à Genève, dans laquelle il affirme disposer d'”informations crédibles” selon lesquelles les forces russes ont dressé une liste de citoyens ukrainiens à tuer ou à envoyer dans des camps de détention à la suite de l’invasion et de l’occupation du pays par la Russie, selon une copie de la lettre obtenue dimanche par le New York Times.

La lettre, qui était adressée à Michelle Bachelet, haut-commissaire des Nations unies aux droits de l’homme, indique également que les forces russes prévoient de commettre des violations généralisées des droits de l’homme, qui dans le passé ont consisté à torturer et kidnapper des civils.

Les cibles probables seraient les personnes opposées aux actions russes, notamment les dissidents de Russie et de Biélorussie vivant en Ukraine, les journalistes, les militants anti-corruption et les membres des minorités ethniques et religieuses et de la communauté L.G.B.T.Q.

“Nous disposons également d’informations crédibles selon lesquelles les forces russes utiliseront probablement des mesures létales pour disperser les manifestations pacifiques ou pour contrer des actions pacifiques étant perçues comme de la résistance de la part des populations civiles“, indique la lettre, qui a été signée par Bathsheba Nell Crocker, l’ambassadrice des États-Unis auprès du bureau des Nations unies à Genève.

Trois responsables américains ont confirmé l’authenticité de la lettre et de son contenu. Lundi, Dmitri S. Peskov, le porte-parole du Kremlin, a nié l’existence d’une telle liste. “C’est une totale invention”, a-t-il déclaré aux journalistes. “Une telle liste n’existe pas. C’est un faux.”

The New York Times (archive)

Note; c'est se qu'on appelle de la propagande. Les autorités américaine font tous pour que le peuple détestent les russes, enfin de légitimé leur prochain conflit

Ce lundi, un quinquagénaire a été condamné à quatre ans de prison dont trois ans ferme et maintenu en détention. En avril 2020, il n’avait pas supporté que son copain vienne lui réclamer ses 40 €. Le copain a eu la gorge tranchée.

« Amar m’a planté. » C’est ainsi que Mathis*, 43 ans, résume ce qui lui est arrivé le 6 avril 2020. Ce jour-là, Amar Meziane lui a asséné plusieurs coups de couteau. Le dossier avait été ouvert pour tentative de meurtre. Il a finalement été requalifié en violences avec arme.

(…) Il porte des coups de couteau à la gorge et au front de la victime. Le tranchant de la lame d’une vingtaine de centimètres entame aussi les chairs au niveau de la clavicule gauche et d’une main. Un témoin donne des coups de pied à Amar pour qu’il s’arrête. Sans son intervention Mathis n’aurait peut-être pas survécu.

À la barre, la victime affirme qu’une phrase prononcée par son agresseur le hante : « Je vais t’égorger comme un mouton. Je n’en n’ai pas fini avec toi. » Il n’en dira pas plus, encore meurtri par l’épisode.

(…) La VDN

Terrorisé par un squatteur qui a pris possession de son domicile à Lauzerte, Gérard, 70 ans, vit depuis près de 2 mois chez sa sœur. L’homme est un multirécidiviste, il aura déjà été expulsé à 6 reprises. Les riverains sont excédés alors qu’un adolescent de 16 ans a aussi reçu de cet individu un coup de bâton sur la tête le 18 février dernier.

« Il a cassé la serrure, et il a sauté sur mon frère en le tenant avec le genou, et l’a roué de coups de poing au visage en criant : « Je vais te tuer ! » Le témoignage de Marie-Jo, la sœur de Gérard Cortina, un Lauzertin de 70 ans, est glaçant. La photographie qu’elle nous a confiée de son frère après cette altercation datant du 2 janvier avec « son » squatteur, l’est plus encore.

« Depuis mon frère vit chez moi, il est terrorisé, il ne peut plus rentrer chez lui, son agresseur demeurant chez lui », certifie-t-elle. La plainte de Gérard qui a fait suite, est pour l’instant restée lettre morte. Ce n’est d’ailleurs pas la seule, une amie de Gérard a été aussi victime de la violence de ce squatteur que nous prénommerons Jules. « C’était en octobre dernier, mon frère déjeunait avec une amie, raconte Marie-Jo, lorsque Jules a fait irruption. Il lui a dit : « Dégage, tu es à ma place, qu’est-ce que tu fous ici ! » Il l’a giflée et poussée pour qu’elle tombe ». En la traitant de tous les noms d’oiseaux, Jules l’aurait également pris par son chignon et lui aurait tordu son poignet. L’agricultrice de 53 ans s’est vu décerner cinq jours d’ITT (d’incapacité totale de travail) par un médecin généraliste.

(…)

La Dépêche

Valérie Pécresse est une femme qui a des comptes à nous rendre lorsqu’elle nous reçoit en visio dans son QG de campagne. Son opposition au mariage pour tous, sa participation à un meeting de Sens Commun, les freins de son camp politique à la PMA pour toutes ou encore à toute forme d’amélioration des conditions de vie des personnes transgenres.

Mais la désormais candidate Les Républicains (LR) à l’élection présidentielle n’est pas prête à des excuses. Au contraire, elle affirme avoir toujours appartenu à “la frange progressiste” de la droite. Elle en veut notamment pour preuve qu’elle aurait toujours condamné les politiques LGBTphobes en Pologne ou en Hongrie. Si elle est élue en 2022, elle assure aussi vouloir ouvrir davantage les établissements scolaires aux associations qui luttent contre les LGBTphobies. Plus encore, elle promet que la libre détermination du genre fait partie de son ADN. […]

Têtu

22/02/2022

En 2021, ce type de crimes a fortement augmenté dans la région de Gerone. Les chiffres rendus publics par les autorités catalanes font état d’un bond de 43 % pour ces crimes sexuels. De façon globale, la délinquance y est en hausse de 13 %.

Rapportée par nos confrères catalans du Diari de Girona, l’augmentation importante des crimes à caractère sexuel interpelle d’autant plus qu’ils auront donc dépassé en 2021 le nombre d’avant pandémie. Ainsi, ce sont 329 crimes de ce type qui ont été recensés l’année dernière, contre 310 en 2019. Et parmi eux, 53 viols, soit + 13 %. Les attouchements et autres abus étaient au nombre de 276, en hausse de 49,2 % (185 cas en 2020).  Les crimes et délits sexuels “ont toujours un chiffre noir caché important”, rappelle par ailleurs le quotidien catalan. Mais les affaires médiatisées, dont la dernière en date en Catalogne est celle du viol d’une femme de 95 ans à Figueres le mois dernier, incitent les victimes à déposer plainte.

L’Indépendant

(Merci à Tara King)

07/02/22

Omar, le violeur de la vieille femme de Figueres, s’exprime : “Je l’ai confondue avec une amie à moi”

Les déclarations d’Omar, l’homme accusé d’avoir violé une femme de 95 ans à Figueres (Gérone), éclatent au grand jour. Comme il l’explique lui-même, il l’a confondue avec une de ses amies qui habite dans son quartier et qu’il l’a masturbée, un mensonge bien peu crédible qui n’a pas convaincu le juge, qui n’a pas hésité à l’envoyer en détention provisoire.

Les événements se sont produits il y a deux semaines lorsque, Alpha Omar Jallow, un Gambien de 31 ans, se serait faufilé dans la maison de sa victime, une femme de 95 ans qui vivait à Figueres. Une fois à l’intérieur de la maison, il l’a agressée sexuellement et l’a gravement blessée, puis s’est enfui. […]

ElCaso.com

05/02/22

Au milieu de la nuit, cet homme s’est introduit par la fenêtre au domicile d’une vieille dame à Figueres (Catalogne, Espagne). Avant de violer cette femme âgée de 95 ans. Une agression d’une grande violence. En état de choc, et gravement blessée au niveau des parties génitales, la victime avait néanmoins réussi à déclencher le système d’urgence de sa télésurveillance afin d’alerter les secours. Opérée dans la foulée à l’hôpital de Figueres, la vieille dame était sortie d’affaire avant d’être transférée en maison de repos […]

Depuis, l’homme était activement recherché. […]  Jusqu’à ce que les Mossos, les policiers catalans, n’annoncent l’interpellation du fameux individu, âgé d’une trentaine d’années et d’origine subsaharienne. Lequel a avoué les faits […]

L’Indépendant