Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion
« Arrêtons ce naufrage de civilisation ! » : le discours cinglant du pape François à l’UE sur la question migratoire
Lors d’une visite sur l’île de Lesbos, où arrivent des personnes aspirant à l’exil, François a demandé un changement radical dans l’attitude des pays européens envers les migrants qui se présentent à leurs frontières.
L’histoire ne pourra pas reprocher à ce pape-là de n’avoir pas parlé avec suffisamment de force contre ce qu’il a appelé vendredi « la guerre de ce temps », à savoir la question migratoire. Au deuxième jour de sa visite en Grèce, François s’est rendu, dimanche 5 décembre, dans l’île de Lesbos à la rencontre de réfugiés, qui, à partir des côtes turques, cherchent à rejoindre un pays européen. Il y a prononcé d’une voix douce son discours sans doute le plus ardent, mais aussi le plus cinglant, en faveur d’un changement radical dans l’attitude des pays de l’Union européenne envers les migrants qui se présentent à ses portes. Car la politique actuelle visant à les empêcher d’entrer, a-t-il fulminé, constitue « un naufrage de civilisation ».
Note : j'ai mm pas lu la suite de l'article, je peux plus supporter ce Pape. Il parle de « naufrage de civilisation » mais ne voit pas que c'est le christianisme qui sombre, et que c'est l'islam qui le remplace peu à peu en Europe. Chaque fois qu'il prône l’ouverture des frontières, il fait la promotion de l’installation de l'Islam en Europe
Un Pape se doit de solidifier le christianisme, et doit chercher a convertir les autres, mais ce Pape cherche a noyer l’Europe dans des vagues de migrants (musulmans), qui demain feront des enfants par milliers et construirons des mosquées qui encreront plus profondément leur religion, dans une terre pourtant ancestralement chrétienne
À peine arrivé à Athènes, le souverain pontife a pointé la responsabilité de l’Europe dans la crise migratoire, la disant «parfois bloquée et non coordonnée», au lieu d’être «un moteur de solidarité».
Le pape François a pointé samedi, au premier jour de sa visite à Athènes, la responsabilité de l’Europe dans la crise migratoire et déploré qu’elle soit «parfois bloquée» et «déchirée par les égoïsmes nationalistes». Le souverain pontife argentin de 84 ans, arrivé peu après 11H00 à l’aéroport d’Athènes, a regretté que «l’Europe persiste à tergiverser» face aux arrivées de migrants «au lieu d’être un moteur de solidarité».
(…) Si le pape François s’est rendu sur l’île grecque de Lesbos en 2016, où il retournera dimanche, c’est la première visite d’un pape à Athènes en vingt ans, depuis le déplacement de Jean Paul II en mai 2001. Il avait auparavant passé deux jours à Chypre où il a fustigé avec force «le mur de la haine» dressé contre les migrants, dont cinquante seront transférés à Rome, selon Nicosie.
(…) À Athènes, le pape pontife a rappelé que la Grèce avait «reçu sur certaines de ses îles un nombre de frères et sœurs migrants plus élevé que celui des habitants eux-mêmes». Or «la communauté européenne, déchirée par les égoïsmes nationalistes, apparaît parfois bloquée et non coordonnée, au lieu d’être un moteur de solidarité», a-t-il dit devant les autorités politiques.
Quand Valérie Pécresse signait avec Christiane Taubira un appel “pour une République multiculturelle et postraciale” lancé par Rokhaya Diallo et d’autres figures indigénistes
03/12/2021
Comment ouvrir la République à tous les citoyens qui la composent ? C’est l’interpellation que lancent, en plein débat sur l’identité nationale, l’ex-footballeur Lilian Thuram, les historiens Pascal Blanchard et François Durpaire, la fondatrice de l’association Les Invisibles, Rokhaya Diallo, et le directeur de la rédaction de Respect Magazine, Marc Cheb Sun. L’appel “Pour une République multiculturelle et postraciale”, que proposent ces cinq personnalités est une invitation au changement, une invitation de la société française à s’accepter telle qu’elle est : diverse. “La société française, riche de la pluralité de ses talents, s’est profondément renouvelée. Par contraste, les élites – politiques, économiques, culturelles – ne parviennent pas à intégrer ces nouvelles dynamiques”, écrivent les auteurs qui entendent initier un mouvement en mesure de tracer la voie du changement. Leur texte s’accompagne ainsi de 100 propositions, émanant chacune d’une personnalité, scientifique ou chercheur, responsable politique ou associatif, acteur de la société civile. Parmi ces personnalités figurent en autres, Richard Descoings, Michel Wieviorka, Nicolas Hulot, Dominique Versini ou encore Rama Yade et Valérie Pécresse.
Villepinte (93) : Antifas, syndicats, militants d’extrême-gauche tentent d’attaquer le meeting d’Eric Zemmour (MàJ en direct)
05/12/2021
Le candidat et ses soutiens seront à Villepinte, en Seine-Saint-Denis, tandis qu'une manifestation des «anti-Zemmour» est prévue à Paris. La journée est classée «à risque» par la police.
Après son annonce de candidature critiquée, Eric Zemmour entend faire une démonstration de force lors de son premier meeting de campagne présidentielle dimanche à Villepinte (Seine-Saint-Denis), dans une journée «à risque» selon la police, avec des anti-Zemmour mobilisés.
«C'est une des plus grandes salles de meeting depuis quelques années», «c'est absolument dingue», insiste le porte-parole Antoine Diers, qui se dit «très heureux» si son candidat rassemble plus de 10.000 personnes. Le directeur des événements d'Éric Zemmour, Olivier Ubéda, assure avoir recensé 19.000 inscrits. Plus de 400 journalistes sont accrédités.
Le polémiste a calqué son calendrier sur le congrès des LR, qui ont choisi samedi leur championne Valérie Pécresse, au profil plus modéré que son rival Éric Ciotti. Comme Marine Le Pen, sa concurrente à l'extrême droite, Éric Zemmour ainvité les déçus parmi les électeurs LR à le rejoindre, dans une lettre ouverte où il leur atteste: «Nous sommes si proches et avons tant en commun».
L'ex-conseillère régionale RN Agnès Marion sera du meeting dimanche et pourrait se voir confier des responsabilités dans la région Auvergne-Rhône-Alpes. Elle «espère» un discours autour «du grand déclassement» et du «grand remplacement», cette théorie complotiste régulièrement revendiquée par Eric Zemmour du remplacement des populations européennes par des immigrés non européens.
Faire «taire» Zemmour
Initialement prévu au Zénith, à la Villette, le meeting a finalement été délocalisé à Villepinte, à une vingtaine de kilomètres. L'équipe d'Éric Zemmour l'explique par «l'engouement populaire» mais admet aussi des raisons de sécurité, alors qu'une manifestation est prévue dans Paris.
Une cinquantaine d'organisations syndicales, partis et associations ont appelé à manifester de Barbès à la Villette pour faire «taire» Eric Zemmour.
De source policière, la manifestation et le meeting au Parc des expositions sont considérés «à risque». La police attend quelques milliers de personnes dans la capitale et une centaine de militants de l'ultra-gauche à Villepinte, où elle craint des affrontements avec des militants pro-Zemmour pour tenter d'empêcher la tenue du meeting.
Le président PS de la Seine-Saint-Denis Stéphane Troussel avait lancé de son côté une pétition pour faire annuler le meeting par les propriétaires du lieu, le groupe Viparis, en l'interpellant sur sa «charte de la diversité» qu'il juge «incompatible» avec l'accueil de l'ancien éditorialiste. La démarche a scandalisé le camp Zemmour.
Durant le meeting seront dévoilés le nom du parti, avec adhésion payante, ainsi que la «scénographie» du candidat qui l'accompagnera tout au long de sa campagne.
Il permettra de mesurer les ralliements, alors que l'organisation est critiquée en interne pour sa fragilité et que des militants plus radicaux ont intégré l'organisation de la campagne.
Le financier Charles Gave a retiré son soutien, après avoir prêté 300.000 euros, et le souverainiste Philippe de Villiers ne sera pas présent dimanche.
Identitaires
Pour le nouveau parti, l'ancien mégrétiste et proche des identitaires Grégoire Tingaud sera chargé de coordonner les référents régionaux, parmi lesquels l'ancien cadre du Bloc identitaire Philippe Milliau, actuel président de TV Libertés, qui s'occupera notamment de la Bretagne.
L'ancien député conservateur Jean-Frédéric Poisson, du petit parti «VIA la voix du peuple» (ex-Parti Chrétien Démocrate), a annoncé vendredi qu'il renonçait à sa candidature pour se ranger derrière celle d'Éric Zemmour, qu'il ira applaudir à Villepinte avant de s'occuper des législatives.
Le général Bertrand de la Chesnais, ancienne tête de liste pour le RN aux municipales de 2020 à Carpentras (Vaucluse), qui planche déjà sur les questions de défense pour le candidat, pourrait être nommé directeur de campagne.
Le maire de Béziers Robert Ménard, soutien de Marine Le Pen (RN) et ami d'Éric Zemmour, a dit espérer dimanche des «propositions». Il avait jugé son annonce de candidature d'une «noirceur apocalyptique», comme l'ensemble de la classe politique.
Outre sa tonalité, la vidéo d'Éric Zemmour avait été critiquée pour son amateurisme avec l'utilisation d'images sans avoir les droits. Le candidat était ensuite apparu tendu au 20h de TF1, puis s'était emporté contre le présentateur Gilles Bouleau, avec des propos insultants en sortie du plateau.
«Il y a une mue à faire. Il n'apparaissait pas ultra rodé, mais du coup on voit que ce n'est pas un politicien au sens de politicard. Ce sera intéressant de voir les sondages dans une semaine», relativise l'ex-RN Agnès Marion.
Le nouveau maire PS de Rouen veut remplacer la statue de Napoléon par celle de la militante féministe Gisèle Halimi, une “consultation citoyenne” annoncée (Màj : le vote aura lieu du 6 au 8 décembre)
04/12/2021
Du lundi 6 au mercredi 8 décembre 2021, le vote en ligne relatif notamment au retour ou non de la statue de Napoléon près de l’hôtel de ville de Rouen sera ouvert. Précisions.
C’est un débat qui a largement fait parler, et bien au-delà des frontières de la capitale normande : la statue de Napoléon, retirée de son socle en juillet 2020 pour partir en rénovation doit-elle revenir place de l’hôtel de ville ou bien être posée ailleurs dansRouen (Seine-Maritime) et remplacée ici par une figure féminine ?
C’est à l’occasion des journées du patrimoine en septembre 2020, que le maire de Rouen Nicolas Mayer-Rossignol avait proposé d’ouvrir un débat, sur le remplacement de cette statue de Napoléon par une « figure féminine » […]
La disparition de la statue a généré de nombreux commentaires de tous bords politiques, à Rouen comme ailleurs. Ainsi la conseillère municipale d’opposition à Rouen Marine Caron qualifia l’initiative de « mesure de communication opportuniste et démagogique », ainsi le candidat au second tour de la primaire des Républicains Eric Ciotti dénonce « le wokisme et la déconstruction de notre identité en action ». Une pétition mise en ligne en septembre 2020 a par ailleurs recueilli plus de 21 000 signatures.
Ouvert du 6 au 8 décembre inclus
Face à la polémique, Nicolas Mayer-Rossignol l’affirme : au final, ce seront bien les Rouennaises et les Rouennais qui auront le dernier mot à l’occasion d’un vote en ligne. Celui-ci vient clore un cycle de débats et de conférences intitulé « Et si on statuait », et qui a vu diverses personnalités venir réfléchir sur le sujet à l’occasion de conférences. […]
Le maire de Rouen (Seine-Maritime), Nicolas Mayer-Rossignol, propose d’ouvrir un débat, sur le remplacement de la statue de Napoléon par une « figure féminine ». Explications.
La statue de Napoléon, à Rouen (Seine-Maritime), retrouvera-t-elle son piédestal place du Général-de-Gaulle, en face de l’hôtel de Ville ?
Fragilisée, la statue équestre de l’empereur est actuellement rénovation — et ce pour plusieurs mois — à Saint-Rémy-lès-Chevreuses (Yvelines). Nicolas Mayer-Rossignol, maire et président de la métropole de Rouen, veut profiter ce cette occasion pour ouvrir un débat sur le devenir de la statue et du lieu. Son idée : installer la statue de Napoléon 1er autre part dans la ville, et ériger à la place une représentation de « figure féminine ».
« La question de l’égalité femmes/hommes est centrale et doit se traduire dans les actes : j’assume la portée symbolique de cette proposition », a souligné l’élu jeudi 10 septembre 2020 lors de la présentation du programme des Journées du patrimoine et du matrimoine. À propos de la « figure féminine » qui pourrait remplacer Napoléon, Nicolas Mayer-Rossignol a soufflé le nom de Gisèle Halimi, l’avocate, militante féministe et femme politique décédée en juillet.
Note: c'est toujours des maires PS/démocrate qui déboulonnent notre histoire et nos statuesIci aussi je prépare un dossier pour démontrer qui collabore a la destruction de nos racines
Terrorisme : Anthony, converti à l’islam et devenu Abou Muslim al-Faransi, rêvait, avec son complice, d’un « 13 Novembre en mieux » dans l’enceinte du Stade Rennais (MàJ: 10 et 6 ans de prison ferme)
04/12/2021
Le verdict est tombé ce vendredi soir dans le procès de deux jeunes hommes accusés de projeter en 2017 des attaques terroristes. L’un des deux, un Rennais est condamné à 10 ans de prison, le second à 6 années d’incarcération. Des peines moins lourdes que les réquisitions, qui étaient respectivement de 12 et 8 ans. […]
A 16 ans, ces deux adolescents ont imaginé rejoindre l’État islamique ou commettre un attentat contre le stade de football de Rennes. Aujourd’hui âgés de 21 ans, ils sont jugés à partir de ce mardi par la cour d’assises spéciale des mineurs à Paris.
Il avait 16 ans, l’âge où certains adolescents rêvent encore de devenir footballeurs. De sa fenêtre, Anthony (le prénom a été changé) pouvait apercevoir le Roazhon Park, l’enceinte du Stade rennais. Le jeune Breton solitaire, trimbalé à droite à gauche au gré des déménagements, ne s’imaginait pourtant pas taper dans un ballon sous les hourras. Son fantasme, c’était de « prendre place dans les gradins et tirer dans la foule ». Son macabre projet d’un « 13 Novembre mais en mieux » devait coûter la vie à « 40 idolâtres » parmi les supporters. Dans le même temps, d’autres assaillants auraient dû faire feu dans un bar et un supermarché.
À Rennes, un lycéen de 17 ans, converti à l’islam, avait préparé un plan d’attaque terroriste au Roazhon Park, le stade de football de la route de Lorient, à l’aide de complices armés qu’il pensait recruter via la messagerie Telegram. Interpellé le 16 janvier 2018 chez lui, à Rennes, il comparaîtra avec un co-accusé, du 30 novembre 2021 au 3 décembre 2021, devant la cour d’assises des mineurs spéciale, qui juge les crimes de terrorisme.
Le 25 février 2018, le ministre de l’Intérieur Gérard Collomb révélait que deux projets d’attentats avaient été déjoués en janvier, par les services de renseignement. L’un visait « un grand équipement sportif ». Il s’agissait en réalité du Roazhon Park, le stade de la route de Lorient, à Rennes (Ille-et-Vilaine). Le 16 janvier 2018, un lycéen de 17 ans, converti à l’islam, avait été interpellé chez sa mère, domiciliée à Rennes, pas loin du stade de football.
Des investigations avaient révélé une activité soutenue sur les réseaux sociaux. Il y relayait des textes et des vidéos de propagande jihadiste. Il usait particulièrement de la messagerie Telegram, pour recruter, avec l’idée de perpétrer des attaques au Roazhon Park, au bar L’Équipe et au magasin Carrefour City, rue de Lorient…
Rome (It.) : un Nigérian, armé d’un couteau, sème la panique devant la gare Termini en tentant d’agresser des policiers et des passants
04/12/2021
Italie – Un après-midi de haute tension sur la Piazza dei Cinquecento, la grande place devant la gare Termini, où un homme armé d’un grand couteau a semé la panique. Des images vidéo prises ce samedi 4 décembre montrent les moments les plus agités, avec des policiers intervenant pour calmer l’homme, un Nigérian de 36 ans, qui criait des phrases incohérentes et menaçait les agents avec un couteau.
Les policiers ont tenté de l’encercler et de l’empêcher d’approcher les passants, tandis qu’une femme, également africaine, est intervenue, criant sur les agents et rendant la situation encore plus explosive. Dans un climax dramatique, l’homme s’est alors dangereusement approché de l’un des agents – armé d’une matraque, personne n’a sorti d’arme à feu – et les autres ont rapidement réussi à l’immobiliser. L’homme de 36 ans avait commencé à montrer des signes de déséquilibre peu de temps auparavant, à l’arrêt du tram 5 dans la via Giolitti. Rejoint par la police, il a ensuite fui vers la Piazza dei Cinquecento où il a été désarmé et arrêté pour menace aggravée et port illégal d’armes.
La Suisse a-t-elle payé un trajet Zurich-Paris pour 41 migrants afghans ?
05/12/2021
La scène a dû surprendre plus d’un voyageur mercredi soir dernier sur les quais de la gare de Lyon, à Paris. Vers 21h41, à l’arrivée du dernier train en provenance de Zurich, en Suisse, un groupe de migrants afghans qui y avait pris place et s’apprêtait à en sortir ont été interpellés et placés en rang deux par deux par les policiers, le temps des formalités nécessaires. Selon des sources concordantes, ces 41 migrants en situation irrégulière provenaient d’Autriche, via la Suisse. Ils ont affirmé avoir voyagé avec l’aval des autorités suisses, qui leur auraient même payé des billets de train en bonne et due forme, ont-ils dit.
[…]
Sollicité ce samedi, le ministère de l’Intérieur affirme de son côté qu’il est « en train de procéder à des vérifications d’usage auprès des autorités suisses. » « Si les faits étaient avérés, cela serait inacceptable », déclare-t-on au ministère de l’Intérieur, rappelant que les mesures applicables dans l’espace Schengen doivent être « pleinement respectées ». Il semble en tout cas que ce couloir de transit Autriche-Suisse-France, fortement utilisé par les migrants afghans en août et septembre dernier soit de nouveau réemprunté.
[…]
Quoi qu’il en soit, ces 41 migrants afghans au parcours mystérieux, bel et bien arrivés à Paris, ont été pris en charge. Parmi eux se trouvaient 18 mineurs, qui ont été conduits en centre d’hébergement. Les 23 autres ont été placées en retenue administrative et 16 d’entre eux ont reçu une convocation pour engager une procédure de demande d’asile. Cinq de ces migrants sont des « dublinés » en cours de procédure – c’est-à-dire des personnes ayant déjà formulé une demande d’asile dans un autre pays d’Europe, en l’occurrence en Autriche, où ils vont être transférés. La réglementation Dublin veut en effet que le premier État d’Europe où une demande d’asile est déposée soit responsable de son examen.
Italie : la Justice valide la saisie d’un navire d’ONG pro-migrants, pour complicité à l’immigration clandestine et violation du code de la navigation
03/12/2021
Italie – La Cour de cassation a validé la saisie du navire Mare Jonio, principal navire utilisé par l’ONG italienne Mediterranea Saving Humans, ordonnée par le parquet de Raguse.
Les juges ont rejeté les recours déposés par les différents suspects, dont le militant Luca Casarini, qui contestaient la légitimité de la saisie de documents, de téléphones portables et d’ordinateurs, trouvés à bord du “Mare Jonio” et au domicile des personnes impliquées.
La saisie, validée par le tribunal de Raguse le 26 mars, avait eu lieu dans le cadre de la procédure engagée par le ministère public pour les délits de complicité à l’immigration clandestine et de violation des règles du code de la navigation. Ces infractions ont été commises dans le cadre du transbordement sur le navire “Mare Jonio” et du débarquement ultérieur, qui ont eu lieu dans le port de Pozzallo entre le 11 et le 12 septembre 2020, de 27 migrants illégaux secourus en mer 38 jours plus tôt par le pétrolier “Maersk Etienne” battant pavillon danois.
Selon les juges, le “secours” des migrants n’était pas fondé “en raison de l’absence d’un état de danger réel et imminent pour la vie et la sécurité des migrants, ceux-ci ayant déjà été embarqués à bord du pétrolier Maersk et ne risquant donc pas de périr en mer, n’étant pas privés d’abris et de la possibilité de se nourrir et ne se trouvant pas dans une situation de danger pour leur santé”.
13-Novembre : Le djihadiste belge Oussama Atar, “cerveau” des attentats, avait été condamné à la perpétuité en 2005. Il a simulé une grave maladie et, sur pression du gouvernement belge et d’ONG, il a été libéré (MàJ : Vidéo)
05/12/2021
Plusieurs députés belges (CDH, Ecolo, PS) ont participaient, en 2010, à la campagne pour obtenir la libération du jihadiste Oussama Atar, détenu en Irak. Libéré en 2012, il sera l’un des principaux organisateurs des attentats du 13 novembre 2015.
Au procès des attentats du 13-Novembre, la cour d’assises spéciale de Paris continue d’entendre des enquêteurs belges. La Belgique d’où venaient la plupart des terroristes. Ce jeudi 2 décembre, un policier est venu dresser le portrait d’Oussama Atar, seul accusé à être jugé pour « direction d’une organisation terroriste ». Il est le cerveau présumé des attaques et serait mort en Syrie, fin 2017.
La première fois qu’il part en Syrie, Oussama Atar n’a que 17 ans. Nous sommes en 2001. Le jeune homme en décrochage scolaire y passe un mois de vacances. Deux ans plus tard, il y retourne pour étudier l’arabe puis rejoint les rangs d’al-Qaïda en Irak et fait la connaissance du Syrien Abou Mohammed Al-Adnani, futur numéro 2 du groupe État islamique (EI).
En 2005, Oussama Atar est arrêté. Il passe plusieurs années en prison, notamment à Abou Ghraib. Sa famille, soutenue par les autorités belges et des ONG, organise une campagne pour qu’il soit rapatrié car il est soi-disant gravement malade.
Oussama Atar rentre en 2012 et se trouve mis en examen pour terrorisme. Mais il n’est pas spécialement surveillé. Pire, un passeport lui est délivré. Fin 2013, il repart en Syrie où il prendra la tête de la cellule des opérations extérieures du groupe EI, la Copex, et pilotera les attentats de Paris et Bruxelles.
« Les autorités belges ont-elles voulu faire de lui un indic ? Un agent double ? », interroge le parquet. « Je ne sais pas », répète l’enquêteur. Des avocats de parties civiles et de la défense reviennent à la charge. Le président finit par intervenir : « Des failles, il y en a eues. C’est certain, mais on n’est pas là pour attribuer des bons ou des mauvais points aux policiers belges. »
Le 21 février 2005, il est arrêté par les Américains alors qu’il vient de franchir la frontière irako-syrienne sans passeport ni visa. Il est incarcéré puis condamné à la prison à perpétuité, une peine réduite à 10 ans de prison en mai 2007. “Lors de son arrestation, il est en compagnie de djihadistes, il a été blessé”, relate André Jacob, ex-patron de l’anti-terrorisme à la Sûreté de l’Etat.
À la suite de cela une campagne intitulée « Sauvons Oussama » le présentant comme privé de soins dans les prisons irakiennes et demandant son rapatriement sanitaire6 est organisée avec le soutien d’Amnesty International7 et de plusieurs parlementaires belges des partis Ecolo, CDH et PS (notamment Zoé Genot, Jamal Ikazban et Ahmed El Khannouss8). L’ambassadeur des États-Unis en Belgique intervient même par écrit pour accélérer son retour à Bruxelles1. Atar est finalement libéré en 2012, après avoir purgé les trois-quarts de sa peine2. Il revient en Belgique après sa libération en septembre 20129. Notons que ces informations sont contredites en 2016 par Amnesty International. Dans un communiqué publié sur le site de l’organisation, nous pouvons lire : “Amnesty International n’a jamais fait campagne pour la libération de celui qui est aujourd’hui désigné comme terroriste. Elle a demandé que lui soit accordé l’accès aux soins médicaux nécessaires.” 10. Le texte publié par l’association en 2010 [archive] est d’ailleurs joint à ce communiqué, et ne fait en effet pas référence à la libération du prisonnier, mais bien à son accès à des soins médicaux adaptés.
Quand Abnousse Shalmani dézingue à la Kalashnikov la commissaire européenne à l’égalité Helena Dalli,
Quand Abnousse Shalmani dézingue à la Kalashnikov la commissaire européenne à l’égalité Helena Dalli, ça envoie du lourd, à juste titre. pic.twitter.com/H2mOOvT6W9
Bock-Côté : « La volonté de manipuler le vocabulaire est au cœur de tout régime totalitaire. Au nom de la lutte contre les discriminations, la Commission européenne veut abolir le mot “Noël” »
04/12/2021 à 22h39
Les manœuvres chinoises près de Taïwan préoccupent le Pentagone
En pleine phase de tension entre les États-Unis et la Chine sur la question de Taïwan, le secrétaire à la Défense américain se dit préoccupé par l'envergure et la fréquence des sorties militaires de la Chine dans la zone de défense aérienne de l'île. Le Pentagone promet de la défendre en cas d'agression.
Après le Japon, c'est maintenant le Pentagone. Alors que, selon la base de données de l’AFP, l’armée chinoise a effectué en novembre 159 incursions avec des avions de combat et des bombardiers dans la zone de défense aérienne de Taïwan, Lloyd Austin, secrétaire américain à la Défense, a déclaré qu’elles semblaient être des répétitions d'opérations militaires contre l’île autonome démocratique dont Pékin revendique la souveraineté.
"Cela ressemble beaucoup à l’analyse de leurs véritables capacités et bien sûr cela ressemble beaucoup à des répétitions", a déclaré M.Austin dans un discours samedi au Forum Reagan sur la défense nationale.
Toujours selon l'AFP, novembre a été le troisième mois consécutif où plus d’une centaine d’avions de guerre chinois ont fait des incursions dans cet espace sensible, avec cent aéronefs de chasse et neuf bombardiers H6 à capacité nucléaire.
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