Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion
Omicron : comment ce nouveau variant du SARS-CoV-2 a-t-il été identifié, et que sait-on de lui ?
La réponse courte est que nous ne savons pas encore réellement s’il faut s’inquiéter de cette émergence. La réponse longue est que B.1.1.529 est effectivement porteur de certaines mutations qui sont inquiétantes.
Depuis le début de la pandémie de Covid-19, le Réseau de surveillance génomique en Afrique du Sud surveille l’évolution du coronavirus SARS-CoV-2. Fin 2020, ce précieux outil, qui permet de comprendre le mode de propagation du virus, avait détecté une nouvelle lignée de SARS-CoV-2, 501Y.V2, qui a par la suite baptisée variant Bêta.
Aujourd’hui, un nouveau variant a été identifié : B.1.1.529. L’Organisation mondiale de la santé l’a déclaré « variant préoccupant », et lui a attribué le nom d’Omicron.
Pour nous aider à mieux comprendre la situation, Ozayr Patel, de The Conversation Africa, a demandé à des scientifiques de partager ce qu’ils savent actuellement de ce variant.
Pourquoi des variants préoccupants émergent-ils en Afrique du Sud ?
Nous ne le savons pas avec une absolue certitude, mais cela n’est à coup sûr pas uniquement lié à l’important effort de surveillance du coronavirus mené dans le pays. Une théorie postule que les personnes dont le système immunitaire est très affaibli et qui, parce qu’elles ne peuvent l’éliminer, subissent une infection prolongée par le coronavirus SARS-CoV-2, pourraient être à l’origine de l’émergence de nouveaux variants.
Selon cette hypothèse, le système immunitaire de ces personnes exercerait un certain degré de « pression immunitaire » qui créerait des conditions propices à l’émergence de variants. Autrement dit, leur réponse immunitaire ne serait pas assez forte pour éliminer le virus, mais exercerait cependant un certain niveau de pression sélective qui « forcerait » le virus à évoluer.
Or, en Afrique du Sud, de nombreuses personnes sont infectées par le VIH et sont à un stade avancé de la maladie, car malgré l’existence d’un programme visant à distribuer des traitements antirétroviraux, nombre d’entre elles ne disposent pas d’une prise en charge effective. Plusieurs cas cliniques ont été étudiés qui confirment cette hypothèse, mais il reste encore beaucoup à apprendre.
Où en sont les recherches scientifiques
« Traquer les nouveaux variants » : si excitante que puisse paraître cette activité, elle repose principalement sur le séquençage du génome entier du coronavirus, à partir d’échantillons qui ont été testés positifs. Chasser les nouveaux variants nécessite un effort concerté. L’Afrique du Sud et le Royaume-Uni ont été les premiers pays à mettre en place une surveillance génomique du SARS-CoV-2des efforts à l’échelle nationale, dès avril 2020.
Dans un document interne, la Commissaire européenne à l’égalité, interdit d’employer les mots « Noël », « colonisation de Mars », ou encore des prénoms chrétiens (MàJ)
29/11/2021
Helena Dalli est la commissaire chargée de l’égalité, qui renforce l’engagement de l’Europe en faveur de l’inclusion et de l’égalité et dirige la lutte contre la discrimination.
L’intégration de l’égalité signifie que tous les produits doivent prendre en compte la dimension de l’égalité, y compris la communication.
Alors que nous nous dirigeons vers une #UnionOfEquality je suis fier de lancer les lignes directrices de la Commission européenne pour une communication inclusive.
Helena Dalli
Elle avait notamment reçu l’association proche des Frères musulmans, FEMYSO – qui sont notamment a l’origine de la campagne #JoyinHijab (Image ci-dessous) pour le Conseil de l’Europe –, provoquant la colère de Marlène Schiappa :
L’Espagne, la Pologne et la Hongrie contre la langue “purificatrice” du document interne de la Commission européen. Salvini évoque : “Une folie”
La découverte par Il Giornale d’un document de la Commission européenne publié pour circulation interne et contenant des “lignes directrices pour une communication inclusive” suscite la controverse en raison des indications interdisant l’utilisation du terme “Noël”, des noms chrétiens tels que Marie et Jean, et de l’expression “Mesdames et Messieurs”, ce qui entraîne des interdictions paradoxales telles que “coloniser Mars” (la formulation correcte devrait être “envoyer des humains sur Mars”).
Un véritable vade-mecum du politiquement correct qui a provoqué des réactions d’indignation dans le monde politique italien. Si la leader de Fratelli d’Italia, Giorgia Meloni, a déclaré sans mâcher ses mots : “Trop c’est trop : notre histoire et notre identité ne peuvent pas être effacées”, le secrétaire de la Lega Nord, Matteo Salvini, a parlé de “folie” et le sous-secrétaire fédéral Lorenzo Fontana est allé encore plus loin : “Ce qui se passe dans cette Europe où l’on impose une dérive anthropologique et sociale de nos coutumes et traditions est quelque chose de monstrueux. Nous devons nous battre de toutes nos forces pour empêcher que cela ne se produise.
Pourtant, les folies de la “communication inclusive” de la Commission européenne ne s’arrêtent pas à Noël et à l’abolition des hommes et des femmes, mais embrassent toutes les sphères de la société, remettant en cause des principes tels que l’appartenance nationale et la famille.
Le document met en garde contre le risque d’offenser les “apatrides ou les immigrants” et demande que le terme “citoyen” soit évité car “tous les citoyens de l’UE ne sont pas des citoyens”, ce qui interdit de dire “tous les citoyens ont le droit d’être en sécurité”.
Enfin, la famille a également été attaquée, avec une invitation à ne pas décrire les personnes comme étant mariées ou célibataires et à “éviter de lier le concept de famille à un statut juridique”. Le principe est que personne ne doit se sentir offensé, sauf les chrétiens, ceux qui croient en la valeur de la famille et au respect de leur nation, envers qui tout est permis, même d’effacer des millénaires d’histoire.
Un document interne de la Commission européenne : pas d’utilisation de “Mlle ou M.”, plus de références religieuses et de noms chrétiens
S’ils nous l’avaient dit et que nous ne l’avions pas lu noir sur blanc dans une communication officielle de la Commission européenne, nous ne l’aurions pas cru car le contenu des nouvelles lignes directrices pour la “communication inclusive” est incroyable. Dans un document destiné à la circulation interne dont Il Giornale a eu l’exclusivité, intitulé #UnionOfEquality. Lignes directrices de la Commission européenne pour une communication inclusive, les critères à adopter pour les employés de la Commission en matière de communication externe et interne sont indiqués. Comme l’écrit la commissaire à l’égalité Helena Dalli dans l’avant-propos, “nous devons toujours proposer une communication inclusive, en veillant à ce que chacun soit valorisé et reconnu dans tous nos supports, indépendamment de son sexe, de sa race ou de son origine ethnique, de sa religion ou de ses convictions, de son handicap, de son âge ou de son orientation sexuelle”.
Pour ce faire, la Commission européenne établit une série de règles qui non seulement effacent les conventions et les mots utilisés depuis toujours, mais contredisent également le bon sens. Il est interdit d’utiliser des noms sexués tels que “ouvriers ou policiers” ou d’utiliser le pronom masculin comme pronom par défaut, il est interdit d’organiser des discussions avec un seul genre représenté (seulement des hommes ou seulement des femmes) et encore, il est interdit d’utiliser “Mademoiselle ou Madame” à moins que le destinataire de la communication ne le fasse explicitement. Mais ce n’est pas tout : vous ne pouvez pas commencer une conférence en vous adressant à l’auditoire avec l’expression habituelle “Mesdames et Messieurs”, mais vous devez utiliser la formule neutre “chers collègues”.
Le document s’attarde sur des domaines spécifiques tels que le “genre”, le “Lgbtiq”, la “race et l’ethnie” ou les “cultures, modes de vie et croyances”, avec un tableau indiquant ce qui peut et ne peut pas être fait, en se fondant sur la prétention de tout réglementer en créant un nouveau langage qui ne permet pas la spontanéité : “Veillez à ne pas toujours mentionner le même sexe en premier dans l’ordre des mots, ou à vous adresser différemment aux hommes et aux femmes (par exemple, un homme par son nom de famille, une femme par son prénom)” ; et encore “lorsque vous choisissez des images pour accompagner votre communication, veillez à ce que les femmes et les filles ne soient pas représentées dans un cadre domestique ou dans des rôles passifs alors que les hommes sont actifs et aventureux”.
Une volonté d’effacer le genre masculin et féminin qui atteint des niveaux paradoxaux lorsque la Commission écrit que nous devrions éviter d’utiliser des expressions telles que “le feu est la plus grande invention de l’homme” mais qu’il est juste de dire “le feu est la plus grande invention de l’humanité”. Il est clair que derrière la redéfinition de la langue se cache une volonté de changer la société européenne, nos coutumes et nos traditions, comme le montre le chapitre sur les “cultures, modes de vie ou croyances”. La Commission européenne tient à souligner qu’elle “ne considère pas que tout le monde est chrétien”, donc “tout le monde ne célèbre pas les fêtes de Noël (…) nous devons être sensibles au fait que les gens ont des traditions religieuses différentes”. Cependant, il y a une énorme différence entre respecter toutes les religions et avoir honte ou effacer les racines chrétiennes qui sont à la base de l’Europe et de notre identité.
Au nom de l’inclusivité, la Commission européenne va jusqu’à annuler Noël en invitant les gens à ne pas utiliser l’expression “la période de Noël peut être stressante” mais à dire “la période des vacances peut être stressante”. La volonté de supprimer le christianisme va encore plus loin avec la recommandation d’utiliser des noms génériques au lieu de “noms chrétiens”. Ainsi, au lieu de “Marie et Jean sont un couple international”, on devrait dire “Malika et Julius sont un couple international”. Cela va jusqu’au mépris du ridicule, qui nous oblige à contrer la connotation négative de mots comme colonialisme : il est interdit de dire “colonisation de Mars” ou “installation humaine sur Mars”, mais mieux vaut dire “envoyer des humains sur Mars”. Quand la tragédie cède la place à la farce.
Paris : Un policier en civil poignardé par plusieurs « individus de type africain », après avoir défendu sa compagne harcelée. Il est grièvement blessé. Deux suspects interpellés (MàJ)
29/11/2021
Un policier de 29 ans a été agressé à l’arme blanche ce dimanche au centre commercial Italie 2, dans le 13e arrondissement. Deux agresseurs présumés ont été interpellés dans la soirée.
Un policier «hors service» de 29 ans a été grièvement blessé à l’arme blanche au centre commercial Italie 2, dans le 13e arrondissement de Paris, a appris Le Figaro de source policière. L’agression s’est produite ce dimanche 28 novembre vers 18h40 alors que le policier embrassait sa compagne.
Plusieurs jeunes – décrits dans le signalement que nous avons pu consulter comme «des individus de type africain» – auraient alors fait une remarque en disant qu’ils «en voulaient aussi». Le policier, qui était en train de mettre sa compagne à l’écart, a ensuite été bousculé par l’un des jeunes. Une explication s’en est suivie sur un parvis au 2e étage du centre commercial au cours de laquelle le policier a reçu deux coups de couteau à l’abdomen.
INFO ACTU17. Un policier hors service a été grièvement blessé au couteau ce dimanche soir au centre commercial Italie 2 à Paris (XIIIe). Plusieurs agresseurs sont en fuite et activement recherchés.
Violente agression à l’arme blanche vers 18h45 au centre commercial Italie Deux, à Paris. Un policier de 29 ans qui était hors service et qui se trouvait avec sa compagne, a reçu au moins un coup de couteau au thorax et s’est effondré selon nos informations.
Quatre ou cinq agresseurs sont recherchés activement par les forces de l’ordre. Pour l’heure, on ne connait pas les circonstances exactes de cette agression. Tout aurait débuté par un différend entre le couple et un groupe d’individus virulents d’après une source policière. On ne sait pas si ces derniers avaient connaissance de la qualité de policier de la victime.
Nicolas Bay : « Le scandale, ce n’est pas tant la manière dont Éric Zemmour a réagi que la violence de l’extrême gauche. Quand est-ce qu’on va en finir avec l’impunité dont bénéficient les milices antifas ? »
28/11/2021
Marseille : « Il n’y a pas trop de Français, ils ont déménagé, ils ne sont même pas en France les Français, il y a 80% d’immigration» (Livre Noir, Ep 2)
28/11/2021
Episode 2 :
Gérald Darmanin appelle le Royaume-Uni à ouvrir « un accès légal à l’immigration »
Le ministre français de l’Intérieur Gérald Darmanin a appelé lundi le Royaume-Uni à ouvrir un « accès légal à l’immigration » et à prendre « ses responsabilités », au lendemain d’une réunion européenne à Calais, dont les Britanniques avaient été exclus.
Geoffroy Lejeune à BHL : « Ce qui me frappe, c’est votre empathie pour les pauvres du monde entier et votre absence d’empathie pour les Gilets Jaunes qui viennent crier leur désespoir à 300 m de chez vous »
28/11/2021
« Séquestration, vol, menaces : le vrai visage de Belattar ! », par Touche-pas à mon flic
Note : petite erreur, je devais posté cette vidéo il a de cela quelques jours
Le Sea-Watch 4, affrété par une ONG allemande, récupère plus de 450 migrants, dont 149 mineurs non-accompagnés, près des côtes libyennes, et les fait débarquer en Sicile (MàJ)
28/11/2021
Sur les 461 migrants à bord du vaisseau humanitaire, 178 étaient des mineurs dont 149 sans accompagnant.
Au cours de ses sauvetages, Sea-Watch affirme avoir été menacé par les autorités libyennes. Dans un audio diffusé sur Twitter par l’ONG, on entend les garde-côtes exhorter l’équipage à quitter la zone de sauvetage. “Dégagez de la zone, sinon nous vous emmenons avec nous en Libye, c’est clair ?” disent-ils.
La nuit dernière, le Sea Watch 4 a déclaré l’état d’urgence et a été autorisé à se mettre à l’abri dans le port d’Augusta en Italie.
Le mauvais temps a durement touché le navire et nos 461 invités menacés d’hypothermie. Quatre d’entre eux ont perdu connaissance et sont pris en charge par nos équipes médicales.
En l’espace d’une semaine, nous avons déposé 11 demandes d’attribution d’un port sûr, mais les autorités compétentes nous ont jusqu’à présent ignorés ou ont rejeté nos demandes.
Certaines personnes sont en mer depuis plus de 8 jours, 21 ont déjà été évacuées pour des raisons médicales.
A bord se trouvent des femmes enceintes, des mineurs non accompagnés & des enfants âgés de quelques mois seulement.
Ils ont le droit de débarquer immédiatement dans un port sûr !
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