Sondage Licra sur la « zemmourisation » des Français :
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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion
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Les Infos du 27 novembre 2021
Sky News a parlé à trois jeunes femmes qui ont fait de sérieuses accusations, fournissant des documents pour étayer leurs témoignages. Deux autres ont apporté leur témoignage.
L’opération Marksman a été clôturée après une enquête de deux ans, la police ayant déclaré aux victimes présumées qu’elle avait épuisé toutes les pistes d’investigation.
Mais dans leur première interview télévisée, les femmes au centre de l’affaire affirment qu’elles pensent qu’il y avait suffisamment de preuves pour aller en justice. Sky News a examiné les preuves fournies par une jeune femme appelée Sarah (nom fictif).
Il s’agit notamment de SMS d’un homme menaçant de la tuer si elle ne vient pas immédiatement avoir des relations sexuelles avec un certain nombre d’hommes.
Sarah dit qu’à l’âge de 13 ans, elle a été abusée et “pris en charge” par deux hommes et que l’un d’eux l’a violée. Elle déclare : “Il s’est mis sur moi et m’a violée, et j’étais juste une fille de 13 ans impuissante. Terrifiée.”
Il l’a ensuite emmenée dans un immeuble : “Il avait visiblement décidé que j’étais une assez bonne candidate pour passer à l’étape suivante”, dit-elle.
“Il m’a présentée à un autre type et a échangé de l’argent avec lui, et j’ai appris plus tard que j’avais été vendue dans le commerce du sexe (…) Cette pièce, cet appartement, m’a enlevé mon enfance.”
(…) Dans un graphique, que Sarah a réalisé pour la police, elle identifie 11 acteurs clés qui sont venus dans l’appartement – les deux proxénètes, l’acheteur et certains des membres réguliers du gang et des clients.
Elle les numérote même et fournit des photos pour aider à identifier certains des hommes.
Elle a également remis à la police un dessin d’elle-même, dans lequel elle se décrit comme mesurant 1,80 m, portant des leggings rose fluo et un t-shirt Mickey Mouse.
Elle a dit : “J’étais blonde. Je n’avais pas de seins. J’étais sous-développée. J’avais l’air jeune – et c’est ce qu’ils aimaient – plus c’était jeune, mieux c’était.”
“Il y avait des filles qui avaient l’âge d’être à l’école primaire.”
“Elle était là avec sa sœur, qui était un peu plus âgée. Je me souviens qu’elle criait dans cette chambre.”
Sarah a également dessiné des objets dans l’appartement utilisés pour intimider et contrôler les filles, notamment un Taser, un marteau et des menottes.
Elle dit avoir été une fois menottée au radiateur et que les sévices étaient parfois filmés.
“Il existe des vidéos de moi, petite fille de 13, 14 et 15 ans, violée par des hommes”, a-t-elle déclaré.
“Je les ai vues. Ils me les ont montrées. L’une des vidéos est légendée “English girl gets f* against her own will…” (“Des Anglaises se font baiser contre leur volonté”). Ils ne faisaient que de profiter de moi.”
“Beaucoup d’hommes qui te baisent, te réclament. Ils veulent baiser une pute blanche”
“Je ne suis pas une pute”
“Si, tu es une pute”
Aujourd’hui âgée de 19 ans, Sarah est l’une des nombreuses jeunes femmes qui ont déclaré à Sky News être déçues que l’enquête de police soit au point mort.
Elle affirme qu’au début de son adolescence, elle a été menacée d’être enterrée vivante ou brûlée si elle ne revenait pas régulièrement à l’appartement pour être violée par les hommes.
(…)
Le philosophe Vincent Cespedes rappelle que l’Eglise savait qu’elle abritait un grand nombre de pédocriminels et qu’elle a choisi de se taire. Cette corruption devrait mener à sa dissolution, estime-t-il dans une tribune au « Monde ».
Tribune. Un peu plus d’un mois après la publication retentissante du rapport fleuve sur les violences sexuelles dans l’Eglise catholique depuis 1950 (330 000 victimes, soit 13 par jour en moyenne), la Conférence des évêques de France annonce la mise en place d’une instance « de réparation » et d’un fonds d’indemnisation des victimes financé par les biens de l’Eglise. Oui, genoux à terre, l’Eglise entend bien acheter les crimes qu’elle a étouffés pendant des décennies – 2 500 euros les attouchements, 25 000 euros le viol ? Aucun évêque responsable n’a démissionné. Au Sénat, on insiste seulement sur des réformes à opérer dans le recrutement des prêtres.
La bien nommée « commission Sauvé » (du nom du président de la commission indépendante sur les abus sexuels dans l’Eglise, Jean-Marc Sauvé) ne doit pas sauver l’Eglise, mais sauver les croyants honnêtes, en signant son dépôt de faillite morale. Elle décrit un phénomène « massif » et « systémique ». Notre responsabilité historique est d’avoir laissé l’Eglise catholique commettre et cacher pendant des décennies ces violences pédocriminelles. Maintenant que nous savons, maintenant que des témoins ont été entendus et que les chiffres de l’ignominie défraient la chronique, agissons : dissolvons l’Église catholique sans plus attendre ! Quand une institution sait et se tait, elle devient complice des criminels, et donc criminelle elle-même.
[…]L’article dans son intégralité sur Le Monde
La plateforme Disney + restreint l’accès à certains dessins animés classiques de son répertoire, comme les Aristochats ou Peter Pan, estimant que ces oeuvres véhiculent des clichés racistes peu appropriés à un trop jeune public. Une leçon de morale injustifiée qui rappelle à l’essayiste Sami Biasoni le temps des précepteurs d’Ancien Régime.
Walt Disney regrettait en son temps que «le vrai problème avec le monde [fût] que trop de gens grandissent». Il faut croire que nombre d’enfants de jadis soient à ce point devenus adultes qu’ils ne parviennent désormais plus à penser en dehors de catégories problématiques fondant les nouvelles utopies de la race, du genre et du spécisme.
On apprend ainsi que sur la plateforme de vidéo à la demande Disney+ certains classiques anciens du répertoire animé sont devenus à ce point critiquables qu’il est nécessaire de les accompagner d’une mise en garde écrite, préalable au visionnage, précisant qu’ils comprennent «des représentations datées et/ou un traitement négatif des personnes ou des cultures». Il y est aussi question de stéréotypes «déplacés» qui auraient une «influence néfaste» sur le spectateur et de rédemption par une promesse répétée de vénération sans relâche des totems de «l’inclusivité» et de la «diversité». Dans les faits, on incrimine le film Peter Pan en raison de sa représentation jugée caricaturale et éculée de la culture amérindienne, les Aristochats pour présenter des chats siamois manipulant des baguettes et parlant avec un accent asiatique trop prononcé, et Dumbo au motif que l’un des corbeaux chantant le blues s’appelle Jim Crow (crow désignant le volatile en anglais), ce nom faisant écho aux lois de ségrégation raciale promulguées à partir de 1877 aux États-Unis. […]
Animé des meilleures intentions pédagogiques, le duc de Montausier entreprit en son temps de rendre accessible autant qu’acceptable une collection de textes classiques latins et grecs au jeune Dauphin encore adolescent Louis de France, fils du roi Louis XIV. Ainsi chaque œuvre originale était-elle accompagnée d’une réécriture (interpretatio) généralement simplificatrice et pudibonde, à laquelle on adjoignait une explication (annotatio) autant destinée à éclairer le texte et sa réécriture, qu’à en «orienter» favorablement la lecture. Mais il faut croire que les précepteurs moraux de notre époque ont cessé de former les rois ; ils éduquent désormais les foules en définissant le périmètre admissible de leur imaginaire.
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