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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Les Infos du 18 octobre 2021

 

 

 

 

L’ambassadeur d’Algérie en France compte sur la diaspora algérienne pour «intervenir» sur la politique française

 

17 octobre 1961 : la déclaration d’Emmanuel Macron critiquée de toute part • FRANCE 24

 

 

17 octobre 1961 : la gauche estime que Macron ne va pas assez loin, la droite fustige une criminalisation de l'histoire de France

 

Une partie de la droite a notamment réclamé que le président de la République commémore le «massacre d'Oran» du 5 juillet 1962, où des centaines d'Européens ont été tués.

Samedi, à l'occasion d'une cérémonie officielle pour les 60 ans du massacre d'Algériens le 17 octobre 1961 à Paris, Emmanuel Macron a dénoncé des «crimes inexcusables pour la République». «La France regarde toute son Histoire avec lucidité et reconnaît les responsabilités clairement établies. Elle le doit d'abord et avant tout à elle-même, à toutes celles et ceux que la guerre d'Algérie et son cortège de crimes commis de tous côtés ont meurtris dans leur chair et dans leur âme», explicite un communiqué de presse de l'Élysée.

Alors qu'en 2012, François Hollande avait admis «une sanglante répression», le chef de l'État est donc allé encore plus loin en participant à l'hommage national rendu sur les berges de la Seine, au niveau du pont de Bezons, emprunté il y a 60 ans par les manifestants algériens qui arrivaient du bidonville voisin de Nanterre à l'appel de la branche du FLN installée en France.

Macron ne va pas assez loin selon la gauche

Une présence et des mots qui ont largement fait réagir la classe politique. À gauche, on espérait que le président de la République aille plus loin. Dans une tribune publiée samedi dans le JDD , Alexis Corbière appelait par exemple Emmanuel Macron à «reconnaître le massacre des Algériens pour ce qu'il a été : un crime d'État». «Notre pays traverse un moment de trouble où le révisionnisme le plus odieux relève la tête, pour minimiser ou nier les crimes de Vichy ou ceux du colonialisme. Quel meilleur moyen de tuer dans l'œuf ces ferments de division qu'ouvrir le chemin de la justice et de la réparation aux victimes du 17 octobre 1961 ?», interroge le député de la France Insoumise.

Un propos partagé par la sénatrice EELV Esther Benbassa. Dans un tweet publié samedi après la commémoration, celle-ci estime que les déclarations du président de la République sont «un pas en avant» mais restent «insuffisantes pour réparer les mémoires blessées». «Il est temps de reconnaître le 17 octobre comme un crime d'État», juge-t-elle

«Criminaliser notre histoire est une faute»

De l'autre côté du spectre politique, on estime qu'Emmanuel Macron en fait trop. «Alors que l'Algérie nous insulte tous les jours, Emmanuel Macron continue à rabaisser notre pays. Ces repentances à répétition deviennent insoutenables et attentent à l'image de la France», tacle par exemple Marine Le Pen sur Twitter. Même reproche de la députée LR Michèle Tabarot, qui estime que «notre pays n'a pas à se soumettre aux injonctions mémorielles du régime algérien qui multiplie les provocations anti-France». «Criminaliser notre histoire est une faute. La repentance à sens unique aussi», tance-t-elle.

Le président de Debout la France, Nicolas Dupont-Aignan, est allé dans le même sens. «L'Algérie crache sur la France et Emmanuel Macron fait pénitence. Le chef de l'État doit inspirer la fierté et non la honte d'être Français. Autrement, comment s'étonner que les populations immigrées ne souhaitent pas s'assimiler ?», a-t-il lâché sur Twitter. De son côté, Éric Zemmour a également réagi, au micro de BFMTV. Il a rappelé que la manifestation du 17 octobre 1961 était interdite avant d'ajouter : «Il y a eu des attaques de policiers (...). Il n'y a pas eu les centaines de morts dont on a parlé.»

Lire la suite

 

 

 

 

17 octobre 1961 : à l’appel du maire d’origine algérienne de Stains, Azzédine Taïbi, onze maires, PC et PS, lancent un appel pour la reconnaissance en crime d’État

 

 

 

 

 

Belfairs (R-U) : le député conservateur David Amess tué à coups de couteau dans une église par Ali Harbi Ali, un Britannique d’origine somalienne, connu pour sa radicalisation (MàJ)

18/10/2021

« Personne ne devrait mourir de cette façon » : la famille du député britannique David Amess, poignardé à mort dans un acte qualifié de terroriste par la police, s’est dit « anéantie » par le drame mais a appelé dimanche à « mettre de côté la haine ».

 

Ali Harbi Ali, tueur présumé de députés, s’est radicalisé après avoir regardé des vidéos YouTube du prédicateur de haine Anjem Choudary (Wikipédia), ont affirmé hier soir d’anciens amis.

Il est aussi le neveu de l’ambassadeur Somalien en Chine (@Awalekullane)

Harbi Ali Kullane (à gauche) – Ali Harbi Ali (à droite)

The Sun / Le Parisien


17/10/2021

Il aurait planifié l’assaut plus d’une semaine à l’avance, ont affirmé des sources de sécurité.

Ali a peut-être vécu dans la circonscription de Southend West de Sir David dans l’Essex dans le passé, mais sa résidence la plus récente serait à Londres, où des agents ont effectué des perquisitions à trois adresses.

La police devant le domicile du suspect à Kentish Town (Londres)

Hier, des policiers montaient la garde devant la maison de la municipalité du nord de Londres où vit Ali. Cette maison fait partie d’une rue de maisons de trois étages dont le coût s’élève à 2 millions de livres sterling. Parmi les voisins figurent le présentateur Giles Coren et, autrefois, le regretté acteur Roger Lloyd Pack, qui jouait le rôle de Trigger dans Only Fools And Horses.

MailOnline


L’homme interpellé serait un ressortissant britannique d’origine somalienne nommé Ali Harbi Ali, selon la BBC. Orienté il y a plusieurs années vers le programme britannique destiné aux personnes présentant un risque de radicalisation basé sur le volontariat, selon le diffuseur, il n’y aurait pas été très assidu et n’a jamais été officiellement un «sujet d’intérêt» pour l’agence de sécurité nationale.

Les services de police et de sécurité pensent que l’assaillant a agi seul et qu’il était «autoradicalisé», selon le Sunday Times. Il pourrait avoir été inspiré par Al-Shabab, les islamistes liés à Al-Qaïda en Somalie.

Le père d’Ali Harbi Ali, Harbi Ali Kullane, ancien conseiller du Premier ministre somalien, a confirmé au Sunday Times que son fils était en détention et s’est dit «très traumatisé». John Lamb, un conseiller conservateur local, a raconté à des médias britanniques que le jeune homme avait attendu patiemment son tour avant de se jeter sur le député et de le poignarder à plusieurs reprises devant deux assistantes du parlementaire.

Le Figaro

 

 

Marseille : deux personnes grièvement blessées, dont une entre la vie et la mort, après une attaque à la machette en pleine rue

 

 

Clermont-Ferrand : une octogénaire meurt percutée sur un passage piéton lors d’un rodéo sauvage, le deux-roues retrouvé incendié (MàJ : Les suspects se sont rendus)

 

Migrants : plus de 16 500 entrées irrégulières depuis janvier 2021, le Pays Basque durcit les contrôles à la frontière

 

 

La Grèce signe un accord militaire renforcé avec les États-Unis qui auront accès à deux nouvelles bases grecques

Biélorussie : l’ambassadeur de France expulsé du pays

Les tensions montent d’un cran entre l’Europe, plus particulièrement la France, et la Biélorussie. L’ambassadeur de France dans le pays, Nicolas de Bouillane de Lacoste, a fait ses valises après que Minsk lui a demandé de quitter la Biélorussie avant lundi, a indiqué la porte-parole de l’ambassade dimanche. Elle n’a pas expliqué la raison invoquée par le ministère des Affaires étrangères pour demander le départ de l’ambassadeur. « Nicolas de Lacoste a quitté la Biélorussie aujourd’hui », a-t-elle ajouté.

 

« Le ministère biélorusse des Affaires étrangères a demandé que l’ambassadeur parte avant le 18 octobre », précise-t-il. L’ambassadeur « a dit au revoir au personnel de l’ambassade et a envoyé un message vidéo adressé au peuple biélorusse, qui apparaîtra demain sur le site Internet de l’ambassade ».

Selon des médias biélorusses, l’ambassadeur n’a jamais présenté ses lettres de créances au président Alexandre Loukachenko. La France, à l’instar d’autres pays de l’Union européenne, n’a pas reconnu les résultats de la présidentielle d’août dernier, qui ont accordé un sixième mandat à M. Loukachenko et ont suscité durant plusieurs mois des manifestations massives et sans précédent dans cette ex-république soviétique, alliée de la Russie de Vladimir Poutine.

[…]

 

Le Parisien

 

 

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