Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion
La Corée du Nord affirme avoir testé un missile hypersonique
Le 29 sept 2021
Ce type d’armes est beaucoup plus rapide que les missiles lancés par le pays jusque-là. Il est aussi plus difficile à détecter et à intercepter.
Selon KCNA, l’agence de presse officielle nord-coréenne, il s’agit d’une avancée technologique majeure. La Corée du Nord a testé avec succès, mardi 28 septembre, un missile planeur hypersonique, a annoncé KCNA, mercredi.
La réussite de cet essai revêt « une grande importance stratégique » au moment où Pyongyang cherche à « multiplier par mille » ses capacités de défense, a précisé KCNA.
Les missiles hypersoniques sont beaucoup plus rapides que les missiles balistiques ou de croisière classiques. Ils sont aussi plus difficiles à détecter et à intercepter par les systèmes de défense antimissiles, pour lesquels les Etats-Unis dépensent des milliards de dollars.
« Des caractéristiques de vol différentes »
L’armée sud-coréenne avait annoncé le lancement d’un projectile par le Nord peu après l’avoir détecté, mardi matin. Mais contrairement à son habitude, elle n’a pas dévoilé l’altitude maximale atteinte par le missile ni la distance parcourue, des informations que Séoul rend généralement publiques dans l’heure.
Selon des médias sud-coréens, le projectile lancé mardi par la Corée du Nord avait « des caractéristiques de vol différentes » des précédents. Le président sud-coréen, Moon Jae-in, a demandé une « analyse exhaustive » de l’événement.
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L’essai, réalisé depuis la province du Chagang, dans le nord du pays, a « confirmé le contrôle de la navigation et la stabilité du missile » de même que « la manœuvrabilité de son système de guidage et les caractéristiques de vol plané de l’ogive hypersonique détachée », a encore affirmé KCNA. Pyongyang avait déjà procédé à plusieurs autres tirs ce mois-ci, l’un impliquant des missiles de croisière à longue portée et un autre, selon l’armée sud-coréenne, des missiles balistiques à courte portée
Zemmour : « Les allocations familiales sont là pour soutenir la natalité française, non pas celle des étrangers (…) Nous vivons à la fois une défrancisation et une submersion démographique »
29/09/2021
87% des Français approuvent la réduction du nombre de visas accordés au Maroc, à l’Algérie et à la Tunisie
30/09/2021
Face au refus de l’Algérie, du Maroc et de la Tunisie de reprendre leurs ressortissants en situation irrégulière, la France a tapé du poing sur la table en annonçant mardi la réduction du nombre de visas accordés à ces trois pays. Une décision soutenue par près de 9 Français sur 10, comme le révèle un sondage exclusif de l’institut CSA pour CNEWS publié ce jeudi 30 septembre.
A la question de savoir si «la France a eu raison ou tort de durcir les conditions d’octroi des visas à l’égard du Maroc, de l’Algérie et la Tunisie qui refusent de reprendre leurs ressortissants en situation irrégulière», 87% des sondés ont en effet répondu par l’affirmative.
Concernant le profil des personnes interrogées, toujours selon cette enquête, les sondés âgés de plus de 50 ans, sont les plus favorables à cette mesure du gouvernement avec 93% de soutien. Les personnes de moins de 34 ans sont, elles, moins nombreuses à soutenir cette décision (76%).
Point à relever, la décision du gouvernement fait l’objet d’un certain consensus, rencontrant même une forte adhésion chez les sondés se revendiquant proches de la gauche (78%). De façon moins surprenante, l’adhésion à la mesure est quasiment totale pour les sondés se sentant proches de la droite et du centre (94%).
Étude CSA pour CNEWS réalisée par questionnaire auto-administré en ligne sur panel du 28 au 29 septembre 2021 auprès d’un échantillon national représentatif de 1.000 personnes âgées de 18 ans et plus.
Fusillade à Nantes : 3 jeunes Tchétchènes gravement blessés. « En pleine journée… On est passé un cran au-dessus »
30/09/2021
Des tirs ont éclaté ce mercredi après-midi dans un quartier de l’ouest de Nantes (Loire-Atlantique). Trois jeunes hommes de 18 et 19 ans d’origine tchétchène ont été blessés grièvement.
Les tirs ont éclaté peu avant 15h45 dans le quartier du Breil. Selon les premières constatations, détaillées par le procureur de la République de Nantes, Renaud Gaudeul, “une vingtaine d’étuis de 9 mm ont été retrouvés sur place”. “Un véhicule qui a été utilisé selon toute vraisemblance au moment des faits a été retrouvé calciné” à Saint-Herblain (ouest de Nantes), a précisé le procureur. “Il n’y a pas d’interpellation des auteurs à ce stade”, a souligné le procureur.
« Un mercredi, en journée… On est passé un cran au-dessus »
« Il faisait beau, mes fenêtres étaient ouvertes… J’ai entendu plusieurs détonations, puis des crépitements. J’ai cru un quart de seconde que c’était un feu d’artifice. Quand j’ai regardé par la fenêtre, côté rue Jacques-Feyder, j’ai vu plusieurs jeunes courir… »
Villeneuve-sur-Lot (47) : Rachid Loukili condamné à 30 ans de prison pour le meurtre et l’immolation de Chris Alcaraz, qui l’avait “regardé de travers” (MàJ)
29/09/2021
La peine prononcée par les jurés ce 29 septembre a été assortie d’une période de sûreté de vingt ans à l’encontre du meurtrier de Chris Alcaraz
Danièle Obono dépeinte en esclave par Valeurs actuelles : le magazine condamné (MàJ)
29/09/2021
Les directeurs de la publication, de la rédaction de l’hebdomadaire Valeurs Actuelles et le journaliste auteur d’un article imaginant la vie de la députée Danièle Obono “au temps d el’esclavage” ont été condamnés ce mercredi par la justice pour injure publique à l’égard de la parlementaire.
L’hebdomadaire Valeurs actuelles – classé à droite de l’échiquier politique ou à son extrême droite selon qu’on intègre les rangs de ses partisans ou de ses détracteurs – a été condamné ce mercredi par la justice pour injure publique.
Le directeur de publication du magazine Erik Monjalous, renvoyé devant le tribunal pour ce délit, ainsi que le directeur de la rédaction Geoffroy Lejeune et le rédacteur de l’article Laurent Jullien, jugés pour complicité, ont été condamnés à une amende de 1500 euros chacun et à verser 5000 euros de dommages et intérêts à Danièle Obono.
Note ; pour une fiction ! et pandent ce temps les gens qui appellent aux meurtres des blancs comme Nick Conrad sont relaxé
La LDNA – Ligue de Défense Noire Africaine – a été dissoute en conseil des ministres pour appel à la haine et à la discrimination (MàJ)
29/09/2021
29/09/2021
Note : dissoute mais sans aucune expulsion !
1990 : Quand Chirac prônait l’« arrêt » de l’immigration, quand Giscard dénonçait une « invasion » et voulait revenir au droit du sang, quand le RPR jugeait l’islam « incompatible » avec la France
29/09/2021
29/09/2021
Affaire Bygmalion : Nicolas Sarkozy condamné à un an de prison ferme
30/09/2021
Nicolas Sarkozy condamné à un an de prison ferme pour financement illégal de campagne électorale
(…)
Le tribunal précise cependant que « la peine sera aménagée et exécutée sous le régime de la surveillance électronique ». L’ancien président de la République n’ira donc pas en prison.
Une nouvelle loi confirme les peines de prison – en France – pour refus de test PCR des migrants clandestins qui doivent être expulsés (Rediff)
30/09/2021
Placement en garde à vue, peine de prison parfois assortie d’une interdiction de retour sur le territoire : tels sont les risques encourus pour les personnes enfermées en rétention qui refuse un test PCR en vue de leur expulsion. Depuis plus d’un an, cette pratique de l’administration avait ouvert un débat juridique. La loi relative à la gestion de crise sanitaire, promulguée le lundi 9 août, y met un terme : elle confirme la pénalisation, avec le feu vert du Conseil constitutionnel.
[…]
Jusque-là jugée illégale par les avocats en droit des étrangers, cette pratique a été inscrite dans la loi sur la gestion de crise sanitaire, qui sera promulguée lundi 9 août. L’article 2 du texte entérine le fait que tout refus de “se soumettre aux obligations sanitaires” nécessaires à un éloignement relève bien du délit de soustraction, et est punissable d’une peine de prison et d’une ITF.
[…]
Jusqu’à la décision du Conseil constitutionnel du 5 août – qui valide cet article de loi -, les décisions de justice pouvaient varier d’une région à une autre. “Plusieurs tribunaux résistaient aux poursuites, et relaxaient les personnes”, explique Patrick Henriot, secrétaire général du Gisti. C’est le cas de certaines cours d’appel à Douai, Nîmes ou Rennes, comme en témoignent des documents consultés par InfoMigrants. La loi sur la gestion de crise sanitaire vient donc “surmonter ces résistances”, analyse Serge Slama.
Les associations s’insurgent par ailleurs du cycle infernal entre prison et rétention imposé aux étrangers qui refusent un test PCR. En effet, une fois leur peine de prison purgée, les étrangers sont renvoyés au CRA, “puisque la mesure d’éloignement est toujours valide”, précise Patrick Henriot. La durée maximale de 90 jours est alors renouvelée. “On en vient à un ping-pong infernal entre CRA et prison”, résume-t-il.
Les clandestins se passent le mot : pour éviter d’être extradé, il suffit de refuser de passer le test PCR.
Effectivement sans le précieux sésame, il n’est pas question de monter dans un avion. Mais s’opposer à l’obligation de quitter le territoire constitue en délit. Et le sans-papiers se retrouve devant le tribunal. Lequel le condamne à une peine ferme puisqu’il ne peut justifier d’une adresse fixe. À sa sorte de détention, l’homme est remis aux services de la police aux frontières qui le placent en rétention administrative jusqu’à son expulsion. S’il s’y oppose, il est renvoyé devant la justice, ect.
C’est ce qui arrive à Abdoul, un ressortissant guinéen. Après une première incarcération, il refuse le test PCR. Durant son audition, il demande un peu ingénument à l’officier de police judiciaire : “Est-ce que je vais rester en prison jusqu’à ma mort ?”
Sans aller jusque-là, le président du tribunal correctionnel de Perpignan doit bien convenir d’une chose : “Tant que vous refuserez le test, nous serons dans l’impasse”.
“Mais, à Conakry, je dois 3.000 € à quelqu’un qui me les a prêtés pour payer mon voyage. Je ne peux pas rembourser. Je veux rester ici”.
“La France ne peut devenir le paradis des débiteurs“, intervient le procureur de la République en réclamant de 3 à 4 mois de prison.
Le tribunal délibère et donne sa décision : 3 mois ferme, maintien en détention et 3 ans d’interdiction du territoire. “Je vais passer le test , s’écrie Abdoul. La réponse du président est évidente : “Vous le passerez Monsieur… dans 3 mois”
« Rentrez ! » : la Pologne a envoyé près de 31.000 SMS aux migrants amassés à sa frontière pour les dissuader d’entrer sur son territoire
29/09/2021
Ceci n’est pas un message de bienvenue. La Pologne dit avoir envoyé près de 31 000 SMS vers des téléphones étrangers le long de sa frontière avec la Biélorussie, mardi 28 septembre, dans le but de dissuader les migrants qui s’y trouvent d’entrer sur son territoire. “La frontière polonaise est fermée. Les autorités biélorusses vous ont menti. Rentrez à Minsk !”, disait le message en anglais.
Les SMS contenaient aussi un lien vers un site en anglais, français, arabe, russe et polonais prévenant les migrants que traverser la frontière illégalement “peut mener en prison”. “La dégradation des conditions météorologiques peut mettre en danger votre vie et votre santé, ajoutait le site. Toute tentative de se cacher et de dormir de façon irrégulière (dehors, en plein air) peut finir tragiquement.” Six migrants ont péri récemment sur la frontière entre l’UE et la Biélorussie.
Le chef de la diplomatie hongroise : « Utiliser les fonds européens comme un moyen de chantage afin de pousser des changements politiques, c’est inacceptable »
29/09/2021
Dénonçant un prétendu « chantage » de la Commission, le gouvernement hongrois s’est dit prêt mardi à se passer des fonds européens issus du plan de relance.
Le gouvernement hongrois a jugé mardi 28 septembre 2021 inacceptable ce qu’il considère comme du chantage sur l’état de droit de la part de la Commission sur la validation de son plan de relance, se disant prêt à se passer de fonds européens, à deux jours de la fin du délai d’examen par l’exécutif européen.
Oui, nous pouvons faire sans les fonds européens, nous avons assez d’argent pour débuter ces projets de relance, a déclaré le ministre des Affaires étrangères hongrois Peter Szijjarto lors d’une interview à l’AFP à Strasbourg (France).
(…)
Utiliser les fonds européens comme un moyen de chantage afin de pousser des changements politiques, c’est inacceptable, a insisté Peter Szijjarto.
Macron nomme un médecin déjà épinglé pour des mensonges à la Commission contre la désinformation
La Commission Bronner, mandatée par Macron pour lutter contre le complotisme et la désinformation, compte dans ses rangs un spécialiste récemment sanctionné par l'Ordre des médecins.
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