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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Les Infos du 11 aout 2021

 

Le prêtre Olivier Maire tué à Saint-Laurent-Sur-Sèvre par le migrant Rwandais qui avait incendié la cathédrale de Nantes (MàJ : Enquête du chef « d’homicide involontaire » ouverte)

11/08/2021


Son parcours administratif motivé par le souhait de devenir réfugié politique est jalonné d’échecs. « Le ministère de l’intérieur et l’ofpra ont refusé sa demande d’asile », a confié Gérald Darmanin venu lundi à Saint-laurent-sur-sèvre. 

« Cette personne a fait l’objet de trois arrêtés de reconduite à la frontière depuis son arrivée sur le territoire national illégalement en 2012 », a expliqué le ministre de l’intérieur. 

L’évêque François Jacolin : « Nous prions pour tout le monde. Nous prions aussi pour celui qui a fait ce geste »

Dans la soirée, une veillée de prières était organisée, un temps de recueillement auquel devait participer Henri, un fidèle de 87 ans. « Évidemment, je ressens une grande tristesse, dit l’octogénaire. Le père Olivier était un ami, je le recevais à la maison. Mais je prie aussi pour son assassin. »

Depuis son arrivée irrégulière en France, en 2012, Emmanuel Abayisenga a épuisé toutes les voies pour se maintenir sur le territoire où, après l’incendie volontaire de la cathédrale de Nantes, en juillet 2020, il a tué, à Saint-Laurent-sur-Sèvre, le père Olivier Maire, qui lui avait pourtant ouvert les bras.

Entré en France de manière irrégulière le 28 décembre 2012, Emmanuel Abayisenga, pyromane présumé de la cathédrale de Nantes, qui s’est accusé lundi du meurtre du père Olivier Maire, s’est vite adapté aux arcanes de la justice française. Son parcours administratif et judiciaire, dont le détail a été porté à la connaissance du Figaro, en atteste.

Une première demande de droit d’asile, déposée dès février 2013, est rejetée par l’Office français de protection des réfugiés et des apatrides (Ofpra) le 28 janvier 2015. «Les agents chargés d’examiner son dossier ont considéré que ce migrant, né en janvier 1981 dans le sud du Rwanda, n’était pas en danger dans son pays», assure une source informée. Celle-ci précise que «l’instruction a été menée par des spécialistes de la région qui ont soigneusement analysé le récit de sa trajectoire personnelle».

Nice-Matin / Le Figaro / La Croix


10/08/2021


Une autopsie du corps d’Olivier Maire, le prêtre issu de la communauté des Montfortains tué lundi en Vendée, a été réalisée ce mardi à Nantes. Selon les premiers éléments communiqués par Emmanuelle Lepissier, procureur de la République de La-Roche-sur-Yon, l’examen n’a pas parmis de déterminer la nature de l’arme du crime.

Il en résulte que la victime présentait six lésions, toutes situées sur la tête, occasionnées par des coups violents. (…) Ces lésions cérébrales importantes ont entraîné des hémorragies internes et externes, le décès étant, selon les conclusions du médecin légiste, intervenu rapidement après que les coups aient été portés

Communiqué

Le suspect avait été placé en garde à vue dans le cadre de l’enquête ouverte pour homicide volontaire. Celle-ci a été levée lundi soir en raison de l’incompatibilité de son état psychiatrique avec cette mesure.

[…]

 

Une enquête du chef d'”homicide involontaire” a été ouverte. Elle a été confiée à la section de recherches de Nantes et à la brigade de recherche de la gendarmerie de La-Roche-sur-Yon.

BFMTV



“J’ai été surprise, parce que c’est un homme fragile, et en même temps qui m’avait été décrit comme quelqu’un de plutôt pacifique, qui aurait sans doute pu retourner sa violence contre lui-même”, affirme Héloïse de Neuville, journaliste à La Croix, qui a enquêté sur son profil. “C’est un polytraumatisé”, dit-elle.

L’homme, né au Rwanda a 13 ans au moment du génocide des Tutsi, et lui vient d’une famille Hutu : “Son père a été exécuté sommairement pour avoir participé au génocide, et son oncle purge une peine de prison à vie. Il grandit dans cette extrême violence (…) avec une famille impliquée du mauvais côté de l’histoire génocidaire”. Officier de police judiciaire dans sa jeunesse, “il déserte au bout de trois ou quatre ans et part pour la France, et ment à sa famille en expliquant qu’il part en mission pour son travail de policier, alors qu’il part fuir le Rwanda” : à Nantes, il racontait qu’il avait quitté la police “parce qu’il aurait refusé de participer à des exécutions ou des basses besognes contre les hutus”, récit qui n’a pas convaincu l’OFPRA, office chargé d’examiner les demandes d’asile.

Son récit n’étant pas jugé crédible, il est débouté de ses demandes d’asile plusieurs fois, et écope de quatre obligations de quitter le territoire français – la quatrième de ces injonctions étant rendue impossible par le contrôle judiciaire auquel il était soumis. (…)

Les actes dont il est soupçonné apparaissent alors d’autant plus paradoxaux : “C’est très curieux, comment cet homme-là a pu se retourner contre la communauté qui l’a soutenu. Son geste incendiaire n’était pas dirigé contre la communauté : la veille de ce geste, il avait envoyé un mail à 300 personnes en disant qu’il devait expulser une menace diabolique de la cathédrale, parce que lui-même avait subi une agression de la part d’un marginal devant la porte de la sacristie en 2018. Il était déjà tombé dans une forme de paranoïa, de délire mystique qui témoigne de son état psychique, qui à mon avis s’était encore dégradé”.

L’homme a-t-il voulu s’en prendre à la France ? “Non, très honnêtement je ne pense pas, je pense qu’on a vraiment affaire à un homme malade”, dit-elle. “Je voudrais souligner une parole des frères monfortains, qui ont dit “nous ne regrettons rien”, qui ont poussé la charité jusqu’à son extrême”.

France Inter

Niger : L’État islamique revendique l’assassinat de huit humanitaires dont six Français (MàJ : 1 an après, « un sentiment d’abandon »)

Un an après l’assassinat des humanitaires français au Niger, leurs familles luttent contre l’oubli

Une cérémonie s’est tenue hier à Paris en hommage aux victimes de l’attaque terroriste de Kouré perpétrée il y a un an.

[…]

 

Un an plus tard, jour pour jour, les portraits d’Antonin, Charline, Léo, Nadifa, Myriam et Stella et de leur chauffeur Boubacar sont disposés sur de petites tables recouvertes de pagnes bariolés dans un recoin du Champ-de-Mars à Paris. Une cérémonie modeste voulue comme telle par Acted. Une centaine de personnes environ, les familles de cinq des six victimes et les collaborateurs de l’ONG française ont répondu présent.


Un sentiment d’abandon

Les familles des victimes françaises de l’attentat de Kouré racontent aussi avec pudeur le sentiment d’abandon qui les traverse parfois. Oubliées, disent-elles, des autorités politiques françaises comme d’une opinion nationale peu sensible aux drames qui se déroulent à l’étranger. Et toujours en quête de réponses, sans fonder beaucoup d’espoir sur l’efficacité des poursuites judiciaires.Parfois, entre deux silences, les doutes affleurent. « Des questions se posent notamment sur les mesures de sécurité qui ont entouré cette sortie à la réserve de Kouré compte tenu du niveau de risque d’attaque djihadiste dans la région », observe M e Claire Josserand-Schmidt, avocate des familles de Myriam et de Stella. Pour la première fois, toutes les parties civiles devraient être reçues à l’automne par les juges d’instruction.

[…]

 

Le Parisien

 

 

 

Fin du masque où le pass sanitaire est exigé: «Quand on a inventé l’airbag, on n’a pas retiré la ceinture de sécurité»

 

Désormais, sous réserve de disposer d’un pass sanitaire, le port du masque n’est plus obligatoire pour se rendre dans les restaurants ou les bars, dans les lieux de culture ou encore de loisirs. Un choix que dénoncent certains médecins, dont le docteur Alexis Hautemanière

«Ce sont des lieux où si justement il y a un pass sanitaire, c’est qu’il y a un fort risque de contamination. […] Si on voulait vraiment sécuriser le système, il fallait garder le masque.»

Alexis Hautemanière, médecin épidémiologiste et hygiéniste, ne s’en cache au micro de Sputnik: «C’est une disposition qui m’a surpris.»

En effet, le décret publié le 8 août au Journal officiel a confirmé que le masque ne sera plus obligatoire pour les personnes «ayant accédé aux établissements, lieux, services et événements» concernés par le pass sanitaire.

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Afghanistan : pourquoi l'avancée des talibans semble-t-elle inarrêtable ?

 

Depuis vendredi, les insurgés ont conquis six capitales provinciales sur les 34 que compte le pays. Les autorités risquent de perdre le contrôle du nord du territoire.

 

L'avancée des talibans se poursuit jour après jour en Afghanistan, à l'approche du départ des dernières troupes américaines, prévu le 11 septembre. Mardi 10 août, les insurgés se rapprochaient de Mazar-i-Sharif, la plus grande ville du nord du pays, obligeant de nombreux civils à s'enfuir.

Après plusieurs semaines d'avancée, les talibans sont aujourd'hui à la tête de neuf des 34 capitales provinciales de l'Afghanistan. Entre vendredi et lundi, ils ont pris le contrôle de Zaranj, de Sheberghan, puis de la grande ville du Nord-Est, Kunduz, mais aussi de Taloqan et Sar-e-Pul. Et dans la nuit de mardi à mercredi, c'est la ville de Faizabad qui est tombée.

Pour mieux comprendre l'ampleur de cette offensive et sa rapidité, franceinfo a interrogé Georges Lefeuvre, chercheur associé à l'Institut de relations internationales et stratégiques (Iris), spécialiste de l'Afghanistan, du Pakistan et de l'Inde.

Franceinfo : quels sont les événements qui ont conduit les talibans à repartir à l'offensive ?

Georges Lefeuvre : En décembre 2018, le président américain Donald Trump, pressé de pouvoir "ramener les boys à la maison" avant la prochaine échéance présidentielle de novembre 2020, annonce qu'il va retirer la moitié de ses troupes dans les trois mois, c'est-à-dire 7 000 soldats environ. A ce moment-là, les talibans comprennent que le rapport de force est en leur faveur, puisque le seul souci du président est alors d'en finir à tout prix avec cette désastreuse aventure américaine de presque vingt ans en Afghanistan.

En février 2020, les Américains et les talibans signent à Doha, au Qatar, un accord fixant les conditions et le calendrier précis du retrait des troupes. Les conditions sont clairement au seul avantage des talibans, qui ne s'engagent à presque rien, sauf ne pas attaquer les forces étrangères dans le processus de retrait. Le gouvernement afghan est d'ailleurs absent de l'accord.

En revanche, les Américains s'engagent au nom de ce gouvernement absent à libérer 5 000 prisonniers talibans et, au nom des 39 pays de la coalition internationale, à retirer toutes les forces étrangères actives en Afghanistan sous commandement de l'Otan. Enfin, les Etats-Unis s'engagent aussi à demander à l'ONU d'approuver cet accord, ce qui sera fait dix jours plus tard, par le vote de la résolution 2513.

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Kaboul : mariages forcés, décapitations, meurtres… les déplacés afghans racontent l’enfer de l’offensive des talibans dans le nord du pays

 

 

Ersin Tatar (Chypre) plaide pour une solution à 2 États avant les négociations de l’ONU : « Nous sommes une race différente, nous parlons turc, notre religion est l’islam »

 

 

Pakistan. A 9 ans, il est accusé de blasphème et risque la peine de mort

 

 

Algérie : 65 morts dans des incendies qui ravagent le nord du pays

 

Ces feux, pour lesquels les autorités ont évoqué des pistes « criminelles » sur fond de températures caniculaires, touchent notamment plusieurs communes de Kabylie.

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LIRE AUSSI : Incendies en Grèce : Thomas Pesquet dévoile d'impressionnantes photos des feux depuis l'espace

 

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