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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Les Infos du 5 juin

 

 

 

 

Éric Zemmour candidat à la Présidentielle de 2022: un scénario qui inquiète la «macronie»?

 

Un proche conseiller d’Emmanuel Macron appelle à encadrer le temps de parole du polémiste sur CNews. Au moment même où la candidature d’Éric Zemmour pour les Présidentielles refait l’actualité. Le polémiste pourrait-il faire capoter le scénario électoral sur lequel mise l’Élysée pour 2022?

Les propos de Stéphane Séjourné ne seront pas assez inaperçus. Dans un entretien accordé à L’Opinion le mercredi 2 juin, le conseiller politique d’Emmanuel Macron n’y va pas par quatre chemins. Selon lui, pour ne pas aller vers une «foxisation» des médias en France, «un arsenal réglementaire et législatif» serait le bienvenu «pour aider l’audiovisuel à respecter la pluralité des opinions». Le député européen va jusqu’à viser nommément l’éditorialiste qui officie sur CNews.

«Et donc, par exemple, compter dans le temps de parole des politiques les éditorialistes les plus engagés. Je pense notamment à Éric Zemmour. Il évolue aujourd’hui dans une zone grise», précise Stéphane Séjourné.

Ce dernier reproche à certaines chaînes comme CNews de concourir «à l’abaissement du débat politique» tout en offrant à des éditorialistes vedettes la possibilité «d’inviter des politiques pour mettre en valeur» leurs «propres idées». Des propos auxquels n’a pas manqué de réagir Éric Zemmour qui, sur la chaîne en question, envisageait avec ironie d’appliquer «la méthode» de Stéphane Séjourné en fermant «80% des antennes qui sont pour la macronie».

​Des propos du conseiller du Président de la République qui ne susciteraient pas autant l’attention aujourd’hui si la personne visée n’avait pas dans l’idée, tout au moins, de briguer la magistrature suprême.

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Emmanuel Macron annonce le lancement d’Etats généraux de la justice

 

Emmanuel Macron, à Martel, dans le Lot, le 3 juin 2021.

Emmanuel Macron « a décidé de lancer les Etats généraux de la justice », a annoncé, samedi 5 juin, l’Elysée. Dans un communiqué, le chef de l’Etat souligne son « profond attachement » à « la séparation des pouvoirs », alors que l’institution judiciaire est vivement critiquée par des élus politiques et des syndicats policiers. Le président souhaite notamment que « le garde des sceaux rende compte chaque année au Parlement de la politique pénale du gouvernement », précise l’Elysée.

L’annonce a été faite vendredi soir lors d’un entretien à leur demande avec Chantal Arens, la première présidente de la Cour de cassation, et François Molins, le procureur général de la Cour de cassation, en présence d’Eric Dupond-Moretti, garde des sceaux. Selon nos informations, Mme Arens et M. Molins avaient écrit lundi au chef de l’Etat. Cette rencontre a eu lieu « afin d’échanger sur la situation de la justice dans notre pays, notamment au regard des préoccupations de nos concitoyens sur la sécurité », précise le communiqué de l’Elysée.

Attaques contre la justice

L’idée de réunir des Etats généraux de la justice a été formulée par Mme Arens au cours de la réunion et rapidement acceptée par Emmanuel Macron. Après des semaines d’attaques très virulentes de la justice tant par certains responsables politiques que par les syndicats de policiers, c’est un tableau inquiétant que les deux hauts magistrats ont brossé, entre une certaine désespérance collective, des moyens informatiques obsolètes, ou les effets d’une surpénalisation de la justice au détriment de ses fonctions civiles. Devant les deux magistrats, le chef de l’Etat a, « durant cet échange apaisé et constructif, rappelé son profond attachement au principe de la séparation des pouvoirs et au principe de l’indépendance de l’autorité judiciaire dont il est le garant », selon l’Elysée.

M. Molins, l’un des plus hauts magistrats français, s’était insurgé, fin avril, dans une interview au Monde, contre le procès en « laxisme » fait selon lui à la justice, face à la polémique suscitée par la décision de déclarer pénalement irresponsable le meurtrier de la sexagénaire juive Sarah Halimi. Dans cette affaire, Emmanuel Macron avait souhaité un changement de la loi pour que l’abolition du discernement causé par une prise de stupéfiants n’exonère pas de la responsabilité pénale.

Le lancement de ces états généraux intervient également après que la critique de la justice a été parmi les principaux mots d’ordre des syndicats policiers lors d’un rassemblement de milliers de policiers devant l’Assemblée nationale, le 19 mai, en présence notamment du ministre de l’intérieur, Gérald Darmanin, et de nombreux élus. Le secrétaire national du syndicat Alliance y avait ainsi affirmé que « le problème de la police, c’est la justice ». Cette critique a été reprise à leur compte par le Rassemblement national et de nombreuses voix parmi les Républicains. Le 25 mai, devant l’Assemblée nationale, le garde des sceaux, Eric Dupond-Moretti, avait appelé à ne pas « opposer la justice et la police », alors que la préoccupation sécuritaire est, selon les sondages, une des principales inquiétudes des Français.

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Un collectif d’avocats dénonce les « déclarations mensongères, voire délirantes, au sujet des mineurs isolés étrangers » du sénateur Henri Leroy

 

 

Le roi du Maroc veut “régler définitivement” la question des mineurs marocains en situation irrégulière en Europe

 

 

 

« La France est un pays de mécréants » : Il voulait décapiter un gendarme, un Marocain expulsé en urgence

 

Tout juste sorti de GAV après avoir menacé de mort un policier et en faisant référence à Éric Masson, il réitère (MàJ : Nouvelle GAV)

 

05/06/2021


04/06/2021

 

 

La loi proposée par la gauche danoise qui permet de « se débarrasser des migrants », vient d’être adoptée à une écrasante majorité (MàJ)

 

03/06/2021

Les réfugiés ne sont plus les bienvenus au Danemark. Le Parlement danois vient d’adopter une loi qui prévoit que tout demandeur d’asile au Danemark sera, une fois sa demande enregistrée et à quelques rares exceptions près type maladie grave, envoyé dans un centre d’accueil en dehors de l’ Union européenne.

Celui-ci serait financé par le royaume nordique, mais l’ensemble de la procédure serait confiée au pays hôte. S’il n’obtient pas le statut de réfugié, le migrant sera prié de quitter le pays tiers. Mais même s’il l’obtient, la loi fraîchement adoptée prévoit que ce soit là-bas et pas au Danemark.

[…]

 

Copenhague a affirmé discuter avec cinq à dix pays, tout en refusant de les nommer. Les pistes évoquées dans la presse danoise vont de l’Egypte à l’Ethiopie, mais c’est surtout avec le Rwanda que les discussions semblent les plus sérieuses. Le ministre des Migrations Mattias Tesfaye s’était rendu en avril dans le pays africain, qui avait un temps envisagé d’accueillir des demandeurs d’asile pour le compte d’Israël.

Un protocole d’accord a été signé sur la coopération en matière d’asile et de migration, sans toutefois mentionner l’externalisation de la procédure d’asile. « Le Parlement (rwandais) ne l’a pas encore discuté » et « si jamais cela arrive au Parlement, je voterai contre car je considère que c’est contre les valeurs humaines », a dit Frank Habineza, député rwandais d’opposition interrogé en amont du vote danois.

20Minutes

 

« Sale noire », « Sale n****sse », « Sale kahba » : une femme noire victime d’une attaque raciste dans un magasin Carrefour à Annemasse (74)

« Kahba » : De l’arabe قَحْبَة, qaḥba (« prostituée »)

 

Zemmour face à Raphaël Enthoven : “L’Extrême-droite n’existe pas. Il y a la France et les ennemis de la France. Et il faudra un jour que vous choisissiez votre camp” (MàJ : vidéos)

 

 

Julien Dray blacklisté par les journalistes depuis qu’il est sur CNews : “mon téléphone ne sonne plus”

 

Le conseil de surveillance de Facebook a décidé de suspendre Donald Trump à vie (Màj : il sera finalement suspendu pour deux ans)

 

 

La Turquie bombarde le camp de réfugiés en Irak récemment menacé par Erdogan, selon le PKK

 

Le Parti des travailleurs du Kurdistan a accusé l'armée turque d'avoir bombardé avec un drone un camp de réfugiés dans le nord de l'Irak, que le président turc Recep Tayyip Erdogan avait récemment menacé de «nettoyer».

Un drone de l'armée turque a bombardé ce samedi 5 juin le camp de réfugiés en Irak récemment menacé par Recep Tayyip Erdogan, a fait savoir le Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK).

Trois civils ont été tués et deux autres blessés dans le camp, a affirmé un député kurde à l'agence France-Presse (AFP).

Ce bombardement intervient quelques heures après une embuscade du PKK ayant fait cinq morts dans les rangs des peshmergas, les combattants du Kurdistan irakien, grand allié d'Ankara.

Le 2 juin, le Président turc avait averti l'Irak que la Turquie «nettoierait» un camp de réfugiés qui, selon Ankara, servait de refuge aux militants kurdes, et que l'armée turque pourrait avancer plus en profondeur dans le territoire irakien. 

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LIRE AUSSI: Relations Turquie-Algérie: «il y a un degré de "sultanisme" dans ces investissements turcs»

 

 

 

 

Une actrice noire qui joue la reine Anne Boleyn suscite la polémique au Royaume-Uni (MàJ)

 

Le gouverneur du Texas, Greg Abbott, déclare une catastrophe dans l’État à cause de la crise frontalière

 

Le gouverneur du Texas, Greg Abbott, parle de l’opération Lone Star lors d’une conférence de presse du bureau régional de Weslaco du ministère de la Sécurité publique du Texas, le jeudi 1er avril 2021, à Weslaco, au Texas.

Le gouverneur du Texas, Greg Abbott, a déclaré que sa déclaration de catastrophe donnerait à l’État plus de ressources et de stratégies “pour protéger les propriétaires fonciers et appliquer toutes les lois fédérales et étatiques pour lutter contre les activités criminelles découlant de la crise frontalière”.
Joel Martinez / Le moniteur via AP
Le gouverneur républicain du Texas, Greg Abbott, a publié mardi une déclaration de catastrophe pour 34 comtés le long ou à proximité de la frontière de l’État de Lone Star avec le Mexique, affirmant que les politiques d’immigration du président Biden avaient permis un afflux de drogue et de membres de gangs.

“Les politiques d’ouverture des frontières du président Biden ont ouvert la voie à des gangs et cartels dangereux, des trafiquants d’êtres humains et des drogues mortelles comme le fentanyl pour affluer dans nos communautés”, a déclaré Abbott dans un communiqué.

« Pendant ce temps, les propriétaires fonciers le long de la frontière voient leurs biens endommagés et vandalisés quotidiennement tandis que l’administration Biden ne fait rien pour les protéger. »

Dans la déclaration, Abbott a noté que les soldats du ministère de la Sécurité publique du Texas avaient « procédé à plus de 1 300 arrestations criminelles, appréhendé plus de 35 000 migrants illégaux et saisi plus de 10 000 livres de drogue et plus de 100 armes à feu » depuis le 6 mars de cette année. Il a également déclaré qu’entre janvier et avril, des soldats avaient intercepté “21,5 millions de doses mortelles de fentanyl”.

“Le Texas continue de se mobiliser pour faire face à la crise frontalière en l’absence du gouvernement fédéral, mais il faut faire plus”, a conclu la déclaration d’Abbot.

«En déclarant l’état de catastrophe dans ces comtés, le Texas disposera de plus de ressources et de stratégies pour protéger les propriétaires fonciers et appliquer toutes les lois fédérales et étatiques pour lutter contre les activités criminelles découlant de la crise frontalière. En collaboration avec les forces de l’ordre locales, l’État continuera de prendre des mesures solides et significatives pour assurer la sécurité de nos communautés. »

Source New-York Post

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