Pretoria, le 29 mai. Depuis l’ambassade de France en Afrique du Sud, Emmanuel Macron s’est adressé à la jeunesse française.
Emmanuel Macron a conclu sa visite de deux jours, au Rwanda puis en Afrique du Sud, sur une note très politique. Louant, dans un discours à la communauté française à Pretoria (Afrique du Sud), le « partenariat » qu’il veut nouer avec les pays du continent, le président ambitionne de « changer les regards et les esprits » sur la relation de la France et de l’Afrique. Y compris entre les frontières de l’Hexagone, où il envoie aussi très clairement un message.
Car disant cela, le voilà qui s’adresse aux « millions de jeunes gens » qui, en France, « ont une histoire avec l’Afrique par leur famille, par des générations ». « On va enfin leur dire que l’on va pouvoir bâtir en commun. On va arrêter de leur dire : C’est un problème et vous devez vous intégrer. On va enfin leur dire : Vous êtes une chance pour la France et vous allez nous aider à développer cette histoire commune », avance-t-il.
Voilà aussi le sens qu’il entend donner à cette relation qu’il tente de renouveler depuis quatre ans. Au plan mémoriel, comme lorsqu’il reconnaît à Kigali « l’ampleur des responsabilités de la France » dans le génocide des Tutsis – sans présenter formellement d’excuses, point sur lequel la presse sud-africaine lui a demandé de s’expliquer une nouvelle fois.
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Note : il passe son temps a réciter le slogant du catéchisme des socialistes, "l'immigration est une chance pour la France"
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