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D’après le Times of Israel, trois synagogues, de nombreux commerces et des dizaines de voitures ont été incendiés. Le maire de la ville, Yaïr Revivo, a affirmé que l’hôtel de ville et un musée local avaient également été attaqués. L’édile, un proche de Benyamin Nétanyahou a comparé la situation au “pogrom nazi de la nuit de Cristal en 1938”. “Nous sommes au bord de la guerre civile”, a-t-il affirmé au Times of Israel, regrettant que “des dizaines d’années de coexistence” entre juifs et arabes, dans cette ville mixte du sud de Tel Aviv”, se soient “effondrées”.

Selon le site israélien, un cimetière musulman à Lod a également été incendié dans la nuit. La situation s’est dégradée dans la ville mardi, après la mort lundi d’un arabe israélien qui aurait été tué par balle par un résident juif en marge d’une violente manifestation, précise Yediot Aharonot.

D’autres violences entre juifs et musulmans ont aussi éclaté ces derniers jours dans plusieurs autres villes du pays, comme à Saint Jean d’Acre, Haïfa ou encore Ramle. Interrogé par le Times of Israel, le commandant de la police nationale Kobi Shabtai a estimé que ces évènements étaient sans précédent. “Nous assistons à quelque chose que nous n’avions jamais vu avant dans les villes mixtes [juives et arabes]”, a-t-il expliqué. Y compris lors des incidents d’octobre 2000 [où des émeutes généralisées avaient éclaté parmi les Arabes israéliens au début de la deuxième Intifada].”

www.courrierinternational.com

La procureure de Bordeaux, Frédérique Porterie, qui s’est déplacée sur les lieux, « a pu constater dans le studio la présence de nombreux livres et documentation religieuse relevant du salafisme, a priori de la littérature officielle rigoriste », précise le parquet.

Le Parisien

L’assaillante est décédée des suites de ses blessures causées lors de sa neutralisation. Cette femme de 33 ans, Elodie D., hospitalisée avec un pronostic vital engagé, «a été déclarée décédée ce mardi à 13 h 00», selon la procureure de Bordeaux.

Actu

Le parquet de Bordeaux a ouvert deux enquêtes. La première, confiée à la police judiciaire, est ouverte pour violences volontaires avec arme sur personne dépositaire de l’autorité publique. La seconde, confiée à l’IGPN (Inspection générale de la Police nationale), a été ouverte pour tentative d’homicide volontaire. La procureure de la République de Bordeaux, Frédérique Porterie, a également avisé le PNAT (Parquet national antiterroriste), suite à des propos – “Allah Akbar” et “mécréants” – qu’aurait tenu la femme. Le parquet de Bordeaux reste saisi de l’enquête. 

France Bleu

« J’ai saisi la police judiciaire pour les violences sur personne dépositaire de l’autorité publique », annonce Frédérique Porterie, procureur de la République de Bordeaux. “J’ai également saisi l’IGPN concernant l’usage de son arme par un policier. Enfin, j’ai avisé le PNAT, le parquet national antiterroriste car au moment des faits, la femme a notamment crié “Allah akbar””. Le parquet précise qu’il reste saisi du dossier. 

France3

Contrairement aux premières informations la femme qui a poignardé un policier hier à Bordeaux n’est pas décédée. Elle a bien été neutralisée par un fonctionnaire de police. Touchée à la tête par un tir de riposte, elle est entre la vie et la mort.

Actu

Une femme a attaqué au couteau un policier ce lundi en Gironde, a indiqué la police à l’AFP. L’un de ses collègues a immédiatement répliqué en tirant sur l’assaillante, qui est décédée. Selon les premiers éléments recueillis par LCI auprès d’une source proche de l’enquête, le policier est sérieusement blessé à la cuisse, mais son pronostic vital n’est pas engagé.

Selon la même source, les forces de l’ordre intervenaient à la suite d’un différend familial. Après avoir été au contact de la femme, cette dernière a porté un coup de couteau à la cuisse de l’un des policiers. Lors de la riposte, la femme a été touchée à la tête. Elle se trouvait “en état de démence”, selon des sources policières à l’AFP. La scène s’est déroulée à son domicile de Pessac, près de Bordeaux.

La femme, atteinte à la tête, est morte peu de temps après. 

Selon le syndicat Alliance, la femme de cet homme était prise d’une crise de schizophrénie. Le syndicat Unité-SGP-Police parle quant à lui de violences conjugales, commises par cette même femme. 

LCI / France Bleu