Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion
Michel Onfray : « Y a-t-il un Grand remplacement ? L’ONU dit “oui”, la démographie dit “oui” (…) L’interdiction des statistiques ethniques est faite pour nous empêcher de dire ce qui advient» (MàJ)
15/03/2021 à 15h27
LIVE Front Populaire | Les idées reçues sur l’immigration
Michel Onfray :
« Quand quelqu’un de gauche dit “le Grand remplacement, c’est nous”, on dit “formidable”, quand quelqu’un de droite (comme Renaud Camus) dit “il y a un Grand remplacement”, on dit tout de suite “fascisme” »
« Y a-t-il factuellement un Grand remplacement ? Les démographes répondent “oui”. C’est tout simple, vous avez des hommes, vous avez des femmes, ils font des enfants, vous avez un taux de natalité, vous le calculez, vous faites une projection, vous avez une courbe et on vous dit “bah oui, dans 30 ans, dans 50 ans…” »
« On n’a pas le droit de faire des statistiques ethniques, on n’a pas le droit de faire des statistiques religieuses… Ces interdictions là sont faites pour empêcher aux démographes de dire ce qui advient »
L’ONU juge que l’interdiction de se dissimuler le visage en Suisse va “marginaliser et exclure de la vie publique” les musulmanes
16/03/2021
L’ONU “regrette profondément” l’approbation de l’initiative sur l’interdiction du voile intégral (“Oui à l’interdiction de se dissimuler le visage”). Elle a affirmé mardi à Genève que ce vote allait “davantage marginaliser et exclure de la vie publique” les musulmanes. “La Suisse rejoint le petit nombre de pays où la discrimination active contre les musulmanes est désormais sanctionnée par le droit”, a dit à la presse une porte-parole du Haut-Commissariat aux droits de l’homme. Alors même que ces femmes dénoncent une augmentation de celle-ci en Europe.
Le Haut-Commissariat salue toutefois l’opposition du Conseil fédéral et la proposition d’un contre-projet. Mais il cible une campagne “aux tonalités xénophobes”.
Sur 229 retours d’identifications formelles de migrants « mineurs », 216 sont en réalité majeurs, soit 96 %
16/03/2021
À la recherche de nouvelles parades, la préfecture de police de Paris a mis en place un dispositif innovant. Les empreintes des interpellés sont adressées, via la Direction centrale de la police judiciaire (DCPJ) et la Direction de la coopération internationale (DCI), aux autorités algériennes, marocaines et tunisiennes, qui consultent leurs fichiers. Paris reçoit les réponses dans un délai de quatre à huit semaines.
Quinze mois après la mise en place de ce protocole, Le Figaro dévoile un bilan prometteur : sur 939 demandes, la DSPAP a déjà reçu 229 retours d’identifications formelles, établissant qu’il s’agit en fait de majeurs dans 216 cas. Ce qui fait 96 % de ces soi-disant mineurs étrangers qui n’ont en fait pas dit la vérité. Parmi les identifiés figurent 156 Algériens, 71 Marocains et 2 Tunisiens ; les autres sont d’« origine inconnue », peut-être libyens ou syriens.
Munie de cette preuve formelle de majorité, la Préfecture de police ouvre alors contre l’intéressé une procédure pour « fourniture d’identité imaginaire » avant d’inscrire sa véritable identité dans le traitement des antécédents judiciaires (TAJ). Ce qui lui vaut une incarcération immédiate en cas d’interpellation. Les dates de naissance, ainsi connues et gravées dans le marbre, ne permettent plus aux mineurs de raconter des fadaises pour échapper à l’âge inéluctable de la majorité. La méthode, considérée avec un vif intérêt par le ministère de l’Intérieur, pourrait faire école à l’échelle du pays. Selon les experts, quelque 2 000 à 3 000 mineurs étrangers isolés seraient tombés dans la délinquance à travers la France.
Toulouse : 2 policiers blessés par des tirs de mortiers après une course-poursuite avec un suspect qui refusait d’obtempérer
15/03/2021
Deux policiers ont été blessés par des tirs de mortiers d’artifice dans le quartier Bellefontaine de Toulouse (Haute-Garonne) ce dimanche soir. Ils venaient d’essuyer un refus d’obtempérer de la part d’un automobiliste qui a finalement abandonné sa voiture.
(…) Les forces de l’ordre ont ordonné à l’automobiliste de s’arrêter, en lui faisant signe notamment avec leurs lampes torches, mais ce dernier a refusé, poursuivant sa course. Après avoir regagné leur voiture, les policiers se sont lancés à la poursuite du suspect. Le chauffard avait de l’avance et s’est engagé dans la rue du Recteur Dottin.
Les policiers en ont fait autant et ont retrouvé la Clio qui était vide de tout occupant, stationnée au milieu de la route. Juste à côté, il y avait une motocross sans plaque d’immatriculation qui est régulièrement utilisée pour les rodéos sauvages dans le quartier. La fourrière a été alertée afin que les deux véhicules puissent être récupérés.
Deux policiers blessés et deux voitures dégradées
Tandis que les fonctionnaires attendaient sur place, ils ont soudainement été la cible de plusieurs tirs de mortiers d’artifice provenant d’un immeuble situé dans le cheminement le Tintoret. Pour riposter, les policiers ont fait usage d’une grenade lacrymogène. Des renforts ont également été demandés afin d’éviter une nouvelle agression.
Calais : il frappe un migrant irakien qui importunait une jeune femme, le ministère public requiert 24 mois de prison contre lui
16/03/2021
Le tribunal judiciaire de Boulogne-sur-Mer a jugé un Marckois qui a frappé un jeune Irakien, celui-ci tombant dans le coma durant trois semaines. Le délibéré sera rendu le 23 mars.
Le 15 décembre 2019, vers 5 h 30, à Calais, boulevard Jacquard, un groupe de migrants s’approche de l’entrée d’une discothèque. Au même instant, une jeune femme sort du club et sent une main lui toucher les fesses. Simultanément, un Marckois de 36 ans sort également de l’établissement et entend la jeune femme se plaindre. Il se dirige vers le groupe de migrants et leur demande de s’excuser. Il dit apercevoir la lame d’un couteau et frappe violemment l’un des migrants, un jeune Irakien, d’un coup de poing. Les secours sont appelés. L’individu violent s’enfuit. Le jeune Irakien est rapidement conduit à l’hôpital de Calais où il restera dans le coma durant trois semaines, son pronostic vital étant engagé.
Une enquête est entamée par la police. Le Marckois est interpellé. Il s’avère qu’aucun couteau n’est découvert sur les lieux de l’agression. Lors de l’audience du tribunal judiciaire de Boulogne-sur-Mer, le ministère public s’est prononcé pour une peine d’emprisonnement de vingt-quatre mois assortie d’un sursis probatoire de douze mois, pour une interdiction de porter une arme et pour une obligation de travail. Concernant cette affaire, le délibéré sera rendu à l’audience du mardi 23 mars.
57% des Français pensent que les journalistes tentent délibérément d’induire le public en erreur
15/03/2021
[…] Cette année encore, notre pays se trouve dans le dernier quart du classement global d’Edelman à une bien modeste 19ème position. Mais étonnement, nous sommes la nation qui a fait le plus longtemps confiance à son… gouvernement. Au mois de mai 2020, cet indicateur atteignait 61% alors qu’il ne dépassait pas 55% en janvier. Les premières mesures annoncées par l’Elysée ont visiblement rassuré les électeurs mais le second confinement a fait retomber le niveau à 56%. Les interrogatoires ayant été menés en octobre et novembre dernier, on peut imaginer que cette chute s’est encore accentuée aux vues des critiques qui s’élèvent depuis quelques semaines contre la lenteur de la campagne de vaccination…
Si les Français semblent donner toujours un peu de crédit à leur gouvernement, les autres figures d’autorité sont toutes remises en cause. Le taux de confiance accordé aux dirigeants des autorités politiques s’est effondré de 13 points l’an dernier pour atteindre 33 points, un chiffre comparable à celui accordé aux journalistes (-5 points). 57% des Français pensent même que les journalistes tentent délibérément d’induire le public en erreur et un de nos compatriotes sur deux est convaincu que les élites politiques et économiques le trompent. Ce niveau de défiance est préoccupant pour ne pas dire inquiétant. Même les personnes en qui nous avons le plus confiance, comme les membres de notre communauté locale et les scientifiques, ont vu leur cote de popularité reculer de 17 points en 2020. Le monde associatif ne recueille, pour sa part, que 52% de confiance, soit une baisse de 6 points.
Chypre, membre de l’UE, construit une barrière anti-migrants de 11 kilomètres
14/03/2021
Le gouvernement chypriote a lancé la construction d’une barrière visant à empêcher les migrants de franchir ses frontières depuis le nord de l’île et l’autoproclamée “République turque de Chypre-Nord” (RTCN). L’État membre de l’Union européenne a informé cette dernière de la situation, rapporte jeudi la télévision publique RIK.
Le dispositif anti-migrants, agrémenté de fil barbelé, devrait s’étendre sur 11 kilomètres dans un premier temps.
Les autorités chypriotes disent avoir enregistré la plus forte proportion de demandes d’asile dans l’UE ces quatre dernières années, à 4% de sa population, contre une moyenne de près de 1% dans le reste de l’UE.
Au Pakistan, les Chrétiens n’ont accès qu’aux métiers considérés comme « tout en bas de l’échelle sociale »
15/03/2021 à 15h19
Twitter bloque Mila après le post d’un dessin d’enfant qui avait déclenché la fureur de nombreux internautes. M. Schiappa s’empare de l’affaire (MàJ : Compte réactivé)
15/03/2021 à 12h30
« J’avais passé un dimanche tranquille », raconte Mila au Point. « Je venais de retrouver des vieux dessins que j’avais faits quand j’étais petite et je me suis amusée à en publier un sur Twitter. Il représentait un pain au chocolat et divers objets avec plein de fautes dans le titre ! Je pose mon téléphone et le reprends deux minutes plus tard pour voir les commentaires. Là, je découvre une dizaine de messages bizarres avec des messages glauques. Je comprends pas ce qui se passe et je montre ça à ma mère. Je bloque deux ou trois comptes et rafraîchis le fil ; je vois alors des messages par centaines, criblés d’insultes. Je panique en me disant que mon compte a sans doute été spammé par des faux comptes destinés à commenter ma publication en masse pour me nuire. J’ai passé mon compte en privé, mais en ouvrant ma boîte, j’avais déjà reçu plusieurs messages insultants : “sale pute”, “islamophobe de merde”. Les trucs habituels, quoi… Sauf que là, ça allait très vite »
Un abonné du réseau social a aussitôt publié un message ordurier laissant penser que le compte de Mila venait d’être pris pour cible de manière concertée : « Le FC Sinje a réussie (sic) à faire suspendre le compte de Mila le résidue (sic) de capote ! Une p*te en moin (sic) sur le réseau ».
[…]
« J’ai remis mon compte en public en demandant à la communauté des infos sur le fameux FC Sinje, qui semblait avoir activé son réseau pour s’en prendre à moi », raconte encore Mila. « J’avoue, je l’ai traité de “puceau frustré”, tout comme j’ai répondu à deux types qui me promettaient de me violer en leur disant que c’est moi qui violais leur Dieu, ce que je fais parfois pour énerver mes haters (ennemis haineux), quand ils me menacent trop méchamment. Quelques minutes plus tard, Twitter m’informait que mon compte était fermé. Normalement, ils justifient leur décision et désignent les messages litigieux. Là, aucune explication. J’ai été bloquée purement et simplement ».
« Erdogan, soutenu par sa base, avance à marche forcée pour désoccidentaliser la Turquie »
Les pressions sur les enseignants français de l’université francophone de Galatasaray et la mise au pas de l’université anglophone de Bogazici illustrent le durcissement nationaliste et islamiste du président turc s’indigne dans une tribune au « Monde » le politiste Cengiz Aktar
La sœur de Kim Jong-un conseille à Washington «d'éviter de provoquer une puanteur»
Kim Yo-jong, la sœur du dirigeant nord-coréen, a critiqué les manœuvres militaires en cours actuellement en Corée du Sud et prévenu la nouvelle administration des États-Unis qu'elle ne devait pas répandre une odeur de poudre si elle voulait la paix, a rapporté mardi la presse officielle.
Ce communiqué, relayé par l'agence nord-coréenne KCNA, intervient à la veille de l'arrivée à Séoul de hauts représentants de l'administration Biden pour de premiers entretiens avec leurs homologues sud-coréens.
«Nous profitons de cette opportunité pour prévenir la nouvelle administration américaine qui s'efforce de dégager une odeur de poudre dans notre territoire», a dit Kim Yo-jong, selon la KCNA. «Si elle veut la paix pendant les quatre prochaines années, elle ferait mieux d'éviter de provoquer une puanteur en guise de premier pas».
Washington a indiqué lundi avoir tenté, en vain, d'entrer en contact avec Pyongyang pour «réduire le risque d'escalade» sur fond du refroidissement de leurs relations bilatérales débutée sous l'administration Trump.
Donald Trump avait rencontré à trois reprises Kim Jong-un et échangé des lettres avec ce dernier, mais la Corée du Nord avait mis fin aux discussions en demandant à ce que les États-Unis abandonnent d'abord leur politique hostile à son égard.
Les armées sud-coréenne et américaine ont débuté des exercices militaires conjoints en format réduit, uniquement virtuel, du fait de la pandémie et dans le cadre des efforts engagés pour dialoguer avec la Corée du Nord.
Rapprochement échoué
Le rapprochement intercoréen de 2018, voulu par Séoul, ne «se reproduira pas facilement» et Pyongyang va surveiller d'éventuelles provocations supplémentaires, a dit Kim Yo-jong, devenue une voix critique à l'égard de Séoul dans la presse officielle nord-coréenne. Elle a ajouté qu'un accord militaire destiné à réduire les tensions à la frontière coréenne pourrait être abandonné par Pyongyang le cas échéant.
« Si vous voulez dormir tranquille pendant les quatre ans à venir (durée d’un mandat présidentiel américain), vous feriez bien de ne rien entreprendre qui vous fasse perdre le sommeil », dit la sœur de Kim Jong-un, selon le Rodong Sinmun. Il s’agit là de la première référence explicite, sans toutefois le nommer, au nouveau président américain de la part de ce pays doté de l’arme nucléaire, plus de quatre mois après l’élection de Joe Biden à la succession de Donald Trump.
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