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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Info du 10 mars 2021

 

 

 

 

Marseille (13) : La justice a ordonné au département de prendre en charge les mineurs isolés

 

 

Paris, RER D : une policière agressée sexuellement par un Pakistanais de 27 ans

 

Affaire Zecler : la manipulation du site Loopsider démasquée par un policier (MàJ)

 

Saint-Denis : dix auteurs de vol à la portière, âgés de 16 à 18 ans, ont été interpellés, le gang a fait plus de 70 victimes

 

 

Rillieux-la-Pape (69) : le maire menacé de décapitation (MàJ : un mineur de 11 ans interpellé)

 

Procès en “islamophobie” : le principal syndicat étudiant de Sciences Po Grenoble exige des “sanctions” contre les deux profs placés sous protection policière (MàJ)

9 mars 2021


L’Union syndical Sciences Po Grenoble (Isère) s’est exprimé, mardi 9 mars 2021, demandant des sanctions contre les enseignants accusés d’avoir tenu des propos islamophobes.

Le principal syndicat étudiant de Sciences Po Grenoble (Isère) exige des sanctions, vis-à-vis des professeurs accusés d’avoir tenu des propos islamophobes, « tant qu’ils ne se seront pas excusés ».

Ces attaques médiatiques n’ont eu qu’un seul effet : occulté les problèmes de fond, à savoir les déclarations sur les personnes musulmanes, et leur stigmatisation.

L’Union syndicale estime que « certains propos, tenus par ces enseignants, dans des mails par exemple lors de sa la semaine pour l’égalité, ont été perçus comme extrêmement offensants. Il est nécessaire d’en parler dans le cadre de la lutte contre les discriminations, et de recentrer le débat sur le cœur du sujet ».

actu.fr


 

 

 

En visite «surprise» à la Grande mosquée de Paris, Macron tente de séduire la communauté musulmane

 

 

Zemmour : “S’il y a une explosion démographique en Afrique, c’est parce que les Français ont développé les vaccins. Cela n’aurait pas existé sans la colonisation française”

 

 

Maroc/Espagne : assaut de 150 clandestins sur la clôture de Melilla, une soixantaine réussissent à passer

 

 

Les États-Unis frappent le Moyen-Orient: «Ils bombardent parce que tel est leur bon plaisir»

 

Joe Biden n’a pas attendu longtemps après son investiture pour bombarder la Syrie en invoquant des attaques sur des intérêts américains par des milices chiites. Mais pourquoi les États-Unis sont-ils toujours là? Analyse pour le Désordre mondial de Michel Raimbaud, ancien ambassadeur de France et auteur du livre «Les guerres de Syrie» (Éd. Glyphe).

Il aura fallu à peine un mois pour que Joe Biden commence à bombarder le Moyen-Orient. À croire qu’il s’agit d’une sorte de rituel initiatique pour tout Président américain, qu’il soit Démocrate ou Républicain.

Donald Trump avait affirmé que la frappe aérienne de janvier 2020, qui avait tué le général iranien Qassem Soleimani à l’aéroport de Bagdad, devait empêcher toute offensive contre le personnel américain dans la région. Pourtant, Joe Biden a approuvé le bombardement du 25 février: il ciblait des combattants soutenus par l’Iran en Syrie en représailles aux attaques contre le personnel américain quelques jours auparavant à Erbil… en Irak.

Mais pourquoi les troupes américaines sont-elles toujours dans le pays, alors que le Parlement irakien a voté leur expulsion à la suite de la mort du général Soleimani? Si le personnel américain quittait effectivement l’Irak et le reste du Moyen-Orient, les États-Unis n’auraient plus aucune raison de continuer à bombarder la région sous prétexte d’autodéfense. Alors, qu’est-ce qui les empêche de faire leurs valises, de se retirer du Moyen-Orient et de laisser ces pays entre eux pour régler leurs propres affaires?

Michel Raimbaud, ancien ambassadeur de France et auteur du livre Les guerres de Syrie (Éd. Glyphe), explique que l’Irak veut aujourd’hui s’affranchir de l’ingérence américaine:

«Le gouvernement irakien réclame le départ des troupes américaines et je pense que les États-Unis font semblant de ne pas comprendre. Leur présence n’est plus du tout souhaitée, même s’il faut rappeler que le pouvoir irakien reste une émanation un peu lointaine de l’occupation américaine de l’Irak. Mais aujourd’hui, l’Irak veut se dégager de cette tutelle et renouer des liens avec la Syrie et tout l’axe chiite.»

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L’Etat civil refuse le changement de prénom de Lilie, 8 ans, enfant transgenre (MàJ : une « décision #transphobe » selon un député LFI)

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