Partie 1 (la plus riche) :
Passage notable de la partie 2 :
Partie 2 :
Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion
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Info du 18 décembre
L’ONG Amnesty International a étudié 22 vidéos d’exécutions sommaires dont l’une d’elles montre des hommes en uniformes de l’armée azerbaïdjanaise placer la tête d’un homme décapité sur un animal mort.
L’horreur à l’état pur. Depuis la fin du mois de novembre, plusieurs centaines de vidéos montrant des exécutions primaires ont été découvertes, provenant du conflit au Haut-Karabagh entre l’Arménie et l’Azerbaïdjan, rapporte The Guardian. Sur l’une d’elles, le quotidien britannique a identifié deux victimes arméniennes âgées de 82 et 69 ans, qui n’étaient pas combattantes et auraient été décapitées pour avoir refusé de quitter leurs villages à l’arrivée des forces ennemies. Leurs bourreaux portaient des uniformes de l’armée azerbaïdjanaise.
Parmi ces très nombreuses vidéos, l’ONG Amnesty International en a étudié 22. L’organisation évoque notamment deux vidéos qui « montrent des exécutions extrajudiciaires par décapitation par des militaires azerbaïdjanais, tandis qu’une autre vidéo montre un garde-frontière azerbaïdjanais dont la gorge a été tranchée, ce qui a conduit à sa mort ». De son côté, The Guardian témoigne d’une vidéo de décapitation dans laquelle des hommes en uniforme azerbaïdjanais coupe la tête d’un homme avec un couteau avant de la placer sur un animal mort. En commentaire, une voix hors caméra déclare : « C’est ainsi que nous nous vengerons, en coupant les têtes ».
Note : typiquement musulman !
L’ambassadeur iranien à Moscou a déclaré à Sputnik que les services de sécurité de son pays avaient collecté «beaucoup de preuves» accablantes contre Israël dans l’affaire de l’assassinat du Dr Mohsen Fakhrizadeh. Selon lui, le savant était désigné «depuis longtemps» comme cible à abattre par l’État hébreu.
Dans un entretien accordé ce vendredi 18 décembre à Sputnik, l’ambassadeur d’Iran à Moscou, Kazem Jalali, affirme que son pays dispose de «beaucoup de preuves» tangibles lui permettant de conclure qu’Israël est derrière l’assassinant du savant nucléaire Mohsen Fakhrizadeh.
«Nous croyons qu’il y a beaucoup de preuves attestant que c’est l’entité sioniste qui est derrière la mort du savant iranien», avance le diplomate, soulignant que «Mohsen Fakhrizadeh était depuis longtemps sur la liste israélienne des personnalités iraniennes à assassiner».
Il ajoute que «toutes les preuves indiquent que c’est l’État hébreu qui mène désespérément ces assassinats ciblés».
Lors d’un point presse lundi 14 décembre à Téhéran, Hassan Rohani, qui a accusé directement Israël d’avoir assassiné le Dr Fakhrizadeh, a expliqué le but de ce crime dans le contexte de la transition du pouvoir aux États-Unis, rapportait l’agence Fars.
«L’assassinat de Fakhrizadeh, c’est le travail de ceux qui veulent plonger la région dans une guerre alors que le gouvernement compromis [de Donald Trump, NDLR] vit ses derniers jours», a déclaré le chef de l’État iranien. «L’objectif principal du régime sioniste était la guerre et la déstabilisation de la région».
En visite humanitaire dans le camp d’Al-Hol en Syrie, où sont notamment enfermées des femmes de djihadistes et leurs enfants, des députés Belges et des journalistes ont été caillassés et traités de « kouffars » par des enfants.
GRAND ENTRETIEN – Bret Weinstein est un professeur de biologie et théoricien de l’évolution américain. Pour la première fois, il s’exprime dans un média français pour alerter sur la gauche «woke», cette gauche américaine adepte de la politique identitaire qui pratique la chasse aux sorcières et veut faire taire toute parole dissidente au nom d’un antiracisme devenu fou.
LE FIGARO. – Après avoir refusé d’observer une journée «sans Blancs», décrétée par l’administration du campus de l’université Evergreen, où vous enseigniez, dans l’État de Washington, vous avez fait l’objet de harcèlements d’organisations militantes étudiantes antiracistes «woke», puis avez dû démissionner de votre poste avec fracas, ajoutant votre nom à la liste de plus en plus longue de «professeurs annulés» par le mouvement des «justiciers sociaux». Quelles leçons tirez-vous de ce qui vous est arrivé?
Bret WEINSTEIN. – Ma femme et moi avons eu le sentiment d’être aspirés, en mai 2017, par une tornade qui ne nous a toujours pas redéposés au sol ! Cela a changé tous les aspects de notre vie. Les changements ont été très traumatisants sur le moment mais ils nous ont ouvert de nombreuses portes et nous ont transportés dans un monde qu’il est très excitant d’explorer. On a eu le sentiment d’avoir fait face à la tornade trois ans avant les autres. Ce qui veut dire que nous avons vécu une sorte d’avant-première du chaos qui venait. Evergreen est aujourd’hui partout ! Les mêmes dynamiques révolutionnaires sont visibles dans les rues, et pas seulement celles des États-Unis : en Europe, en Australie ! C’est un moment très intéressant, mais j’ai le sentiment que les leçons d’Evergreen ont été gâchées. Si nous avions compris qu’il ne s’agissait pas d’une aberration mais d’un avant-goût du présent, nous n’aurions pas permis que notre civilisation s’amuse à jouer avec de nouvelles formes de racisme, camouflées en lutte contre l’injustice.
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Des pirates informatiques sont parvenus à pénétrer dans les réseaux de plusieurs ministères américains, ainsi que dans ceux de l’agence chargée de gérer le stock d’armes nucléaires, relate la presse américaine. Le Monde parle d’un «vent de panique».
Un «vent de panique» souffle sur Washington depuis la découverte le 13 décembre d’un logiciel espion au sein d’un outil informatique utilisé par des dizaines d’administrations et d’entreprises américaines, écrit Le Monde.
Des pirates sont parvenus à insérer un logiciel malveillant baptisé Sunburst dans certaines versions de la plateforme Orion, un outil de supervision des réseaux informatiques commercialisé par l’entreprise américaine SolarWinds.
Grâce à cette astuce, ils ont pénétré dans les réseaux des départements du Trésor et du Commerce, ceux des ministères de l’Intérieur et de la Santé, de certaines parties du Pentagone et de l’agence du ministère de l’Énergie chargée de gérer le stock d’armes nucléaires, s’inquiète l’ensemble de la presse américaine.
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