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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Le 29 septembre 2020

 

 

 

 

L'Iran dévoile un nouveau missile sur fond de tensions avec les États-Unis

 

 

Une démonstration de force ? Les gardiens de la Révolution islamique, l'armée idéologique de l'Iran, ont dévoilé dimanche 27 septembre un nouveau missile balistique antinavire d'une portée « probable » de plus de 700 km, sur fond de tensions avec les États-Unis, a rapporté l'agence de presse Tasnim.

Selon l'agence réputée proche des ultraconservateurs, le missile « Zolfaghar Bassir » a une portée « probable » de plus de 700 km, soit plus de deux fois la portée du dernier missile de type sol-mer présenté par l'Iran en 2017 et baptisé Hormuz-2. D'une « portée maximale de 300 km », Hormuz-2 avait été testé « avec succès » en mer d'Oman, selon Téhéran.

Une exposition qui « montre le pouvoir dissuasif » de l'Iran

L'agence Tasnim a publié des images du nouveau missile à l'inauguration à Téhéran du Parc aérospatial national, présenté comme « l'exposition des capacités stratégiques de la force aérospatiale » du pays. « Cette exposition montre le pouvoir dissuasif » de l'Iran, a indiqué le chef des gardiens de la Révolution, le général Hossein Salami.

Les tensions sont vives entre l'Iran et les États-Unis, plus d'une semaine après qu'un porte-avions américain a traversé le détroit d'Ormuz, passage stratégique que l'Iran menace régulièrement de bloquer. L'Iran a inauguré jeudi une nouvelle base maritime près de l'entrée de ce passage, par lequel transite un cinquième des exportations pétrolières maritimes, afin d'assurer sa « domination » dans les eaux du Golfe.

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Erdogan: il est temps de mettre fin à «l'occupation» du territoire azerbaïdjanais par l'Arménie

 

Sur fond de l’aggravation de la situation dans le Haut-Karabagh, le Président turc a appelé l'Arménie à mettre fin à «l'occupation» du territoire azerbaïdjanais. Il a également accusé le groupe de Minsk de l'OSCE d'être incapable de résoudre le problème dans la région.

Se prononçant ce 28 septembre à Istanbul, Recep Tayyip Erdogan a appelé l'Arménie à quitter les territoires contestés dans le Haut-Karabagh.

«Le temps est venu de mettre fin à l'occupation de l'Arménie, le temps de payer les factures. Sinon, l'Arménie continuera d’agir à sa guise. Elle doit quitter les terres occupées. Tout le monde sait que ce sont les terres de l'Azerbaïdjan», a déclaré Recep Tayyip Erdogan ce 28 septembre à Istanbul.

Il a également accusé le groupe de Minsk de l'OSCE d'être incapable de résoudre le problème du Haut-Karabagh.

«Pendant 30 ans, ils n'ont pas pu résoudre ce problème. Et ils ont tout fait pour qu'il ne soit pas résolu. Maintenant, ils nous apprennent, et parfois ils menacent. Ils demandent: y a-t-il [au Haut-Karabakh, ndlr.] des militaires turcs? La Turquie y fournit-elle des armes? Ceux qui le demandent ont eux-mêmes envoyé des milliers de camions d'armes dans le nord de la Syrie», a déclaré Erdogan, faisant référence au soutien accordé par Washington aux milices kurdes que la Turquie considère comme terroristes.

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Affrontements au Haut-Karabakh: la crainte d'une intervention turque en cas de guerre

 

Un conflit majeur impliquant l'Azerbaïdjan et l'Arménie pourrait entraîner l'intervention des puissances en concurrence dans la région du Caucase, la Russie et la Turquie. Cette dernière a aussitôt affiché son soutien sans faille à l'Azerbaïdjan.

De notre correspondante à Istanbul,  Anne Andlauer

Si les combats dans la région du Haut-Karabakh devaient dégénérer en guerre, le choix d’Ankara serait clair : la Turquie a pris fait et cause pour ses « frères » turcophones d’Azerbaïdjan.

Le président turc Recep Tayyip Erdogan leur a promis sur son compte Twitter le soutien total « de la nation turque », « avec tous nos moyens » et « comme toujours ». Il venait d’échanger par téléphone avec son homologue azerbaïdjanais Ilham Aliyev, dont il a salué « la position avisée et déterminée ».

 

« Une seule et même nation »

Le président du Parlement turc, Mustafa Sentop, a accusé l’Arménie d’être «un État terroriste » et une « menace pour la paix dans toute la région ». Quant au ministre turc des Affaires étrangères, Mevlüt Cavusoglu, il a eu un entretien téléphonique avec son homologue russe Sergueï Lavrov, pour évoquer ce qu’Ankara qualifie « d’agression arménienne ».

Rien d’étonnant à cette prise de position. La Turquie est le plus proche allié de l’Azerbaïdjan et les deux États considèrent former « une seule et même nation ».

À l’inverse, les relations diplomatiques entre la Turquie et l’Arménie sont inexistantes et la frontière entre les deux pays est fermée depuis le début des années 1990, précisément en signe de soutien à Bakou dans le conflit du Haut-Karabakh.

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“Les jeunes immigrés qui demandent une carte de séjour sont plus éduqués que les Français du même âge.” Hervé Le Bras (INED)

 

 

Nigeria : une embuscade jihadiste fait au moins 30 morts dans le Nord-Est

 

Trente personnes ont été tuées vendredi dans une embuscade tendue par des jihadistes contre un convoi transportant le gouverneur de l'État de Borno (nord-est du Nigeria), selon un bilan communiqué samedi par des sources sécuritaires.

 

Une nouvelle embuscade jihadiste dans la région du lac Tchad. Trente personnes ont été tuées, vendredi 25 septembre, lors d’une attaque de jihadistes contre un convoi transportant le gouverneur de l’État de Borno, dans le nord-est du Nigeria, ont communiqué samedi 26 septembre des sources sécuritaires de l’AFP.

Un précédent bilan établi vendredi faisait état de quinze morts. Ce dernier a doublé selon deux sources sécuritaires. Celles-ci ont précisé que douze policiers, cinq soldats, neuf civils et quatre membres d'une milice soutenue par le gouvernement font partie des victimes.

"Le décompte est passé à 30, car de nombreux corps ont été retrouvés dans les environs après l'attaque", a déclaré l'une de ces sources, ajoutant que "de nombreuses personnes ont été blessées".

Un convoi de véhicules du gouverneur de l'État de Borno, Babagana Umara Zulum, près de la ville de Baga sur la rive du lac Tchad, est tombé vendredi dans une embuscade tendue par des jihadistes liés à l'organisation État islamique. Le gouverneur, selon des sources sécuritaires, est sain et sauf.

 

Samedi, une autre source sécuritaire a également fait état de 30 morts au cours de cette attaque, ajoutant que les jihadistes avaient saisi huit véhicules.

"Les terroristes se sont enfuis avec un véhicule blindé de transport de troupes, un camion avec des armes à feu et six véhicules utilitaires […] qui étaient dans le convoi", a déclaré la source.

Une visite pour préparer le retour des déplacés des conflits avec les jihadistes

La police a indiqué de son côté dans un communiqué que l'attaque contre le "convoi de sécurité" avait fait huit morts dans les rangs des policiers et que trois membres d'une milice soutenue par le gouvernement avaient péri. La police a également fait état de treize personnes blessées, affirmant que l'attaque avait été "repoussée avec succès".

Le gouverneur de l'État de Borno effectuait un déplacement à Baga dans le cadre de la préparation du retour de milliers d'habitants chassés de la ville par les jihadistes en 2014. Il a été évacué en hélicoptère vers la ville de garnison de Monguno, à 60 kilomètres de là, et a rejoint Baga dans un convoi sous haute sécurité, a précisé une des sources.

Les routes qui traversent l'État de Borno sont dangereuses en raison de la présence de combattants jihadistes de l'organisation État Islamique en Afrique de l'Ouest (ISWAP) et de leurs rivaux de Boko Haram, qui dressent des barrages sur les routes, tuent ou enlèvent les voyageurs.

Plus de 36 000 personnes ont été tuées depuis 2009 dans les violences dans la région et plus de 2 millions de personnes ne peuvent toujours pas regagner leur foyer.

Les Nations unies estiment que près de 7 millions de personnes dépendent de l'aide humanitaire pour survivre dans la région du lac Tchad, région à genoux après dix ans de conflit contre les groupes jihadistes.

Avec AFP

 

 

 

 

Attentat à Paris : le père de l’assaillant s’est dit “très heureux” et “très fier” des actes de son fils qui a “protégé l’honneur du Prophète” (MAJ)

 

 

Zemmour : “Que faisait ce Pakistanais en France ? Ces gens là n’ont rien à faire en France ! Nos frontières sont pires que des passoires !”

 

 

Macron est «tétanisé» sur le sujet de l’islamisme radical, selon Christian Jacob

 

Invité sur France Inter, le président de LR Christian Jacob a critiqué la position d’Emmanuel Macron vis-à-vis de l’islamisme radical. Le député a fustigé l’inaction du chef de l’État «tétanisé» par le sujet. Il a également insisté sur la question des mineurs isolés, après l’attentat au hachoir à Paris.

Au micro de France Inter, le président des Républicains (LR) Christian Jacob a reproché à Emmanuel Macron son manque d’engagement sur la question de l’islamisme radical.

Il a par la suite pointé le mutisme du Président de la République sur la question de l’islamisme radical, accusant Emmanuel Macron de ne pas savoir mettre de mots sur cette réalité.

«Sur ce sujet de l’islamisme radical, il n’arrive même pas à prononcer le mot. Alors que c’est une réalité: plus de 260 victimes depuis 2012, elles ne sont pas victimes de je ne sais quel séparatisme, mais de l’islamisme radical. Le Président de la République est incapable de se prononcer sur le sujet, alors que tous les trois mois il nous annonce un grand discours. […] Il est tétanisé», a expliqué Christian Jacob sur France Inter.

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Éric Zemmour, condamné pour blasphème envers l’islam

 

Eric Zemmour. Photo © Alain ROBERT/SIPA
 

Derrière la condamnation d’Éric Zemmour pour “injure et provocation à la haine” se cache une condamnation pour blasphème envers l’islam, analyse notre chroniqueur Grégory Roose.

Éric Zemmour vient d’être condamné par la 17e chambre correctionnelle qui a estimé que certains passages de son discours, prononcé lors de la Convention de la Droite le 28 septembre 2019 à Paris, « outrepassent les limites de la liberté d’expression puisqu’il s’agit de propos injurieux envers une communauté et sa religion ». Cette phrase, issue du jugement, est terrible de sens cachés. D’abord, la justice qualifie les Français musulmans de « communauté ». L’auteur de ce jugement ne se rend-il pas étrangement coupable d’acte de « discrimination en raison de la religion » en distinguant explicitement ces Français (musulmans) du reste de la communauté nationale ? Cocasse. Ce faisant, le juge donne néanmoins raison à Éric Zemmour qui dénonce le communautarisme intrinsèque à la religion musulmane. Mais c’est la condamnation pour « propos injurieux envers […] sa religion » qui devrait davantage inquiéter les défenseurs des libertés individuelles. En condamnant Zemmour pour avoir « injurier » la religion d’un groupe de croyants, la justice française franchit une étape qui mène vers l’interdiction plus générale de critiquer la religion, droit fondamental garantit par notre constitution. En effet, la portée de ce jugement va au-delà de la condamnation pour critique, qualifiée abusivement d’injure en l’espèce, d’un groupe de personnes en raison de leur religion. Par une subtilité sémantique, elle condamne directement la critique de la religion, en l’occurrence celle de l’islam. 

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Mineurs isolés étrangers : “En Seine-et-Marne, près de 80 % de fraudes”, explique l’ancien président du conseil départemental

 

 

 

Marlène Schiappa : “Nous allons créer 4.000 places en plus pour héberger les demandeurs d’asile, et nous en sommes fiers”

 

« Les flux migratoires ne doivent pas être gérés, ils doivent être arrêtés » explique l’ambassadeur de Hongrie

 

 

Ile-de-France : 6.309 migrants “mineurs” délinquants interpellés depuis début 2020. “En garde à vue, on n’a quasiment plus qu’eux”. Placés en foyers, “2 minutes après, ils fuguent

 

Goldnadel : “La tragédie française a pour nom l’immigration massive (…) Le Blanc paye tous les jours à coups de couteau reçus. Cela s’appelle la violence gratuite”

 

Aurillac : l’islamiste algérien Kamel Daoudi interpellé et incarcéré

Kamel Daoudi, le plus vieil assigné à résidence de France, interpellé et incarcéré à Aurillac

Information La Montagne : Kamel Daoudi, le plus ancien assigné à résidence de France, a été interpellé vendredi 25 septembre, à 21 h 30, en centre-ville d’Aurillac, pour n’avoir pas respecté les horaires de son assignation. Le parquet d’Aurillac a indiqué qu’il avait été incarcéré à la maison d’arrêt d’Aurillac, confirmant nos informations. Il sera jugé en comparution immédiate différée le mardi 6 octobre.

Kamel Daoudi a été interpellé vendredi 25 septembre vers 21 h 30, en marge d’une soirée karaoké où il cuisinait des falafels dans un bar associatif aurillacois réputé, La Loupiote. Il avait alors dépassé d’une demi-heure l’heure de son assignation à résidence : il devait être rentré à son domicile, à 21 heures, selon les termes de celle-ci.

[…]

L’article dan son intégralité sur La Montagne


[…]

Cet Algérien condamné pour terrorisme est assigné à résidence depuis douze ans. Il vit désormais à Aurillac. Il avait été déchu de sa nationalité française et interdit de territoire, mais il n’était pas expulsable en Algérie. Il retourne en prison car il n’a pas respecté les conditions de son assignation.

Kamel Daoudi, ce ressortissant algérien avait été condamné à six ans de prison pour des faits de terrorisme en 2005, dans le cadre du projet d’un attentat en 2001 contre l’ambassade des États-Unis à Paris. Il était membre d’un groupe islamiste affilié à Al-Qaida.

Libéré de prison en 2008, l’homme déchu de sa nationalité française et interdit de territoire français, devait être renvoyé en Algérie, son pays de naissance. Mais comme il risque la torture là-bas, la procédure d’expulsion a été bloquée.

[…]

L’article dans son intégralité sur Midi Libre

 

 

Grèce : 35 membres d’ONG inculpés pour avoir fait entrer clandestinement des migrants avec la complicité de passeurs, ils sont accusés de diriger “une organisation criminelle”

 

 

Andorre : Michel Douet, 56 ans, chef d’entreprise, assassiné par un migrant togolais (MàJ : Il s’agit du 1er meurtre en Andorre depuis plus de 10 ans)

 

 

La chute du cardinal Angelo Becciu fait frémir le Vatican

 

Un article sur des malversations financières impliquant l'argent d'Église que le cardinal aurait couvertes et qui auraient profité à ses frères de sang, sera publié dans l'hebdomadaire de gauche, l'Espresso, à paraître ce week-end.
Un article sur des malversations financières impliquant l'argent d'Église que le cardinal aurait couvertes et qui auraient profité à ses frères de sang, sera publié dans l'hebdomadaire de gauche, l'Espresso, à paraître ce week-end. ANDREAS SOLARO / AFP

L'homme était de petite taille mais il était l'un des plus puissants du Vatican. Le cardinal Angelo Becciu, 72 ans, a été démis de toutes ses fonctions par le pape François dans la soirée du 24 septembre. Dont celle de Préfet de la Congrégation pour la Cause des Saints, poste prestigieux, de niveau ministériel, qu'il occupait. Plus exactement, il a dû présenter sa démission à François qui l'a acceptée sur-le-champ lors d'un entretien ombrageux de vingt minutes. Ce dernier l'avait pourtant nommé cardinal en juin 2018, signe éminent de la confiance qu'il avait en lui.
Un article sur des malversations financières impliquant l'argent d'Église que ce cardinal d'origine Sarde aurait couvertes et qui auraient profité à ses frères de sang, publié dans l'hebdomadaire de gauche, l'Espresso, à paraître ce week-end, a précipité la chute de celui qui occupa le poste stratégique de n°3 du Saint-Siège de 2011 à 2018.

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États-Unis : la député musulmane démocrate Ihan Omar au centre de ce qui pourrait être le plus important système de fraude électorale du pays

 

Une escroquerie dans la collecte de bulletins de vote dans le district de Minneapolis en République démocratique d’Ilhan Omar – où des travailleurs rémunérés recueillent illégalement les bulletins de vote par correspondance des immigrés somaliens âgés – semble avoir été mise au jour par l’organisation de presse en caméra cachée Project Veritas.

Liban Mohamed, le frère de Jamal Osman, membre du conseil municipal de Minneapolis, est montré dans une vidéo Snapchat choquante dans laquelle il fouille des piles de bulletins de vote éparpillés sur son tableau de bord.

“Rien qu’aujourd’hui, nous avons obtenu 300 voix pour Jamal Osman”, dit Mohamed, alias KingLiban1, dans la vidéo. “J’ai 300 bulletins dans ma voiture en ce moment…

“Les chiffres ne mentent pas. Vous pouvez voir que ma voiture est pleine. Tous ces bulletins sont des bulletins de vote par correspondance. . . . Regarde, tous ceux-là sont pour Jamal Osman”, dit-il en montrant les enveloppes blanches.

“L’argent est le roi dans ce monde… et une campagne est menée par l’argent.”

La vidéo, publiée [NdeFDS: brièvement] le 1er juillet, a été obtenue par Project Veritas et incluse dans une vidéo de 17 minutes publiée dimanche soir.

Selon la loi du Minnesota, aucun individu ne peut être “l’agent désigné” de plus de trois électeurs absents.

Ces allégations surviennent à peine cinq semaines avant une élection présidentielle où l’on prédit des fraudes électorales. Le président Trump et le procureur général Bill Barr ont tous deux averti que l’utilisation accrue des bulletins de vote postaux, en raison des préoccupations de COVID-19 concernant le vote en personne, sont vulnérables à la fraude, en particulier lorsque des bulletins non sollicités sont envoyés par la poste à tous les électeurs dans certains États.

L’enquête de Project Veritas à Minneapolis va mettre de l’huile sur le feu, seulement 48 heures avant que Trump ne débatte contre Joe Biden lors du premier débat présidentiel mardi, en abordant entre autres le sujet de la sécurité des élections.

“Notre enquête sur ce réseau de récolte de bulletins de vote démontre clairement comment ces opérateurs sans scrupules exploitent les personnes âgées et les communautés d’immigrés” a déclaré James O’Keefe, fondateur et PDG de Project Veritas.

L’implication présumée d’Ilhan Omar, membre controversé de “The Squad” et cible fréquente de Trump, est revendiquée par deux personnes dans l’enquête de Veritas, dont le dénonciateur Omar Jamal, un leader de la communauté de Minneapolis et président du groupe de surveillance somalien de la ville.

Il affirme que Mohamed est “l’une des nombreuses mains” d’Ilhan Omar.

“C’est un secret de polichinelle. Elle fera tout ce qu’elle peut pour se faire élire et elle a des centaines de personnes dans la rue qui s’occupent de ça”, a-t-il déclaré à Veritas lors d’une interview à la télévision mardi dernier.

“Ce n’est pas seulement elle. C’est toute cette machine du FDL [Democratic-Farmers-Labor] dans … l’État du Minnesota . . .

“Si vous ignorez les règles et que vous laissez la corruption et la fraude devenir une affaire quotidienne alors tant pis, le pays n’existera plus tel qu’ils [les Américains] le connaissent.”

Un autre élément incriminant la campagne d’Ilhan Omar est un ancien travailleur politique anonyme, basé à Minneapolis, qui a déclaré à Project Veritas qu’avant les primaires du Minnesota, le 8 août, les récolteurs de bulletins de vote “avaient pris tous les bulletins” des personnes âgées dans un complexe de logements sociaux de Minneapolis – les Charles Horn Towers.

« Frappez à la porte et dites : “Vos bulletins sont arrivés ? Donnez-les-moi”. »

Elle prétend que l’employé de longue date d’Ilhan Omar, le directeur de campagne adjoint du district, Ali (Isse) Gainey, “coordonnait tout”.

Gainey, “qui travaille pour la campagne d’Ilhan Omar, est celui qui gère le lieu de vote. Ils les amènent. Ils les alignent. Ils y amènent les bulletins ouverts, puis les y mettent et disent “Ici”, et les gens signent [les bulletins]…

“Ils ont perfectionné ce système”, dit-elle. “Ils vous diront s’occuper de votre bulletin de vote. Ils prennent une photo de votre carte de sécurité sociale et de votre permis de conduire. Ils ont une base de données. Quand le bulletin arrive, ils le suivent. Parfois, ils font de faux e-mails. Ils suivent le bulletin de vote. Puis ils viennent chercher le bulletin, non ouvert…

“Ils ne se soucient pas des Somaliens. . . Le DFL veut gagner cet État à tout prix… et les victimes sont le peuple somalien.”

Elle a également affirmé que des jeunes gens et des femmes ont été payés pour leurs bulletins de vote avant les primaires du Minnesota du mois dernier.

“En liquide, en liquide, en liquide. Ils portaient des sacs d’argent. . . . Quand vous votez et qu’ils vous rayent, vous montez dans le van, ils vous donnent le liquide.”

Les lois fédérales interdisent de payer quelqu’un pour voter ou s’inscrire sur les listes électorales, ou d’intimider les électeurs. […]

New York Post

 

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