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Le 19 juillet 2020
Incendie dans la cathédrale de Nantes: un réfugié rwandais en garde à vue
Un homme a été interpellé et placé en garde à vue en marge de l'enquête sur l'incendie du 18 juillet dans la cathédrale Saint-Pierre-et-Saint-Paul de Nantes, a déclaré le procureur de la République. Il s'agit d'un ressortissant rwandais de 39 ans, bénévole du diocèse.
Un bénévole du diocèse de Nantes a été placé en garde à vue samedi dans le cadre de l'enquête sur l'incendie dans la cathédrale Saint-Pierre-et-Saint-Paul, a indiqué le procureur de la République.
Cet homme «était chargé de fermer la cathédrale vendredi soir et les enquêteurs voulaient préciser certains éléments de l'emploi du temps de cette personne», a déclaré à l'AFP le procureur Pierre Sennès.
Selon les informations du Figaro, il s'agit d'un réfugié rwandais de 39 ans. Il aurait fait part de sa colère concernant son visa expiré.
Les enquêteurs souhaitent également l’entendre «sur les conditions de fermeture de la cathédrale», a ajouté le procureur.
Note : je suppose que ce rwandais est chrétien ! puisque la majorité des rwandais le sont
Incendie dans la cathédrale de Nantes : un bénévole du diocèse en garde à vue
Incendie de la cathédrale de Nantes: la piste criminelle évoquée
Le 17 juillet
Nicolas Dupont-Aignan : « On a 3 actes anti-chrétiens par jour dans un pays, et ce pays le nie, le cache »
Nicolas Dupont-Aignan, président de Debout la France : « On a 3 actes anti-chrétiens par jour dans un pays, et ce pays le nie, le cache »
Yann Moix : « Imaginez le monde sans l’Islam. Vous ne pensez pas que sans l’Islam le monde serait à feu et à sang ? »
Yann Moix : « Imaginez le monde sans l’Islam. Vous ne pensez pas que sans l’Islam le monde serait à feu et à sang ? »
Note : cela nous aurais épargné des siècles d’agression sur l’Europe. Istanbul n’hésiterait pas et la cathédrale St Sophie de Constantinople rayonnerais encore sur toute l'Europe. Cela nous aurais évité aussi le génocide sur les arméniens
Écosse : des centaines de personnes ont assisté aux funérailles du migrant soudanais B. Abadlla, auteur de l’attaque au couteau de Glasgow
Écosse – Les personnes présentes pour ces funérailles ont largement dépassé la limite légale, ce qui signifie que la majorité a dû se rassembler dans un parking à proximité.
Plusieurs centaines de personnes ont assisté aux funérailles d’un homme abattu par la police après avoir poignardé six personnes à Glasgow.
L’enterrement de Badreddin Abadlla Adam avait lieu au cimetière de Linn à Glasgow à 14 heures cet après-midi, la police a été appelée après qu’une grande foule de personnes se soit réunie en violation des restrictions liés au Coronavirus.
Le Soudanais de 28 ans a été abattu par des agents après avoir blessé six personnes au couteau, dont l’agent de police David Whyte, âgé de 42 ans, lors de l’attaque du Park Inn Hotel de Glasgow le mois dernier.
Au moment de son attaque au couteau, Adam était temporairement hébergé à l’hôtel, qui servait de logement pour les demandeurs d’asile.
Il a été décrit comme un « gars calme, poli et décent » par des demandeurs d’asile résidant également au Park Inn Hotel.
Note : cette solidarité nous montre bien qu'il a de gros problème avec l’islam, mais les gouvernements continuent a faire l’autruche
Mathieu Bock-Côté s’en prend violemment à l’intolérance de la gauche sur les réseaux sociaux : « Ils ne réfléchissent pas, ils vomissent. »
Je me permets quelques brèves considérations sur l’intolérance idéologique à l’endroit des nationalistes québécois sur les réseaux sociaux.
[…]
Faut-il confronter cette petite terreur idéologique et numérique? Rien ne sert, on le comprend aujourd’hui, d’argumenter avec ses principaux inspirateurs: ils ne sont pas là pour débattre, mais pour bannir, pour exécrer et pour maudire. Ils ne discutent pas, ils conspuent leurs adversaires.
Ils ne réfléchissent pas, ils vomissent. On doit certainement analyser les thèses qu’ils avancent, mais sans espoir de les voir répondre honnêtement à nos arguments: ils sont à ce point convaincus d’être éclairés par une vérité révélée qu’ils ne savent pas faire autre chose que de frapper d’anathème les hérétiques. De ce point de vue, la gauche radicale est une gauche religieuse qui ne sait pas qu’elle l’est.
Il est désagréable de subir des insultes qu’on ne mérite pas et de se faire coller des étiquettes insultantes ne correspondant en rien à notre propos et à nos convictions. Mais tel est peut-être le prix à payer pour retrouver notre liberté intellectuelle. Il faut se carapacer.
En fait, il faut surtout convaincre les nationalistes de tenir tête à ces petits inquisiteurs en s’arrachant mentalement à leur emprise. Il faut simplement s’affranchir de leur censure. C’est ainsi que les nationalistes serviront non seulement le nationalisme mais, plus encore, la démocratie, qui ne se pratique pas sans courage.
Loi sur le séparatisme : Gérald (Moussa) Darmanin agite le spectre de la « guerre civile »
Les mots sont forts. Le ministre de l'Intérieur n'hésite pas à agiter le spectre de la « guerre civile » pour justifier la future loi sur le séparatisme, en jugeant la France « malade de son communautarisme », dans un entretien à paraître samedi 18 juillet dans La Voix du Nord. « La France est un pays où aucune religion n'est supérieure à une autre. La première des choses que l'on peut faire, c'est d'éviter la guerre civile. Et la pire de toutes : celle née des religions », a-t-il déclaré au quotidien régional. « Je pense qu'il y a des faits importants qui démontrent que nous sommes dans un moment de confrontation entre communautés extrêmement violent », a-t-il ajouté, en faisant référence aux violences survenues du 12 au 15 juin à Dijon, entre des membres de la communauté tchétchène et des habitants d'un quartier réputé sensible de la ville.
Sans dévoiler le contenu ou les orientations du futur projet de loi contre le séparatisme annoncé par le gouvernement, Gérald Darmanin a fait valoir que ce texte, qui sera présenté à la rentrée, fera office de remède contre les maux censés rendre « malade » le pays. « Quand on est malade, soit vous considérez que vous ne l'êtes pas et votre espérance de vie est limitée, soit vous en prenez conscience et il faut mettre un nom sur la maladie et trouver une médication. Le pays est malade de son communautarisme et désormais d'un islam politique qui veut renverser les valeurs de la République », a-t-il expliqué.
« Aucune foi au-dessus de la loi »
Le ministre a fustigé pêle-mêle « les financements étrangers, la façon dont l'islam est représenté sur le territoire, la façon dont certains élus, associations ou commentateurs sont dans l'accommodement ». « Liberté pour les croyants et aucune foi au-dessus de la loi. Jamais. Cela veut dire ni repas communautaires, ni revendications d'inégalités entre les femmes et les hommes, ni acceptation, ni banalisation », a-t-il complété.
Note ; notre culture est chrétienne pas musulmane.
Et nos valeurs (issues du christianisme) sont largement supérieures a celles pratiquer dans les pays musulmans, donc supérieure
Affaire Traoré : «Arrêtons de dire que la France est un pays raciste»
« En 30 ans, la gauche est passée de la « Génération Mitterrand » à la « Génération Adama » » déplore Jimmy Vivante, conseiller municipal aux Lilas (93) #JusticePourAdama
La statue de l'abolitionniste Schoelcher renversée à Cayenne - vidéo
Lille : des policiers attaqués par une « quarantaine de personnes » qui tentaient d’empêcher l’interpellation de dealers
Jeudi, rue Jules Guesde, un groupe d’individus a tenté d’empêcher l’interpellation de dealers. Des pétards ont notamment été jetés en direction des policiers. Un suspect a été arrêté.
Intervention policière mouvementée, jeudi, à Wazemmes. Vers 18 h, une patrouille circule rue Jules Guesde, haut lieu de la vente de drogue. Elle aperçoit une transaction de produits stupéfiants. Aussitôt, les policiers essaient d’arrêter les deux individus en cause. Mais ceux-ci s’enfuient. Les fonctionnaires les poursuivent.
Mais ils sont bloqués par une quarantaine de personnes. Ils se font insulter et essuient des jets de pétards qui atterrissent juste à côté d’eux.
Chignin (73) : un migrant nigérien blesse quatre gendarmes et une résidente d’un centre d’hébergement
Mercredi après-midi 15 juillet, un jeune Nigérien s’est présenté au programme d’accueil et d’hébergement des demandeurs d’asile (Prahdas) de Chignin (860 hab, Savoie), dans l’ancien hôtel F1. Il a demandé à voir l’assistante sociale mais il était dans un état second.
Apeurée, elle a appelé les gendarmes. Ces derniers ont d’abord essayé de le raisonner en l’incitant à suivre les pompiers. Mais il a refusé et s’est de nouveau montré violent. Il a blessé quatre gendarmes ainsi qu’une résidente. Les militaires ont dû utiliser la force et ont tasé le jeune Nigérien. Il a ensuite été menotté et a été transporté à l’hôpital de Chambéry par les pompiers, escortés par les hommes du Psig (Peloton de surveillance et d’intervention de la gendarmerie). Une enquête a été ouverte pour violences, dégradations et outrages.
Le jeune homme était connu des services de gendarmerie. Il y a quelques mois, les gendarmes l’avaient arrêté à la suite de plaintes de riverains signalant un individu ne jouissant pas de toutes ses facultés mentales. Il avait été interné quelques jours au CHU de Bassens.
Villeurbanne : Mohamed, 18 ans, condamné pour des tirs de mortiers sur des pompiers. « C’est pas juste, fallait attraper tout le monde », déplore sa mère
Dans la nuit du 14 juillet, des pompiers ont essuyé jets de projectiles et tirs de mortiers lancés par une bande de jeunes, dans un quartier populaire de Villeurbanne.
« C’est un miracle qu’il n’y ait pas eu de blessé », estime l’un de leurs avocats, Julien Lambert, sa consœur Myriam Rey dénonçant « une mise en scène orchestrée » contre les pompiers.
(…) Ils sont rapidement pris à partie : pierres, barrières de chantiers, bouteilles d’huile enflammées et mortiers se mettent à pleuvoir.
(…) Un seul prévenu, arrêté par la police municipale, était jugé vendredi dans cette affaire, en comparution immédiate, pour des tirs de mortier attestés par la vidéosurveillance.
Mohamed, 18 ans, jeune bachelier en attente d’une place en BTS, commence par s’excuser auprès des pompiers. Il admet avoir tiré dans leur direction mais affirme qu’il ne les visait pas, nuance qui laisse sceptique la présidente du tribunal.
(…) Son avocate, Béatrice Burnichon, assure que « ce n’est pas un leader » et qu’il « ne peut être tenu pour responsable de tout, alors qu’ils étaient plus de cinquante » impliqués dans l’émeute.
(…) « C’est pas juste, fallait attraper tout le monde », a déploré sa mère à la sortie de l’audience.
« A quand les excuses d’ Alger pour la traite des esclaves européens ? » s’interroge l’historien Bernard Lugan
En ces temps de repentance et d’ethno-masochisme, puisque ceux qu’il est difficile de désigner autrement que par le terme d’ennemis, vu leur comportement à l’égard de la France, s’amusent à jongler avec le contexte historique, alors, faisons de même.
L’Algérie aux abois économiquement, ruinée par les profiteurs du Système qui depuis 1962 se sont méthodiquement engraissés en pillant ses ressources, a donc l’outrecuidance de demander des excuses à la France. Pourquoi pas d’ailleurs, puisque, comme le disait Etienne de la Boétie : « Ils ne sont grands que parce que nous sommes à genoux » ?
Des excuses donc pour avoir tracé en Algérie 54 000 kilomètres de routes et pistes (80 000 avec les pistes sahariennes), 31 routes nationales dont près de 9000 kilomètres goudronnés, construit 4300 km de voies ferrées, 4 ports équipés aux normes internationales, 23 ports aménagés (dont 10 accessibles aux grands cargos et dont 5 qui pouvaient être desservis par des paquebots), 34 phares maritimes, une douzaine d’aérodromes principaux, des centaines d’ouvrages d’art (ponts, tunnels, viaducs, barrages etc.), des milliers de bâtiments administratifs, de casernes, de bâtiments officiels, 31 centrales hydroélectriques ou thermiques, une centaine d’industries importantes dans les secteurs de la construction, de la métallurgie, de la cimenterie etc., des milliers d’écoles, d’instituts de formations, de lycées, d’universités avec 800 000 enfants scolarisés dans 17 000 classes (soit autant d’instituteurs, dont deux-tiers de Français), un hôpital universitaire de 2000 lits à Alger, trois grands hôpitaux de chefs-lieux à Alger, Oran et Constantine, 14 hôpitaux spécialisés et 112 hôpitaux polyvalents, soit le chiffre exceptionnel d’un lit pour 300 habitants. Sans parler d’une agriculture florissante laissée en jachère après l’indépendance, à telle enseigne qu’aujourd’hui l’Algérie doit importer du concentré de tomates, des pois chiches et jusqu’à la semoule pour le couscous…
Or, tout ce que la France légua à l’Algérie en 1962 fut construit à partir du néant, dans un pays qui n’avait jamais existé et dont même le nom lui fut donné par le colonisateur… Tout avait été payé par les impôts des Français. En 1959, toutes dépenses confondues, l’Algérie engloutissait ainsi 20% du budget de l’Etat français, soit davantage que les budgets additionnés de l’Education nationale, des Travaux publics, des Transports, de la Reconstruction et du Logement, de l’Industrie et du Commerce ! (Voir à ce sujet mon livre Algérie l’Histoire à l’endroit).
L’Algérie a exigé, et sur ce point comment ne pas être d’accord avec elle, que la France lui restitue les cranes de combattants vaincus par l’armée française lors de la conquête. Mais alors, quid des restes des dizaines de milliers d’esclaves européens dont des milliers de Français enlevés en mer ou par des razzia littorales, morts en Algérie et enterrés dans la banlieue d’Alger dans ce qui, avant la conquête était désigné comme le cimetière des chrétiens ? C’est en effet par dizaines de milliers que des hommes, des femmes et des enfants européens furent pris en mer ou enlevés à terre par les pirates barbaresques. De 1689 à 1697, Marseille perdit ainsi 260 navires ou barques de pêche et plusieurs milliers de marins et de passagers, tous ayant été réduits en esclavage. En 1718, la comtesse du Bourk, ses enfants et ses domestiques qui avaient embarqué à Sète pour rejoindre via Barcelone son mari ambassadeur en Espagne furent capturés en mer. La petite Marie-Anne du Bourk alors âgée de 9 ans, fut rachetée en 1720.
Grâce aux rapports des pères des Ordres religieux dits de « rédemption des captifs », qu’il s’agisse de l’Ordre des Trinitaires fondé par Jean de Matha et Félix de Valois, ou des Pères de la Merci, les Mercédaires, un ordre religieux fondé par Pierre Nolasque, nous connaissons les noms de milliers d’esclaves rachetés, ainsi que leurs villes ou villages d’origine, cependant que, faute de moyens, des dizaines de milliers d’autres ne le furent pas et moururent dans les chaînes.
En 1643, le Père Lucien Héraut, prêtre de l’Ordre de la Trinité et Rédemption des Captifs, rentra en France avec 50 malheureux Français qu’il venait de racheter aux esclavagistes algérois. Faute de moyens, la mort dans l’âme, il avait laissé derrière lui plusieurs milliers d’autres Français, sans compter les milliers d’esclaves appartenant aux autres nations européennes enlevés en mer ou sur le littoral.
Dans une lettre d’une grande puissance de témoignage adressée à Anne d’Autriche, Reine-Régente du royaume de France, le père Héraut se fit l’interprète des captifs, s’adressant à la reine en leur nom, afin de lui demander une aide financière pour les racheter. Une lettre qui devrait clore les prétentions et les exigences d’excuses des descendants des esclavagistes algérois : « Larmes et clameurs des Chrestiens françois de nation, captifs en la ville d’Alger en Barbarie, adressées à la reine régente, par le R. P. Lucien Heraut, Religieux de l’Ordre de la Trinité et Rédemption des Captifs, 1643.
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Bernard Lugan, historien, directeur de la revue « L’Afrique réelle »
Note ; oui a quand !
Besançon : un couple sévèrement tabassé pour s’être plaint d’un feu d’artifice sous leur fenêtre
Deux habitants, âgées de 59 et 60 ans, de la cité de la Viotte, à Besançon, ont été roué de multiples coups la semaine dernière pour s’être plaint du bruit, alors que des jeunes jouaient avec des pétards et des fusées. Fracture du bras pour elle, nez et côtes cassés pour lui : le bilan médical est lourd. L’agresseur principal est activement recherché.
Selon les premiers éléments, ce couple a été passé à tabac pour s’être plaint du bruit généré par un groupe de jeunes individus. […] L’un d’eux n’a pas supporté les remarques de ces deux personnes, lassées du vacarme, et a décidé de les passer à tabac. Sans retenir ses coups, terribles. […] La présence d’une caméra de vidéosurveillance facilite les investigations policières.
« Guérilla urbaine » aux Sables-d’Olonne : Affrontements entre 150 « jeunes » et les policiers, aucune interpellation (MàJ : le maire réclame un renfort de CRS)
17/07/2020
(…) Un épisode « inédit » que décrit le maire dans cette lettre où il pointe avant tout du doigt le fait que « l’autorité de l’Etat n’est pas assez visible actuellement aux Sables-d’Olonne. »
Il ajoute :
« Aujourd’hui, notre société devenant ce qu’elle devient, les situations sont vite incandescentes »
Un courrier complété jeudi soir par le vote à l’unanimité d’une motion réclamant ce renfort de CRS par les élus des Sables-d’Olonne agglomération.
16/07/2020
Un épisode de violences urbaines a secoué le Remblai et la grande plage des Sables-d’Olonne dans la nuit du 14 au 15 juillet 2020.
(…) Selon nos sources, les forces de sécurité sont intervenues pour calmer et séparer ces jeunes qui étaient environ 150.
« Mais, quand ils ont vu des gens en bleu arriver, ils se sont rassemblés pour casser du flic. Ils ont pris des bouteilles et tout ce qu’ils avaient sous la main », raconte un témoin.
(…) Le syndicat Alliance police Nationale, qui estime le nombre de jeunes plus proche de 200, évoque
« une guérilla urbaine. Nos collègues ont reçu des feux d’artifices et des bouteilles de verre provenant de la plage »
« Il s’agissait de jeunes, voire de très jeunes personnes », selon une source proche de l’enquête qui parle également de bandes de La Roche-sur-Yon et du Mans venues en découdre aux Sables-d’Olonne.
Face au nombre important d’agresseurs, aucune interpellation n’a été possible.
Toulouse : rentrant d’Algérie, une femme crée un nouveau cluster de Covid-19
De retour d’Algérie le 12 juillet, une femme aurait contaminé à la maladie à Coronavirus plusieurs membres de sa famille, à Toulouse (Haute-Garonne). Ce foyer de contamination a été à l’origine d’un nouveau cluster de Coronavirus à Toulouse. Selon les journaux algériens qui ont relayé l’information, la nouvelle a été diffusée par France 3 avant d’être reprise par des journaux de Toulouse.
Ce qui parait inquiétant est que la femme, avant son départ d’Algérie, a été testée négative au nouveau Coronavirus. Seulement, à son arrivée en France, la femme présentait des symptômes de la maladie. Testée une nouvelle fois, au CHU de Rangueil, elle a été déclarée positive au Covid-19.
«Nous avons détecté plusieurs cas de Covid-19 sur le territoire national chez des personnes ayant séjourné récemment en Algérie», a indiqué la direction générale de la santé (DGS), en France. «Vu l’importance des flux de populations entre la France et l’Algérie durant l’été, il est urgent de prendre des dispositions pour éviter que le virus ne recommence à circuler à bas bruit », ont indiqué des médecins français, face au risque de nouvelle propagation de l’épidémie.
États-Unis : pétition pour la démission d’une prof qui se serait endormie pendant une réunion sur le racisme, elle jure n’avoir fermé les yeux qu’un instant
Les étudiants du coûteux Marymount Manhattan College exigent qu’une professeure de longue date soit renvoyée pour s’être supposément endormie lors d’une réunion contre le racisme.
Les étudiants de l’Upper East Side School affirment que Patricia Simon, professeur associé d’art dramatique, a fait une sieste lors du town hall virtuel le mois dernier et ont recueilli [1 902] signatures dans une pétition.
L’organisatrice de la pétition, Caitlin Gagnon, a déclaré : « Cette action s’appuie aussi sur des habitudes de négligence et de manque de respect montrées par Patricia Simon à maintes reprises.
Caitlin Gagnon a inclus une photo de la professeure de 30 ans et l’a également accusée d’être favorable à des employés grossophobes.
Simon a déclaré au Post que l’appareil photo l’avait prise sous un mauvais angle.
« Je n’étais à aucun moment endormie ou désintéressée. Mes oreilles étaient ouvertes … Mon cœur était ouvert aussi », a-t-elle déclaré.
Rappel :
Les acteurs de la série « Shérif, fais-moi peur » défendent la voiture Général Lee et s’opposent à un « nettoyage culturel » : « la génération politiquement correcte est devenue hors de contrôle »
La star des Dukes of Hazzard (« Shérif, fais-moi peur »), Ben Jones, se joint à d’autres anciennes stars du programme pour défendre le drapeau confédéré arborant General Lee, la voiture emblématique qui était au cœur de nombreuses scènes de la série.
Jones, qui a joué le mécanicien Cooter Davenport sur le spectacle de longue date de 1979 à 1985, raconte à Fox News dans une interview exclusive que le drapeau confédéré qui est apparu sur le toit de la Dodge Charger ’69 est devenu une « cible » ces dernières années, affirmant que la controverse sur l’affichage public du symbole n’a commencé « qu’il y a environ 15 ou 20 ans ».
Jones a continué à se présenter aux élections démocrates après la fin de Dukes, et il a représenté la Géorgie pendant quatre ans à la Chambre des représentants des États-Unis, de 1989 à 1993. Il est retourné à temps partiel depuis lors, et possède également plusieurs musées de Cooter’s Place dédiés au spectacle qui l’a rendu célèbre. Il écrit également un certain nombre d’essais politiques.
Soulignant que Dukes of Hazzard n’est arrivé que 15 à 20 ans après l’apogée du mouvement des droits civiques en Amérique, Jones a déclaré qu’il n’y avait jamais eu de plainte concernant le drapeau arborant la voiture emblématique pendant le tournage de l’émission en Atlanta. En fait, il dit que le drapeau lui-même est mal compris.
«Ce n’est pas ce qu’ils appellent le « stars and bars ». Ce n’est pas ça du tout. C’est le drapeau de bataille confédéré à la croix de Saint André, mais il représente le Sud », a déclaré Jones dans une longue interview qui aborde également l’histoire du mouvement des droits civiques dans le Sud, sa fonction publique aux côtés des législateurs noirs en Géorgie à la fois, lorsque le drapeau était un sujet moins brûlant.
« Je pense que c’est une cible facile, vous savez, on ne résout rien en éliminant ces symboles. Mais ça heurte beaucoup de sentiments », déclare-t-il. «Vous savez, c’est source de division plutôt que d’unification. Je pense que tout le mouvement pour effacer les choses, c’est du nettoyage culturel. Et je suis plus vieux, mec – je n’ai pas envie d’être nettoyé culturellement. J’aime tout le monde. C’est en quelque sorte l’oeuvre de ma vie. Mais je ne reviendrai pas dessus car cela ne sert à rien. Et après? Que faites-vous alors? Qu’est-ce qui ne plaît pas à quelqu’un d’autre?
L’interview de Jones fait écho aux récents commentaires des stars de Dukes of Hazzard, John Schneider et Tom Wopat, qui ont représenté Bo et Luke Duke, respectivement, sur la série.
« La situation dans le pays a évidemment changé au cours des 40 dernières années », a déclaré Wopat au Hollywood Reporter. « Je me sens chanceux de vivre à une époque où nous pouvons remédier à certaines des injustices du passé. Mais la voiture est innocente. »
« Je n’ai jamais vu un Afro-Américain venir à moi et avoir quelque problème que ce soit », dit Schneider, ajoutant, « toute la génération politiquement correcte est devenue hors de contrôle. »
Amazon a récemment annoncé qu’il envisageait de supprimer l’émission de son service de streaming IMDb en raison de la controverse actuelle sur le drapeau confédéré, et l’émission n’est actuellement pas disponible via Amazon Prime.
«Dukes of Hazzard était une force unificatrice», déclare Schneider. «Maman, grand-mère, tout le monde voulait le regarder ensemble. Mais à qui profite la division? Les Dukes de Hazzard ont été abattus, je crois injustement. Nous n’avons pas encore manqué une génération, mais nous pourrions manquer celle-ci. »
Warner Bros détient les droits de commercialisation des Dukes of Hazzard et a arrêté les ventes de marchandises portant le drapeau confédéré en 2015 après une fusillade de masse dans une église de Charleston, en Caroline du Sud. Le tireur de 21 ans aurait déclaré qu’il était là pour » tirer sur les Noirs « , et des images de lui avec le drapeau confédéré sont apparues en ligne, ravivant le débat de longue date sur sa place dans la culture américaine.
Un nouveau cycle dans ce débat a éclaté après la mort de George Floyd et d’autres hommes et femmes noirs non armés aux mains de la police au cours des derniers mois, et les manifestations ont balayé le pays.
La NASCAR a annoncé le 10 juin qu’elle interdirait l’affichage du drapeau confédéré lors de ses courses.
Voir les autres Tweets de Taste of Country
États-Unis : une mère enceinte lynchée par un groupe d’adolescents, qui ont également frappé sa petite fille (Vidéo)
États-Unis – Un groupe d’adolescents a tabassé une mère enceinte de l’Illinois – et a même donné un coup de pied à sa petite fille sans défense – au cours d’une violente bagarre, qui a été filmée.
(…) La victime subi un traumatisme crânien mineur, et a pu identifier ses agresseurs. Leurs noms n’ont pas été encore divulgués.
(…)
États-Unis : John Wayne jugé raciste, une exposition dédiée à l’acteur mythique ferme en Californie du Sud
Les étudiants de l’université manifestaient depuis plusieurs mois contre cet hommage après que des propos racistes et homophobes du célèbre acteur, datés de 1971, ont refait surface. L’établissement qui accueillait cette exposition a décidé d’y mettre fin.
«Le Duc» (1907-1979), héros de western et symbole de la virilité américaine n’en finit plus d’agiter un pays bouleversé, depuis la mort de George Floyd, par la question raciale. Depuis 2019, plusieurs étudiants et enseignants de l’Université de Californie du Sud (USC) dénoncent l’exposition dédiée à John Wayne, créée en 2012. Notamment après qu’une interview de l’acteur, publiée dans le magazine Playboy en 1971 a resurgi, dévoilant des propos racistes et homophobes de la légende du septième art. Interrogé sur Angela Davis, figure emblématique de l’antiracisme, il déclarait notamment : «Je crois en la suprématie blanche tant que les Noirs ne seront pas formés au point de pouvoir exercer des responsabilités.»
Jordanie : La Cour de cassation dissout la branche locale des Frères musulmans
La justice confirme l’illégalité dans le royaume du mouvement islamiste transnational.
La Cour de cassation jordanienne a dissous la branche locale des Frères musulmans, confirmant l’illégalité dans le royaume de ce mouvement islamiste transnational, dans le collimateur de plusieurs pays arabes.
« La Cour de cassation a rendu mercredi son arrêt définitif sur la dissolution du groupe des Frères musulmans qui ont perdu leur statut juridique car celui-ci n’a pas été rectifié selon les critères de la loi » de 2014 sur les partis et associations, a indiqué un responsable qui a requis l’anonymat.
[…]
Les Frères musulmans entretiennent des relations tendues avec le pouvoir depuis les révoltes du printemps arabe de 2011 lors desquelles ils avaient été à l’initiative de manifestations. Après avoir boycotté les législatives en 2013, la confrérie, qui promeut la fusion du religieux et du politique, était revenue en force au Parlement lors des élections de 2016.
[…]
L’organisation est classée comme « terroriste » par les Émirats arabes unis, l’Arabie saoudite mais aussi par l’Égypte, depuis fin 2013, après le renversement par l’armée du président islamiste Mohammad Morsi. Le mouvement est à l’inverse soutenu par la Turquie et le Qatar.
En Jordanie, les Frères musulmans disposent d’une large base au sein de la population et sont actifs dans l’organisation de manifestations en soutien aux Palestiniens.
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