Le Président américain Donald Trump a opposé mercredi son veto à une résolution adoptée par la Congrès visant à limiter son champ d'action militaire contre l'Iran.
Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion
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Le 7 mai
Le 6 mai
Estimant que la résolution adoptée par les deux chambres du Congrès et censée limiter son d’action en Iran aurait «grandement nui à la capacité du Président à protéger» les États-Unis et ses alliés, l'hôte de la Maison-Blanche a mis son veto sur le texte.
Le Président américain Donald Trump a opposé mercredi son veto à une résolution adoptée par la Congrès visant à limiter son champ d'action militaire contre l'Iran.
C’est un nouvel éclairage dans la difficile recherche des origines du coronavirus. La Chine a recensé le premier cas le 17 novembre, pourtant, un mois plus tôt se tenaient les Jeux mondiaux militaires à Wuhan qui rassemblaient plus de 10.000 athlètes. Parmi eux, Élodie Clouvel, championne du monde de pentatlon, était sur place avec son compagnon Valentin Beleau, lui aussi champion. Elle en aujourd’hui persuadée, ils ont contracté le virus.
« Après ces Jeux mondiaux militaires on est tous tombés malades avec les mêmes symptômes. J’avais une grosse conjonctivite qui s’est transformée ensuite. J’ai eu des symptômes que je n’avais pas eu avant. Nous ne nous sommes pas plus inquiétés que cela parce qu’on en parlait pas encore (…) On a eu contact avec le médecin militaire récemment qui nous a dit qu’il pensait que nous l’avions eu car beaucoup gens de cette délégation sont tombés malades », déclare Élodie Clouvel au micro de RTL.
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L'institut possède la plus grande collection de souches de virus en Asie, avec 1 500 spécimens différents © Crédit photo : HECTOR RETAMAL AFP
L’institut de virologie chinois est pointé du doigt par les Américains qui estiment que le virus a fuité de ce laboratoire. La Chine a démenti, assurant que les Etats-Unis n’ont aucune preuve
Il est pointé du doigt par les Etats-Unis : l’institut de virologie chinois accusé d’être à l’origine du coronavirus étudie certains des pathogènes les plus dangereux du monde.
Le chef de la diplomatie américaine, Mike Pompeo, a assuré avoir des "preuves immenses" que le virus a fuité d’un laboratoire de Wuhan – la ville où il a été repéré fin 2019. Il a toutefois ajouté mercredi : "Nous n’avons pas de certitude".
La télévision chinoise a jugé lundi ces propos "déments" et l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a dénoncé des déclarations "spéculatives" en l’absence de preuve.
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Alors que Le Canard enchaîné affirme que l’Élysée et le Quai d’Orsay auraient été prévenus de l’imminence d’une épidémie dès décembre, le ministère des Affaires étrangères dément l’information.
Le ministère des Affaires étrangères affirme que la France n’a été prévenue de l’apparition d’un nouveau coronavirus en Chine que le 31 décembre.
Une version qui va à l’encontre de celle présentée par Le Canard enchaîné, qui assure pour sa part que l’ambassadeur français à Pékin Laurent Bili avait alerté le ministre Jean-Yves Le Drian et le Président Emmanuel Macron dans le courant du mois de décembre.Suite à l’apparition de ces affirmations, la diplomatie déclare que les informations sont remontées depuis le consulat de France à Wuhan jusqu’aux bureaux du Quai d’Orsay, mais qu’en aucun cas le Président n’a été directement saisi, comme le laissait entendre l’hebdomadaire satirique.
«Dès que les autorités de Wuhan ont annoncé la nouvelle pneumopathie le 31 décembre 2019, le consul général à Wuhan a alerté, le jour même, le Centre de crise et de soutien du ministère et l'ambassade» à Pékin, précise le Quai d’Orsay.
Le philosophe Michel Onfray a répondu à l’invitation de Sputnik France afin d’échanger sur la crise sanitaire historique que vit la France. Pas tendre avec Emmanuel Macron ou l’Union européenne, le prolifique auteur ne croit pas à un changement de paradigme économique après la crise. Entretien.
«Il fallait faire ce que Macron n’a pas fait. C’est-à-dire confiner, contrôler et isoler le plus tôt possible pour avoir le moins de personnes infectées.»
Alors que le déconfinement du 11 mai approche, le philosophe Michel Onfray juge sévèrement la gestion de la crise du Covid-19 par le gouvernement français et son Président, Emmanuel Macron. L’auteur du récent «Théorie de la dictature précédé de Orwell et l’Empire maastrichien» (Éd. Robert Laffont) a accepté l’invitation de Sputnik France et nous livre son analyse de la crise historique provoquée par la pandémie de coronavirus.
D’après le philosophe, le gouvernement «navigue à vue», Emmanuel Macron n’a pas «l’intelligence du chef de l’État» et sa gestion de crise est «catastrophique».
Des caméras de vidéosurveillance avaient filmé l’interpellation musclée de Jamshed, un Afghan de 27 ans, porteur d’un titre de séjour, le 12 avril sur le Vieux-Port de Marseille. Les policiers, qui intervenaient dans le cadre du contrôle du confinement, le soupçonnaient d’avoir craché sur deux passants qui lui auraient refusé une cigarette. Il avait été projeté contre le véhicule de police après une clé de bras, puis placé à l’intérieur.
Selon l’adjointe de sécurité qui a procédé au menottage, le chef de bord, le brigadier Michel Provenzano, 46 ans, «s’est énervé à partir de là». Les fonctionnaires évoquent des doigts d’honneur et des invectives. «La première grosse erreur, c’est qu’on aurait dû laisser tomber et le laisser repartir mais on a décidé qu’il ne fallait pas qu’il reste là», a reconnu le conducteur, Mathieu Coelho. […]
Deux policiers ont été condamnés mercredi en comparution immédiate à Marseille à quatre ans et 18 mois de prison pour l’arrestation illégale d’un jeune réfugié afghan, abandonné 30 km plus loin dans un terrain vague où il affirme avoir été frappé. Les deux policiers ont été incarcérés après le prononcé de cette condamnation pour enlèvement et séquestration, faux et violences volontaires. […]
Trois policiers vont être jugés en comparution immédiate ce mercredi 6 mai devant le tribunal judiciaire de Marseille […] Ces trois hommes sont accusés de violences sur un automobiliste qu’ils ont contrôlé lundi 4 mai, sur le Vieux Port, dans le cadre d’une vérification d’attestation dérogatoire de déplacement. L’automobiliste a porté plainte. […]
Note ; aujourd’hui un policier peut se faire insulter craché dessus, se faire viser par un tir de mortier mais surtout pas toucher a un migrant
LIRE AUSSI : Montereau (77) : un Tchétchène traîne un policier sur 20 mètres pour échapper au contrôle
Les statistiques du ministère de l’Intérieur sont édifiantes. Entre le 17 mars et le 5 mai, 379 faits de violences urbaines visant des policiers, dont 79 guets-apens, ont été recensés dans les secteurs dépendant de la Direction générale de la police nationale et de la préfecture de police de Paris.
Soit une moyenne d’un peu plus de sept événements par nuit de confinement. Au total, selon la Place Beauvau, 164 villes ont connu au moins un épisode de violences urbaines avec des communes particulièrement touchées: Toulouse, Aulnay-sous-Bois, Trappes et Strasbourg, sans oublier Mamoudzou, chef-lieu du département de Mayotte…
Ces 379 attaques n’ont pas été sans conséquences, avec 43 fonctionnaires de police blessés.
[…]
Images en direct de Danube à Paris 19, deuxième nuit d’affrontement après l’interpellation violente d’un jeune homme du quartier.
#Toulouse : Vidéo de l’attaque au couteau du demandeur d’asile soudanais qui a blessé grièvement 3 personnes#ConfinementJour50
4/05/20
Peu après 19h30, l’auteur présumé des faits s’est adressé à deux femmes qui se trouvaient à quelques mètres d’un rassemblement de personnes sans domicile fixe. Il voulait fumer. Elles ont refusé, il s’est agacé. Très vite, les autres membres du groupe s’en sont mêlés et des coups ont été échangés.
Le suspect a alors brandi un couteau de cuisine avant d’en faire usage une première fois. En riposte, les autres ont asséné de multiples coups à l’agresseur qui a été battu au sol. Mais il a réussi à se dégager de leur étreinte en faisant une nouvelle fois usage de son arme avant de prendre la fuite. Il a été arrêté quasiment instantanément par une patrouille de la police municipale.
(…) La Dépêche
[…]
Beaucoup de ces chiffres sont connus, notamment la hausse impressionnante de l’asile et de l’immigration régulière depuis quelques années en particulier depuis 2012. Auparavant, sous la droite au pouvoir, les chiffres étaient à un niveau relativement élevé mais stabilisé. Ce qui est nouveau, c’est le chiffrage officiel, par une Cour dotée de pouvoirs juridictionnels, la Cour des Comptes, du coût de l’immigration. Le sujet était absolument tabou. Peu d’experts ou de responsables politiques acceptaient de se pencher sur cette question par peur d’être traités de racistes ou d’extrémistes de droite. Que la Cour des Comptes ait réalisé cette estimation et l’ait rendue publique est un acte de transparence et d’authentique courage intellectuel. Elle confirme ce que beaucoup pressentent et pensent tout bas sans oser le dire : l’immigration est bel et bien en forte hausse chaque année, et son coût est également en augmentation. Mais là aussi, on est dans le tabou et le déni de vérité. Les experts bien-pensants ou supposés progressistes se contorsionnent pour démontrer que les flux migratoires sont stabilisés depuis des décennies. La Cour des Comptes confirme tout simplement qu’ils se trompent ou qu’ils dissimulent la vérité. En outre la Cour des Comptes bat en brèche le discours relativiste, totalement généralisé et banalisé : droite et gauche, c’est pareil en matière d’immigration. C’est une contre vérité : la droite au pouvoir n’a pas réussi à réduire sensiblement les flux mais elle est parvenue à les stabiliser. La gauche socialiste et le progressisme macronien ont au contraire favorisé une forte hausse des flux migratoires.
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L’article dans son intégralité sur Atlantico
Il n’y a toujours pas de trêve en Libye. Les efforts déployés par l’Union européenne pour mettre un terme au conflit provoquent d’ailleurs la polémique […]
[…]De nombreux députés estiment qu’il faut arrêter d’employer ces fonds pour la surveillance migratoire et la formation des garde-côtes.
Pour ces élus il n’est pas question de considérer la Libye comme un pays sûr.
Les 27 ont approuvé récemment le lancement de la mission Irini.[…] La Hongrie et l’Autriche craignent qu’elle ne se transforme en une flotte de secours aux migrants. […]
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Soixante condamnés pour terrorisme et détenus radicalisés pourront quitter la prison en 2020 et en 2021, selon les chiffres du ministre de la Justice Koen Geens cités dans De Tijd mercredi. Toutefois, une récente étude pointe que le risque de récidive est faible.
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Dimanche 3 mai, Malte ordonne au Marina de secourir 78 migrants en détresse au large de ses côtes. Le navire de marchandises porte assistance à ces personnes mais ne se doute pas que ce sera le début d’âpres négociations. En effet, Malte refuse le débarquement des naufragés sur son sol.
À bord du bateau, qui se trouve actuellement au large de Lampedusa en attente d’instructions, la situation se tend chaque jour un peu plus. « Plus les jours passent, plus la situation s’aggrave. Des tensions commencent à apparaître entre migrants. »
« Il y a seulement trois femmes et aucun enfant. Les migrants sont originaires de différents pays, notamment le Bangladesh, le Maroc et la Tunisie. […] Je cherche des solutions auprès des autorités italiennes et maltaises mais aucun des deux pays ne veut attribuer un port au Marina pour débarquer les migrants. […] Mais une fois que le sauvetage a eu lieu, les autorités maltaises nous ont complètement laissées tomber. C’est criminel ! Nous sommes un bateau de marchandises, pas de sauvetage. »[…]
L’agression d’Eric Zemmour, ainsi que celles que subissent les forces de l’ordre, pointent toute en direction d’un même écosystème culturel. Le politologue Frédéric Saint Clair interroge notre rapport à cette question qui dérange : l’Afrique et l’Islam ont-ils leur place en France ?
Jeudi 30 avril en soirée, alors qu’Eric Zemmour, chargé de deux sacs de marchandises, marche seul, la tête courbée, dans les rues désertes de Paris, un individu profite de la situation pour l’agonir, et s’en vanter ensuite face caméra. La vidéo fait le tour des réseaux sociaux en quelques heures. Le parquet de Paris, quant à lui, décide d’ouvrir une enquête… L’individu se montrera par la suite repentant, sans convaincre… Phénomène isolé ? En réalité cette agression verbale relève d’une logique identique aux agressions subies par les forces de l’ordre, les services de secours, les responsables de l’Etat, dans de nombreux endroits du territoire, agressions qui ne sont d’ailleurs pas seulement verbales, mais aussi physiques, et parfois armées.
Pour la pensée dominante, il faut distinguer les deux évènements. Eric Zemmour a déjà été condamné pour incitation à la haine raciale, il multiplie les critiques virulentes contre l’immigration et l’islam. Ce qui lui est arrivé était d’une certaine façon prévisible, inévitable. Zemmour et son agresseur, même combat !, ainsi que le résumera Askolovitch dans Slate, atteignant ainsi le degré zéro de la pensée politique. Leur approche des évènements dans les banlieues est autre. Ils n’en privilégient pas moins une vision victimaire des populations immigrées qui composent majoritairement les quartiers, populations qu’ils jugent tenaillées entre une République oppressive et discriminante et une France blanche bien trop souvent complaisante face aux arguments xénophobes et islamophobes. Notons que cette posture n’est pas l’apanage des indigénistes ; y adhèrent également les socialistes, communistes et autres insoumis, les multiculturalistes en tous genres, une partie des modérés même, libéraux, centristes, et partisans de la droite sociale.
Face à cette élite surreprésentée dans la classe politique, intellectuelle et médiatique, et à son socle partisan, il y ceux qu’on appelle les fachos ; élite et peuple confondus ! Contrairement aux premiers, les seconds pensent mal. Ils n’ont pas conscience du caractère tragique de l’histoire et de la persistance de la menace totalitaire, voire nazie. Contrairement aux premiers, ils ne savent pas analyser correctement l’argumentaire des partis d’extrême-droite, et se laissent naïvement leurrer. Cette France rabougrie et repliée sur elle-même cumule un nombre de tares incalculable. Essayons toutefois de nous pencher sur son argumentaire, et voyons ce qu’elle pense de ces phénomènes qui ont émaillé, dès le début, la période du confinement.
Une remarque revient constamment : Les auteurs d’agressions, à l’encontre d’Eric Zemmour comme des forces de l’ordre, sont constamment issus du même écosystème culturel. « Avez-vous déjà été agressé, ou avez-vous vu une vidéo où la police se faisait agresser, par un Anglais ou un Vietnamien ? Par un Allemand ou un Péruvien ? Par un Italien ou un Australien ? Ca n’arrive jamais ! », argumentent-ils. Dans leur lecture des évènements, on trouve deux mots clefs : « Afrique » et « Islam ». Pas seulement « immigration », comme on a souvent tendance à le croire, puisqu’ils jugent que l’immigration en provenance de nombreux pays tout autour de la planète ne crée aucun problème. Ce que cette France demande, ce n’est pas l’arrêt de l’immigration de façon générale et indifférenciée, c’est l’arrêt de l’africanisation et de l’islamisation de la France. Ils affirment, vidéo à l’appui, qu’on ne compte plus les menaces basées sur le Coran dans ces extraits filmés par les protagonistes eux-mêmes, les « wallah » et autres terminologies dialectales, ni la quantité d’individus originaires d’Afrique, ou d’Afrique du nord, impliqués dans les exactions. On ne compte plus les batailles dans les rues de Paris, comme des villes de province, entre bandes de migrants africains et maghrébins. Les viols, et autres agressions sexuelles, perpétrées par les mêmes populations. Et les actes et discours antisémites. Et les actes anti-Français. Et les vidéos où ces individus affirment haut et fort qu’ils ne se sentent pas Français. Ainsi, lorsqu’on en vient logiquement à questionner les partisans de cette vieille France : L’Afrique et l’Islam ont-ils leur place en France ?, ils répondent par la négative. Pour eux, une seule solution face à la désappropriation culturelle, à l’accroissement des violences physiques, à la multiplication des actes terroristes, à ce qu’ils estiment être une invasion, un « grand remplacement » : la remigration ethnique, et l’interdiction de l’islam.
Que faire, face à cette question : « L’Afrique et l’Islam ont-ils leur place en France ? » Elle est posée par une fraction de plus en plus massive des Français, qui déborde très largement, semble-t-il, les 10,6 millions d’électeurs de Marine Le Pen au second tour de l’élection présidentielle de 2017. Devons-nous, comme Edouard Philippe, lors de son allocution au Sénat, le mardi 4 mai, ne l’aborder que du bout des lèvres : « Depuis quelques jours, des tensions sont perceptibles dans certains quartiers sensibles… » ? Devons-nous la criminaliser, comme le font les tenants du journalisme et de l’intellectualisme bien-pensants, cette caste de curés laïques moralisateurs obsédés par l’identité heureuse ? Cette question peut nous mettre mal à l’aise, nous indisposer moralement, et contrevenir à l’idéal que nous nous faisons de la vie en société ; devons-nous pour autant juger qu’elle n’est pas digne de figurer au rang des questions politiquement pertinentes ? Il faut cesser de soumettre la pensée politique à une série d’impératifs moraux aussi catégoriques qu’inopérants. Il y a urgence à nous saisir de cette question, à la passer au crible de la raison politique, et à tenter enfin de déterminer ce que le XXIème siècle n’a eu de cesse de nous imposer comme réalité géopolitique depuis bientôt vingt ans : la place de la dimension civilisationnelle dans la structuration d’un corps politique en Nation.
Le 5 mai
Selon nos informations, l'individu habite Orléans et était présent dans la capitale pour visiter de la famille, malgré le confinement.
Justice sera donc rendue. Selon nos sources, l’agresseur d’Éric Zemmour, qui avait menacé l’éditorialiste en pleine rue avant de s’en vanter sur les réseaux sociaux, a été interpellé et déféré devant le parquet de Paris, ce mardi, confirmant une information de L’Express. L'individu, qui se prénomme Mehdi Korchi, est domicilié à Orléans dans le Loiret et était présent dans la capitale pour visiter de la famille, malgré les règles strictes de confinement. Le journaliste du Figaro a déposé plainte et une enquête a été ouverte pour « violences » et « menaces » à l’encontre de l’individu.
Avec son milliard deux cents millions d’habitants, l’Afrique fait preuve, pour le moment, d’une étonnante résilience. Pourquoi ? Comment ? Jusqu’à quand ?
Penchés sur l’Afrique, les oiseaux de mauvais augure ont pronostiqué une catastrophe à nulle autre pareille. Pour eux, le Covid-19 serait inévitablement dévastateur pour ce continent africain sans infrastructures suffisantes et avec des systèmes de santé fragilisés par un manque criant de personnel médical. L’Organisation mondiale de la santé (OMS), dans son rôle, n’a cessé depuis le début de la pandémie de lancer des cris d’alerte et d’exhorter les pays à prendre des précautions, redoutant une propagation dévastatrice. Pour le moment, les ravages annoncés n’ont pas eu lieu.
L’Afrique subsaharienne est en passe de déjouer les scénarios catastrophes prédits. Cependant, la gestion de la pandémie par les institutions internationales et les pays européens accentue la crise de confiance envers les Occidentaux et préfigure une nouvelle donne géopolitique. Analyse pour Sputnik de Leslie Varenne, directrice de l’Iveris.
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