Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion
L’Iran détruira les navires US en cas de menace, déclarent les Gardiens de la Révolution
L’armée iranienne frappera les navires américains qui menacent la sécurité de l’Iran, a déclaré Hossein Salami, commandant du Corps des gardiens de la Révolution islamique, à la chaîne IRINN.
Le commandant du Corps des gardiens de la Révolution islamique, Hossein Salami, a commenté ce 23 avril auprès de la chaîne IRINN l’«instruction» de Donald Trump de «tirer et de détruire» les vedettes iraniennes.
«Nous avons ordonné à nos forces navales de détruire navires de guerre et unités militaires américaines dans le golfe Persique s'ils menaçaient la sécurité de bateaux civils ou militaires [iraniens, ndlr].»
Selon M.Salami, la riposte sera immédiate.
L’ordre de Trump
Le 22 avril, Donald Trump a annoncé sur Twitter qu’il avait «donné pour instruction à la Marine américaine de tirer et de détruire toutes les vedettes iraniennes si elles harcelaient» les navires américains en mer.
Le porte-parole de l’armée iranienne Abolfazl Shekarchi a réagi à cet ordre du Président américain appelant les États-Unis à se consacrer plutôt à la prévention de la propagation du coronavirus au sein de leurs forces armées, selon l’agence de presse ISNA.
«On ne comprend pas ce qu'on foutait encore là-bas», s'insurge un marin contaminé du Charles de Gaulle
Un des soldats du Charles de Gaulle infecté au Covid-19 à l’instar de 1.045 autres membres d’équipage a évoqué sur Europe 1, sous couvert d’anonymat, le risque auquel il avait été exposé face à l’impossibilité de respecter les mesures barrières et à l’inaction de sa hiérarchie.
«À nous faire rester aussi longtemps sur le bateau, nous avons été mis en danger», a-t-il affirmé.
Sur les 1.760 marins du porte-avions 1.046, soit près des deux tiers, ont été testés positifs au virus.
Le marin a raconté qu’au début il n’y avait que trois ou quatre cas, mais que tout le monde comprenait qu’à bord d’un bateau cela ne pouvait pas s’arrêter là.
1.760 hommes dans un espace restreint
«Même si c'est le plus gros bateau militaire d'Europe, l'espace est restreint dedans. On est forcément obligés de côtoyer les gens, de les croiser. On ne peut pas tout le temps être à un mètre», a-t-il expliqué à la radio.
Pis encore, lorsqu’il a développé les symptômes principaux du Covid-19, le médecin ne l’a pas mis en arrêt maladie mais lui a conseillé de mettre des gants par précaution et de continuer à travailler.
«Le déclic a été fait trop tard»
«En temps de paix, c'est la santé du personnel qui est prioritaire. En sachant qu'on n’est pas en temps de guerre, on ne comprend pas ce qu'on foutait encore là-bas », a-t-il déploré au micro d'Europe 1.
Sa déception vient également de l’attitude négligente de l’état-major envers la santé du personnel.
EN DIRECT - Coronavirus: Trump a signé le décret limitant temporairement l'immigration
Le pétrole poursuit sa remontée
Les cours du pétrole ont poursuivi leur remontée jeudi matin après un rebond au cours de la nuit, mais les prix restent sous pression du fait de la pandémie de coronavirus qui assèche la demande et submerge les installations de stockage.
Le cours de brut américain WTI progressait de 3,5% à 14,27 dollars le baril tandis que le Brent de la mer du Nord gagnait 2,60% à 20,90 dollars le baril dans les premiers échanges en Asie.
Corée du Sud: plus forte contraction de l'économie depuis 2008
L'économie sud-coréenne a connu au premier trimestre sa plus forte contraction depuis 2008 sous l'effet de la crise sanitaire liée au coronavirus, alors que les mesures de confinement ont nui à la consommation et que la demande mondiale a décliné.
D'après les données préliminaires communiquées jeudi par la banque centrale, le produit intérieur brut (PIB) de la Corée du Sud a diminué de 1,4% par rapport au trimestre précédent.
Le ministre des Finances, Hong Nam-ki, a prévenu lors d'une réunion de politique monétaire que la quatrième puissance économique d'Asie devait se préparer à un impact encore plus important de l'épidémie de coronavirus au deuxième trimestre, alors que la demande des principaux partenaires commerciaux de Séoul a chuté.
Pompeo renouvelle ses critiques sur la gestion du coronavirus par Pékin
Le secrétaire d'Etat américain s'en est de nouveau pris mercredi à Pékin pour sa gestion du coronavirus, l'accusant d'avoir «détruit des échantillons» et profité de l'épidémie pour faire pression sur ses voisins, même s'il s'est réjoui que la Chine fournisse du matériel médical pour lutter contre le virus. S'exprimant lors d'un point de presse, Mike Pompeo a déclaré que les Etats-Unis avaient la ferme conviction que la Chine n'avait pas fait état dès que possible de l'apparition de l'épidémie, en violation des règlements de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), et s'était gardé de rapporter la transmission d'humain à humain du virus «pendant un mois, jusqu'à ce qu'il soit dans toutes les provinces» de Chine continentale.
Le chef de la diplomatie américaine a aussi accusé Pékin d'avoir suspendu les tests de nouveaux échantillons du virus, «détruit des échantillons existants» et de n'avoir pas partagé les échantillons avec le reste du monde, «rendant impossible le suivi de l'évolution de la maladie». L'administration Trump a multiplié les critiques sur la gestion par Pékin de l'épidémie apparue en fin d'année dernière dans le centre de la Chine, à Wuhan, avant de se propager dans le monde. Même après que les autorités chinoises ont notifié l'OMS du nouveau virus, Pompeo a déclaré que la Chine «n'a pas partagé toutes les informations qu'elle avait». Au lieu de cela, a poursuivi le représentant américain, «elle a caché à quelle point la maladie était dangereuse».
Aucun nouveau décès, 10 cas supplémentaires en Chine
Les autorités sanitaires chinoises ont dit jeudi avoir confirmé la veille 10 nouveau cas de contamination au coronavirus, un nombre quotidien en baisse, et n'avoir recensé aucun décès supplémentaire lié à l'épidémie, apparue en fin d'année dernière dans le centre du pays. La Commission nationale de la santé a indiqué dans son point quotidien que six des nouveaux cas d'infection concernaient des personnes arrivées de l'étranger, contre 23 un jour plus tôt.
Au total, selon ses données, le coronavirus a contaminé 82.798 personnes en Chine continentale et causé 4.632 décès.
1.738 morts supplémentaire aux Etats-Unis en 24 heures
Les Etats-Unis ont recensé mercredi 1.738 décès dus au coronavirus en 24 heures, un bilan en baisse par rapport à la veille, selon le comptage de l'université Johns Hopkins qui fait référence. Ce bilan journalier porte à 46.583 le nombre total de décès recensés depuis le début de la pandémie aux Etats-Unis, pays officiellement le plus endeuillé au monde par le Covid-19. La première puissance économique compte désormais plus de 839.675 personnes infectées par le virus.
Près de 4,5 millions de personnes ont été testées dans le pays.
Trump a signé le décret limitant temporairement l'immigration
Le président des Etats-Unis Donald Trump a annoncé mercredi qu'il avait signé le décret suspendant temporairement la délivrance de cartes vertes afin de protéger les travailleurs américains en pleine crise liée au coronavirus. «Je viens de signer un décret suspendant de manière temporaire l'immigration aux Etats-Unis», a-t-il déclaré lors de son point de presse quotidien. «Cela permettra de nous assurer que les Américains sans emploi de toutes origines soient les premiers à pouvoir bénéficier des emplois au fur et à mesure de la réouverture de l'économie», a-t-il ajouté. Cette suspension sera d'une durée initiale de 60 jours.
Contrairement à ce que le locataire de la Maison Blanche avait initialement laissé entendre, elle ne s'appliquera pas aux visas de travail temporaires mais aux seules cartes vertes (green card) qui offrent le statut de résident permanent. Le locataire de la Maison Blanche a précisé qu'une nouvelle extension de cette mesure serait examinée «en temps voulu».
La lutte sera longue, prévient l'OMS
Le nouveau coronavirus, contre lequel des essais de vaccins sont en cours, n'est pas près d'être vaincu, a averti mercredi l'Organisation mondiale de la Santé au moment où les mesures de confinement sont progressivement allégées dans certains pays. «Ne vous y trompez pas : nous avons encore un long chemin à parcourir. Ce virus nous accompagnera pendant longtemps», a prévenu le directeur général de l'OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, au cours d'une conférence de presse virtuelle depuis le siège de l'agence onusienne à Genève.
Alors que les manifestations anticonfinement surgissent ça et là, comme aux Etats-Unis et au Brésil, le patron de l'OMS a estimé que ces «rassemblements ne feront qu'alimenter l'épidémie». Dans les pays, notamment européens, où les mesures de confinement des populations mises en place le mois dernier commencent à être allégées, la crainte d'une seconde vague de contaminations est omniprésente et les appels à la prudence fréquents. «L'un des plus grands dangers auxquels nous sommes confrontés aujourd'hui est la complaisance» face à la pandémie, a ajouté le patron de l'OMS, soulignant que «les premiers éléments indiquent que la majeure partie de la population mondiale reste susceptible» d'être infectée.
Le coronavirus circulait aux Etats-Unis dès janvier
Des autopsies pratiquées en Californie sur des décès suspects remontant à février révèlent que ces personnes ont été infectées par le nouveau coronavirus avant le début officiel de l'épidémie de Covid-19 aux Etats-Unis.
Le premier cas confirmé avait été annoncé par les autorités fédérales le 21 janvier, un trentenaire revenu le 15 janvier de la région de Wuhan, en Chine, qui n'avait pas de symptômes graves et avait lui-même contacté un médecin. La première contagion «locale» officielle était à la même époque à Chicago entre deux époux.
Le Pr Raoult qualifie de «fake news» une étude sur la mortalité des patients traités à la chloroquine
D’après une récente étude américaine, le traitement à l’hydroxychloroquine a peu d'effet sur les malades du Covid-19. Le Pr Raoult dénonce une «fake news» et «une étude frauduleuse».
Sur son compte Twitter, Didier Raoult s’en prend à l'étude qui affirme que le taux de mortalité des patients traités à l’hydroxychloroquine est plus élevé que parmi ceux qui n’en ont pas pris.
L’étude en question porte sur 368 patients du réseau des hôpitaux publics des vétérans américains qui sont soit morts soit sortis de l’hôpital avant le 11 avril. Selon ses résultats, la proportion de patients décédés a été la plus forte parmi ceux qui avaient été traités avec de l'hydroxychloroquine (28%), alors que parmi ceux qui n'en avaient pas reçu le taux de mortalité a atteint 11%.
Macron a pris sa décision quant à l'obligation du port du masque après le confinement
Il sera recommandé aux citoyens de porter les masques non professionnels après le confinement, sans les obliger, a fait savoir l’Élysée annonçant la décision du Président de la République en la matière.
Emmanuel Macron a annoncé que le port de masques non professionnels serait recommandé mais pas imposé à la population après le confinement.
Le plan de déconfinement sera présenté «aux alentours de mardi» prochain, mais il ne faut pas déconfiner région par région, a estimé le chef d’État intervenant devant les maires.
«Cette phase de déconfinement ne devrait pas se faire de manière régionalisée», a-t-il annoncé, cité par Reuters.
«Aux masques citoyens !» : l’Académie de médecine appelle les Français à porter un masque, même artisanal, sans attendre
Le 22
L’Académie nationale de médecine appelle mercredi dans un communiqué tous les Français à porter sans attendre un masque, même artisanal, dès qu’ils sortent de chez eux, seul moyen à même d’endiguer, dit-elle, la propagation du coronavirus.
L’académie souligne que «le seul moyen de lutte consiste à empêcher la transmission du virus de personne à personne» et que les mesures de distanciation préconisées à cette fin sont «souvent mises en défaut dans les espaces restreints» comme les ascenseurs, les magasins et les transports en commun.
«Pour être efficace, le port du masque anti-projections doit être généralisé dans l’espace public. Cette mesure ne peut avoir un impact épidémiologique sur la circulation du virus que si tout individu s’astreint à l’appliquer dès qu’il sort de son domicile», poursuit-elle, soulignant que sa recommandation s’applique à tous, y compris à ceux qui se sentent en bonne santé. Chacun, dit-elle, doit se considérer «comme potentiellement porteur du virus et contagieux». «Restreindre le port du masque dans les seuls transports en commun, c’est négliger tous les espaces publics où le risque demeure» poursuit le communiqué.
«Subordonner cette obligation à la fourniture gratuite de masques par l’Etat, c’est conforter la population dans une situation d’assistance et de déresponsabilisation» insiste l’académie. Et cette dernière de reprendre: «Enfin, attendre la date du 11 mai (ndlr, date prévue pour un déconfinement progressif) pour faire porter le masque aux Français, c’est accorder trois semaines de répit au SARS-CoV-2 pour qu’il continue de se transmettre, c’est accepter plusieurs milliers de nouvelles infections, donc plusieurs centaines d’hospitalisations et plusieurs dizaines de morts supplémentaires.»
Note : ils leurs a fallu quand même deux mois et plus de 20 milles morts, pour comprendre l'importance des masques !!
Une pharmacie parisienne, fabriquant dans une rue du gel hydroalcoolique, priée de déménager
Depuis le 9 mars, la pharmacie Delpech, dans le VIe arrondissement, avait réquisitionné une rue pour fabriquer du gel hydroalcoolique en grande quantité. Mais voilà, mardi 21 avril, d’après une information du Parisien, la Préfecture de Police lui a demandé de cesser cette activité et de trouver de nouveaux locaux, sous les prétextes qu’il n’y avait plus de pénurie de gel et des risques d’incendie.
Débarrassée des voitures, aménagée et rigoureusement surveillée par la police, on y produisait jusqu’à 10.000 litres de gel par jour. À l’origine de cette initiative, la pharmacie Delpech, spécialisée dans les préparations magistrales pour les maladies rares.
La pharmacie était pourtant devenue en quelques semaines «la planche de salut de plusieurs pharmacies, établissements de santé et autres lieux stratégiques du pouvoir pour se fournir en gel hydroalcoolique» peut-on lire dans l’article du Parisien. […]
La Ville de Paris a proposé plusieurs sites d’implantations possibles à la pharmacie Delpech, dans l’éventualité ou celle-ci souhaiterait poursuivre son activité.
8 500 respirateurs produits… pour rien ? ils sont inadaptés aux malades du Covid-19
Air Liquide s’est associé à PSA, Valeo et Schneider Electric pour produire 10 000 respirateurs artificiels. Cette mobilisation de l’industrie française doit répondre aux besoins urgents des soignants. Mais une enquête de la cellule investigation de Radio France montre qu’ils sont inadaptés aux malades du Covid-19.
Pour le responsable éco du figaro : « Un « tsunami » de licenciements, susceptible de détruire des millions d’emplois en France, est inévitable »
(…) Si le dispositif de chômage partiel permet de passer le cap de la crise, en suspendant les contrats de travail, il ne garantit en rien leur pérennité en sortie de confinement et reprise d’activité. Certes, l’État ne repliera pas son plan de soutien du jour au lendemain mais il ne va pas régler pendant des mois les salaires de plusieurs millions de personnes. Et sans cette perfusion, les entreprises exsangues après des semaines à l’arrêt ou au ralenti n’auront d’autre choix que de licencier. (…)
Toute la question est maintenant de savoir ce que le gouvernement va faire face à ce déferlement attendu et inévitable de plans sociaux. Et ce d’autant que l’emploi a déjà entamé son inexorable descente aux enfers – les déclarations d’embauche ont plongé de 22,6 % en mars, les offres d’emploi cadre, de 40 % (…)
La purge qui se prépare, il faut en être conscient, va être d’une violence, inédite. Les suppressions de postes se chiffreront en centaines de milliers, si ce n’est en millions. (…)
Christophe Castaner : »Ces tensions ne sont pas d’un niveau de gravité exceptionnelle (…) Les causes sont nombreuses, notamment le confinement »
Castaner relativise l'ampleur des violences en banlieue
Le ministre de l'Intérieur récuse l'idée que le confinement serait moins strictement appliqué dans les quartiers sensibles.
Le niveau de tension observé ces dernières nuits dans certaines banlieues françaises n'est pas d'un niveau «exceptionnel» et la situation n'est pas comparable à celle qui prévalait lors des émeutes de 2005, a estimé jeudi 23 avril le ministre de l'Intérieur, Christophe Castaner, sur BFMTV.
«Ce sont des tensions qui ne sont pas d'un niveau de gravité exceptionnel mais qui se multiplient», a déclaré le ministre. «Douze interpellations (se sont produites) dans la nuit de mardi à mercredi», a-t-il dit. Il a évoqué une quinzaine de «faits importants avec des guets-apens organisés contre (les) forces de sécurité».
Selon Christophe Castaner, ces violences prennent leur source dans «la dureté du confinement pour ces jeunes gens (...) qui pensent que ça serait ludique que d'attaquer les forces de police et d'attaquer les poubelles». «Ce n'est pas ludique, c'est dangereux à commencer pour eux-mêmes», dit-il. Le ministre a en outre mis l'accent sur la «galère, (...) cette pauvreté dans laquelle ils vivent auprès de leurs proches et qui peut provoquer de la colère». «Mais, a-t-il poursuivi, la bonne réponse, ce n'est pas de casser, de brûler la voiture du voisin».
Yvelines. Les violences urbaines montent encore d’un cran : une nuit dans un « climat de guerre»
La tension monte dans les cités des Yvelines. Cette nuit du mercredi 22 au jeudi 23 avril a été ponctuée par de nombreuses violences urbaines. À tel point que, selon nos informations, le directeur général de la police nationale s’est rendu sur place.
Plusieurs de nos sources n’hésitent pas à évoquer « un véritable climat de guerre. »
Dans le quartier #Beaubreuil à #Limoges, les criminels détruisent les caméras de surveillance puis tendent un guet-apens à la police en mettant le feu à des caddies pour les faire venir
Calais (62) : une soixantaine de clandestins s’en prennent aux forces de l’ordre, un véhicule incendié, 5 blessés parmi les forces de l’ordre
Ce mercredi matin, des affrontements ont eu lieu entre des migrants et les forces de l’ordre rue des Garennes, dans la zone industrielle des Dunes, à Calais. Un démantèlement de tentes est à l’origine des troubles, qui ont fait des blessés de part et d’autre. Le calme est revenu en début d’après-midi.
[…] Du verre éclaté, des pierres grosses comme des balles de tennis et une partie de goudron totalement noircie. Quelques heures en amont, en milieu de matinée, un véhicule utilitaire de l’Auberge des migrants utilisé par l’association britannique Collective Aid avait été volontairement incendié […]
« Des migrants ont refusé de quitter le terrain illégalement occupé, détaille le service communication de la préfecture du Pas-de-Calais. Ils ont dû alors être évincés par les forces de l’ordre. Un peu plus tard, une quarantaine de migrants (ils étaient en réalité au moins une soixantaine) ont jeté des projectiles sur les forces de police et de gendarmerie mobile. »
Au cours des affrontements, un policier et deux gendarmes mobiles de l’escadron de Valenciennes ont été touchés. […] « Deux CRS également, précise le procureur de la République de Boulogne-sur-Mer, Pascal Marconville, pour des blessures au pied et au genou. »
[…] Un riverain de la route de Gravelines, croisé au même moment, livrait sa colère. « Déjà lundi soir il y a eu des affrontements. La semaine dernière, ça s’est battu à coups de bâtons devant chez moi. On va encore nous laisser longtemps vivre dans cette insécurité permanente ? » […]
[…] une soixantaine de migrants soudanais se sont attaqués aux forces de l’ordre avec jets de projectiles, feux de barricades. Ils ont aussi incendié un véhicule associatif. […] Radio 6
Zemmour : « L’immigration est très dangereuse pour les pays occidentaux. Il faut supprimer le regroupement familial, supprimer le droit du sol, des expulsions… »
Eric #Zemmour sur le décret anti-immigration de Donald Trump : "Moi j'aimerais que la #Franc soit comme #Trump, c'est-à-dire qu'on en profite pour prendre des mesures radicales pour bloquer l'immigration en France."
Moi aussi Éric #Zemmour, j’aimerais que la France s’inspire de #Trump, avec un blocage de l’immigration, la suppression du regroupement familial, la suppression du droit du sol… #Facealinfo#cnews
#Zemmour : "#Macron veut effacer la dette africaine. En échange, les pays africains et du Maghreb doivent reprendre leurs clandestins. De plus, comme gratitude pour les avoir soignés, les clandestins devraient rentrer chez eux. Mais les patrons qui les emploient ne voudront pas".
#Zemmour sur l'Académie de Médecine qui recommande le port du #masque : "Il faut le dire à @SibethNdiaye, @OlivierVeran, qui se sont moqués de nous. J'attends des excuses officielles de ces gens. Je ne plaisante pas. Ils nous ont pris pour des imbéciles"@ZemmourFaceInfo@AcadMed
#Facealinfo Zemmour " On a une fraude sociale énorme et beaucoup d'étrangers qui viennent se faire soigner gratuitement en France ".
Et si vous avez le malheur de le dénoncer, tout ce que la France compte de gauchistes vous traitera de " réac ", de " facho " et de " raciste ".
Émeutes dans les banlieues : ces militants d'extrême gauche qui attisent la haine “anti-flic”
Depuis samedi, des militants d’extrême-gauche condamnent les forces de l’ordre au mépris de la justice et de la présomption d’innocence. Ces avocats à tous crins des minorités s'érigent en juges et profitent des réseaux sociaux pour propager leur idéologie haineuse.
Trois jours que des émeutes concentrent l’attention dans les banlieues parisiennes et la situation ne semble pas prête de s’apaiser. Samedi, à Villeneuve-la-Garenne, dans les Hauts-de-Seine, un motard et délinquant multirécidiviste roulait à tombeau ouvert aux alentours de 22h00. Sans casque et en violation du confinement, le conducteur a fini par percuter la portière d’une voiture de police banalisée. Aussitôt, des militants gauchistes déferlaient sur les réseaux sociaux pour crier au scandale et condamner une « bavure policière », sans preuves et sans vergogne. Parmi eux, le pseudo journaliste Taha Bouhafs ou la présidente du syndicat étudiant UNEF Mélanie Luce.
Ces personnalités d’extrême-gauche ont pris l'habitude d'exploiter les tensions dans les banlieues au risque d'aggraver les violences. À force de condamner les forces de l’ordre en se substituant ainsi à l’Inspection générale de la Police nationale (IGPN), ces militants propagent, à coup de fake news, la haine « anti-flic ». Jean Messiha, membre du bureau national du Rassemblement national, estime que « ces gens sont l’exacerbation depuis 40 ans de cette minorité qui veut décider ». Damien Rieu, activiste identitaire régulièrement ciblé, affirme lui que « leur objectif est de faire monter la haine de la police en entretenant le discours de victimisation pour essayer de justifier la délinquance ».
Les violences urbaines vues par la presse britannique : « La tension devrait augmenter le mois prochain pendant le Ramadan. Les émeutes de 2005 ont également eu lieu au cours du mois du jeûne. »
Le 22
[…] La crainte de Macron est que, dans les semaines à venir, les émeutes de 2005 puissent se répéter. Samedi dernier à Villeneuve-la-Garenne, un homme qui aurait été connu de la police s’est cassé la jambe lorsque son motorycle est entré en collision avec la porte ouverte d’une voiture de police banalisée arrêté à un feu rouge. Les habitants disent que la porte a été ouverte délibérément, une allégation démentie par la police, qui dit que l’homme conduisait sans casque. Le groupe des droits de l’homme SOS Racisme a exigé une enquête approfondie, appelant la police à faire preuve de retenue « en cette période de confinement et de tensions ». […]
Il y a maintenant eu quatre nuits d’émeutes successives après l’arrestation de l’homme, des troubles qui se sont propagés à quatre autres banlieues parisiennes, et Yves Lefebvre, le chef de l’un des principaux syndicats de police, a averti que la situation pourrait dégénérer. « Cela peut devenir très difficile », a-t-il déclaré. « Si demain nous sommes confrontés à une violence urbaine généralisée, nous aurions du mal à garder le dessus à moins qu’un couvre-feu ne soit mis en place, et l’armée n’appelle pour aider à le faire respecter. »
Il y a eu des appels persistants de quelques commentateurs de droite en France au cours des années pour envoyer l’armée dans ces «territoires perdus» afin de reprendre le contrôle des islamistes et des gangs de la drogue.
La tension devrait augmenter le mois prochain pendant le Ramadan, qui commence jeudi soir. Les organisations musulmanes en France ont appelé les fidèles de leur pays à observer le jeûne conformément aux règles de confinement, et la plupart le feront, mais dans certains des quartiers les plus instables du centre-ville, le Ramadan pourrait être considéré comme un moyen pratique de contester les règles. Les émeutes de 2005 ont également eu lieu au cours du mois du jeûne.
Tout ce qu’il faudra, c’est un moment d’indiscipline de la part de la police – une bombe lacrymogène perdue ou une arrestation agressive – et les banlieues pourraient une fois de plus brûler à travers la France.
Migration : la justice ordonne la reprise des enregistrements des demandes d’asile en Île-de-France
Dans un jugement rendu mardi, le tribunal administratif de Paris a ordonné aux préfets d’Île-de-France la réouverture des structures permettant de déposer l’asile dans la région. Les guichets uniques pour demandeurs d’asile ainsi que la plateforme téléphonique de l’Ofii sont suspendus depuis le début du confinement.
Les dépôts de demandes d’asile, suspendus au début du confinement, doivent reprendre en Île-de-France, a ordonné mardi 21 avril le tribunal administratif de Paris.
« Il est enjoint au préfet de police et aux préfets des départements de la région Île-de-France de rétablir dans un délai de cinq jours à compter de la notification de la présente ordonnance et jusqu’à la fin de l’urgence sanitaire, le dispositif d’enregistrement des demandes d’asile supprimé au mois de mars », a statué le tribunal.
Un collectif d’associations, dont le Gisti et Utopia 56, et de demandeurs d’asile avait déposé le 15 avril un référé-liberté (une procédure d’urgence) pour contester cette suspension « inédite en France et (qui) ne se justifie par aucun texte » […]
Confinement : le préfet de Seine-Saint-Denis redoutedes “émeutes de la faim” dans les quinze jours qui viennent
Le 22
Ce mercredi 22 avril, Le Canard enchaîné fait état d’un mail envoyé le 18 avril par Georges-François Leclerc, préfet de Seine-Saint-Denis, dans lequel le haut fonctionnaire s’inquiète du « risque alimentaire » qui menace les habitants les plus précaires du 93.
Il redoute des “émeutes de la faim”. Selon Georges-François Leclerc, préfet de Seine-Saint-Denis, un « risque alimentaire » menace la partie la plus précaire de la population du 93. Ce mercredi 22 avril, Le Canard enchaîné fait état d’un mail envoyé le 18 avril par le haut fonctionnaire à son homologue Michel Cadot, préfet de la région Île-de-France.
“Mon principal risque dans les quinze jours qui viennent est, si l’on excepte le risque sanitaire, le risque alimentaire”, indique Georges-François Leclerc, mentionnant également une situation tendue dans le département voisin du Val-d’Oise.
“Nous comptons entre 15.000 et 20.000 personnes qui, entre les bidonvilles, les hébergements d’urgence et les foyers de travailleurs migrants, vont avoir du mal à se nourrir”, s’alarme-t-il.
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