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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Le 24 janvier 2020

 

 

 

 

Après le général Soleimani, le nouveau chef d’Al-Qods menacé par les USA

 

Selon le représentant spécial des États-Unis pour l'Iran, si le nouveau chef de la Force Al-Qods Ismael Qaani continue de tuer des Américains, il subira le même sort que son prédécesseur assassiné lors de l’opération américaine du 3 janvier.

Ismael Qaani, nouveau commandant de la Force iranienne Al-Qods du corps des Gardiens de la révolution islamique (GRI), subira le même destin que son prédécesseur, le général Qassem Soleimani, s’il tue des Américains, a déclaré le représentant spécial des États-Unis pour l'Iran Brian Hook dans une interview au journal Asharq al-Awsat.

«Si Qaani continue de tuer des Américains, il subira le même sort. Il y a quelques années, le Président Trump a expliqué que toute attaque contre des Américains ou les intérêts américains recevrait une réponse décisive, ce que le Président a bien démontré [avec l'assassinat de Soleimani, ndlr]», a déclaré Hook.

Le représentant spécial américain pour l'Iran a également ajouté que les États-Unis continueraient de soutenir le peuple iranien en soulignant que les Iraniens ordinaires souffraient en raison de leurs dirigeants.

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Le chef de l’Onu met en garde contre les «quatre cavaliers» qui menacent le monde

 

Faisant allusion aux quatre cavaliers précurseurs de l’Apocalypse, Antonio Guterres a évoqué les défis auxquels est confronté le monde: tensions politiques, crise climatique, méfiance et menace du numérique.

Dans un discours tenu devant l'Assemblée générale, le chef de l’Onu a alerté le monde sur les «quatre cavaliers» qui menacent son avenir.

«Je vois "quatre cavaliers" parmi nous, quatre menaces imminentes qui mettent en danger les progrès du XXIe siècle et mettent en péril les possibilités du XXIe siècle», a déclaré Antonio Guterres mercredi 22 janvier. Ses propos ont été publiés sur le site de l’Onu.

Le premier «cavalier» revêt la forme des «tensions géostratégiques» qui ont atteint leur niveau le plus élevé depuis des années, a-t-il indiqué, évoquant des attaques terroristes et la menace nucléaire.

«Plus de personnes ont été forcées de quitter leur domicile à cause de la guerre et de la persécution qu'à n’importe quel moment depuis la Seconde Guerre mondiale», a-t-il ajouté.

Le deuxième «cavalier» a poursuivi M.Guterres est la crise climatique. Il a rappelé que la température moyenne dans le monde augmente, menaçant ainsi des millions de créatures d'extinction «Notre planète brûle», a-t-il déclaré.

Et d’ajouter, en appelant les dirigeants à œuvrer pour inverser la situation: «Le monde s’approche du point de non-retour».

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Note ; sauf que l'ONU est elle-même responsable d'une partie de se qui va nous arrivé

 

 

La fin du monde se rapproche : l'horloge de l'apocalypse réglée à 100 secondes avant minuit

 

Chef d'état-major français: tuer le général iranien Soleimani en Irak n'était «pas une bonne idée»

 

Le puissant général iranien Qassem Soleimani était «un véritable agitateur» mais son assassinat par les Américains en Irak n'était «pas une bonne idée», car il a contribué à déstabiliser un peu plus ce pays, a estimé mercredi le chef d'état-major français.

«Soleimani n'était pas un saint, c'était très évidemment un véritable agitateur et un élément de déstabilisation très efficace des Iraniens», mais «aller tuer Soleimani sur le terrain irakien me semble ne pas avoir été une bonne idée», a déclaré le général François Lecointre lors d'une rencontre avec l'Association des journalistes de défense, écrit l'AFP.

«Cela affaiblit la position de l'Irak et très clairement, la volonté de la coalition (internationale anti-Daech, ndlr), des Occidentaux, c'est de consolider l'Irak, c'est de l'aider à se reconstruire comme un état stable et souverain dans la région», a-t-il fait valoir.

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Téhéran confirme le lancement «très prochain» de deux satellites dans l’espace

 

En marge du Forum d’affaires irano-turc sur la technologie qui se déroule à Istanbul, le vice-Président iranien pour la Science et la Technologie, Sorena Sattari, a commenté pour Sputnik la récente déclaration du Président de la République islamique, Hassan Rohani, concernant le projet de Téhéran d’envoyer deux satellites dans l'espace.

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EN DIRECT - Virus en Chine - La Chine annonce le premier décès hors du berceau de l'épidémie - La Cité interdite de Pékin va fermer jusqu'à nouvel ordre - L'OMS affirme qu'il n'existe "aucune preuve" d'une transmission entre humains en dehors de la Chine

 

Hier 20h05: L'OMS affirme qu'il n'existe "aucune preuve" d'une transmission entre humains en dehors de la Chine. Et d'ajouter qu'il est "trop tôt" pour déclarer une urgence internationale.

DIRECT

 

LIRE AUSSI : Rues désertes et hôpitaux bondés : la Chine face au coronavirus

 

 

Serpents et chauve-souris à l'origine du coronavirus chinois ?

 

Le coronavirus aurait muté chez la chauve-souris.[HO / BRITISH HEALTH PROTECTION AGENCY / AFP]

L'origine du coronavirus venu de Chine, qui a déclenché une épidémie de pneumopathies au-delà des frontières du pays, se précise.

Selon une étude publiée mercredi 22 janvier dans Journal of Medical Virology, les serpents pourraient être à l'origine du virus.

On savait déja que l'épidémie était partie d'un marché à Wuhan, et que le virus s'était transmis d'un animal à l'Homme.

Les scientifiques à l'origine de cette étude ont ainsi analysé la séquence exhaustive du virus pour la comparer avec les autres types de coronavirus présents dans l'organisme d'animaux présents sur ce marché. Et ils sont nombreux : oiseaux, chauves-souris, marmottes, serpents...

Une mutation du virus

Et les conclusions des chercheurs sont les suivantes : le coronavirus aurait muté dans un premier temps chez la chauve-souris, avant de muter une seconde fois chez le serpent.

La synthèse du code génétique du virus appelé aussi nCov prélevé chez des chauves-souris a révélé la présence de protéines appartenant à celles que l'on retrouve chez les serpents. Or, les serpents sont des prédateurs de chauves-souris. 

La mutation du coronavirus originel, qui infectait les chauves-souris, serait ainsi une «recombinaison cellulaire» de protéines qui lui servaient à s'accrocher aux récepteurs des cellules hôtes. C'est cette mutation qui aurait permis au virus de passer d'une espèce à l'autre, d'abord chez les serpents, puis chez l'Homme.

Ces conclusions doivent encore être confirmées par des études supplémentaires. Mais en apprenant à connaître le virus, les scientifiques peuvent espérer mettre au point des vaccins et des traitements pour éviter une pandémie.

Source

 

 

 

 

 

Mali: Deux soldats français blessés dans une attaque djihadiste

 

EXPLOSION Au moins sept soldats maliens ont été tués dans une autre attaque près de la frontière avec le Burkina Faso

Des soldats français dans le nord du Mali le 22 avril 2019.
Des soldats français dans le nord du Mali le 22 avril 2019. — GEAI LAURENCE/SIPA

La situation est toujours très difficile pour les militaires au Mali. Deux soldats français de l’opération antidjihadiste Barkhane ont été blessés lors de l’explosion d’un engin explosif improvisé (IED) au passage de leur camion ravitailleur dans la région de Tombouctou, dans le nord du pays. Cette attaque a été revendiquée par le Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans (GSIM), organisation djihadiste liée à Al-Qaida.

Leur pronostic vital n’est pas engagé

L’explosion de l’IED a provoqué un départ d’incendie au niveau de la cabine du véhicule CaRaPACE (Camion Ravitailleur Pétrolier de l’Avant à Capacité Étendue), rapidement maîtrisé. « Les deux soldats qui s’y trouvaient ont pu quitter le véhicule pour se mettre en sécurité. Blessés, leur pronostic vital n’est pas engagé », a détaillé jeudi soir l’état-major français. Les deux militaires français « ont été évacués par hélicoptère et vont être rapatriés en France dans les heures prochaines », a souligné l’armée, en précisant que « l’impact de l’explosion a été atténué par le blindage de la cabine » de ce super poids lourd, dont le premier exemplaire a été déployé au Sahel à l’été 2018.

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« L'Occident cède au chantage d'Erdogan »

 

EXCLUSIF. C'est depuis sa cellule que le leader kurde Selahattin Demirtas s'est confié au « Point ». Sa santé se dégrade, mais il refuse d'implorer un geste du président turc.

Il y a trois ans et demi, dans le chaos de l'après-coup d'État manqué, le président turc Recep Tayyip Erdogan portait un coup dévastateur à l'opposition démocratique de son pays. En novembre 2016, avec une dizaine d'autres élus, le coprésident du parti prokurde HDP Selahattin Demirtas était jeté en prison.

Malgré les protestations de ses soutiens en Turquie et dans le monde et les demandes de libération de la Cour européenne des droits de l'homme, l'avocat droit-de-l'hommiste est maintenu en prison par le régime turc. Noyé sous un torrent d'enquêtes et d'accusations, il risque aujourd'hui 142 années de prison. Bien qu'affaibli physiquement, il semble ne rien avoir perdu de sa détermination. Pour Le Point, Selahattin Demirtas revient sur sa vie en prison, ses conditions d'incarcération, la « trahison de l'Occident », Erdogan, le futur du HDP ou encore le pouvoir de la littérature.

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Trump veut limiter les visas pour femmes enceintes

 

Avec ce visa l'administration de Trump veut "améliorer la sécurité publique, la sécurité nationale et l’intégrité [du] système d’immigration".

ÉTATS-UNIS - Persona non grata. L’administration de Donald Trump va limiter les visas octroyés aux femmes enceintes soupçonnées de vouloir se rendre aux États-Unis pour que leur enfant y bénéficie automatiquement de la nationalité américaine à la naissance.

“À compter du 24 janvier 2020, le département d’État ne délivrera plus de visas de visite temporaire aux étrangers qui veulent entrer aux États-Unis pour du ‘tourisme de maternité’”, afin de tirer avantage du droit du sol américain, a annoncé jeudi la Maison Blanche dans un communiqué.

Les nouvelles règles visent clairement les femmes qui “se rendent aux États-Unis pour que, en donnant naissance sur le sol américain, leur enfant obtienne automatiquement et de manière permanente la nationalité américaine”, a-t-elle expliqué.

“Ce changement réglementaire est nécessaire pour renforcer la sécurité”, “le système d’immigration” des États-Unis et “l’intégrité de la citoyenneté américaine”, a ajouté la présidence. Elle estime que cette “industrie du tourisme de maternité” menace d’être une “surcharge” pour les hôpitaux du pays, sans compter qu’elle “alimente les activités criminelles”.

Mettre fin à ces failles flagrantes” du système américain “va permettre de combattre ces abus endémiques et en fin de compte protéger les États-Unis”, a insisté la Maison Blanche, assurant vouloir aussi défendre l’argent des “contribuables américains”.

Le droit du sol est très extensif aux États-Unis: il suffit de naître dans le pays pour bénéficier automatiquement de la nationalité américaine.

Le milliardaire républicain a fait de la lutte contre l’immigration une de ses priorités et a ouvertement menacé, par le passé, de s’attaquer au droit du sol.

Source

Lire aussi : Guerre commerciale : Trump menace de taxer à 25% les automobiles européennes

 

Note : pour  se qui est l'immigration, Trump est excellent , la France devrais faire de même

 

 

Riyad se désengage des mosquées à l'étranger: «À nous, Européens, de combler ce vide»

 

Le secrétaire général de la Ligue islamique mondiale a annoncé que l’Arabie saoudite ne financera plus de mosquées hors de ses frontières. Une annonce surprenante quand on sait les millions de dollars déjà investis dans cette politique d’influence. Sputnik revient avec Alexandre Del Valle, géopoliticien, sur les motivations de cette décision.

C’est une nouvelle pour le moins surprenante dans le monde occidental. Mohammad Ben Abdulkarim Al-Issa, ancien ministre saoudien de la Justice et secrétaire général de la Ligue islamique mondiale, fondée à La Mecque en 1962, a annoncé que l’Arabie saoudite allait arrêter de financer et d’influencer des mosquées à l’étranger. Ce désengagement commencera par la Suisse, mais le reste du monde suivra.

«Nous allons prendre les mêmes dispositions dans le monde entier. Partout, il y aura un conseil d’administration local, mis en place en coordination avec les autorités nationales. Notamment pour des raisons de sécurité. Il faut veiller à ce que les mosquées soient placées entre des mains sûres, évidemment. Ensuite, nous n’interviendrons plus», explique le secrétaire général de la Ligue islamique mondiale dans le journal Le Matin du Dimanche de Lausanne.

Une décision qui peut sembler contradictoire avec la politique étrangère menée jusqu’à présent par le Royaume. En effet, le financement des communautés musulmanes à l’étranger a longtemps été l’un des bras armés du soft power saoudien. Dans tous les pays avec des communautés musulmanes, même de petite taille, il y a des mosquées dont les fonds provenaient de Riyad.

Qu’est-ce qui a motivé ce brusque désengagement? Assistons-nous là à une forme de «franchisation» du wahhabisme saoudien? Les élites saoudiennes ont-elles décidé de changer leur image et d’abandonner leurs programmes d’influence et de financement des mosquées à l’étranger? Pour répondre à ces questions, Sputnik France a interrogé Alexandre Del Valle, professeur de géopolitique et de relations internationales, et auteur de plusieurs ouvrages sur l’islam politique. Il a récemment publié, avec Emmanuel Razavi, un livre sur les Frères musulmans, «Le Projet», paru en 2019 aux éditions L’artilleur.      

Sputnik France: Comment interpréter cette information? S’inscrit-elle dans un calcul géostratégique?

Alexandre Del Valle: «Je pense que cette information, si elle est vraie, est extrêmement intéressante et révolutionnaire, et elle peut être un tournant dans la lutte contre l’islamisme au niveau mondial. Encore une fois, il faut être sûr que ce soit vrai, mais il y a des signes indiquant que Mohamed Ben Salman, malgré ses mœurs très autoritaires –on l’a vu dans l’affaire Khashoggi– compte cantonner le wahhabisme à un islam domestique. Il souhaite en faisant cela, moderniser le pays en séparant un peu plus la politique et la religion, même si ce n’est pas possible de le faire totalement.

On ne peut pas moderniser un pays si l’on apprend à l’école que la Terre est plate. Il a compris que l’idéologie wahhabite est un problème pour le monde, mais aussi pour l’Arabie saoudite, car les adeptes de cette idéologie ont vocation à se retourner contre l’élite saoudienne. L’Arabie saoudite est d’ailleurs l’un des pays les plus frappés par le djihadisme. Les djihadistes wahhabites qu’ils ont exportés se sont retournés contre leur propre créateur.

Je pense aussi que cette nouvelle politique s’inscrit dans le cadre de l’alliance stratégique entre les États-Unis et l’Arabie saoudite. On peut reprocher beaucoup de choses à Donald Trump, mais il est le premier Président depuis le Pacte de Quincy en 1945 qui a renouvelé l’alliance avec les Saoud, mais pour la première fois en exigeant comme condition de l’alliance de cesser de financer l’islamisme radical dans le monde.» 

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Note: Riyad se désengageras que  sur le papier mais la réalité sera tous autre. Surtout que le Coran demande aux musulmans de faire avancer leurs religions  par tous les moyens possible

 

 

Selon un rapport parlementaire : l’immigration aurait un effet neutre sur l’économie

 

Un rapport parlementaire souligne l’effet neutre de l’immigration sur l’économie

[…]

L’immigration a un effet marginal sur la croissance et l’emploi en France. Au lendemain de la sortie des chiffres annuels de délivrance de titres de séjour (276 576 premiers titres en 2019), un rapport parlementaire publié mercredi 22 janvier bat en brèche l’idée répandue selon laquelle les immigrés font concurrence aux actifs déjà présents sur le marché du travail.

En recroisant la littérature scientifique existante sur le sujet, Stéphanie Do, députée La République en marche de Seine-et-Marne, et Pierre-Henri Dumont, député Les Républicains du Pas-de-Calais, soulignent ainsi que « l’apport d’une nouvelle population augmente le nombre des consommateurs et le besoin en équipement, et peut donc avoir un effet positif sur la croissance de la demande et les emplois ». De même, l’immigration n’a pas d’incidence sur les salaires, a fortiori en France où « l’existence d’un salaire minimum assez élevé fait que l’ajustement par les salaires est amoindri », soulignent les députés.

Le rapport parlementaire d’« évaluation des coûts et bénéfices de l’immigration » considère cependant que « l’immigration en France se caractérisant à la fois par une faible qualification et un faible taux d’emploi, son impact sur la croissance à long terme est moins positif que dans certains pays ayant ciblé leur politique sur les profils les plus qualifiés ». Les auteurs rappellent que 64,8 % des immigrés entre 25 et 54 ans ont un emploi, contre 82,8 % des non-immigrés du même âge.

Parce qu’elle a, depuis une quarantaine d’années, privilégié l’immigration familiale (32 % des premiers titres délivrés en 2019) et freiné l’immigration de travail (14 % des titres), la France se serait privée « de recevoir les bénéfices économiques que pourrait lui procurer une immigration plus nombreuse, sélectionnée davantage en fonction de l’éducation et des qualifications, et originaire d’un espace géographique plus large et plus diversifié que l’ancien “champ” colonial ». Ainsi, « 46 % des immigrés sont nés en Afrique – dont 29 % au Maghreb, 33,5 % sont nés en Europe et 14,5 % en Asie ».

Statistiques ethniques

En matière de finances publiques, les députés déploient peu ou prou le même raisonnement. Contrairement aux idées reçues, ils rappellent que depuis trente ans, « l’immigration n’a jamais représenté un déterminant majeur du solde budgétaire »

[…]

L’article dans son intégralité sur Le Monde

 

 

Pour Zineb El Rhazoui, “les Frères musulmans sont aux portes du pouvoir

 

Auditionnée par le Sénat, ce jeudi 23 janvier, la journaliste a remis en cause l'Association musulmane pour un islam de France.

Zineb El Rhazoui. Photo © Richard Drew/AP/SIPA

Chantre de la critique contre l'islam et ses dérives, Zineb El Rhazoui a dit tout le mal qu'elle pense de l’Association musulmane pour un islam de France (AMIF), ce jeudi 23 janvier, lorsqu'elle a été auditionnée par la commission d’enquête sénatoriale sur la radicalisation islamiste, rapporte Public Sénat.

« Les choses se feront par étapes »

D'après la journaliste, l'AMIF est « infiltrée » selon elle par Les Frères musulmans. « Je ne crains pas de le dire : les Frères musulmans sont aux portes du pouvoir », a-t-elle déclaré. « Appointer l’AMIF comme instance représentative de ce qu’ils appellent l’islam de France va générer quelque chose d’ingérable », a-t-elle poursuivi.

Pour Zineb El Rhazoui, Les Frères musulmans appliquent une charia dédiée aux minorités musulmanes en Occident. « Que dit cette charia ? Infiltrons, formons des élites, ne braquons pas forcément sur le voile. Les choses se feront par étapes (…) Le plus important c’est de marquer de l’empreinte de l’islam, toutes les institutions (…) de former des élites qui placent l’idéologie de l’islamisme au-dessus des valeurs républicaines tout en intégrant ses valeurs républicaines », a-t-elle détaillé. Et d'alerter : « Je pense que ce serait une très grosse erreur historique de livrer les Français de confession musulmane à l’AMIF ». Pour la journaliste, l'association est un « clergé adoubé par la République qui pourra émettre des fatwas ».

Voir les vidéos

 

 

 

Des explosifs découverts à Epinal, le parquet antiterroriste saisi et deux suspects interpellés

 

 

 

 

Émeutes dans les cités: les méthodes des anciens RG peuvent-elles prévenir l’embrasement?

 

«Quartiers sensibles», «zones criminogènes»: quel que soit le qualificatif, les cités sont perçues comme des poudrières. Les anciens Renseignements généraux, fusionnés en 2008, menaient un travail de renseignement humain pour prévenir les heurts, et leurs compétences semblent avoir disparu. Jérôme Gigou plaide pour renouer avec elles

Saint-Étienne-du-Rouvray, dans la nuit du 19 au 20 janvier: un camion rouge vif s’arrête rue Daniel Serano et les sapeurs-pompiers en descendent pour éteindre le mât en flammes d’une caméra de vidéosurveillance. Mais c’était un guet-apens. Une dizaine d’individus leur tombent dessus et les pompiers subissent des tirs de mortiers d’artifice. À 20 h 30, un équipage de BAC (Brigades Anti-Criminalité) arrive en renfort… trop tard: les agresseurs s’enfuient. Dans cette ville au sud de Rouen (76), le père Hamel fut par ailleurs assassiné par deux terroristes islamistes en 2016, c’était le deuxième guet-apens de l’année. Le 4 janvier dernier, cinquante émeutiers avaient construit une barricade pour caillasser pompiers et policiers.

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Procès Zemmour: le Collectif contre l'islamophobie veut «envoyer un message à l’opinion publique»

 

La «réponse doit être judiciaire et exemplaire», a estimé au micro de Sputnik le directeur exécutif du Collectif contre l'islamophobie en France, avant l’audition auprès du tribunal correctionnel du polémiste Éric Zemmour pour ses propos sur l’islam et l’immigration.

Éric Zemmour n’était pas présent ce 22 janvier au tribunal correctionnel de Paris où il doit être jugé pour «injure publique à caractère racial» et pour «provocation publique à la haine raciale» pour ses propos diffusés en septembre dernier en direct sur LCI et portant sur l’immigration et l’islam.

Si l’avocat du journaliste a gardé le silence en arrivant au tribunal, le directeur exécutif du Collectif contre l'islamophobie en France (CCIFR) qui a porté plainte, en a expliqué les motifs et les attentes à Sputnik.

Dans l’attente de condamnations

«Nous resterons déterminés jusqu’au bout de la procédure, parce que nous voulons vraiment envoyer un message à l’opinion publique pour dire oui à la liberté publique mais non à l’injure publique et à la diffamation et encore moins à la provocation à la haine», a expliqué Jawad Bachar au mirco de Sputnik.

Et d’ajouter que le CCIFR attendait la reconnaissance de responsabilités au niveau de la chaîne qui a diffusé le discours d’Éric Zemmour lors de la Convention de la droite, mais également «une condamnation ferme pour Éric Zemmour» qui est, estime-t-il, «dans la récidive».

À la question de savoir pourquoi il était, à ses yeux, important de porter plainte, Jawad Bachar a expliqué:

«Parce que dans ce genre de situation la réponse doit être judiciaire et exemplaire. M.Zemmour a été plusieurs fois condamné et là, aujourd’hui, nous attendons une décision de la justice et d’abord une audience pour avoir une décision de justice exemplaire en matière de l’injure publique et de la provocation à la haine».

Un discours ferme sur l'immigration et l'islam

Le samedi 28 septembre, les téléspectateurs de LCI ont eu le droit à une véritable diatribe du polémiste Éric Zemmour contre les immigrés «colonisateurs» et «l'islamisation de la rue», lors de la Convention de la droite. «Tous nos problèmes aggravés par l'immigration sont aggravés par l'islam», a estimé M.Zemmour.

De nombreuses personnalités publiques, internautes et journalistes ont protesté contre cette «tribune» offerte par la chaîne de télévision à ce qu’ils ont vu comme un «discours de haine».

Les déclarations du polémiste ont suscité un tollé jusqu'au sein du gouvernement, le Premier ministre Édouard Philippe condamnant des discours «nauséabonds et profondément contraires à l'idée que nous nous faisons de la France et de la République».

Le parquet de Paris a annoncé mardi 1er octobre l'ouverture d'une enquête, pour «injures publiques» et «provocation publique à la discrimination, la haine ou la violence».

Source

 

Note : un document récent de la DGSI démontre que Zemmour dit vraie. L’Islam met le feu mais ne veut surtout pas être traité de pyromane 

Lire ou relire : La DGSI dénombre 150 quartiers tenus par l’islamisme en France, des «zones improbables» concernées

 

 

 

 

 

Macron souhaite que la France revisite la mémoire de la guerre d’Algérie : Elle peut avoir «le même statut que ce qu’avait la Shoah pour Chirac en 1995»

 

Le chef de l’État se dit par ailleurs convaincu que la France doit revisiter la mémoire de la guerre d’Algérie pour mettre un terme au « conflit mémoriel » qui « rend la chose très dure en France ». « Je n’ai pas la réponse » pour y parvenir, reconnaît-il, admettant « tourner autour ». Pour autant, il se dit persuadé, s’il y parvient, que ce sujet aura « à peu près le même statut que ce qu’avait la Shoah pour Chirac en 1995 ».

 

Convaincu que la France «ne peut pas» se permettre «de ne pas revisiter cette mémoire» de la guerre d’Algérie, Emmanuel Macron regrette que seuls les historiens aient pu travailler sur le sujet jusqu’à présent. «On n’en a pas parlé, on a écrasé. […] Il n’y a pas eu un travail politique mémoriel, déplore-t-il. On a jamais fait ce travail, aussi, parce que le problème c’est que la contrepartie n’est pas là». Puis il liste les autres raisons qui complexifient encore un peu plus la situation. «D’abord, il y a une histoire officielle de la relation à l’Algérie. Il y a une histoire d’État. […] C’est une histoire très particulière, d’ailleurs, qui a toujours été au cœur d’une histoire militaire héroïque. C’est ensuite un dialogue très particulier avec l’Algérie. […] Et, ensuite, c’est un traumatisme dans l’histoire d’État. Je veux dire: la guerre d’Algérie, c’est ce qui fait la Ve. […] Et donc c’est, dans la vie institutionnelle, politique, militaire française, quelque chose qui pèse».

Le Figaro

 

Note : si sa continue il va encore nous sortir le génocide du peuple algériens,  alors que la population algérienne c'est multiplier par 8 grâce a la colonisation

 

 

 

 

Emmanuel Macron : « Il faut accepter qu’il y a, dans notre République aujourd’hui, ce que j’appellerais un séparatisme »

 

Dans l’avion qui le ramenait de son voyage en Israël, jeudi soir, le chef de l’Etat s’est exprimé sur l’« islam radical » et les tensions identitaires qui traversent la société française.

(….)

Quelques heures plus tôt, il a pris la parole au centre Yad Vashem, à l’occasion du 75e anniversaire de la fin du camp d’extermination de Auschwitz-Birkenau. A bord de l’appareil, après cette première visite en Israël, le chef de l’Etat se penche sur les tensions identitaires qui traversent la société française, en tentant de concilier le respect de l’altérité avec la nécessité de mettre des mots sur la réalité. « Il faut accepter qu’il y a, dans notre République aujourd’hui, ce que j’appellerais un séparatisme. » Il prend pour illustration la situation dans les quartiers Nord de Marseille. « Les grands-mères ou les mères de ces jeunes filles qui sont communautarisées, elles sont arrivées à Marseille en aimant la France, et en n’ayant pas le voile. »

M. Macron ne mise ni sur la solennité d’un discours présidentiel, ni sur une mesure miracle pour répondre à ce constat. « Les gens me disent : “Vous n’êtes pas à l’aise avec ces sujets”. Ce n’est pas vrai ! Je suis très à l’aise avec eux », assure-t-il. Le chef de l’Etat reste au stade du diagnostic, pour ne pas se laisser imposer les termes d’un débat identitaire dans lequel son parti se tient en retrait. M. Macron dénonce « l’espèce de fantasme, de narcissisme de la petite différence », qui entraîne la fracturation de la société, au lieu de consolider « l’identité narrative » nationale, soit une identité en constante mue qui se nourrit de récits successifs, théorisée par le philosophe Paul Ricœur.

 

 

 

 

Massy (91) : un lycéen de 17 ans grièvement blessé après avoir été poignardé par un Tunisien « en situation irrégulière »

 

Un adolescent a été grièvement blessé d’un coup de couteau au ventre ce mercredi vers 13h30 à proximité du lycée professionnel Gustave Eiffel de Massy, où il est scolarisé. Le pronostic vital du blessé ne serait pas engagé « mais il convient de rester prudent » selon une source proche de l’enquête.

Le Parisien

(…) Un autre équipage a repéré un jeune homme qui correspondait au signalement. Interpellé, le suspect de 19 ans qui est un ressortissant tunisien, avait sur lui le couteau avec lequel il aurait poignardé la victime.

Déjà connu des services de police, il a été placé en garde à vue. Des vérifications ont montré que le mis en cause était en situation irrégulière sur le territoire français

Actu17

 

 

 

 

Pierrefitte (93) : deux enfants ultra-violents de 5 ans font craquer professeurs et parents d’élèves d’une école

 

Une association s’alarme du comportement agressif de deux enfants de grande section, à l’école Rosenberg de Pierrefitte. L’administration considère avoir apporté une «réponse appropriée».

Le sujet est sensible, alors ces mères de famille pèsent leurs mots. Mais leur détresse est intense. A Pierrefitte (Seine-Saint-Denis), une association de parents d’élèves a alerté l’Education nationale concernant le comportement « parfois très violent » de deux enfants inscrits en grande section de l’école Rosenberg à Pierrefitte.

(…) Elle a ensuite observé plusieurs fois des « réactions agitées » de sa fille la nuit. « Une fois, elle a crié dans son sommeil : laisse-moi tranquille ! »

Des instituteurs — qui n’ont pas souhaité s’exprimer — ont aussi été victimes de ces accès de colère. Les parents parlent de « morsures », d’un « doigt tordu », d’une institutrice « poussée dans les escaliers »… Selon nos informations, plusieurs d’entre eux ont posé des arrêts de travail, notamment en décembre en raison de ces incidents à répétition.

Le Parisien

 

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