Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion
Nucléaire : L’Iran aura assez d’uranium enrichi en 2020pour fabriquer une bombe, selon Israël
L’Iran aura enrichi suffisamment d'uranium d’ici la fin de l’année 2020 pour disposer du matériel nécessaire à la confection de l’arme nucléaire. Ce sont des responsables israéliens qui le disent, cités par des médias locaux et confirmés par l’AFP. Avec une précision : l’Iran n’a pour autant pas l’intention de fabriquer une bombe dans l’immédiat.
Selon les estimations des autorités israéliennes, citées par ces mêmes responsables, l’Iran enrichit à un taux de 4 % entre 100 et 180 kilos d’uranium par mois, ce qui, à ce rythme, permettra à Téhéran d’avoir d’ici la fin de l’année en sa possession près de 25 kilogrammes d’uranium hautement enrichi, seuil requis pour confectionner une bombe nucléaire.
Encore deux ans pour développer des missiles
Les Iraniens auront besoin d’un peu plus de six mois pour arriver à ce niveau, et auraient encore besoin d’environ deux ans supplémentaires pour développer des missiles capables de transporter une éventuelle bombe, selon des informations des médias israéliens qui citaient mardi soir le rapport 2020 de la direction des renseignements militaires de l’armée israélienne. Selon des éléments de ce rapport, l’Iran ne se hâtera pas pour fabriquer concrètement une bombe, car Téhéran ne souhaite pas une guerre bien qu’une escalade militaire demeure possible.
« Nous savons exactement ce qui se passe dans le programme nucléaire iranien. L’Iran pense être en mesure de parvenir à l’arme nucléaire. Je le dis à nouveau : Israël ne permettra pas à l’Iran de parvenir à la bombe », a déclaré mardi soir dans un communiqué le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu. « L’Iran est à deux ou trois ans d’avoir des capacités nucléaires », a commenté l’ancien chef de l’armée Benny Gantz et grand rival de Benjamin Netanyahu pour les élections parlementaires du 2 mars.
"Qu'avez-vous fait contre Trump ?" : Rohani tacle les Européens sur le nucléaire iranien
Note : Sur ce coup Rohani à raison car Il est vrai qu'il est difficile de demander aux Iraniens de tenir leurs engagements, vu que trump les a tous rompus (mais les politiciens font semblent de pas comprendre)
Pour le reste se sont bien des menaces :
"Aujourd'hui, les soldats américains sont en danger, demain les soldats européens pourraient l'être aussi... nous voulons que vous les Européens quittiez cette région de manière sage et non par la guerre ", leprésident iranien Hassan Rohani
Les exercices à munitions réelles à la frontière avec la Libye, un message explicite de l’armée algérienne?
Des manœuvres à munitions réelles engageant des unités blindées et aériennes ainsi que des drones ont été menées par l’armée algérienne à la frontière avec la Libye, indique un communiqué de la Défense nationale. Ces exercices interviennent sur fond de négociations sur les tensions en Libye.
L’Armée nationale populaire (ANP) algérienne a procédé à des manœuvres à munitions réelles «Borkane 2020, [Volcan 2020, ndlr]» en 4e région militaire à Ouargla, dans le sud-est de l’Algérie, à la frontière avec la Libye, sous la supervision du général-major Saïd Chengriha, chef d’état-major de l’ANP et commandant des Forces terrestres, indique un communiqué du ministère de la Défense nationale (MDN) dont Sputnik a eu une copie.
Ces manœuvres interviennent dans un contexte d’enlisement de la situation politique et sécuritaire en Libye, suite à l’assaut donné par l’Armée nationale libyenne (ANL) commandée par le maréchal Khalifa Haftar sur la capitale Tripoli.
Libye : l’armée de Haftar tire des missiles contre le sud de Tripoli, selon la presse turque
Alors qu’une trêve est en vigueur depuis le 12 janvier, l’armée de Haftar, l’homme fort de l’est libyen, a lancé une attaque contre le sud de Tripoli, selon l'agence turque Anadolu qui cite le Gouvernement d'union nationale libyen (GNA).
L’armée du maréchal Haftar, l’homme fort de l’est libyen, a frappé avec des missiles les quartiers de Salahaddin et Ramlé dans le sud de Tripoli, rapporte mercredi 15 janvier l’agence turque Anadolu en citant le porte-parole des forces du Gouvernement d'union nationale libyen (GNA) Mohamad Gnounou.
Ce dernier a affirmé que des «mercenaires de Haftar étaient déployés dans la zone», ajoutant que «des drones de l’armée des Émirats arabes unis survolaient le ciel de Tripoli».
Une trêve en vigueur depuis le 12 janvier
Les deux belligérants, le GNA basé à Tripoli et reconnu par l’Onu et l’armée du maréchal Haftar qui tient l'est du pays, ont suspendu les hostilités suite à l’appel lancé le 8 janvier par Moscou et Ankara. Une trêve est ainsi en vigueur depuis dimanche 12 janvier, mais ses modalités devaient être signées le lendemain à Moscou. Le maréchal Khalifa Haftar a pourtant quitté la Russie sans signer l’accord, s’accordant deux jours pour se pencher dessus.
Libye: Erdogan promet «d'infliger une leçon» à Haftar s'il reprend ses attaques
Par Le Figaro avec AFP
Le président turc Recep Tayyip Erdogan a menacé mardi «d'infliger une leçon» à l'homme fort de l'Est libyen Khalifa Haftar s'il reprenait ses attaques contre le gouvernement de Tripoli après qu'il a quitté Moscou sans signer un accord de cessez-le-feu qui y était négocié.
«Nous n'hésiterons jamais à infliger au putschiste Haftar la leçon qu'il mérite s'il poursuit ses attaques contre l'administration légitime et contre nos frères en Libye», a déclaré M. Erdogan dans un discours devant les députés de son parti. Le maréchal Haftar a quitté Moscou sans signer l'accord de cessez-le-feu accepté par son rival Fayez al-Sarraj, chef du gouvernement libyen d'union nationale (GNA) reconnu par l'ONU (GNA). En dépit de cet échec, M. Erdogan a affirmé qu'il maintenait sa participation à une conférence sur la paix en Libye prévue dimanche à Berlin. «Nous allons discuter de cette question dimanche à la réunion de Berlin à laquelle participeront aux côtés de la Turquie, l'Allemagne, la France, la Grande-Bretagne, la Russie, l'Italie, l'Egypte, l'Algérie et les Emirats arabes unis», a-t-il dit.
M. Erdogan a en outre affirmé que le maréchal Haftar aurait pris le contrôle de tout le territoire libyen sans l'intervention de la Turquie, qui a commencé à déployer des troupes pour soutenir le GNA à la faveur d'un accord signé en novembre entre les deux parties. «Pour dire les choses clairement, si la Turquie n'était pas intervenue, le putschiste Haftar se serait emparé du pays entier et tout le peuple libyen aurait été victime de ses persécutions», a-t-il dit. Peu après les déclarations de M. Erdogan, M. Sarraj, le chef du GNA, est arrivé à Istanbul en provenance de Moscou, selon les médias turcs. Il s'est entretenu dans la métropole turque avec l'ambassadeur des Etats-Unis en Turquie David Satterfield, selon le GNA. Lors de l'entretien, M. Sarraj a souligné la nécessité «de reprendre le processus de règlement politique» en Libye par le biais de la conférence prévue à Berlin, a indiqué le GNA sur sa page Facebook.
Libye: pourquoi le maréchal Haftar n’a pas signé l’accord de Moscou
Ce lundi, Moscou a essayé d'arracher aux belligérants libyens un accord de cessez-le-feu, mais le maréchal Haftar a refusé de le signer. Berlin prend donc le relai pour tenter d'obtenir cette trêve lors d’une conférence internationale, mais on ne sait pas si les deux dirigeants libyens seront représentés. En effet, concernant le maréchal Haftar, il pose tout une série de conditions.
Tel un vainqueur, alors que ses forces restent depuis plus de neuf mois aux portes de Tripoli,Khalifa Haftar pose ses conditions. Pour lui, il faut d'abord acter la dissolution des milices qui soutiennent son rival à Tripoli, et surtout renvoyer les mercenaires syriens et les soldats turcs.
Là où les Nations unies préconisent la création d'un comité pour contrôler l’accord de cessez-le-feu, il demande plutôt à l'ONU un comité dédié au désarmement. Khalifa Haftar refuse également toute médiation turque dans le dossier libyen. Dans l'accord non signé à Moscou, des officiels turcs devaient faire partie du comité de cessez-le-feu.
Un gouvernement de réconciliation
Inacceptable pour le maréchal Haftar pour qui la Turquie est de connivence avec les frères musulmans de Libye. Le camp de Khalifa Haftar réclame aussi l'instauration d'un vrai gouvernement de réconciliation nationale qui regrouperait tous les Libyens avec l'aval du Parlement.
En refusant de signer le cessez-le-feu à Moscou, Khalifa Haftar montre qu'il n'est pas aux ordres de la Russie présentée pourtant comme son alliée. Il peut compter sur d'autres soutiens dont les intérêts convergent toujours avec les siens.
Tensions Iran-USA : Nouveau tir de roquettes sur une base irakienne abritant des troupes américaines
Le 14 au soir
L'origine du tir, qui survient six jours après la riposte de l'Iran contre les Etats-Unis, n'est pas connue
La tension reste vive au Moyen-Orient. Des roquettes se sont abattues près d'une base irakienne abritant des troupes américaines ce mardi, indiquent des sources militaires à l'AFP.
L'origine du tir n'était pas connue dans l'immédiat. L'armée n'a pas indiqué, dans son communiqué, combien de roquettes Katioucha avaient été tirées sur la base de Taji. Deux Irakiens ont été blessés dans l'attaque, ont indiqué des sources médicale et policières à l'AFP.
Tirs quotidiens dans la zone verte
C'est la base aérienne de Camp Taji, dans le nord de l'Irak, qui a été visée. Le tir intervient six jours après la riposte iranienne, qui avait lancé une quinzaine de roquettes contre deux bases utilisées par l'armée américaine, le 8 janvier. Plusieurs missiles ont également touché une autre base dimanche, alors que l'Iran a indiqué avoir riposté à la frappe américaine ayant éliminé le général Soleimani début janvier.
Les tirs de roquettes contre les intérêts américains –dont l'ambassade dans la Zone verte de Bagdad– ont repris quasi quotidiennement, alors que le Parlement irakien a voté le départ des troupes étrangères du pays.
En cas d’achat de S-400 russes, l’Irak s’exposerait à des sanctions américaines
Selon le principal secrétaire adjoint du Bureau du Proche-Orient au sein du département d'État américain, l’Irak s’expose à des sanctions américaines en cas d’achat de S-400 à la Russie. L’intérêt de Bagdad pour les missiles russes avait déjà été annoncé par le Wall Street Journal.
Iran: une nouvelle vidéo montre un deuxième missile qui frappe le Boeing abattu
Une vidéo, diffusée sur les réseaux sociaux et vérifiée par le New York Times, montre un deuxième missile iranien tiré sur le Boeing 737 d'Ukraine International Airlines le 8 janvier. Sur ces images de vidéosurveillance, on aperçoit deux missiles tirés à 23 secondes d'intervalle. Si le premier semble atteindre l'avion, c'est le second qui le fait dérouter et prendre feu. «Cette nouvelle vidéo explique pourquoi le transpondeur de l'avion a cessé de fonctionner quelques secondes avant qu'il ne soit touché par un deuxième missile», explique le quotidien.
Après deux jours de démentis officiels de la thèse selon laquelle un missile avait été tiré sue le Boeing 737 d'Ukraine International Airlines, les forces armées iraniennes ont reconnu samedi leur responsabilité, en évoquant une «erreur humaine». Les 176 personnes à bord, en majorité des Iraniens et des Canadiens, ont été tuées dans la catastrophe.
De nombreux internautes se sont étonnés que sur la vidéo, exploitée à partir de caméra de surveillance, la date indique l'année 2019 et non pas 2020. Le journaliste du New York Times qui a travaillé à vérifier la vidéo explique que cette date correspond à la traduction en calendrier grégorien de la date en calendrier persan.
Une base aérienne syrienne attaquée par l’aviation israélienne, selon l'agence Sana
Le 14 janvier
Après avoir annoncé que la DCA syrienne avait intercepté le 14 janvier une attaque visant la base T4 près de Homs, l’agence syrienne Sana a informé que quatre roquettes de l'aviation israélienne avait atteint la cible, causant dommages matériels.
L’aviation israélienne a attaqué mardi la base aérienne T4 dans l’est du gouvernorat syrien de Homs. L’aérodrome a été endommagé, rapporte l’agence Sana, se référant à une source militaire officielle.
«Mardi, à 22h10 (21h10 heure de Paris), des avions israéliens ont de nouveau attaqué l’aérodrome T4, du côté d’Al-Tanf», a informé la source.
Et d'ajouter que la DCA avait intercepté plusieurs roquettes, tandis que quatre autres ont atteint la cible.
Plus tôt, il avait été annoncé que la base en question avait été attaquée par des drones et des roquettes.
Kenya : trois enseignants chrétiens assassinés par des militants d’al-Shabaab
Aux petites heures de ce matin, lundi 13 janvier, des militants du groupe islamique al-Shababb – originaire de la Somalie voisine – ont attaqué le centre d’hébergement des enseignants de l’école primaire de Garissa. Ils ont froidement abattu trois enseignants qui s’y trouvaient. Un quatrième enseignant a été grièvement blessé et un autre aurait été enlevé. Le dortoir des enseignants a été incendié.
L'Asie et son inquiétante course aux armes nucléaires
Une étude publiée sur le site Georgetown University Press s'inquiète de la prolifération d'armes nucléaires en Asie. Ses deux auteurs soulignent que l'Inde, le Pakistan et la Chine se livrent à une dangereuse course à l’armement nucléaire qui fait de l'Asie une poudrière.
L'Asie, région la plus dangereuse de la planète? Ce n'est pas le constat fait par les chercheurs Yogesh Joshi et Frank O'Donnell dans leur étude «India and Nuclear Asia, Forces, Doctrine, and Dangers» publiée récemment sur le site Georgetown University Press. En revanche, les deux spécialistes dépeignent un continent qui fait office de poudrière nucléaire. Comme l'a remarqué Emmanuelle Maitre, chargée de recherche à la Fondation pour la Recherche Stratégique chez nos confrères du Point, l'Inde, le Pakistan et la Chine continuent d'augmenter leur arsenal nucléaire.
Prenons le cas de l'Inde, qui se situe, selon Emmanuelle Maitre, «dans une situation paradoxale»:
«Politiquement, elle insiste sur le caractère responsable, purement défensif et minimal de sa dissuasion nucléaire. Pour autant, New Delhi poursuit l'extension de son arsenal, en construisant par exemple des missiles pouvant emporter plusieurs têtes nucléaires, des sous-marins nucléaires lanceurs d'engins ou encore des missiles de courte portée pouvant également emporter des têtes nucléaires.»
Une situation d'autant plus dangereuse que l'Inde est en conflit avec son voisin pakistanais. Des escarmouches ont lieu régulièrement à la frontière entre les deux pays et dans des zones contestées. Un conflit est ainsi en cours depuis le mois de février 2019 dans la région du Jammu-et-Cachemire. Si les deux pays ne sont pas officiellement en guerre, ils mènent régulièrement des actions visant à se déstabiliser l’un l’autre.
Le problème, c'est que du côté d'Islamabad, on continue également à développer des armes nucléaires. «Tout d'abord, les Nasr, armes tactiques nucléaires d'une portée de quelques dizaines de kilomètres, ont vocation à être utilisées sur un champ de bataille pour compenser l'infériorité de l'armée pakistanaise. Deuxièmement, Islamabad explore plusieurs options lui permettant d'embarquer des armes nucléaires en mer», précise Emmanuelle Maitre.
Dans un tel contexte, avec des arsenaux de ce type, l'escalade pourrait très vite déboucher sur l'utilisation d'armes nucléaires. Surtout que la Chine proche n'est pas en reste du côté du développement d'armes non conventionnelles. Pour rappel, selon le classement annuel établi par le site américain Global Fire Power, la Chine et l'Inde occupent respectivement les 3e et 4e place des armées les plus puissantes du globe, devant la France, et derrière les États-Unis et la Russie.
«Ainsi, l'artillerie chinoise a tendance à positionner à la frontière indienne des forces de missiles dont la nature (conventionnelle ou nucléaire) est ambiguë. En cas de conflit, l'Inde pourrait être tentée de cibler ces unités, or l'attaque de missiles nucléaires pourrait être perçue par la Chine comme une action justifiant une riposte nucléaire. Deuxièmement, la Chine est de plus en plus présente dans les eaux de l'océan Indien, et dispose désormais de sous-marins nucléaires lanceurs d'engins performants. Là encore, un incident en mer pourrait entraîner une escalade des tensions incontrôlable. Par ailleurs, Pékin refuse d'engager un dialogue stratégique avec l'Inde, qu'elle ne considère pas comme une puissance nucléaire légitime», explique Emmanuelle Maitre en s’appuyant sur les travaux des deux chercheurs de l’université de Georgetown.
Suède : coupable d’avoir sodomisé une Suédoise de 13 ans, Husseinn’ira pas en prison et ne sera pas expulsé
Suède – Hussein, 19 ans, a commis un abus sexuel sur une jeune fille de 13 ans. « Impossible de s’asseoir pendant deux jours »
Le procureur a plaidé pour que le migrant somalien soit reconnu coupable de viol contre une enfant. Mais le tribunal a choisi de classer l’infraction comme un cas d’abus sexuel sur enfant. (…)
Le 7 mars 2019, dans un appartement à Insjön, Hussein Abdukar, alors âgé de 19 ans, originaire de Somalie, a eu des relations sexuelles anales et vaginales avec une Suédoise de 13 ans. Il savait que la fille avait moins de 15 ans.
(…) La jeune fille a d’abord refusé de rencontrer le jeune migrant. Ils ont ensuite été en contact sur Snapchat pendant quelques mois. Plusieurs fois, il a exprimé son désir d’avoir des relations sexuelles avec elle (…) Hussein a demandé une nouvelle fois s’ils pouvaient se rencontrer (…) Après leur rencontre, tous deux se sont rendus dans son appartement et se sont allongés sur un lit (…) Elle est devenue muette, son corps ressemblait à de la gelée et son cerveau s’est éteint quand il l’a soulevée, a-t-elle dit (…) Après avoir ôté son pull, son pantalon et sa culotte, il s’est déshabillé et a eu des relations sexuelles anales et vaginales avec elle (…) Elle s’est mordue la langue parce que ça lui faisait mal.
(…) Quand elle est retournée à la maison, elle ne pouvait pas s’asseoir. Elle se sentait mal et a parlé de ce qu’elle a subi à son amie, et plus tard à son père.
(…) Pendant deux jours, elle n’a pas pu s’asseoir et a été rongée par l’anxiété et a eu du mal à dormir.
(…) Hussein avait a obtenu un permis de séjour permanent le 13 avril 2016.
Condamné à 75 heures de travail d’intérêt général, Hussein Abdukar est autorisé à rester en Suède, car le Procureur n’a pas demandé son expulsion.
Un homme égorgé en pleine rue et laissé dans une mare de sang à Nancy
Le centre-ville de Nancy a été le théâtre d’un crime sauvage, le 13 janvier. Un homme a été égorgé sous les fenêtres d’un établissement hospitalo-universitaire et son corps s’est vidé de son sang jusqu’à ce que mort s’en suive au milieu de la rue.
Un homme d’une trentaine d’années a été tué d’un coup d’arme blanche au niveau de la gorge dans la soirée du 13 janvier à Nancy, selon l’Est républicain. Le meurtre a eu lieu vers 19h, devant l’institut régional de réadaptation (IRR), boulevard Lobau.
Le tueur a pris la fuite après avoir laissé sa victime allongée sur un trottoir, dans une mare de sang, toujours selon la même source.
Il a saigné à mort
La victime a reçu les premiers secours d’au moins un témoin, mais s’est vidé de son sang et est décédé sur les lieux.
Selon des témoins, le périmètre du lieu de l’agression a été bouclé par la police. Un témoin a supposé que le meurtre puisse être lié au trafic de stupéfiants.
Des patients de l’institut estiment désormais avoir peur, nombre d’entre eux empruntant le passage où a eu lieu le drame.
Le Blanc-Mesnil (93) : encerclé et roué de coups, un policier ouvre le feu et blesse sa cible au thorax (vidéo)
Un motard de la police a été renversé puis roué de coups à l’issue d’une course-poursuite mouvementée, dans la nuit de lundi à mardi. Il a riposté par un tir, et blessé sa cible au thorax.
Tout est allé très vite ce lundi soir au Blanc-Mesnil. Deux policiers de la compagnie motocycliste de la Direction de l’ordre public et de la circulation (DOPC) ont tenté de procéder au contrôle d’un homme circulant sur un scooter de type T-Max, à Drancy, peu après 20 heures.
[…]
L’un des deux policiers a ensuite repéré le suspect à scooter dans la rue Pierre Lescot et a tenté de le stopper. Les deux véhicules se sont percutés et les deux hommes ont chuté au sol. C’est alors que le fonctionnaire a été encerclé par plusieurs agresseurs, dont l’un qui était armé d’un gros bâton.
Alors qu’il recevait des coups, notamment sur son casque, le policier a fait usage de son arme administrative à une reprise. Un coup de feu qui est audible sur une vidéo diffusée sur Snapchat puis sur les autres réseaux sociaux. Sur cette séquence, il est aussi possible de voir les agresseurs et d’entendre plusieurs individus qui hurlent notamment : « Niquez vos mères ! Niquez-les ! ».
Marseille : un policier grièvement blessé après avoir été poignardé (MàJ : le suspect âgé de 17 ans mis en examen mais laissé libre)
14/01/2020
Selon nos informations, l’adolescent de 17 ans qui a infligé, samedi soir aux Chartreux (4e), un coup de couteau à un homme de 25 ans, un policier hors service, vient d’être mis en examen pour violences volontaires ayant entrainé une ITT de plus de 8 jours et laissé libre sous contrôle judiciaire. « Je salue l’enquête policière qui force le respect. Équilibrée, impartiale, équitable. La victime n’est pas intervenue en bon Samaritain pour assistance. Elle a beaucoup de choses à se reprocher », estime l’avocat de l’adolescent, Me Sebbar.
La victime d’origine polynésienne et en poste à Marseille depuis seulement un mois, est, selon nos sources, tirée d’affaire après une lourde opération chirurgicale au foie.
Un policier de 25 ans, qui n’était pas en service, a été blessé à l’abdomen, ce soir, peu après 20h30, dans le quartier des Chartreux (4e), à Marseille. Il a voulu s’interposer lors d’un différend entre jeunes dans une boulangerie, quand l’un d’eux lui a porté un coup de couteau. La victime était en arrêt cardio-respiratoire. Elle a pu être récupérée par les marins-pompiers, médicalisée et transportée d’urgence à l’hôpital de la Timone, mais son pronostic vital reste engagé, précise-t-on ce soir de source proche de l’enquête.
Selon nos informations, le policier est un gardien de la paix qui venait de sortir de l’école de police et avait été affecté à Marseille.
Saint-Genis-Laval (69) : les gendarmes tentent de mettre fin à un rodéo urbain puis doivent fuir face à une vingtaine de jeunes
Dimanche après-midi, aux alentours de 16 h 30, la brigade territoriale de Saint-Genis-Laval est alertée par le centre opérationnel pour mettre fin à un rodéo urbain aux Basses-Barolles.
[…]
La patrouille de gendarmerie intercepte rapidement un motard. L’interpellation tourne court.
Rapidement, le binôme de militaires aurait été encerclé par une vingtaine d’individus bien décidés à en découdre. Leur idée ? Faire libérer leur camarade par la force. Violentés et caillassés, les deux gendarmes se seraient défendus avec les moyens du bord, sans faire usage de leur arme de service.
Le jeune garçon interpellé aurait profité du chaos pour s’enfuir. Mis en danger, les gendarmes n’ont pas eu d’autre choix que de battre en retraite.
[…]
Marseille : alors qu’il est en train d’être maîtrisé, un homme se saisit de l’arme d’un policier et tire, il criait « Allah Akbar »
Cette nuit, la direction départementale de la sécurité publique (DDSP) des Bouches-du-Rhône a failli perdre l’un de ses membres. (…)
En arrivant sur place, les agents de police constataient qu’un homme de 25 ans était en pleine crise de démence après une rupture dans son traitement psychiatrique. Le trio de policiers plaquait au sol le jeune homme mais celui-ci réussissait à arracher l’arme de l’un des agents et alors que celle-ci n’était pas entièrement sortie de son étui, parvenait à tirer une fois en direction de deux fonctionnaires. La balle serait passée entre eux, à quelques centimètres seulement de leurs visages. Selon nos informations, l’individu aurait crié plusieurs fois « Allah Akbar » au cours de l’intervention.
Vaulx-en-Velin (69): une trentaine de voitures partent en fumée en une nuit
Dans la nuit de mardi à mercredi, les sapeurs-pompiers ont été appelés dans le quartier du Mas du Taureau à Vaulx-en-Velin.
[…]
On ne sait pas encore ce qui a poussé le ou les personnes à allumer des feux dans le quartier de l’est lyonnais. Aucune interpellation particulière ou saisie de drogue n’aurait été réalisée ce mardi.
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