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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Le 13 octobre 2019

 

 

 

DIRECT. Offensive turque en Syrie : près de 800 étrangers proches de jihadistes de l'EI s'échappent, le gouvernement français se dit "inquiet"

 

L'administration kurde affirme que les gardes ont "quitté" le camp, laissant libres la totalité de ses occupants.

 

(..)

 Une évasion massive. C'est l'administration semi-autonome du camp qui a rapporté la fuite de 785 proches de jihadistes, assurant que "le camp d'Aïn Issa était désormais sans gardes", ceux-ci ayant "quitté" les lieux. Les déplacés fuient "au fur et à mesure", affirment les Kurdes. Le camp d'Aïn Issa, situé dans le nord de la Syrie, dans la région de Raqqa, abrite 13 000 déplacés, dont ces 785 étrangers.

 Le gouvernement "inquiet". Interrogée au sujet de l'évasion massive de proches de combattants étrangers de l'EI, Sibeth Ndiaye a affirmé que le gouvernement était "inquiet". "Nous souhaitons que la Turquie termine au plus vite l'intervention qu'elle a commencée, et que nous avons évidemment condamnée", a-t-elle poursuivi, rappelant que "nous avons des jihadistes français dont nous avons toujours considéré qu'ils devaient être jugés sur place".

 Les combats se poursuivent au cinquième jour de l'offensive turque. Samedi, les forces turques étaient entrées dans Ras al-Aïn, une ville-clé tenue par les Kurdes.

SUIVRE LE DIRECT

 

Note :  les juges et l’Onu  vont leurs envoyer l'Ocean Viking et autre SOS méditerrané pour les ramenés a bon bord,

 

 

En Syrie, des familles de membres de l’Etat islamique s’échappent du camp d’Aïn Issa

 

Des femmes et enfants de djihadistes au camp d\'Al-Hol, au nord-est de la Syrie, en février 2019.
Des femmes et enfants de djihadistes au camp d'Al-Hol, au nord-est de la Syrie, en février 2019. (BULENT KILIC / AFP)
 

Des familles de membres du groupe djihadiste Etat islamique (EI) ont fui le camp de déplacés d’Aïn Issa, dans le nord de la Syrie, ont annoncé dimanche 13 octobre les autorités kurdes. Selon elles, 785 personnes sont concernées, alors que le camp, situé à proximité des combats entre forces kurdes et turques, est désormais « sans gardes ». « Toutes les familles de membres de l’EI ont fui », a confirmé à l’Agence France-Presse un responsable kurde, Abdel Qader Mouahad, en faisant état « d’émeutes » et de la présence de « cellules dormantes » djihadistes se faisant passer pour des déplacés dans le camp.

L’Observatoire syrien des droits de l’Homme (OSDH) a confirmé que des femmes et des enfants de familles de l’EI, et notamment des personnes étrangères, faisaient partie des personnes ayant fui le camp. L’ONG, basée à Londres et travaillant avec un réseau d’informateurs sur le terrain syrien, confirme également que les gardes du camp l’ont « quitté » pour aller épauler les forces kurdes combattant les supplétifs syriens, à 10 kilomètres de là. Des bombardements ont également visé les environs du camp, ont précisé les autorités kurdes et l’OSDH.

« Empêcher une catastrophe  »

La scène n’est pas surprenante. Depuis le début de l’offensive turque contre le territoire contrôlé par les Kurdes, mercredi, les autorités kurdes ont maintes fois mis en garde contre une résurgence de l’EI. Elles ont assuré que le chaos sécuritaire pourrait permettre à l’EI de libérer les milliers de djihadistes et leurs familles qui sont retenus dans des prisons ou des camps de déplacés.

S’adressant à l’Organisation des Nations unies (ONU) ainsi qu’à la coalition internationale emmenée par Washington mise en place pour lutter contre les djihadistes, les autorités kurdes ont réclamé à nouveau « une intervention rapide pour empêcher une catastrophe dont les conséquences ne se limiteront pas à la Syrie ».

Au total, quelque 12 000 combattants de l’EI – des Syriens, des Irakiens mais aussi 2 500 à 3 000 étrangers originaires de cinquante-quatre pays – sont détenus dans les prisons des Kurdes, selon leurs statistiques officielles. Les camps de déplacés accueillent quelque 12 000 étrangers, 8 000 enfants et 4 000 femmes.

Un « coup de couteau dans le dos »

Avec cet assaut, la Turquie cherche à instaurer une « zone de sécurité » de 32 km de profondeur pour séparer sa frontière des territoires aux mains des Unités de protection du peuple (YPG), une milice kurde qualifiée de « terroriste » par Ankara. A la faveur de la guerre complexe en Syrie déclenchée en 2011, la minorité kurde a en effet instauré une autonomie de facto sur de vastes régions du nord et nord-est du pays, le long de la frontière turque. Ces secteurs sont sous le contrôle des Forces démocratiques syriennes (FDS), une alliance dominée par les YPG.

Les FDS ont été les partenaires incontournables des Occidentaux, principalement des Etats-Unis, dans la lutte contre l’EI. Or l’offensive turque a été lancée deux jours après que les Etats-Unis ont retiré des soldats des abords de la frontière syro-turque, semblant donner le feu vert à l’assaut. Un « coup de couteau dans le dos », ont accusé les FDS en appelant malgré tout les Etats-Unis à « fermer l’espace aérien face à l’aviation turque », principal atout dans l’offensive.

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Dimanche, "785 (proches) de membres étrangers de l'EI ont fui le camp d'Aïn Issa", a indiqué dans un communiqué l'administration kurde. "Ils ont attaqué les gardes et ouvert les portes".

"Toutes les familles de membres de l'EI ont fui", a indiqué à l'AFP un responsable kurde, Abdel Qader Mouahad, en faisant état "d'émeutes" et de la présence de "cellules dormantes" jihadistes se faisant passer pour des déplacés dans le camp.

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LIRE AUSSI : Syrie: 100.000 personnes déplacées depuis le début de l’offensive turque

 

 

La France suspend les exportations vers la Turquie de « matériels de guerre susceptibles d’être employés » en Syrie

 

Cette décision, déjà prise par les Pays-Bas et l’Allemagne, a un « effet immédiat », ont indiqué samedi soir les ministères français des armées et des affaires étrangères.

Après les Pays-Bas et l’Allemagne, la France. Paris a décidé de « suspendre tout projet d’exportation vers la Turquie de matériels de guerre susceptibles d’être employés dans le cadre de l’offensive en Syrie », ont annoncé, samedi 12 octobre, les ministères français des armées et des affaires étrangères.

« Cette décision est d’effet immédiat, ont précisé les deux ministères dans un communiqué. Le conseil des affaires étrangères de l’UE [Union européenne], qui se réunira le 14 octobre à Luxembourg, sera l’occasion de coordonner une approche européenne en ce sens. »

Lire aussi Offensive turque en Syrie : de violents combats sur le terrain, des milliers de manifestants en France

« La France réitère sa ferme condamnation de l’offensive unilatérale engagée par la Turquie dans le Nord-Est de la Syrie », poursuit le texte. Celle-ci « remet en cause les efforts sécuritaires et de stabilisation de la coalition globale contre Daech [acronyme en arabe du groupe Etat islamique]. Elle entraîne des conséquences humanitaires importantes. Elle porte donc atteinte à la sécurité des Européens ». « La France demande la tenue rapide d’une réunion de la Coalition contre Daech pour évoquer la poursuite des efforts de la coalition dans ce contexte », conclut le communiqué.

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Note : mdr, il est un peut tard pour interdire,  les turques ont deja tous se qu'ils leurs faux (les saoudiens eux ne sont pas trop inquiétés)

 

 

France-Turquie : le match qui inquiète

 

La rencontre entre Français et Turcs comptant pour les éliminatoires de l’Euro 2020, ce lundi, intervient dans un climat politique pesant qui fait encore grimper le degré de vigilance.

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LIRE AUSSI ;Salut militaire de joueurs turcs pour célébrer un but : l'UEFA va «examiner» l'affaire

Le dossier est sur la table de l’UEFA. Un responsable de la confédération européenne de football a fait savoir que cette dernière allait “examiner” la célébration des joueurs de l’équipe de Turquie, qui ont fêté avec un salut militaire un but contre l’Albanie, alors que l’armée de leur pays a lancé une offensive contre des positions kurdes dans le nord de la Syrie.

“Personnellement, je n’ai pas vu ce geste, qui pourrait être assimilé à une provocation”, a déclaré Philip Townsend, chef de presse de l’UEFA, interrogé par l’agence italienne Ansa. “Est-ce que le règlement interdit les références à la politique et à la religion? Oui, et je peux vous garantir que nous allons examiner cette situation. Laissez-moi vérifier”, a-t-il ajouté.

 

 

 

 

Vers une réédition? Un sénateur russe rétorque à Trump sur «la pire décision jamais prise» par les USA

 

Un sénateur russe a rétorqué à Donald Trump que le monde «aimerait voir les conséquences» de sa déclaration selon laquelle l’envoi de forces au Moyen-Orient a été «la pire décision jamais prise».

En réponse à Donald Trump qui avait auparavant conclu que les États-Unis avaient commis une grande faute en envoyant leurs forces au Moyen-Orient, estimant cet acte comme «la pire décision jamais prise», le sénateur russe Alexeï Pouchkov a rétorqué que «le monde aimerait voir les conséquences» de ce propos.

«Le monde aimerait voir les conséquences de cette déclaration. Mais au lieu de cela, les États-Unis envoient 3.000 militaires en Arabie saoudite, en plus des chasseurs et etc. Il semble que "la pire décision jamais prise" pourrait se répéter sous le Président qui se déclare contre elle», a écrit Alexeï Pouchkov sur Twitter.

Peu après cette déclaration de Trump, suite aux frappes contre des installations pétrolières en Arabie saoudite en septembre, le Pentagone avait annoncé dans un communiqué vouloir y déployer 3.000 soldats supplémentaires.

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Téhéran promet de répondre à l’attaque présumée du pétrolier iranien en mer Rouge

 

L'Iran a assuré vouloir donner une «réponse proportionnée» aux explosions survenues sur un tanker iranien, que les autorités du pays ont attribué à l'Arabie saoudite. Un pas de plus dans la dégradation des relations entre les deux pays.

Le secrétaire du Conseil suprême de la sécurité nationale d'Iran, Ali Shamkhani, a promis une réponse après les explosions qui ont touché un pétrolier iranien, le Sabiti, le 11 octobre en mer Rouge, à une centaine de kilomètres du port saoudien de Djeddah. Il a affirmé ce 12 octobre, auprès de l’agence semi-officielle Isna, que des indices sur l’auteur de ce qu’il a qualifié «d’attaque au missile» avaient été découverts «en examinant les vidéos existantes et les éléments de preuve recueillis par les service de renseignement».

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Un élu RN demande à une femme de retirer son voile en pleine séance du conseil régional à Dijon

 

Lors d’une séance du conseil régional de Bourgogne-Franche-Comté, l’élu RN Julien Odoul a demandé à Marie-Guite Dufay, présidente PS du conseil, de faire enlever le voile d’une accompagnatrice scolaire présente dans la salle. Publiée par lui-même sur Twitter, la vidéo a déjà été visionnée environ 1,3 million de fois.

Le président du groupe RN à l'assemblée régionale de Bourgogne-Franche-Comté, Julien Odoul, a appelé Marie-Guite Dufay, présidente de région, à faire retirer le voile d’une accompagnatrice scolaire d'un groupe d'enfants de Belfort qui venait de rentrer dans la salle lors d’une séance du conseil régional le 11 octobre.

C’est Julien Odoul lui-même qui a publié la séquence en question sur son compte Twitter. Dans la soirée du 12 octobre, la vidéo a déjà été visionnée environ 1,3 million de fois.

Comme on peut l’entendre, Julien Odoul, par ailleurs membre du bureau national du RN, en a notamment appelé aux «principes laïcs», à «la loi de la République» ou encore au règlement du conseil régional. Les élus du RN ont ensuite quitté la salle, avant de dénoncer dans un communiqué une «provocation islamiste», précise l’AFP.

Les réactions ne tardent pas

La présidente de région a répondu que ni le règlement du conseil régional ni la loi n'interdisaient le port du voile au sein de l'hémicycle, selon la vidéo complète de l'assemblée plénière, disponible sur le site Internet de la collectivité.

Marie-Guite Dufay a dénoncé dans la soirée, elle aussi dans un communiqué, le «déferlement de la haine» et condamné des comportements «indignes d'élus de la République», n'excluant pas de «signaler ces faits au procureur de la République et de porter plainte».

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VOIR VIDÉO

 

Note : les politiciens revendiquent la laïcité que lorsque cela les arrange . Si demain un élu porté une croix se serait de-suite montrer du doigt et sanctionner, mais surtout pas touchent aux élues de Mahomet, c'est a vomir , ils combattent le radicalisation en acceptent voile (noire)  islamique

 

Les juges confirment le droit de porter le voile islamique au travail

 

 

La cour d’appel de Versailles a donné raison à une salariée licenciée parce qu’elle avait refusé de retirer son voile.

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Rost : Ses appels au meurtre de policiers étaient juste un « fantasme », plaide le rappeur qui « ne regrette rien »

 

Non content d’avoir été mouché chez @morandini_live, le rappeur haineux @rostOfficiel m’attaque, à nouveau, en mon absence et violemment, sur le plateau de @PascalPraud
Je suis intervenu en direct par téléphone pour lui en remettre une deuxième.

Vidéo sur français de souche

 

 

Xavier Bertrand « appelle à une offensive républicaine » contre « l’islamisme qui gangrène notre pays »

 

Xavier Bertrand, président du Conseil régional des Hauts-de-France, a répondu aux questions du Journal du dimanche. Il a interpellé le chef de l’Etat sur le chapitre de l’islamisme.

« J’appelle à une offensive républicaine » contre « l’islamisme qui gangrène notre pays« , a affirmé Xavier Bertrand, pour qui « l’islam politique est un danger majeur qui remet en question les fondements de notre société« . « Mais cela n’a clairement pas été la priorité d’Emmanuel Macron jusque-là« , a déploré Xavier Bertrand, selon qui « nous avons perdu deux ans« .

Un an après les propos de Gérard Collomb – « on vit côte à côte, je crains que demain on ne vive face à face » dans les quartiers -, Xavier Bertrand a regretté que l’ancien ministre de l’Intérieur n’ait pas pris « des mesures pour éviter ce face-à-face ». « Un jour, des gens ne supporteront plus de baisser la tête en rentrant chez eux. Les affrontements sont programmés si on n’agit pas de façon très ferme et résolue« , a-t-il mis en garde. […]

Parmi les solutions, Xavier Bertrand a évoqué l’idée de « bloquer techniquement » les contenus haineux sur internet, voire « une amende qui peut s’élever à plusieurs millions » pour les plateformes refusant d’agir. […]
bfmtv

 

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