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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Le 11 septembre 2019

 

 

Après les déclarations de Netanyahou, les USA accusent l’Iran de «possibles activités nucléaires non déclarées

 

Le 10 septembre

Le lendemain de la déclaration du Premier ministre israélien sur un site nucléaire que les Iraniens auraient d’abord développé pour le détruire ensuite, le secrétaire d’État américain Mike Pompeo a soupçonné Téhéran d’avoir mené de possibles activités nucléaires non déclarées.

Le secrétaire d’État américain Mike Pompeo a accusé ce mercredi 10 septembre Téhéran d’être en possession de matières nucléaires ou de mener des activités dans ce domaine sans en informer l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA).

​«L’absence de coopération pleine et entière du régime iranien avec l’AIEA soulève des questions sur de possibles matières ou activités nucléaires non déclarées. Cela correspond aux 40 années de mensonges en Iran. Le monde ne tombera dans ce piège. Nous refuserons au régime tous les chemins menant à l’arme nucléaire», a-t-il écrit sur son compte Twitter.

Israeli Prime Minister Benjamin Netanyahu speaks at a news conference in Jerusalem September 9, 2019.
Cette accusation survient un jour après que le Premier ministre israélien a déclaré que son pays avait établi que les Iraniens avaient développé puis détruit un site secret visant à la fabrication d'armes nucléaires. Selon Benyamin Netanyahou, le site, qui se trouvait dans la ville d’Abadé de la province du Fars, a été rayé de la carte par les Iraniens entre fin juin et fin juillet 2019 après que des avions de renseignement israéliens ont révélé son existence. En tant que preuve, il a exposé des clichés du site pris par satellite.

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LIRE AUSSI : Téhéran accuse Netanyahou de «crier au loup» après ses propos sur un site nucléaire iranien secret

 

 

 

 

Israël : Benyamin Nétanyahou promet d'annexer un pan stratégique de la Cisjordanie s'il est réélu

 

Le Premier ministre israélien précise que cette mesure serait prise "immédiatement" après une victoire aux législatives du 17 septembre. 

Le Premier ministre israélien Benyamin Nétanyahou, le 10 septembre 2019 à Tel-Aviv, montre une carte de la vallée du Jourdain, qu\'il s\'engage à annexer s\'il est réélu lors des élections législatives du 17 septembre 2019. 
Le Premier ministre israélien Benyamin Nétanyahou, le 10 septembre 2019 à Tel-Aviv, montre une carte de la vallée du Jourdain, qu'il s'engage à annexer s'il est réélu lors des élections législatives du 17 septembre 2019.  (MENAHEM KAHANA / AFP)

C'est une promesse qui pourrait anéantir "toute chance de paix" selon Hanane Achraoui, une cadre de l'Organisation de libération de la Palestine (OLP). A une semaine des élections législatives, le Premier ministre israélien Benyamin Nétanyahou a promis, mardi 10 septembre, d'annexer un pan stratégique de la Cisjordanie occupée, une main tendue destinée à son électorat de droite. 

"Aujourd'hui, j'annonce mon intention d'appliquer, avec un futur gouvernement, la souveraineté d'Israël sur la vallée du Jourdain et la partie nord de la mer Morte", a-t-il déclaré lors d'une conférence de presse, précisant que cette mesure serait prise "immédiatement" après une victoire aux législatives du 17 septembre prochain.

La vallée du Jourdain représente environ 30% de la Cisjordanie, territoire palestinien occupé par Israël depuis 1967. Le Premier ministre a précisé vouloir annexer les colonies juives, qui représentent environ 90% du territoire de la vallée, mais "pas des villages ou des villes arabes comme Jéricho". Ce plan n'affecterait pas "un seul Palestinien", a-t-il assuré, disant vouloir profiter du plan de paix américain sur le Moyen-Orient pour annexer d'autres colonies.

"C'est du vol de terre flagrant"

Le projet du Premier ministre israélien, et chef du parti Likoud (droite), a été reçu comme une nouvelle claque au visage par les Palestiniens. "C'est une violation flagrante du droit international, c'est du vol de terre flagrant, c'est du nettoyage ethnique", a déclaré Hanane Achraoui, une cadre de l'Organisation de libération de la Palestine (OLP).

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Israël: des sirènes annoncent des tirs de roquettes, Netanyahu évacué d'un meeting

 

Le 10 septembre

Source

 

 

 

 

Londres convoque l'ambassadeur iranien accusant Téhéran d’avoir manqué à sa parole en livrant du pétrole en Syrie

 

L'ambassadeur d'Iran à Londres a été convoqué au ministère britannique des Affaires étrangères qui accuse Téhéran de violation flagrante de sa propre promesse de ne pas livrer du pétrole en Syrie, écrit l’AFP.

Le ministère britannique des Affaires étrangères a accusé mardi l'Iran d'avoir manqué à sa parole en livrant du pétrole en Syrie et a convoqué l'ambassadeur iranien au Royaume-Uni pour «condamner les actions» de Téhéran.

«L'Iran a de manière répétée donné des assurances [...] que son pétrolier Adrian Darya 1 ne livrerait pas de pétrole à des entités qui font l'objet de sanctions en Syrie», a affirmé le ministère dans un communiqué cité par l'AFP.

Pour Londres, «il est maintenant clair que l'Iran a enfreint ces assurances et que du pétrole a été livré à la Syrie et au régime meurtrier d'Assad». Cité dans le communiqué, Dominic Raab, le chef de la diplomatie britannique, estime également que le «comportement» de l'Iran «vise à perturber la sécurité régionale».

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Donald Trump limoge John Bolton, son conseiller à la sécurité nationale

 

Le président a évoqué des divergences sur des dossiers majeurs comme l’Iran, la Corée du Nord et l’Afghanistan.

Après Michael Flynn et H. R. McMaster, John Bolton était le troisième conseiller en matière de sécurité nationale. 

Après Michael Flynn et H. R. McMaster, John Bolton était le troisième conseiller en matière de sécurité nationale. Evan Vucci / AP

 

Le président s’est lassé. Après une énième divergence, cette fois-ci sur le dossier afghan, le président des Etats-Unis a décidé de mettre fin à sa collaboration avec son conseiller à la sécurité nationale, John Bolton, mardi 10 septembre.

Dans un message inhabituellement brutal publié sur son compte Twitter, comme c’est désormais la coutume pour annoncer les départs de la Maison Blanche, Donald Trump a indiqué juste avant midi avoir informé l’intéressé qu’il n’avait « plus besoin de ses services à la Maison Blanche ». « J’étais en désaccord avec nombre de ses suggestions, comme d’autres au sein de cette administration », a ajouté le président.

« En fait, c’est moi qui modère John »

En avril, après un coup de force manqué au Venezuela activement soutenu par son conseiller à la sécurité nationale, un Donald Trump manifestement excédé par cette impasse avait souligné que sa présence à ses côtés n’excluait pas de nombreuses différences. « John est très bon. John a une vision très dure des choses, mais ça va. En fait, c’est moi qui modère John, ce qui est assez incroyable. J’ai John et j’ai d’autres gens qui sont davantage des colombes que lui. Et, in fine, je prends les décisions », avait-il affirmé.

Signe que la rupture a été vraisemblablement acrimonieuse, le conseiller a tenu à livrer sa propre version, assurant avoir présenté sa démission lundi soir. Le président, à l’en croire, lui aurait répondu d’attendre le lendemain. Dans un bref échange avec un journaliste du Washington Post, le conseiller éconduit a tenu à insister sur le fait que son « unique préoccupation est la sécurité des Etats-Unis », laissant entendre qu’elle pourrait être écornée par des choix auxquels il se serait opposé.

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Analyse : Pourquoi Trump aurait-il mis fin aux négociations avec les Taliban ?

 

 

 

 

La Corée du Nord propose la reprise du dialogue avec les Etats-Unis, puis tire deux nouveaux "projectiles"

 

Un homme regarde le lancement d\'un missile nord-coréen à la télévision, dans une gare de Séoul (Corée du Sud), le 10 septembre 2019.
Un homme regarde le lancement d'un missile nord-coréen à la télévision, dans une gare de Séoul (Corée du Sud), le 10 septembre 2019. (JUNG YEON-JE / AFP)

La Corée du Nord a tiré, mardi 10 septembre, deux nouveaux "projectiles". Cela intervient quelques heures après que Pyongyang a proposé aux Etats-Unis de reprendre, fin septembre, les négociations sur son programme nucléaire, au point mort depuis février.

Les deux "projectiles non identifiés" ont été lancés mardi à l'aube depuis la région de Kaechon, au centre du pays, et ont parcouru environ 330 kilomètres en direction de la mer du Japon, a indiqué l'armée sud-coréenne. "Nous exhortons le Nord à mettre fin à ces actes qui exacerbent les tensions dans la région", ont déclaré les responsables de l'état-major sud-coréen dans un communiqué.

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Des milliers d'habitants de Hong Kong demandent aux États-Unis de les "libérer" de la Chine

 

INTERNATIONAL - Une foule compacte de militants pro-démocratie a manifesté dimanche 8 septembre devant le consulat des États-Unis à Hong Kong afin d’appeler Washington à faire pression sur Pékin après trois mois de manifestations (découvrez les images dans la vidéo en tête d’article).

Les contestataires s’étaient d’abord rassemblés dans un parc avant de se diriger vers la représentation diplomatique américaine toute proche, devant laquelle ils ont défilé lentement pendant des heures.

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Pékin appelle les USA à cesser leurs «attaques immorales» contre les sociétés chinoises

 

La Chine insiste pour que les États-Unis cessent d'exercer une pression excessive sur les sociétés chinoises et arrêtent d'avancer des accusations infondées à leur égard.

«Ce comportement est immoral», a déclaré mardi en conférence de presse la porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, Hua Chunying, fustigeant les attaques américaines contre les entreprises du pays.

«La Chine s'oppose résolument à ce qu'à chaque occasion qui se présente, sans aucune raison, les États-Unis avancent leurs accusations mensongères à l'encontre des entreprises chinoises et abusent de leur influence étatique pour faire pression sur certaines sociétés chinoises. Un tel comportement est absolument indigne et immoral», a poursuivi Hua Chunying.

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La transcription des derniers mots de Jamal Khashoggi dévoilée par un média turc

 

Le média turc Daily Sabah a rendu publique la transcription de l’enregistrement de la conversation entre le journaliste saoudien Jamal Khashoggi et ses meurtriers.

Échange, bagarre, puis son d’une scie utilisée pour démembrer le corps: le journal turc Daily Sabah a rendu public le contenu de ce qu’il présente comme l’enregistrement réalisé au consulat saoudien d’Istanbul au moment du meurtre du journaliste Jamal Khashoggi. Il est possible d’en déduire que l’assassinat survenu le 2 octobre 2018 était bel et bien prémédité et planifié.

Rassemblement en mémoire de Jamal Khashoggi

«Je n’ai jamais travaillé avec un corps encore chaud»

Le début de la transcription présente l’échange entre trois personnes, dont deux ont été identifiées: le membre des services de sécurité du royaume Maher Abdulaziz Mutreb et le médecin Salah Mohammed Al-Tubaigy.

«Est-il possible de placer le corps dans un sac?», s’interroge ce premier tandis que le médecin lui répond par la négative, ajoutant qu’il sait découper. Ensuite, suivent des détails à glacer le sang:

«Je n'ai cependant jamais travaillé avec un corps encore chaud, mais je vais y arriver facilement. Je mets normalement mes écouteurs et j’écoute de la musique lorsque je coupe des cadavres. En attendant, je sirote mon café et fume», a lancé d’après le média Al-Tubaigy.

À la fin de la conversation, Mutreb demande si «l’animal à sacrifier» est arrivé.

«Nous sommes là pour te faire rentrer»

Comme l’indique le Daily Sabah, à son arrivée au consulat, Jamal Khashoggi est accueilli par quelqu’un qu’il semble connaître, à en juger par sa réaction. On lui explique que le consul général Mohammad al-Otaibi est là et qu’il est invité dans son bureau. Arrivé au deuxième étage, Khashoggi commence à avoir des suspicions et lance: «Laissez-moi partir, qu’est-ce que vous faites».

Alors Mutreb lui dit qu’à la demande d’Interpol, il doit être acheminé dans le royaume, à quoi, d’après le média, le journaliste répond qu’il n’est visé par aucune poursuite et que sa fiancée l’attend à l’extérieur.

 

Ensuite, le Daily Sabah indique qu’on retire au journaliste ses deux téléphones portables et qu’il lui est demandé de laisser un message pour son fils pour lui dire: «Je suis à Istanbul. Ne t’inquiète pas si tu ne peux pas me rejoindre», ce que Khashoggi refuse de faire.

«Nous allons vous endormir»

Les interlocuteurs du journaliste lui expliquent qu’ils vont le faire retourner en Arabie saoudite et que s’il ne coopère pas il «verra ce qui va se passer».

«Nous allons vous endormir», explique le médecin après quoi apparemment il lui est administré des substances.

Avant de perdre conscience, il leur demande de ne pas laisser sa bouche fermée: «J’ai de l’asthme, ne le faites pas, vous allez m’étouffer», lit-on sur le Daily Sabah.

D’après le média, le reste de l’enregistrement laisse entendre une bagarre et la suffocation de la victime.

Si, d’après le média, l’arrivée de Khashoggi est annoncée à 13h14, à 13h39 déjà la scie se met en marche.

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Après les six revers de Boris Johnson, quels scénarios pour le Brexit ?

 

NO DEAL ? - Après le rejet par les députés lundi soir des élections anticipées voulues mi-octobre par le Premier ministre Boris Johson, plusieurs scénarios sont (encore) une fois envisageables dans la crise sans fin du Brexit.

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L’UE choisit le Rwanda pour relocaliser les demandeurs d’asile (MàJ)

 

L’Union européenne s’apprête à conclure un accord financier avec le Rwanda pour que le pays accueille des demandeurs d’asile en provenance de Libye, afin qu’ils n’entrent pas sur le Vieux Continent. Un mécanisme dont l’UE est coutumière. Cette dernière, rappelle The New York Times [voir ci-dessous], a déchiré le continent et entraîné une recrudescence du populisme en Europe (…)

Le Courrier International

 

9/09/2019

Pendant trois ans, l’Union Européenne a payé d’autres pays pour maintenir les demandeurs d’asile hors d’une Europe pleine de populistes et de partis anti-migrants.

Elle a payé des millions à la Turquie pour empêcher les réfugiés de passer en Grèce. Elle a subventionné les garde-côtes libyens pour qu’ils interceptent les bateaux de migrants et les ramènent vers l’Afrique du nord. Elle a créé des centres de gestion des demandeurs d’asile au Niger […].

Mais bien que ces initiatives visant à maintenir [les migrants] à distance soient critiquées pour des raisons humanitaires, elles sont tellement surchargées que l’UE cherche à les développer, l’Union souhaitant renforcer cette approche qui a réduit de manière significative le nombre des migrants qui traversent la Méditerranée.

[…] Des dizaines de milliers de migrants et de demandeurs d’asile restent coincés en Libye […].

Trier les demandeurs d’asile dans des espaces sûrs, éloignés, où ils peuvent postuler à l’asile sans entreprendre de dangereux périple vers l’Europe, c’est ce que Bruxelles promeut depuis longtemps comme un moyen de démanteler les réseaux de passeurs tout en offrant à des populations vulnérables l’opportunité d’une vie meilleure […].

Les populistes européens continuent de rabâcher qu’il y aurait une invasion de migrants, alors même que les politiques migratoires européennes ont fortement réduit le nombre de nouvelles arrivées. En 2016, 181.376 personnes avaient traversé la Méditerranée depuis l’Afrique du nord, pour rejoindre les côtes italiennes. L’année dernière, ce chiffre est tombé à 23.485.

[…] On estime qu’un demi-million de migrants vivent en Libye, dont seulement 51.000 sont enregistrés auprès de l’agence pour les réfugiés des Nations Unies.

[…] D’après les termes de l’accord avec le Rwanda, qui devrait être signé dans les prochaines semaines, ce pays d’Afrique orientale prendrait environ 500 migrants évacués de Libye, et les hébergerait jusqu’à ce qu’ils soient acheminés vers un nouveau foyer, ou renvoyés vers leurs pays d’origine…

The New York Times

 

Note ; les pays de dhimmis payent les pays musulman pour un semblants de tranquillité

 

 

 

 

Un parti espagnol appelle à couper les aides financières au Maroc

 

Le parti souverainiste espagnol VOX demande au gouvernement d’arrêter d’aider financièrement le Maroc pour ainsi stopper les flux migratoires venant d’Afrique, rapporte la presse locale. Selon le parti, Madrid a déjà accordé pour 200 millions d’euros d’aides à Rabat.

Dans le cadre de la lutte contre la migration clandestine, le parti espagnol VOX appelle le gouvernement à en finir avec toute aide financière accordée à Rabat.

VOX, formation politique de Santiago Abascal, affirme que les subventions accordées par l’Espagne au royaume chérifien ont atteint les 200 millions d’euros.

Un mur entre l’Espagne et le Maroc?

Couleur nationale du Maroc

En mars, Santiago Abascal a appelé à construire des «murs insurmontables» le long des frontières espagnoles, à Ceuta et Melilla, pour mettre fin à la «vague d'immigration clandestine» en provenance d'Afrique du Nord. Il a même demandé au Maroc d'en payer la note.

«Le Maroc est celui qui nous envoie des vagues d'immigrés clandestins pour faire chanter l'Union européenne», a justifié M.Abascal, cité par El Mundo.

Le projet a été annoncé dans son livre «Santiago Abascal. L'Espagne vertébrée» que Fernando Sanchez Drago, un intellectuel proche de VOX, avait élaborée sur la base de longues conversations avec son président.

Le chef du gouvernement espagnol défend le bilan du Maroc

Fin juillet, le chef du gouvernement espagnol Pedro Sanchez a déclaré à la presse que «grâce aux efforts du Maroc dans le domaine de la lutte contre la migration, le nombre de migrants clandestins a diminué de 33% au premier semestre de 2019, et ce pour la première fois depuis 2013».

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Genève : inauguration d’un centre d’hébergement modulable pour migrants

 

[…] Le centre d’hébergement collectif pour migrants de Rigot, ouvert depuis juillet dernier, a été inauguré officiellement mardi matin à Genève. Ce projet permettra de compenser la fermeture d’autres sites. Situé dans le quartier des Nations, au cœur de la Genève internationale, la structure peut accueillir jusqu’à 370 personnes. Le site est composé de deux immeubles de quatre étages fabriqués intégralement avec du bois de la région et presque entièrement modulables, démontables et réutilisables.

Ce nouveau centre est issu de la task force constituée en 2015 par les autorités genevoises, alors que le nombre d’arrivées explosaient. Le canton avait alors dû loger en urgence les migrants dans des abris de protection civile, parfois vétustes, ce qui avait provoqué un certain nombre de critiques.

Il en va autrement pour le centre d’hébergement collectif de Rigot, qui a été pensé pour intégrer et faire dialoguer les nouveaux résidents avec leurs voisins, notamment autour de potagers communs. […] De façon générale, la demande en hébergement reste un défi dans le canton, puisqu’il y a toujours plus de 6000 réfugiés ou requérants qui logent dans une des structures proposées. Un chiffre qui semble se stabiliser, mais qui n’est pas prêt de fléchir pour autant.

RTS

 

 

 

 

 

Italie : un clandestin Togolais agresse sans motif deux femmes à la gare de Lecco

 



Les images brutales sont celles immortalisées par les caméras de vidéosurveillance placées dans le passage inférieur de la gare : deux femmes ont été victimes de la colère d’un jeune migrant.

La vidéo montre l’homme de taille imposante, né en 1995 et originaire du Togo, jetant par terre une jeune femme de 18 ans qui se préparait à monter les escaliers. Puis l’homme poursuit son chemin dans le passage souterrain et cible une seconde femme. Il semble presque passer à côté d’elle, mais il lance son poing et frappe la passante avec une violence extrême.

Une agression sans motif qui a forcé les deux femmes à se rendre à l’hôpital. La femme de 55 ans a subi un grave traumatisme crânien.

Les agents de la police ferroviaire, qui sont intervenus immédiatement après l’incident, ont pu localiser l’individu et l’arrêter. Il s’agit d’un migrant en situation irrégulière sur le territoire national et qui possède plusieurs antécédents.

Giornaledilecco.it / Lecconotizie.com

 

 

 

 

Policiers caillassés, 14 voitures brûlées, feux de poubelles: soirée de tensions à Quimper – images

 

Voitures brûlées, poubelles incendiées et policiers ainsi que pompiers pris à partie. Des violences ont éclaté mardi soir à Quimper (Finistère) après l’interpellation d’un jeune homme qui pilotait un motocross sans casque.

Lire la suite et voir les vidéos

 

 

 

 

Les syndicats policiers appellent à une « marche nationale de la colère » le 2 octobre

 

Les organisations syndicales veulent notamment alerter les autorités sur la dégradation des conditions de travail et la vague de suicides chez les policiers. Elles entendent aussi défendre le régime de retraite des forces de l’ordre.

« Tous les corps de policiers » sont appelés à manifester. Les organisations syndicales (Alliance, Synergie, Unité SGP police, syndicats de commissaires…) veulent se rassembler pour lutter contre les suicides et les agressions dans le cadre de leurs fonctions. Ils réclament l’amélioration de leurs conditions de travail, la défense de leurs retraites et « une loi de programmation ambitieuse pour un service public de qualité ».

Depuis début janvier, 48 agents de la police nationale ont mis fin à leurs jours. Ce bilan est bien plus élevé qu’en 2018, où 35 policiers se sont suicidés. Le ministre de l’Intérieur, Christophe Castaner, a annoncé lundi la mise en place d’un numéro vert pour tenter d’endiguer cette vague de suicides chez les policiers. […]

francetvinfo

 

 

 

 

Michel Onfray : "Les policiers sont attaqués tous les jours"

 

Note ; excellente analyse  d'Onfray

 

 

Zineb El Rhazoui : « Tariq Ramadan représente l’aristocratie des Frères musulmans dans le monde »

 

VOIR VIDÉO

 

 

 

 

"Je n’ai pas peur des schismes" : attaqué par des catholiques conservateurs, le pape réplique

 

Pour lui, ses détracteurs font "entrer l'idéologie dans la doctrine". "Et quand la doctrine ruisselle d'idéologie, il y a la possibilité d'un schisme", a-t-il assuré. 

Le pape François lors du voyage de retour après son passage dans trois pays africains de l’océan Indien, mardi 10 septembre. Le pape François lors du voyage de retour après son passage dans trois pays africains de l’océan Indien, mardi 10 septembre. ALESSANDRA TARANTINO / AFP

Le pape François contre-attaque. Face à la presse dans l'avion qui le ramenait à Rome d'une tournée dans trois pays africains, mardi 10 septembre, il a vivement répondu aux catholiques conservateurs qui le traitent de "communiste", affirmant n'avoir aucunement peur d'un schisme. 

"Je prie pour qu'il n'y ait pas de schisme, mais je n'ai pas peur", a-t-il lancé, répondant à certains prélats catholiques conservateurs, en particulier aux Etats-Unis, qui jugent que le pape argentin parle trop d'inégalités sociales, de migrants et d'exclus. Quelques uns sont même allés jusqu'à demander sa démission en jugeant qu'il sème "la confusion" chez les croyants, voire qu'il serait "hérétique".

"Les critiques ne viennent pas seulement des Américains. D'un peu partout et aussi dans la Curie (gouvernement du Vatican)", a reconnu le pape François. Mais "les choses sociales que je dis, ce sont les mêmes qu'avaient dites Jean Paul II. Les mêmes choses ! Je les copie !", a-t-il insisté. Pour lui, ses détracteurs qui répètent par exemple que "le pape est trop communiste" font "entrer l'idéologie dans la doctrine". "Et quand la doctrine ruisselle d'idéologie, il y a la possibilité d'un schisme", a-t-il affirmé. 

Source

 

Note ; j'ai déjà dit ce que je penser de ce Pape pro migrant (un crétin utile) . Il est encore plus dangereux que l'État islamique parce qu’en voulant construire des ponts et ouvrir en grand les portes de l’Europe, il ferait islamiser l’Europe en une dizaine d'années seulement

 

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