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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

 

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Le 5 aout 2019

 

 

 

 

L'Iran a saisi un navire étranger, le troisième en moins d'un mois

 

Dimanche, l'Iran a annoncé l'arraisonnement d'un nouveau navire pétrolier dans le Golfe. Il s'agit de la troisième saisie en moins d'un mois par Téhéran, alors que Donald Trump continue d'accuser le régime de déstabiliser la région.

L'Iran a annoncé dimanche la saisie d'un pétrolier étranger dans le Golfe, le troisième bateau arraisonné par la République islamique en moins d'un mois dans cette région stratégique au coeur des tensions entre Téhéran et Washington. 

Les forces navales des Gardiens de la Révolution ont arraisonné le navire-citerne dont la nationalité n'a pas été précisée dans l'immédiat, selon un communiqué de cette armée idéologique du régime diffusé par l'agence officielle Irna. Sept étrangers membres de l'équipage ont été arrêtés lors de l'opération survenue mercredi, a indiqué l'agence de presse Fars.

Le navire transportait "700.000 litres de carburant de contrebande autour de l'île de Farsi", dans le nord du Golfe, et se dirigeait vers des pays arabes de la région, selon les Gardiens de la Révolution. Il a été transféré vers le port de Bouchehr (sud) et "sa cargaison de carburant de contrebande remise au autorités" en coordination avec la justice iranienne.

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LIRE AUSSI: L’Iran et l’Irak débattent de la nationalité du nouveau pétrolier arraisonné dans le golfe Persique

 

 

 

 

Iran: Zarif confirme avoir refusé une invitation à rencontrer Trump

 

Le chef de la diplomatie iranienne Mohammad Javad Zarif a confirmé lundi avoir refusé une invitation à rencontrer le président américain Donald Trump à la Maison-Blanche, malgré selon lui des menaces de sanctions à son encontre.

Les Etats-Unis, engagés dans un bras de fer avec l'Iran découlant de la question nucléaire, a imposé la semaine dernière des sanctions contre Zarif.

Vendredi, le magazine New Yorker a rapporté que le sénateur américain Rand Paul avait joué, avec la bénédiction de Donald Trump, le rôle d'intermédiaire auprès de Zarif pour l'inviter à la Maison Blanche. Lors de leur entretien mi-juillet à New York, le sénateur aurait proposé à Zarif de venir présenter ses idées pour mettre fin à l'impasse sur le nucléaire à Donald Trump en personne, selon le magazine.

Interrogé sur ces informations lundi, le chef de la diplomatie iranienne a déclaré: «On m'a dit à New York que je serai la cible de sanctions dans deux semaines si je n'accepte pas cette offre qu'heureusement je n'ai pas acceptée». La Maison-Blanche n'avait pas commenté les informations du New Yorker.

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Washington chercherait à «passer à une phase plus chaude du conflit» avec l’Iran

 

Moscou s'inquiète de l’hypothèse d’un conflit dans le golfe Persique. Selon la porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères, Maria Zakharova, Washington cherche un prétexte pour poursuivre «sa rhétorique agressive à l'égard de l'Iran et passer à une phase plus chaude du conflit».

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L'Onu redoute de nouveaux attentats d'ici la fin de l'année

 

Un rapport de l'organisation révélé par le Guardian estime que la menace n'a pas disparu avec la chute des derniers bastions de l'Etat islamique en Syrie.

Selon un récent rapport des Nations-Unies cité par le quotidien britannique The Guardian, la menace du terrorisme islamiste ne s'est pas éteinte avec le califat et la chute des derniers bastions de Daech en Syrie. Au contraire, il constitue toujours une menace sérieuse et importante. Les rapporteurs estiment que la raréfaction des attaques sur le sol européen n'est qu'une trève, et que de nouvelles vagues d'attentats sont à craindre d'ici la fin de cette année.

Les auteurs estiment notamment que jusqu'à 30.000 combattants étrangers venus rejoindre le «califat», et dont la mort n'a jamais été officialisée, pourraient en fait toujours être en vie, et vouloir rejoindre Al-Qaïda ou d'autres groupes islamistes radicaux émergents. «Ils pourraient en être des leaders ou des recruteurs», écrivent les rapporteurs, qui estiment que la menace qui pèse sur l'Europe reste «élevée».

» LIRE AUSSI - Le califat s'éteint, pas la menace de Daech

Ce rapport a été rédigé sur la base des informations fournies par les services de renseignements de plusieurs pays membres des Nations unies. Il met notamment en avant le fait que bien que Daech n'existe plus de fait sous la forme de proto-Etat, les facteurs qui ont contribué à son avènement existent toujours. Les auteurs estiment ainsi qu'un des problèmes aux sources du mal est la radicalisation en prison de «détenus frappés par la pauvreté, la marginalisation, la frustration, une faible estime de soi et la violence».

«Les programmes de déradicalisation n'ont pas prouvé leur pleine efficacité... Les combattants les plus endurcis qui ont écopé de longues peines de prison ne sont pas près d'en sortir. Ils continuent d'être dangereux et de constituer une menace à la fois à l'intérieur et à l'extérieur du système pénal», est-il écrit dans le rapport.

Les Etats Européens estiment que quelque 6.000 de leur ressortissants ont rejoint l'Irak ou la Syrie pour y rejoindre Daech ou un autre groupe islamiste. Environ un tiers aurait été tué, tandis qu'un autre tiers serait actuellement détenu dans la région ou aurait fui vers une destination inconnue. Selon le rapport, les 2.000 individus restants pourraient bel et bien être rentrés en Europe.

Le rapport ajoute que Daech, s'il n'existe plus que sous la forme d'un califat virtuel, continue de jouir d'une manne estimée entre 50 millions et 300 millions de dollars, grâce à laquelle il poursuit sa propagande et parvient à entretenir sa réputation de «marque de référence du terrorisme mondial». Selon les auteurs, tous ces éléments portent à croire que les États devront redoubler de vigilance afin de prévenir une nouvelle attaque avant le début de l'année 2020.»

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Erdogan annonce une opération militaire turque dans le nord de la Syrie

 

Le Président Erdogan a annoncé que l'armée turque lancerait une opération militaire à l'est de l'Euphrate, dans le nord de la Syrie, et qu'Ankara avait déjà mis Moscou et Washington au courant de ses projets.

La Turquie mènera une opération militaire à l'est de l'Euphrate, dans le nord de la Syrie et elle en a déjà informé la Russie et les États-Unis, a déclaré ce dimanche 4 août le Président turc, Recep Tayyip Erdogan, à Bursa, dans le nord-est de la Turquie. 

«Nous entrerons [dans la zone] à l'est de l'Euphrate, comme nous sommes entrés dans Afrine, Jarablous et Al-Bab. Nous en avons informé la Russie et les États-Unis. Nous ne pouvons pas garder le silence face aux attaques contre notre pays», a déclaré M.Erdogan, lors d’une cérémonie organisée à Bursa pour l’inauguration de l’hôpital de Bursa et celle de l’autoroute reliant Izmir à Istanbul.

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Ça chauffe entre la Chine et les Etats-Unis, Washington souhaite déployer de nouveaux missiles

 

Le 3 aout

Les Etats-Unis veulent déployer rapidement de nouveaux missiles en Asie, si possible dans les prochains mois, pour contrer la  montée en puissance de la Chine dans la région, a annoncé samedi le nouveau chef du Pentagone Mark Esper.

Mark Esper, secrétaire américain à la Défense, le 25 juillet 2019

« Oui, j’aimerais le faire », a déclaré le secrétaire américain à la Défense, questionné sur la possibilité que les Etats-Unis déploient en Asie de nouvelles armes conventionnelles de portée intermédiaire, maintenant qu’ils ne sont plus liés par le traité INF. « Nous voudrions le faire le plus tôt possible », a poursuivi Mark Esper dans l’avion qui l’amenait à Sydney, première étape d’une tournée d’une semaine en Asie.

« Je préférerais compter en mois, a-t-il précisé aux journalistes qui l’accompagnaient dans sa tournée. Mais ces choses-là ont tendance à prendre plus de temps que prévu ».

Le traité de désarmement INF vit ses dernières heures

Le secrétaire américain à la Défense n’a pas précisé où les Etats-Unis avaient l’intention de poster ces armements. « Je ne voudrais pas spéculer, parce que (…) c’est le genre de choses dont on discute toujours avec les alliés ».

Accusant la Russie de le violer depuis des années, les Etats-Unis se sont retirés vendredi du traité de désarmement INF, conclu pendant la Guerre froide entre Washington et Moscou pour interdire totalement les missiles terrestres de portée intermédiaires (de 500 à 5.500 km). Washington est désormais libre de venir concurrencer la Chine, dont l’arsenal est largement constitué d’armes du type interdit par le traité INF, dont Pékin n’a jamais été signataire.

Mark Esper a noté que la Chine ne devrait pas s’étonner des projets américains. « Ça ne devrait pas être une surprise, parce que nous en parlons depuis un bon moment, a-t-il dit. Je voudrais souligner que 80 % de leur arsenal est composé d’armes de type INF. Ça ne devrait donc pas surprendre que nous voulions des capacités similaires »

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Fin du traité INF: Washington va développer de nouveaux missiles, Paris s'inquiète

 

Les Etats-Unis ont annoncé vendredi le développement de nouveaux missiles conventionnels quelques heures après avoir acté avec la Russie la mort de l’emblématique traité INF sur les forces intermédiaires, semblant justifier les craintes d’une relance de la course aux armements.

Après six mois de dialogue de sourds et d’accusations réciproques de violations, Russie et Etats-Unis ont laissé expirer l’ultimatum lancé par l’administration de Donald Trump en février, en s’accusant mutuellement d’être responsables de la fin de ce texte bilatéral datant de la Guerre froide.

Les Américains affirment que Moscou a accru ses capacités d’une manière incompatible avec ce traité qui concerne les missiles d’une portée de 500 à 5.500 kms et avait permis dans les années 1980 l’élimination des missiles russes SS20 et américains Pershing, au coeur de la crise des euromissiles.

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La Chine rompt «unilatéralement» la coopération policière avec Paris

 

Les autorités chinoises ont pris la décision de rompre toute coopération policière avec Paris après que la France a accordé l’asile à l’épouse de l’ancien chef d’Interpol, Meng Hongwei, annonce Le Monde, se référant à une source diplomatique.

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La Chine suspend l’achat de produits agricoles américains

 

Dans le cadre de la guerre commerciale qui bat son plein entre les États-Unis et la Chine, Pékin a ordonné la suspension des importations de produits agricoles américains suite à l’imposition par Donald Trump de nouveaux droits de douane sur les importations chinoises, selon Bloomberg.

Le gouvernement chinois a ordonné aux compagnies nationales de suspendre les importations de produits agricoles américains, relate le 5 août l’agence Bloomberg se référant à des sources informées.

La Chine a ainsi réagi à une nouvelle escalade de la guerre commerciale initiée par Donald Trump la semaine dernière.

Le Président Trump a proposé d’imposer, à compter du 1er septembre, des droits de douane de 10% sur les 300 milliards de dollars (270 milliards d'euros) d’importations chinoises jusqu'ici épargnées, intensifiant ainsi brutalement la guerre commerciale entre les deux plus grandes économies mondiales peu après la reprise des négociations.

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Grève générale à Hongkong : «Il peut y avoir de grands bouleversements»

 

Après presque deux mois de mobilisation pour réclamer la démocratie et dénoncer les violences policières, le mouvement prend une nouvelle ampleur avec une grève générale débutée ce lundi matin. Un événement rarissime dans l'archipel.

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Moscou explique à quoi tiennent les nouvelles sanctions des États-Unis

 

Les nouvelles sanctions antirusses introduites par les États-Unis en lien avec l’empoisonnement au Royaume-Uni de l’ex-espion Sergueï Skripal, traduisent la faillite totale de leurs tentatives de pression précédentes, selon la porte-parole de la diplomatie russe.

Dans un commentaire publié sur le site du ministère russe des Affaires étrangères, sa porte-parole, Maria Zakharova, a déclaré que les nouvelles sanctions imposées à la Russie indiquaient que les tentatives des États-Unis pour faire pression sur le pays avaient échoué.

«Chaque fois, Washington ne fait que démontrer son impuissance», a-t-elle indiqué. La diplomate a ajouté que les initiateurs de ces nouvelles sanctions avaient tenté nombre de mesures au cours de ces dernières années. En vain, les efforts visant à un changement de la politique extérieure du Kremlin ayant échoué. 

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Epidémie d’Ebola en RDC : 1 800 morts en un an

 

C’est la pire épidémie du virus dans le pays, tant en termes de mortalité que de durée, et la deuxième plus importante dans le monde.

Depuis un an, les provinces du Nord-Kivu et d’Ituri sont en alerte. Une épidémie d’Ebola a déjà causé la mort de plus de 1 800 personnes dans ces régions du nord-est de la République démocratique du Congo. C’est la pire épidémie du virus dans le pays, tant en termes de mortalité que de durée, et la deuxième plus importante dans le monde, après celle qui avait touché l’Afrique de l’Ouest entre décembre 2013 et 2016, où plus de 11 000 morts avaient été déplorés.

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Vidéo du 2 aout

 

 

Troisième fusillade aux États-Unis en moins de 24 heures, sept blessés

 

Une troisième fusillade en moins de 24 heures a secoué les États-Unis. Un inconnu a ouvert le feu dans un parc de Chicago, ce dimanche le 4 août. L’incident a fait sept blessés, ont indiqué les médias locaux.

Une fusillade dans un parc de Chicago est survenue le 4 août, juste après que les États-Unis ont été secoués par deux évènements meurtriers similaires. Sept personnes y ont été blessées, ont rapporté les médias locaux.

L’incident a eu lieu à Douglas Park, dans le quartier de West Side, à 1h20 (heure locale) lorsqu'un inconnu a ouvert le feu sur une Chevrolet Camaro noire, a indiqué le Chicago Sun-Times.

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LIRES AUSSI: Le tireur de la fusillade au Texas, qualifiée de «terrorisme intérieur», pourrait être condamné à mort

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Un Cardinal nigérian exhorte les pays occidentaux à cesser d’encourager les Africains à quitter leur pays et immigrer en Europe

 

ROME – Le Cardinal nigérian Francis Arinze exhorte les Européens à cesser d’encourager les Africains à immigrer en Europe, insistant sur le fait que les gens sont mieux lotis dans leur pays d’origine.

Dans une interview accordée au Catholic Herald la semaine dernière, le cardinal Arinze, 86 ans, autrefois considéré comme l’un des principaux candidats à la papauté, a déclaré que lorsque des pays africains perdent leurs jeunes à cause des migrations, ils perdent les personnes qui peuvent le mieux construire l’avenir de leur pays.

« Ainsi, les pays d’Europe et d’Amérique peuvent parfois aider au mieux, non pas en encourageant les jeunes à venir en Europe comme s’ils considéraient l’Europe comme un paradis – un endroit où l’argent pousse sur les arbres – mais en épaulant les pays d’où ils viennent » a-t-il dit.

« Il est préférable pour une personne de rester dans son propre pays et d’y travailler », dit-il, tout en reconnaissant que cela n’est pas toujours possible. Il a également déclaré que les chefs de gouvernement des pays africains où le taux d’émigration est élevé devraient examiner leur conscience pour déterminer pourquoi tant de personnes quittent ces pays.

« Chaque gouvernement doit déterminer le nombre de personnes qu’il est capable d’accueillir », a dit le cardinal. « Ce n’est pas de la théorie. C’est du factuel », a dit M. Arinze. « Où est leur avenir : travail, vie familiale, culture, religion ? Pensez à tout ça. »

« Ce sont donc toutes ces considérations que nous devons prendre en compte lorsque nous mentionnons le mot « migrant », a-t-il dit.

Catholic Herald via Breitbart

 

 

 

 

Le populisme ou la mort - Le Zoom - Olivier Maulin

 

 

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