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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Le 22 juin 2019

 

 

Les USA brandissent de nouvelles menaces contre l’Iran pour obliger Téhéran à ratifier un accord

 

Les États-Unis ont menacé l’Iran de «mesures supplémentaires» si la République islamique ne ratifiait pas la Convention de Palerme contre la criminalité transnationale organisée, conformément aux recommandations du Groupe d’action financière (GAFI).

Le secrétaire d’État américain Mike Pompeo a brandi de nouvelles menaces en exhortant Téhéran à signer la Convention de Palerme contre la criminalité transnationale organisée.

«L'Iran doit ratifier les conventions de Palerme et celles sur le financement du terrorisme conformément aux normes du GAFI ou faire face à des mesures supplémentaires», a-t-il indiqué dans un communiqué.

«Aujourd’hui, le Groupe d’action financière (GAFI) a réagi au refus délibéré de l’Iran de remédier aux problèmes systématiques de l’Iran en matière de blanchiment d’argent et de financement du terrorisme en exigeant une surveillance accrue des institutions financières», poursuit le document. 

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L'Iran menace les États-Unis de graves conséquences en cas d'attaque

 

Le 22 juin

L'Iran a averti ce samedi les Etats-Unis que la moindre attaque contre son territoire aurait des conséquences dévastatrices pour leurs intérêts dans la région, après que le président américain eut annulé à la dernière minute des frappes de représailles contre la République islamique.
    
"Tirer une balle en direction de l'Iran mettra le feu aux intérêts de l'Amérique et de ses alliés" dans la région, a déclaré le général de brigade Abolfazl Shekarchi, porte-parole de l'état-major conjoint des forces armées iraniennes dans un entretien à l'agence Tasnim.

Les craintes d'un embrasement    

Le président américain Donald Trump a affirmé vendredi avoir annulé à la dernière minute des frappes contre l'Iran pour éviter un lourd bilan humain, tout en maintenant ses menaces de représailles contre Téhéran qui avait abattu la veille un drone américain. "Nous étions armés et prêts à riposter (dans) la nuit (de jeudi à vendredi) contre trois sites différents quand j'ai demandé combien (de personnes) allaient mourir", a-t-il raconté dans une série de tweets détaillés. "150 personnes, Monsieur, a été la réponse d'un général. 10 minutes avant la frappe, je l'ai stoppée, c'était disproportionné par rapport à une attaque contre un drone."
    
En dépit des affirmations répétées des Etats-Unis et de l'Iran selon lesquelles ils ne cherchent pas la guerre, l'escalade et la multiplication des incidents dans le Golfe font craindre un embrasement. D'autant que des deux côtés, on multiplie les déclarations incendiaires. Le président Trump a ainsi réaffirmé qu'il ne souhaitait pas la guerre avec l'Iran mais que si elle éclatait elle provoquerait "un anéantissement comme on n'en a jamais vu avant".

    
Le général Shekarchi a affirmé pour sa part que "si l'ennemi (...) fait l'erreur" d'attaquer, "l'Amérique, ses intérêts et ceux de ses alliés seront consumés par (le) feu" qu'il aura contribué à allumer.

Réunion du Conseil de sécurité de l'ONU lundi    

La destruction jeudi d'un drone de l'US Navy par l'Iran a provoqué un nouvel accès de fièvre. L'Iran affirme disposer de "preuves irréfutables" montrant que le drone américain abattu était entré dans son espace aérien et a écrit au secrétaire général et au Conseil de sécurité de l'ONU pour dénoncer une action américaine "provocatrice" et "très dangereuse". Washington dément catégoriquement, affirmant que l'aéronef a été touché dans l'espace aérien international.
    
Les Etats-Unis ont demandé la tenue lundi d'une réunion à huis clos du Conseil de sécurité de l'ONU, selon des sources diplomatiques. Accusant Téhéran de "rejeter (les) ouvertures diplomatiques de Washington", l'envoyé spécial des Etats-Unis pour l'Iran, Brian Hook, a affirmé vendredi que l'Iran devait "répondre à la diplomatie par la diplomatie, pas par la force". Brian Hook a tenu ces propos lors d'une visite sur une base militaire en Arabie saoudite, pays allié des Etats-Unis et engagé avec Téhéran dans une lutte d'influence régionale depuis plusieurs années.
    
"Quand vous dites "diplomatie", faites-vous référence aux années de "#TerrorismeEconomique et de guerre", et aux violations de la parole donnée et des (résolutions du) #CSNU ?" (Conseil de sécurité des Nations unies), a répondu sur Twitter le porte-parole de la diplomatie iranienne, Abbas Moussavi, en égrenant les griefs de l'Iran vis-à-vis de Washington. "Les Iraniens répondront à la diplomatie par la diplomatie, au respect par le respect et à la guerre par une défense acharnée", a-t-il ajouté.

"Notre réponse sera la même"

Cité par l'agence officielle iranienne, le général de brigade Amirali Hajizadeh, chef de la branche aérospatiale des Gardiens de la Révolution, armée idéologique iranienne, a semblé répondre vendredi aux propos de Donald Trump ayant laissé entendre que l'attaque contre le drone pourrait être dû à une "erreur humaine" côté iranien.
    
"Il est possible que cette violation (de l'espace aérien) ait été commise par un général ou quelques opérateurs (de drone) américain, nous ne le savons pas", a-t-il dit, mais "voilà comment nous répondons à l'agression contre l'espace iranien et si cela se répète, notre réponse sera la même". Vendredi, le général Hajizadeh avait présenté à la télévision d'Etat des "débris" du drone récupérés "dans les eaux territoriales" iraniennes.

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LIRE AUSSI : Trump livre des détails sur les frappes annulées contre l'Iran

 

En cas d’agression états-unienne, «la réponse de l’Iran serait implacable, voire disproportionnée»

 

Le 21 juin

La destruction d’un drone américain par les Gardiens de la révolution islamique a fait monter encore plus la tension entre Téhéran et Washington, les deux camps affirmant avoir eu raison. L’américaniste iranien Mohammad Marandi a livré son analyse de la situation au micro de Sputnik.

Les États-Unis et l'Iran ont publié des images qui corroborent leurs affirmations respectives selon lesquelles le drone RQ-4 Global Hawk évoluait dans l'espace aérien international ou iranien avant d'être abattu par les Gardiens de la révolution islamique.

«Ce n’est pas la première fois que des drones américains sont abattus en Iran, les Américains ayant, à plusieurs reprises, violé l’espace aérien iranien. Et une fois, les Iraniens ont même réussi à pirater un drone américain et à le faire atterrir», a rappelé à Sputnik Mohammad Marandi, américaniste et spécialiste de la littérature postcoloniale qui enseigne à l’université de Téhéran.

Aussi, a-t-il écarté les affirmations des États-Unis selon lesquelles leur drone de reconnaissance se trouvait dans l'espace aérien international quand il a été abattu.

«En Iran, personne ne fait confiance aux États-Unis, et en particulier à Trump», a ajouté l'universitaire.

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L’Iran diffuse une vidéo de l’«élimination du drone espion américain»

 

 

 

L’Iran déclare qu'il aurait pu abattre un avion P-8 US se trouvant derrière le drone mais qu’il ne l'a pas fait

 

Un avion P-8 états-unien avec 35 passagers à bord, accompagnant le drone américain abattu par les Gardiens de la révolution islamique le 20 juin, n’a pas été détruit avec l’appareil sans pilote, malgré le fait qu’il ait aussi violé l’espace aérien iranien, selon l’Iran.

Le commandant de la Force aérospatiale des Gardiens de la révolution islamique a déclaré le 21 juin qu’en plus du drone états-unien, l’espace aérien iranien a été également violé par un avion américain P-8, mais les Gardiens de la révolution islamique ne l’ont pas abattu.

«Avec le drone états-unien dans la région se trouvait aussi un avion américain P-8 avec 35 passagers à bord. Cet avion est entré dans notre espace aérien et on aurait pu l’abattre, mais nous ne l’avons pas fait», a affirmé Amir Ali Hajizadeh, le commandant de la Force aérospatiale des Gardiens de la révolution islamique, cité par l’agence Tasnim.

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Washington interdit les vols commerciaux américains dans la zone où a été abattu son drone

 

Les Etats-Unis ont interdit jeudi soir les vols des compagnies aériennes américaines dans la zone où l'Iran a abattu un drone militaire américain, une frappe qualifiée d'"énorme erreur" par le président Donald Trump.

Il est ainsi interdit le survol de l'espace aérien contrôlé par Téhéran au-dessus du Golfe et du Golfe d'Oman "jusqu'à nouvel ordre", a indiqué l'Administration aéronautique fédérale américaine.

Ces restrictions sont justifiées par une "augmentation des activités militaires et la tension politique croissante dans la région, qui représentent un risque pour les opérations de l'aviation civile américaine" accompagné d'un risque d'"erreur d'identification", a ajouté la même source qui mentionne le drone militaire américain abattu par un missile sol-air iranien.

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Iran - Etats-Unis : pourquoi le détroit d’Ormuz est-il stratégique ?

 

 

 

Iran: «Trump est victime de la politique imposée par Israël et l’Arabie saoudite»

 

Toujours plus près d’une guerre… ou plutôt d’une négociation? Ce 20 juin, l’Iran a abattu un drone américain. Une nouvelle escalade de tensions entre les deux pays, après le sabotage de pétroliers dans le golfe d’Oman. Si l’affrontement reste incertain, d’autres acteurs pourraient pousser à la guerre, selon Ali Rastbeen reçu par Désalliances.

Jeudi 20 juin, les Gardiens de la Révolution ont annoncé avoir abattu un drone américain, une information confirmée par Washington. Après des semaines de menaces, c’est la toute première escarmouche directe entre les États-Unis et l’Iran. Un accrochage qui pourrait déraper?

Les menaces d’une guerre ne sont plus du tout voilées de la part de Washington, qui après avoir récemment annoncé l’envoi de nouvelles troupes dans le Golfe persique, aurait fortement hésité à frapper l’Iran. La raison? Punir son ennemi iranien qui a abattu un drone américain ce 20 juin 2019. Une action illégale selon Washington, puisque l’appareil faisait un vol d’observation au-dessus des eaux internationales. Une version différente de Téhéran, qui, en révélant la destruction du drone, certifiait que l’engin militaire se trouvait au-dessus de son territoire national.

Les incidents s’accumulent donc dans le golfe persique, mais, pour Ali Rastbeen, ces montées en tension précèdent plus une négociation qu’un affrontement direct entre les États-Unis et l’Iran. Ali Rastbeen, président de l’Académie de Géopolitique de Paris et fin connaisseur de l’Iran, pour avoir travaillé sur le dossier nucléaire du pays, s’est prêté au jeu des questions de Désalliances.

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Trump discute Iran et pétrole avec le prince Salman

 

Le 21 juin

Donald Trump s'est entretenu ce vendredi avec le prince héritier saoudien Mohammed Ben Salman de la stabilité au Moyen-Orient et du marché pétrolier, a annoncé la Maison blanche, alors que les tensions entre Washington et Téhéran ont fait grimper les cours du brut.

La conversation intervient au lendemain de la destruction par l'Iran d'un drone américain près du détroit d'Ormuz, qui a incité le président américain à ordonner des frappes contre la République islamique avant de se raviser. «Les deux dirigeants ont discuté du rôle crucial de l'Arabie saoudite pour assurer la stabilité au Moyen-Orient et sur le marché pétrolier mondial. Ils ont également discuté de la menace que représente le comportement de plus en plus dangereux du régime iranien», a déclaré la Maison blanche.

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Vladimir Poutine suspend tous les vols commerciaux russes avec la Géorgie

 

Prenant en compte une situation dégradée en Géorgie, où des manifestants ont tenté d’investir ce 20 juin le parlement géorgien, Vladimir Poutine a interdit par décret aux compagnies aériennes, à partir du 8 juillet, tous vols commerciaux de Russie vers la Géorgie.

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LIRE AUSSI: La situation dégénère en Géorgie, les autorités dénoncent «une tentative de coup d’État»

 

Algérie : un 18e vendredi de mobilisation marqué par une polémique sur les drapeaux

 

 

 

Le professeur de charia qatari Ahmad Zayed : Les chrétiens peuvent se porter candidats aux élections, mais les musulmans n’ont pas le droit de voter pour eux

 

Ahmad Zayed, professeur de charia à l’Université du Qatar, a déclaré lors d’un débat sur la chaîne Al-Araby (Royaume-Uni), le 12 juin 2019, que la loi islamique autorisait les non-musulmans à se présenter aux élections, mais que les musulmans ne pouvaient pas voter pour des candidats non musulmans, puisque selon la charia, le dirigeant doit être un musulman. L’universitaire saoudien basé au Qatar Raed Al-Samhouri a également participé au débat. Extraits : 

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Note : Selon le recensement de 2004, 77,5 % de la population est musulmane, 9 % sont hindouistes, 8,5 % sont chrétiens ( la plupart des travailleurs étrangers) et 5 % sont adeptes d'autres religions

 

Méditerranée : un bateau de pêche filmé en train de transborder 81 migrants sur une petite embarcation

 

 

Une vidéo tournée par un avion […] de l’agence Frontex montre le transbordement d’un groupe de migrants d’un bateau de pêche à un bateau plus petit, à environ 60 miles au sud de l’île de Lampedusa. Après le transbordement, le navire-mère est parti pour la Libye. Immédiatement, des procédures ont été prises pour le bloquer : sept personnes ont été retrouvées à bord, six Égyptiens et un Tunisien, et sont maintenant en détention pour avoir aidé et encouragé l’immigration illégale. Le bateau de pêche qui transportait 81 immigrants illégaux a été saisi dans les eaux internationales. Il arrivera en Italie, à Licata, le samedi matin.

repubblica.it

Nouvelles arrivées de migrants à Lampedusa, une fois de plus ramenés à terre par des patrouilleurs italiens tandis que les 43 migrants à bord du Sea Watch en sont à leur dixième jour comme « otages » sur le navire humanitaire allemand, auquel le gouvernement refuse l’entrée dans les eaux territoriales.

Dernier débarquement à 23 h 30 : 21 migrants ont été récupérés en mer près du Capo Ponente, tous originaires de Tunis. Aux petites heures du matin, 81 migrants sont arrivés, entrant dans les eaux italiennes sans être dérangés, suivis par un avion de Frontex qui avait identifié depuis hier après-midi le bateau sur lequel ils voyageaient alors qu’ils étaient à 25 miles de Lampedusa […]. Ils ont dit qu’ils étaient partis de la plage libyenne d’Al Zwara. Ils viennent du Bangladesh, d’Algérie, de Syrie, du Sénégal, du Maroc, de Tunisie et de Libye. Et le matin, deux autres bateaux sont arrivés avec 19 personnes à bord. […]

Le bateau de pêche, après avoir déposé les migrants sur un canot remorqué, avait immédiatement repris le chemin du retour vers la Libye. C’est une méthode éprouvée, celle du navire-mère, que les passeurs libyens et tunisiens utilisent de plus en plus fréquemment pour amener de petits bateaux avec des groupes de migrants à quelques kilomètres des eaux italiennes et faciliter leur entrée. Quand les bateaux entrent, les patrouilleurs italiens vont les récupérer et les emmènent à Lampedusa. Cette fois, avertis par un avion militaire, les douaniers se sont mis à la poursuite du bateau de pêche et ont réussi à l’atteindre après quelques heures. Saisi et remorqué à Lampedusa, après les premières vérifications, le ministère public d’Agrigente a ordonné la détention de l’équipage du navire. […]

La Repubblica

 

Xavier Raufer, criminologue : « Entre 40 et 80% des mineurs étrangers isolés ne le sont pas »

 

 

 

Belgique : Nourredine C., condamné à 30 ans de prison en 2007 pour le meurtre d’une policière, a été libéré. Incompréhension des policiers

 

Belgique – Nourredine Cheikhni, l’un des meurtriers de la policière Kitty Van Nieuwenhuysen, s’est vu retirer son bracelet électronique, comme l’a décidé vendredi le tribunal d’application des peines de Liège.

L’homme de 41 ans avait été condamné à 30 ans de prison pour le home-jacking avec circonstance aggravante de meurtre sur la policière Kitty Van Nieuwenhuysen en 2007. Il avait été placé sous surveillance électronique en septembre 2018, après avoir passé 10 ans en détention. Il est le premier des trois condamnés à être libéré.

Nourredine Cheikhni doit néanmoins répondre à une série de conditions. Il ne peut pas être en contact avec ses victimes. Cette semaine, un incident s’est produit en prison, lorsqu’il s’est retrouvé nez à nez avec l’une d’elles, selon Het Nieuwsblad.

Le retrait du bracelet électronique provoque beaucoup d’émotion et surtout l’incompréhension au sein des policiers, indique samedi Carlo Medo, président du NSPV-SNPS, syndicat national du personnel de police et de sécurité.

(…)

LaLibre.be

 

VIDÉO - Emmanuel Macron décore Elton John, et arrive main dans la main avec lui sur le perron de l'Elysée

 

DÉCORATION - Le président de la République a remis la Légion d'honneur à Elton John, vendredi 21 juin à l'Elysée. Les deux hommes sont ensuite arrivés main dans la main sur le perron de l'Elysée, où ils ont lancé un appel aux dons pour la lutte contre le sida.

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Note ; Macron se conduit comme  pucelle qui cherche a  se faire boucher  un trou. Ce mec est la  honte de la  cinquième république.

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