Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
troisiemeguerremondiale.net

troisiemeguerremondiale.net

Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

___________________________

Le 19 Décembre 2018

 

 

 

 

«Armée kosovare»: Moscou crie à une «violation gravissime» de la loi internationale

 

La création des «forces armées» du Kosovo contrevient à la résolution 1244 du Conseil de sécurité de l’Onu qui constitue la base du règlement du conflit kosovar, a déclaré lundi l'ambassadeur de la Russie auprès de l'Onu. Il a également dénoncé le comportement des pays occidentaux face à cette décision des autorités de la république autoproclamée.

Conseil de sécurité de l'Onu

La décision sur la transformation des forces de sécurité du Kosovo en armée régulière constitue une «violation gravissime» de la résolution 1244 du Conseil de sécurité de l'Onu et menace la paix dans la région, a déclaré Vassili Nebenzia, l'ambassadeur de la Russie auprès des Nations unies, lundi lors d'une séance extraordinaire du Conseil de sécurité de l'Onu.

Selon lui, la résolution 1244 de 1999 sur les forces de sécurité autorisées au Kosovo est un document international de base pour le règlement du conflit kosovar.

«La résolution contient des exigences absolument claires sur la démilitarisation de tous les groupes armés des Albanais kosovars en n'autorisant que le déploiement du personnel multinational sous contrôle international», a précisé le diplomate russe.

Il a également qualifié de «regrettable» la position de l'Union européenne qui, selon lui, «ferme les yeux sur la création illégitime de l'"armée" du Kosovo».

«La violation de la résolution 1244 a lieu non seulement sur fond du laisser-faire direct mais aussi avec le soutien des puissances occidentales, y compris moyennant la Force pour le Kosovo déployée dans la région en conformité avec cette résolution», a-t-il ajouté.

M.Nebenzia a fait part de son espoir que l'UE emploierait tous ses efforts afin d'«éviter la future dégradation de la situation», en insistant sur l'annulation des décisions «controversées» des autorités kosovares sur les droits de douane et les «forces armées».

Lire la suite

 

 

Suisse : les soldats prêts à servir dans l’armée kosovare créent le malaise

 

La création annoncée d’une armée au Kosovo fait des vagues dans les forces armées suisses. Des soldats aux racines kosovares se disent prêtes à retourner dans les Balkans pour servir leur pays d’origine, explique le Blick.
[…]
Ce jeune propriétaire d’un bar à shishas a bien fait son école de recrues en Suisse et il accomplit régulièrement ses cours de répétition. Il a confirmé ses propos au Blick mais en se disant prêt à aller servir dans la nouvelle armée, il s’expose à des problèmes juridiques. Toute personne ayant servi dans une armée ne peut plus servir dans un autre pays, double nationalité ou non.

L’armée suisse examine actuellement les dires des soldats double-nationaux mais elle n’apprécie pas que les reportages soient illustrés de photos de soldats en uniforme suisse. «Les soldats en uniforme n’ont pas le droit de faire de la propagande politique» […]

Kaltrina A., vivant à Berne, s’expose également à des mesures. Cette femme officier se dit «fière d’être Albanaise et fière de porter l’uniforme suisse». Sa famille dément toutefois que la jeune femme de 24 ans, qui étudie le droit et l’économie en Autriche, ait tenu de tels propos. Elle est la première femme d’origine kosovare à avoir été nommée lieutenant en février 2017, affirme le quotidien albanophone Bota Sot.

Ce n’est pas la première fois que l’armée suisse doit se pencher sur la conduite de ses soldats bi-nationaux d’origine balkanique. En avril 2015, des jeunes hommes en uniforme de l’armée suisse s’étaient pris en photo en train de poser avec un drapeau albanais. Et en février 2017, des recrues s’étaient également prises en photo en uniforme suisse mais en ayant ajouté un écusson albanais sur leur manche.

Le Matin

Après sa défaite en Syrie, Daech a-t-il l’Algérie dans sa ligne de mire?

 

Alger prend très au sérieux la menace d’exfiltration de terroristes de Daech* vers son territoire et ce en exploitant le flux migratoire venant de Syrie, de Palestine et du Yémen. C’est ce qu’a indiqué le directeur au ministère algérien de l’Intérieur chargé des migrations, précisant que les services de sécurité suivent la situation de près.

Lire l'article

 

 

Les États-Unis accepteraient de vendre des Patriot à Ankara pour évincer les S-400 russes?

 

Sur fond de tensions entre les États-Unis et la Turquie, provoquées notamment par l'intention d'Ankara d'acheter des S-400 russes, le département d'État américain a approuvé la vente de 80 missiles Patriot et d'autres équipements militaires à Ankara, ce qui ne signifie pas pourtant que le contrat a effectivement été conclu.

Lire l'article

 

 

Maroc : Deux touristes européennes égorgées au sud de Marrakech (MàJ : les victimes ont été décapitées)

 

Le 18 Décembre

 

Ces deux touristes, de nationalité norvégienne et danoise, étaient en visite dans la région après avoir séjourné, la veille, dans un hôtel de la ville ocre.
[…]

Telquel
«Situation chaotique»


La victime danoise, Louisa Vesterager Jespersen, âgée de 24 ans, «s’est fait trancher la gorge», a affirmé sa mère Helle Petersen, citée par le journal danois B.T.. Sa famille lui avait déconseillée de se rendre au Maroc «à cause de la situation chaotique», a-t-elle précisé. Selon les informations de sa page Facebook, Louisa étudiait en Norvège pour être guide et était avide d’aventures. L’autre victime était âgée de 28 ans, selon les médias marocains.

[…]

La victime norvégienne, Maren Ueland, était âgée de 28 ans. «Elle était tellement bien. Sa priorité était la sécurité. Les filles avaient pris toutes les précautions avant de s’embarquer pour ce voyage», a témoigné sa mère, Irene Ueland, à la radiotélévision norvégienne NRK.

[…]

«C’est très mauvais pour la région, il va sans doute y avoir des annulations» de séjours, a déclaré un guide local, Hossein, joint par l’AFP à Imlil, un village de montagne qui sert de point de départ des randonnées pour l’ascension du plus haut sommet d’Afrique du Nord, le Mont Toubkal

Tribune de Genève 

Un suspect arrêté dans l’affaire du meurtre de deux touristes scandinaves près du Toubkal

Il a été retrouvé à Marrakech.

[…]

“Dans le cadre des recherches et investigations effectuées sur fond de la découverte des corps de deux touristes étrangères dans la région de ‘Chamharouche’ dans le cercle de Imlil (province d’Al Haouz), le Bureau central d’investigations judiciaires (BCIJ) relevant de la Direction générale de la surveillance du territoire est parvenu, mardi matin, en étroite coordination et coopération avec les services de la Gendarmerie Royale et de la Sûreté nationale, à arrêter un individu pour son implication présumée dans ce crime”, peut-on lire dans le communiqué.

 

Après celui de Marrakech, les Nations unies adoptent un autre pacte mondial sur les réfugiés en toute discrétion

 

Contrairement au pacte mondial sur la migration (Pacte de Marrakech) qui a provoqué une levée de boucliers d’Etats membres soucieux de leur droit souverain et l’hostilité des formations populistes européennes, les négociations sur le pacte mondial pour les réfugiés sont passées relativement inaperçues.

Pendant dix-huit mois, ce texte non contraignant a été négocié sous la houlette du Haut-Commissariat aux réfugiés à Genève. Il a été formellement adopté, lundi 17 décembre, par l’Assemblée générale de l’ONU à une très vaste majorité, puisque 181 Etats membres ont voté pour. Seuls les Etats-Unis et la Hongrie ont voté contre. La République dominicaine, l’Erythrée et la Libye se sont abstenues.

Au nom des Etats européens, l’Allemagne a évoqué « une nécessité historique (…) et l’occasion unique pour [notre] génération d’écrire un nouveau chapitre pour les réfugiés ». L’idée d’engager une concertation multilatérale pour une meilleure prise en charge des réfugiés et des migrants était d’ailleurs venue dès 2015 de l’Europe, alors en proie à une vaste crise liée à l’afflux de déplacés sur le continent du fait des conflits en Libye et en Syrie.

Estimés à 25 millions dans le monde, les réfugiés – contrairement aux migrants – font l’objet d’une définition claire : il s’agit des personnes qui fuient un pays en guerre ou qui sont victimes de violences et de persécutions. En 1951, la convention de Genève puis le protocole de 1967 avaient reconnu l’obligation légale des Etats membres d’accueillir les ­réfugiés. « Mais le sujet de la coopération internationale et du partage des charges faisaient défaut dès le départ », reconnaît Volker Türk, haut-commissaire assistant en charge de la protection.

(…) Le Monde

 

Crise politique liée au pacte de Marrakech : Le Premier ministre belge Charles Michel démissionne à son tour

 

Le Premier ministre a présenté sa démission mardi soir devant la Chambre des députés, après plusieurs semaines de crise politique liée au pacte mondial de l’ONU sur les migrations.

Le Premier ministre belge Charles Michel a annoncé mardi soir la démission de son gouvernement de centre droit, neuf jours après le départ des ministres nationalistes flamands qui s’opposaient à ce que la Belgique soutienne le pacte mondial de l’ONU sur les migrations. Charles Michel en a fait l’annonce à l’issue d’un débat au Parlement, au cours duquel il avait appelé l’opposition à le soutenir au coup par coup, sur plusieurs thèmes-clés, pour permettre au gouvernement de continuer à travailler.

Un appel qui « n’a pas été entendu », a déploré le Premier ministre à l’issue d’une suspension de séance, tandis que socialistes et écologistes annonçaient le dépôt d’une motion visant à le renverser. « Je prends donc la décision de présenter ma démission et mon intention est de me rendre chez le roi immédiatement », a déclaré ce dirigeant libéral francophone, qui dirigeait le gouvernement depuis octobre 2014.

Sans majorité à la Chambre des députés. Depuis le 9 décembre, date du départ des ministres nationalistes flamands de la N-VA, Charles Michel était à la tête d’un gouvernement privé de majorité à la Chambre des députés. Ce parti flamand, dirigé par le maire d’Anvers Bart De Wever, avait posé certaines conditions pour continuer à soutenir le gouvernement « Michel II » et à voter notamment le projet de budget 2019. Mais ces conditions, parmi lesquelles la possibilité de rouvrir des discussions constitutionnelles, ont été jugées « inacceptables » par le Premier ministre.

 

Asile et immigration : Tsipras et Orbán font cause commune sur le dos de l’Europe

 

Sans surprise, le conseil européen de la semaine dernière a une nouvelle fois repoussé la réforme de l’asile et l’immigration. Il s’agit d’un ensemble de sept textes européens, dont cinq ne posent pas de problème particulier et « permettraient d’améliorer significativement la situation aux frontières de l’Europe », précise-t-on à Bruxelles. La question était donc posée de savoir si l’on pouvait disjoindre les cinq textes pour lesquels les 27 sont d’accord des deux autres, plus problématiques.

(…)

C’est le Grec Alexis Tsipras qui est sorti du bois et s’est fortement opposé à l’adoption formelle des cinq textes déjà approuvés. La Grèce, la plus exposée aux flux migratoires, ne souhaite pas que l’Union organise mieux l’accueil des réfugiés et la gestion de ceux qui trichent avec les règles. Et Viktor Orbán, le chef du gouvernement hongrois, s’est joint à lui. Pour des raisons diamétralement opposées !

Tsipras n’a pas joué le jeu, car il souhaite, à terme, l’adoption des sept textes tandis qu’Orbán refuse toujours le moindre principe de solidarité entre les Européens sur la question migratoire. Le tour de table a montré qu’aucune majorité ne se dégageait vraiment. La présidence autrichienne n’a donc pas réussi à faire avancer la réforme de Schengen et de l’asile d’un pouce en six mois. Ceux qui ne jouent pas le jeu collectif retiennent en otages cinq directives qui apporteraient un début de solution de manière à conserver un levier sur les deux textes les plus controversés portant sur la révision du règlement de Dublin III. C’est un jeu politique terrible qui consiste donc à laisser l’Union dysfonctionner pour pouvoir faire pression sur les voisins.

(…)

 

Alors que le nombre de clandestins tunisiens s’élève à 200 000, Mohamed Trabelsi a affirmé que son pays refuserait catégoriquement que les pays d’accueil les expulsent

 

La Tunisie refuse catégoriquement l’expulsion des migrants irréguliers tunisiens par les pays d’accueil, a affirmé, mardi 18 décembre, Mohamed Trabelsi, ministre des Affaires sociales, lors d’un séminaire organisé à l’occasion de la célébration de la journée internationale des migrants, sur le thème “Prioriser les Objectifs de Développement Durable (ODD) en lien avec la migration dans les stratégies nationales de développement”.

Le nombre des immigrés tunisiens irréguliers s’élève à 200 mille, a affirmé Trabelsi à l’inauguration de ce séminaire, soulignant que le gouvernement soutient leurs droits à l’accès aux services et à l’intégration aux pays d’accueil et n’accepte leur retour que s’ils expriment le désir d’y retourner.

Le ministre a dénoncé le recours de certains pays d’accueil à des mesures unilatérales, précisant que la problématique de la migration irrégulière ne peut se résoudre qu’à travers le recours aux conventions et rencontres internationales. […]

(Merci à Cécilia)

Espace Manager

 

Strasbourg : un rappeur « d’origine franco-ivoirienne » placé en détention, il aurait hébergé Cherif Chekatt et fourni l’arme à feu

 

Dans le cadre de l’enquête sur l’attentat terroriste de Strasbourg, Audrey Mondjehi ​​​​​​, un homme de 37 ans arrêté jeudi 13 décembre, a été mis en examen ce lundi soir pour « association de malfaiteurs terroriste criminelle », » acquisition, détention et cession d’armes de catégorie B par au moins deux personnes en relation avec une entreprise terroriste ». Il a été placé en détention provisoire.

L’homme, un Strasbourgeois originaire du quartier de Hautepierre, est soupçonné d’avoir joué un rôle dans la fourniture du revolver de la fin du XIXe siècle utilisé par Cherif Chekatt lors de l’attentat qui a fait cinq morts et onze blessés. […] Audrey Mondjehi a avoué avoir hébergé le tueur dans les nuits précédant l’attentat […] (il) a un lourd passé judiciaire : pillage d’un commerce et violence en 1997, agression d’un agent CTS en 1998, participation à une série de casses à la voiture bélier en 1999, coup de feu dans l’enceinte du CHU de Hautepierre en 2005 à l’issue d’une rixe, violences conjugales en 2007 et 2014. Il n’est cependant pas fiché S.

L’homme d’origine franco-ivoirienne est également connu dans le milieu du rap strasbourgeois sous le nom de scène « 1pulsif ». En 2008, il avait défrayé la chronique avec le clip de sa chanson DAR, Dangereux, armés, redoutables, qui mettait en scène l’enlèvement et le passage à tabac d’un homme déguisé en policier. […]

France 3

 

Immigration : la France choisit ses médecins en Tunisie

 

 

 

À la Pitié-Salpêtrière (Paris), le plus grand hôpital d’Europe, comme partout en France, on manque de médecins. Ahmed Ben Lallahom, anesthésiste, a fait toutes ses études en Tunisie et a choisi l’Hexagone pour sa dernière année de spécialité. Au fil du temps, le jeune homme s’est forgé une opinion, il ne voit pas son avenir professionnel en Tunisie. […]

Franceinfo

 

Près de 3000 pompiers agressés en 2017 du fait de « détresse sociale, d’individualisme, d’excès alcool et de drogues »

 

Trois fois plus d’agressions en dix ans: chaque année qui passe voit les pompiers envoyés secourir les personnes de plus en plus exposés aux violences provoquées par les détresses sociales, les comportements individualistes ou les excès d’alcool et de drogues.
[…]
Et 2018 semble prendre le même chemin: à Paris et en petite couronne, 293 pompiers ont été agressés sur les 11 premiers mois de l’année, contre 198 sur toute l’année 2017, selon la Brigade de sapeurs-pompiers de Paris (BSPP).
[…]
En 2017, le nombre d’agressions en France a atteint 2.813 (soit en moyenne 6 pompiers agressés pour 10.000 interventions), contre 2.280 en 2016 (5 pour 10.000). Le nombre de sapeurs-pompiers agressés pour 10.000 interventions en 2017 a été le plus élevé en Nouvelle-Aquitaine (14), en Bourgogne-Franche-Comté(13), dans le Grand Est (9) et les Hauts-de-France (8).

Le nombre d’agressions déclarées a notamment explosé à Paris et Marseille, où les pompiers sont militaires: +74% pour ceux de la BSPP et +68% pour ceux du Bataillon de marins-pompiers de Marseille (BMPM). « Les hausses significatives de ces dernières années sont notamment le fait de personnes en détresse sociale, fortement alcoolisées ou sous l’emprise de stupéfiants », explique à l’AFP le capitaine Fresse.

CNews

 

 

Net « durcissement » de l’opinion des Français sur la question migratoire, 67% jugent négative la politique actuelle

 

Le deuxième volet de l’étude réalisée par BVA pour la Presse régionale dans le cadre des élections européennes de 2019, consacré à la question migratoire, révèle un durcissement des Français sur le sujet.
67 % des Français ont ainsi une opinion négative de l’action menée par la France en matière d’immigration et 68 % ont une opinion négative de l’action menée par l’Europe dans ce domaine.

Sur le plan régional, c’est en Normandie (72 %) et dans les Hauts-de-France (70 %) qu’on trouve des parts plus élevées d’interviewés jugeant négativement l’action de la France en matière d’immigration.

Au sujet de l’accueil des migrants, 59 % des Français considèrent que l’Union européenne devait faire preuve de plus de fermeté alors qu’ils ne sont que 27 % à juger qu’elle devrait faire preuve de plus d’humanisme (14 % ne se prononcent pas sur cette question).

Près de deux tiers des Français jugent aussi que la France accueille trop de migrants (63 %).

Signe d’une certaine rigidification des opinions sur la question de l’asile, seuls 52 % des Français s’accordent sur le fait que la France doit accueillir les réfugiés qui lui demandent l’asile parce qu’ils sont persécutés dans leur pays, soit 13 points de moins qu’en janvier 2018 et 23 points de moins en comparaison à l’enquête IPSOS pour le HCR de novembre 1999.

Courrier de l’Ouest 

 

Commenter cet article