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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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  5 juillet 2018

 

 

 

L’Iran menace de bloquer les exportations de pétrole depuis le Golfe

 

Téhéran a menacé d'ordonner le blocage du détroit d’Ormuz si Washington mettait à exécution son projet d'imposer des pénalités financières aux pays qui continueront à importer du pétrole iranien après le 4 novembre.

Hassan Rohani a menacé de bloquer le trafic pétrolier des pays voisins si les États-Unis prennent de nouvelles sanctions contre les ventes pétrolières iraniennes, relate Reuters.

L'Iran a trouvé un moyen d’enfoncer les USA
Le Président iranien n'a pas précisé ce qu'il entendait par là, mais un commandant des Gardiens de la Révolution iranienne s'est dit mercredi prêt à s'opposer aux exportations pétrolières des pays du Golfe si les États-Unis imposent un boycott international sur les hydrocarbures iraniens.

«S'ils veulent bloquer les exportations iraniennes de pétrole, nous ne permettrons à aucune cargaison pétrolière de passer par le détroit d'Ormuz», a déclaré Ismaïl Kowsari, selon le site internet du Club des jeunes journalistes (YJC).

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L’armée syrienne s’empare de systèmes de missiles antichars américains TOW (vidéo)

 

Lors de leur opération militaire dans le gouvernorat de Deraa, les troupes syriennes ont pris de nombreux matériels aux terroristes, à savoir des véhicules blindés, des pièces d’artillerie, des mortiers ou encore des systèmes de missiles antichars américains TOW.

Les militaires syriens ont saisi plusieurs véhicules blindés et des armements, dont des systèmes de missiles antichars américains TOW, lorsqu'ils libéraient la province de Deraa des terroristes, relate l'agence Sana.

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Attentats du 13-Novembre : des victimes et des proches demandent la reconnaissance de la responsabilité de l'État français

 

Une trentaine de victimes ou proches de victimes des attentats du 13 novembre 2015 à Paris forment, mercredi, un recours contre l'État devant le tribunal administratif de Paris, dénonçant des dysfonctionnements et des fautes. 

La responsabilité de l'Etat français peut-elle être reconnue dans la survenue des attentats, le 13 novembre 2015, qui ont fait 130 morts et 413 blessés à Paris et Saint-Denis ? Une trentaine de victimes ou proches de victimes, la plupart représentés par l'avocate Samia Maktouf forment, mercredi 4 juillet, un recours contre l'État devant le tribunal administratif de Paris afin d'engager la responsabilité du ministère de l'Intérieur. La décision sera rendue le 18 juillet.

Ces familles de personnes décédées et ces blessés pointent du doigt ce qu'ils estiment être des dysfonctionnements et même des fautes de l'État, notamment la non intervention des militaires de la force Sentinelle se trouvant devant le Bataclan au moment de l'attaque dans la salle de spectacle.

La question sur les militaires taraude les victimes 

Si les huit militaires de la force Sentinelle présents le soir de l'attentat dans la rue du Bataclan avaient reçu l'ordre du ministère de l'Intérieur d'entrer dans la salle de spectacle, le bilan aurait-il été si lourd ? Pour ces familles qui intentent un recours contre l'État, c'était une erreur d'ordonner à ces soldats de ne pas intervenir à l'intérieur. Erreur aussi, disent-elles, d'avoir interdit aux militaires de remettre leurs fusils d'assaut aux policiers de la BAC pourtant insuffisamment équipés au moment où ceux-ci entrent dans l'établissement.

Concernant la non intervention des militaires devant le Bataclan, plusieurs victimes ou familles de victimes ont aussi décidé - en plus de cette démarche devant le tribunal administratif - de porter plainte au mois de juin au pénal. Une plainte contre X pour "non-assistance à personne en péril".

Des interrogations sur la surveillance des terroristes

Le recours devant la justice administrative vise aussi de "graves dysfonctionnements" en amont des attentats dans la surveillance des neuf terroristes du 13 novembre 2015. Certains étaient connus, fichés, sous contrôle judiciaires, d'autres faisaient l'objet d'une surveillance des services de renseignement. Une surveillance interrompue pour certains peu avant leur passage à l'acte. 

Le cas le plus éloquent est celui de Samy Amimour, l'un des kamikazes du Bataclan. Sous contrôle judiciaire, il était sous le coup d'une interdiction de quitter le territoire, son passeport lui avait été retiré. Mais il a réussi à se refaire des papiers en prétextant, auprès des services de la préfecture, qu'il les avait perdus. En principe, toute demande de nouveaux documents d'identité déclenche la consultation du fichier des personnes recherchées ou interdites de sortie du territoire. Cette vérification n'a pas été faite et Amimour a obtenu un nouveau passeport qui lui a permis de traverser l'Europe et de rejoindre la Syrie et de revenir aussi facilement pour participer aux attaques du 13-Novembre, échappant à tout contrôle des autorités françaises.

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Fausses informations : l'Assemblée adopte deux propositions de loi très critiquées par l'opposition

 

Le 4 jullet

«Totalitarisme glamour» : à droite comme à gauche, l'opposition a vertement critiqué les propositions de lois votées le 3 juillet par la majorité contre la «manipulation de l'information» en période électorale.

C'est dans la discrétion d'une nuit d'été, le 3 juillet, que l'Assemblée nationale a voté deux propositions de loi controversées contre la «manipulation de l'information» en période électorale.

Ces deux propositions de loi – ordinaire pour la première, organique pour la seconde, applicable pendant l'élection présidentielle – visent à permettre à un candidat ou parti de saisir le juge des référés pour faire cesser la diffusion de «fausses informations» durant les trois mois précédant un scrutin national. La première a été adoptée par 52 voix contre 22, la seconde par 54 contre 21, soutenues par LREM et une majorité des MoDem, malgré des réserves sur ce «premier pas».

Après un débat tendu resté inachevé en juin, portant notamment sur la définition même de «fausse nouvelles», le ministre de la Culture Françoise Nyssen s'est félicitée du vote d'un texte «précieux pour mieux protéger notre démocratie», qu'elle juge efficace et à la hauteur des enjeux.

«Totalitarisme glamour»

Mais les – nombreux – opposants aux textes ont une nouvelle fois mis en garde contre les dangers qu'ils comportent. Ainsi à droite, la député LR Constance Le Grip s'est inquiétée de textes «au mieux inapplicables et donc inutiles, au pire dangereux», et ce en dépit des réécritures successives, notamment pour la définition d'une fausse nouvelle.

Un point de vue qu'avait mis en avant début juin la présidente du Rassemblement national Marine Le Pen, pour qui ce texte «liberticide» bafoue «les valeurs de la démocratie». Dans l'hémicycle le 3 juillet, son parti a fustigé «une sorte de totalitarisme glamour» des «censeurs de l'information», alors qu'Emmanuelle Ménard, députée apparentée RN, a pour sa part estimé qu'il était «extrêmement dangereux» de laisser au CSA «les clefs de la censure». 

De son côté, le président de Debout la France Nicolas Dupont-Aignan a jugé que cette initiative du «roi de la fausse information élu président de la République», visait particulièrement RT France, qui dérange le pouvoir en place par sa capacité à traiter de sujets délaissés par les médias traditionnels.

Le souverainiste n'est par ailleurs pas le seul a suspecter que ces textes ont également une vocation géopolitique. A gauche de l'échiquier politique, le leader des Insoumis Jean-Luc Mélenchon expliquait début juin que ces lois, qui sont de «grossières tentatives de contrôle de l'information», s'inscrivaient dans une bataille «pour le "soft" pouvoir». «J’ai cru comprendre que c’était Russia Today que vous cibliez», a lancé le député Eric Cocquerel dans l'hémicycle le 3 juillet, dénonçant des sanctions géopolitiques dans la continuité des mesures prises aux Etats-Unis contre RT.

Source

 

 

Europe : la présidence autrichienne va piloter une UE fissurée durant 6 mois

 

[…] Sebastian Kurz, le jeune dirigeant conservateur de 31 ans, au pouvoir depuis un peu plus de six mois à Vienne, bénéficie d’un soutien de taille, celui du PPE, le parti de la droite européenne majoritaire au parlement européen, auquel il appartient.

 

[…] Sébastien Maillard, directeur de l’Institut Jacques Delors, pointe les risques que présente la présidence autrichienne de l’UE pour les six prochains mois.

«Ce n’est pas la première fois qu’un parti d’extrême droite est associé au pouvoir dans un pays de l’UE mais le contexte politique est très différent car pour la première fois, il compte plusieurs alliés autour de la table du Conseil –les 28 Etats membres de l’Union– avec l’Italie, la Bulgarie et la Finlande. Il peut donc s’appuyer sur beaucoup de relais», a-t-il souligné […].

Après avoir construit son ascension dans son pays sur la promesse d’une politique migratoire sans concession, M. Kurz a de nouveau érigé ce sujet comme l’une des priorités de sa présidence de l’UE, avec un point de vue très sécuritaire, puisqu’il s’agit avant tout de protéger les frontières extérieures de l’Union.[…]

«Construire des ponts, faire des compromis», c’est effectivement le rôle du pays qui assure la présidence tournante de l’UE de parvenir à trouver des solutions parmi les 27 autres Etats qui ne sont pas forcément du même avis, rapprocher les pays de l’est et ceux de l’ouest, ou du nord et du sud. M. Kurz ne cesse d’ailleurs de présenter son rôle comme celui d’un «bâtisseur de ponts» entre les membres de l’UE. […]

Libération

 

 

 

 

 

La Grande Mosquée de Poitiers est dédiée aux « martyrs » qui attaquèrent notre terre , confidence de l’imâm UOIF (Vidéo)

 

Dans un reportage de la chaîne qatari Al Rayyan, l’imam de la Grande mosquée de Poitiers Boubaker El Hadhj Amor, révèle que sa mosquée porte le nom arabe de la Bataille de Poitiers.

Dans cette vidéo en arabe, Boubaker Al-Hadj Amor révèle le vrai nom de la "Grande Mosquée de Poitiers " : Balat al-Chouhada... le nom islamique de la bataille de Poitiers en 732 !

voir vidéo et scans

 

 

 

Entre 8% et 20% d'immigrés illégaux en Seine-Saint-Denis, selon un rapport parlementaire

 

Un rapport parlementaire présenté ce 31 mai par deux députés LR et LREM, estime la population de Seine-Saint-Denis constituée, pour 8% à 20%, d'immigrés illégaux. L'Etat est pointé du doigt pour son incapacité à effectuer un chiffrage exact.

Les députés François Cornut-Gentille (Les Républicains) et Rodrigue Kokouendo (La République en marche) ont présenté en date du 31 mai un rapport parlementaire qui signale que les immigrés illégaux représentent entre 8% et 20% de la population vivant en Seine-Saint-Denis.

Philippe Dallier, sénateur LR, a demandé ce 14 juin à être reçu à Matignon à ce sujet, en compagnie de 14 des 17 députés et sénateurs de Seine-Saint-Denis – tous bords politiques confondus – afin que «l'Etat assume pleinement ses responsabilités dans ce département sinistré entre tous» et donne suite au rapport parlementaire de leurs collègues, rapporte Le Figaro ce 4 juillet

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Note:  pas étonnant vu qu'ils peuvent se fondre dans la masse

 

 

La France va accueillir 132 migrants érythréens et soudanais de l’« Aquarius » et du « Lifeline » (Màj)

 

 

 

 

Les tribunaux allemands débordés par les demandes d’asile : 350.000 procédures en cours

 

« Avec l’aide de Dieu (Allah), ma famille sera bientôt là. » Youssef, réfugié syrien

Note: Il va bientôt être temps de reconstruire la Syrie. Que ses Syriens démontrent leurs courages en retournant dans leur pays (malheureusement faut pas trop espérer de personnes qui nous ont déjà démontrés leur l’acheter en fuyant leurs problèmes plutôt que dit faire face)

 

Jawad Bendaoud en garde à vue pour outrage et rébellion

 

Une information Europe 1 : Le « logeur de Daech » a été interpellé après avoir insulté des forces de l’ordre en filmant la scène avec son portable. Il avait sur lui quelques grammes de cannabis.

Jawad Bendaoud a été interpellé à Saint-Denis et placé en garde à vue mercredi en fin de journée, après avoir insulté des policiers en filmant la scène avec son téléphone, selon les informations recueillies par Europe 1.

Lors de son interpellation, il aurait encouragé les jeunes présents à proximité à le libérer. Jawad Bendaoud avait sur lui quelques grammes de cannabis.

Son avocat indique vouloir déposer plainte pour « violation du secret de l’instruction » . « Furieux » , son avocat, Xavier Nogueras, s’est refusé à confirmer la garde à vue et a indiqué vouloir déposer plainte pour « violation du secret de l’enquête » .

Placement en psychiatrie en juin dernier. En juin dernier, Jawad Bendaoud avait été hospitalisé en psychiatrie après une crise de démence survenue chez ses parents à Saint-Denis. C’est sa famille qui aurait appelé la police et l’aurait fait interner d’office. Le « logeur de Daech » est rapidement sorti de l’hôpital et a été ramené au domicile familial en début de soirée par son père.

Europe 1

 

L’imam Mohamed Tatai de la nouvelle Grande Mosquée de Toulouse a-t-il appelé au meurtre des juifs ? (MàJ : la communauté juive de Toulouse rompt le dialogue avec l’imam)

 

05/07/18

La communauté juive de Toulouse rompt le dialogue avec l’imam Tataï après son prêche polémique
C’est chose faite, mercredi 4 juillet 2018, en fin de journée. Franck Touboul, le président du CRIF Midi-Pyrénées Toulouse indique dans un communiqué rompre le dialogue avec l’imam de la mosquée de Toulouse, qui a été inaugurée le 23 juin dernier : « La retenue médiatique n’est pas synonyme de faiblesse ou d’indulgence ; pourtant le communiqué de la Grande Mosquée de Paris relatif aux propos antisémites de Monsieur Tataï amène le CRIF MP à rappeler quelques vérités », explique-t-il. (…)

Et d’ajouter : « Ces propos ne sont pas, comme semble vouloir le dire la Grande Mosquée de Paris, une ‘eschatologie des fins dernières et à la souffrance du peuple juif’. Ils sont une eschatologie des fins dernières qui justifie de tuer des Juifs au nom de l’Islam. Comment oser parler ensuite d’excuses auprès de la communauté juive et d’interprétation ‘décontextualisée’ ? Ces propos ne souffrent d’aucune ambiguïté ».

actu.fr

02/07/18

La Grande Mosquée de Paris affirme son soutien à Mohamed Tatai. L’imam d’origine algérienne, président de la Grande Mosquée de Toulouse récemment inaugurée, est au centre d’une vive polémique autour de prêches du vendredi en fin d’année 2017 dont les propos sont susceptibles de constituer une incitation à la haine à l’encontre des juifs.

Appelé à clarifier ses positions après son prêche controversé « consacré à l’eschatologie des fins dernières et à la souffrance du peuple juif », Mohamed Tatai a été convoqué par la Grande Mosquée de Paris. A l’issue de son entretien avec le recteur Dalil Boubakeur lundi 2 juillet, et « en présence de son conseil d’imams », l’imam, qui ne parle qu’en arabe, « s’excuse profondément auprès de ses amis de la communauté juive de Toulouse et de France de l’interprétation décontextualisée de ses propos ».

Il « proteste vivement de sa bonne foi » et « rappelle qu’il a toujours appelé dans ses prêches au respect de toutes les communautés religieuses et en particulier la communauté juive qu’il évoque constamment en terme favorable (Moïse est cité 134 fois dans le Coran) et avec qui il entretient d’excellents rapports », indique la Grande Mosquée de Paris dans un communiqué.

«Aussi, l’imam Mohammed Tataï s’engage comme par le passé à insister sur le vivre-ensemble et sur la nécessaire entente interreligieuse. Et en raison de son engagement exemplaire à Toulouse et dans la région en faveur du vivre-ensemble, la Mosquée de Paris souhaite que l’imam Tataï poursuive sa mission dans la paix, le dialogue et la sérénité», ajoute l’institution proche d’Alger.

saphirnews

 

Fillon revient et mobilise pour les chrétiens d'Orient

 

Retiré de la vie politique, l’ancien candidat à la présidentielle revient sur un autre terrain : celui des minorités d’Orient pour lesquelles il mobilise ses réseaux.

C’est une «belle cause» qui lui tient, selon ses mots, «fortement à cœur». Une cause suffisante pour que François Fillon sorte du silence qu’il s’impose depuis sa défaite à l’élection présidentielle. Dans un courrier adressé à ses amis et soutiens, l’ancien Premier ministre reprend la parole pour la défense des chrétiens d’Orient. Un combat qu’il mène depuis 2014 et qui l’a conduit à se rendre, à plusieurs reprises, dans des camps de réfugiés en Irak.

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