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26 juillet 2018
Syrie : les attentats revendiqués par l’EI font plus de 200 morts dans le sud du pays
La province de Souweïda est notamment la cible d’attaques kamikazes, provoquant l’un des bilans les plus lourds depuis le début de la guerre.
La région druze de Souweïda, au sud-ouest de la Syrie, qui avait réussi à rester à l’écart du conflit syrien pendant plus de sept ans, a été brutalement rattrapée par les violences. Mercredi 25 juillet, une série d’attaques revendiquées par l’organisation Etat islamique (EI) y a causé la mort de plus de 200 personnes, civils et combattants.
Cette opération de grande envergure, dans une zone sous le contrôle des forces gouvernementales, confirme le regain d’activité du groupe djihadiste en Syrie, après le recul majeur qu’a constitué la perte de Rakka, son quartier général, conquis par les forces kurdes, en octobre 2017. Elle illustre toute la difficulté qu’aura le pouvoir syrien à stabiliser le pays, en dépit de ses victoires sur le terrain et de l’écroulement, les uns après les autres, des fiefs rebelles.
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Israël dévoile le nom de la femme ayant abattu le Sukhoi syrien (photo)
Les détails sur l’avion syrien abattu ce mardi par l’armée israélienne se multiplient. Cette fois-ci, le nom du militaire qui a abattu le Sukhoi syrien, a été révélé. Comme l’indique The Jerusalem Post, il s’agit d’une femme, capitaine du 138e bataillon de l'armée de l'air d'Israël.
L'avion militaire syrien Sukhoi a été abattu par des missiles Patriot israéliens sous le commandement de la capitaine Or Na'aman, a rapporté The Jerusalem Post.
La journaliste israélienne Or Heller a partagé sur son compte Twitter une photo d'Or Na'aman.
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Une église mitraillée en plein jour au Pakistan

- Donald Trump a mis en avant la volonté commune d'aller à terme vers «zéro tarifs douaniers» dans les échanges industriels, sauf automobile.
- Il a promis de «résoudre» la question des tarifs douaniers américains sur l'acier et l'aluminium européens, qui avaient mis le feu aux poudres.
- Aucun nouveau tarif douanier ne devrait être imposé sur les importations de voitures européennes aux Etats-Unis.
- La portée exacte des décisions reste cependant à confirmer et aucune échéance n'a été avancée.
C’est un « grand jour » pour le libre-échange, s’est félicité Donald Trump après sa rencontre avec le chef de l’exécutif européen Jean-Claude Juncker mercredi. Réunis à la Maison Blanche, les deux hommes ont désamorcé la crise née des tarifs douaniers imposés par les Etats-Unis, annonçant une série de décisions dans l’agriculture, l’industrie et l’énergie dont la portée exacte reste cependant à confirmer.
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Ceuta (Maroc) : 400 migrants subsahariens franchissent la frontière et jettent de la chaux vive sur la Garde civile
Quelque 400 migrants originaires d’Afrique subsaharienne ont franchi jeudi à l’aube depuis le Maroc une haute barrière frontalière pour entrer dans l’enclave espagnole de Ceuta, certains jetant de la chaux vive sur les gardes.
Ce passage massif de la barrière est le plus important à Ceuta depuis février 2017, quand plus de 850 Africains étaient entrés en quatre jours, dans une zone difficile à surveiller, notamment en cassant les portes d’accès avec cisailles et marteaux.
Cette fois, les centaines de jeunes migrants ont franchi la double clôture vers 6h30, soudainement et tous ensemble. Un porte-parole de la Garde civile a assuré à l’AFP qu’ils l’avaient fait « d’un coup, avec une grande violence« , certains jetant notamment sur des agents de la chaux vive apportée dans des tubes et bouteilles. « Plus d’une dizaine de gardes » ont été blessés, dont quatre ont dû être hospitalisés pour des brûlures au visage et aux bras, selon la Garde civile.
Le Figaro
Migrants : le bras de fer continue entre l’Italie et l’UE
Les chefs d’Etat européens ont jusqu’à la fin août pour s’entendre sur une répartition des migrants débarqués sur les côtes du continent. Un ultimatum lancé par l’Italie qui refuse de prendre en charge les rescapés après cette date.
Le chiffre est alarmant. Une personne sur sept ayant traversé la Méditerranée a trouvé la mort au mois de juin, selon le Haut-Commissariat aux réfugiés de l’ONU. L’urgence est absolue mais les Vingt-huit peinent à trouver un terrain d’entente sur l’accueil des migrants. Les négociations sont en cours et l’Italie tente encore et toujours de tirer son épingle du jeu, un mois après la crise diplomatique qui a opposé son gouvernement à Emmanuel Macron concernant l’accueil du navire humanitaire de l’ONG Aquarius avec 629 migrants à bord.
L’Italie, qui doit prendre en charge la majorité des arrivées sur les côtes européennes, tente d’imposer ses conditions. Dans un courrier adressé à la cheffe de la diplomatie de l’UE Federica Mogherini, le ministre des Affaires étrangères Enzo Moavero Milanesi a rappelé que « l’Italie ne veut plus être l’unique pays de débarquement des migrants sauvés en mer par les unités navales de l’opération Sophia ». Équipée de six navires de pays de l’UE et commandée par l’Italie, cette mission a permis de secourir près de 44.000 personnes. Fin août, ces rescapés ne pourront plus être débarqués uniquement en Italie.
Après avoir interdit aux bateaux des ONG de débarquer sur les côtés italiennes, le gouvernement italien souhaite donc également fermer ses ports aux navires des missions européennes. L’Italie a laissé aux Etats membres un délai de cinq semaines pour répondre à cet ultimatum et trouver un moyen de se répartir les débarquements. […]
Le JDD
Calais (62) : des échauffourées ont éclaté entre migrants et habitants, deux femmes blessées
Des échauffourées ont éclaté mercredi soir à Calais, avenue Guynemer dans le quartier du Beau-Marais. Les forces de l’ordre et les pompiers sont intervenus.
Une vingtaine de réfugiés très fortement alcoolisés ont proféré des insultes, tapé aux portes et jeté des projectiles sur des habitations de l’avenue Guyemer, dans le quartier du Beau-Marais. Des riverains sont intervenus pour les calmer. Intervention également des forces de l’ordre et des pompiers pour les disperser. Les migrants ont brisé les vitres de véhicules dont certains étaient en circulation. Deux migrants ont été interpellés. Deux femmes, blessées légèrement, suite aux éclats de verre ont été prises en charge et transportées à l’hôpital. Un migrant de nationalité érythréenne a également été transporté.
Radio6.fr
Affaire Benalla «Le copinage avec le président de la République est en cause»
Affaire Benalla : « L’habile tour de passe-passe de Macron » (Edito du Monde)
Editorial du Monde relatif à la réaction d’Emmanuel Macron sur l’affaire Benalla intitulé « L’habile tour de passe-passe de Macron ».
[…] Plus jupitérien que jamais, M. Macron a assumé son exercice très vertical du pouvoir et sa méfiance vis-à-vis de tous les contre-pouvoirs. Il voit dans cette affaire « un spectacle où la tentation pour presque tous les pouvoirs est de sortir de son lit ». Ses accusations sont graves.
La presse ? Elle « ne cherche plus la vérité » et « veut devenir un pouvoir judiciaire qui a décidé qu’il n’y avait plus de présomption d’innocence ». La justice ? Il se dit attaché à ce qu’elle fasse son travail. Mais il relève un « problème de fonctionnement », avec des auditions et des recherches qui sortent « à la seconde même dans la presse ». Le pouvoir législatif ? Il est tenté, énonce-t-il en visant plus particulièrement la « coalition baroque » des oppositions, « de se substituer à la justice et de devenir un tribunal populaire ».
En malmenant les contre-pouvoirs, en laissant planer des zones d’ombre, des imprécisions, des omissions, voire des contradictions, le président de la République fait un pari osé. Le résultat de sa contre-attaque pourrait aboutir à l’inverse de l’objectif recherché et mettre de l’huile sur le feu en galvanisant ses oppositions. M. Macron espère sans doute que l’été apaisera la fièvre et que le Parlement reprendra à la rentrée le chemin de la réforme constitutionnelle. Mais il n’est pas sûr qu’il ait rempli son rôle de gardien des institutions.
Le Monde
«C’était l’opportunité d’atteindre le Président»: Benalla s’exprime en public
Près d'une semaine après les révélations de l'affaire Benalla, le principal intéressé a accordé un long entretien au Monde. Selon lui, l'affaire révélée par Le Monde le 18 juillet «est une façon d'attraper le Président de la République par le colbac».
Alexandre Benalla, l'ex-collaborateur de l'Élysée au cœur de l'affaire qui touche l'exécutif, a accordé pour la première fois un long entretien au Monde.
«Moi je n'ai pas le sentiment d'avoir trahi le président de la République, j'ai le sentiment d'avoir fait une grosse bêtise. Et d'avoir commis une faute. Mais cette faute, elle est plus d'un point de vue politique: je n'aurais jamais dû aller sur cette manifestation en tant qu'observateur, puis j'aurais peut-être dû rester en retrait», affirme-t-il au sujet des faits de violence envers un manifestant le 1er mai pour lesquels il est mis en examen.
Pourtant, selon M.Benalla, Emmanuel Macron lui a dit après sa sanction qu'il avait commis une faute grave mais que ça n'enlevait pas la confiance qu'il avait en lui. L'ex-collaborateur de l'Élysée a dénoncé «une volonté d'atteindre le Président de la République»:
«Je dis pas que j'ai servi de fusible, je dis juste que ça a servi plusieurs intérêts, un intérêt pour atteindre le Président de la République, à un moment pas mal pour lui, une bonne séquence».
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Affaire Benalla : ce que l'on sait du couple agressé
Pour la première fois depuis le début de l'affaire Benalla, on en sait davantage ce mercredi 25 juillet sur les deux jeunes molestés par l'ancien collaborateur d'Emmanuel Macron. Il s'agit d'un couple d'une trentaine d'années. Elle est française, lui est grec et habite en France depuis quatre ans. Tous les deux travaillent. Selon leur avocat, le 1er mai dernier, ils ne manifestaient pas et étaient sur la place de la Contrescarpe pour prendre un verre. Face à une charge des CRS qui allait dans leur direction, ils ont eu ce que leur avocat qualifie aujourd'hui de "réaction un peu irréfléchie" et ont lancé une carafe d'eau et un cendrier sur les policiers.
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Lire aussi: Affaire Benalla : l'irresponsable sortie de Macron contre le «pouvoir médiatique»
Et : Macron sur Benalla : «Je suis fier de l'avoir embauché à l'Élysée»
Affaire Benalla: les députés LR vont déposer une motion de censure contre le gouvernement
Les députés du parti Les Républicains ont annoncé leur décision de déposer une motion de censure à l’encontre du gouvernement français en raison de l’affaire Benalla, a déclaré mardi Christian Jacob, le président du groupe LR à l'Assemblée nationale.
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25 juillet 2018
Une centaine de morts dans les attentats de Daech dans le sud de la Syrie
Le bilan des puissantes attaques qui ont frappé mercredi la ville syrienne de Soueïda et ont été revendiquées par Daech*, a été largement revisé à la hausse: au moins 100 personnes y ont trouvé la mort et 176 autres ont été blessées, a appris Sputnik d'une source policère.
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Un Américain capturé en Syrie inculpé pour collaboration avec Daech
Ibraheem Izzy Musaibli, originaire de l'État du Michigan et âgé de 28 ans, sera bientôt jugé aux Etats-Unis pour collaboration avec Daech* à l'époque de son «califat» autoproclamé.
Un ressortissant américain accusé d'avoir collaboré avec les djihadistes de Daech* en Syrie a été rapatrié aux États-Unis pour y être jugé, a fait savoir le département de la Justice.
Il s'agit d'Ibraheem Izzy Musaibli, originaire de l'État du Michigan et âgé de 28 ans, qui est accusé d'avoir participé aux activités de Daech* durant la période comprise entre avril 2015 et juin 2018
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Ils ne tiendraient plus qu’un territoire évalué à « 30 kilomètres sur 10 ». Les combats de la coalition internationale contre les derniers combattants de Daesh dans la vallée de l’Euphrate en Syrie devraient encore durer « au moins deux ou trois mois », selon le commandant des forces françaises au sein de la coalition, le général Frédéric Parisot.
La zone encore contrôlée par Daesh est située dans la vallée de l’Euphrate, entre les villes de Hajin et de Boukamal, dans la province de Deir Ezzor (est), a précisé le général Parisot au cours d’une téléconférence avec des journalistes du Pentagone, évaluant le nombre de combattants de Daesh restants à « quelques centaines ».
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Le groupe Etat islamique a revendiqué l'attaque de Toronto ce mercredi, via son agence de propagande. Deux personnes ont été tuées et treize autres blessées dimanche soir dans la métropole économique du Canada, dans une fusillade au cours de laquelle le tireur présumé est mort après un échange de coups de feu avec la police.
Le tireur avait été identifié comme Faisal Hussain, un résident de Toronto. Selon sa famille, il souffrait depuis son enfance de « sérieux problèmes mentaux » qu’il n’a jamais pu surmonter même s’il a pris des médicaments et suivi des thérapies.
« Nous sommes totalement dévastés par le fait que notre fils ait été responsable de cette violence insensée et de ces pertes de vie », a dit sa famille dans une lettre adressée à la chaîne publique CBC.
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Le Royaume-Uni consent à une éventuelle peine de mort aux Etats-Unis pour deux djihadistes anglais

Deux djihadistes britanniques, membre de la cellule dite des «Beatles» et responsables de l’exécution d’au moins 27 otages, seront transférés aux Etats-Unis, où ils risquent la peine capitale. Londres ne s'y oppose pas.
Alexanda Kotey et El Shafee Elsheikh, deux djihadistes britanniques parmi les plus recherchés du pays, vont être transférés de Kobané, en Syrie, vers les Etats-Unis pour être jugés pour leurs crimes présumés. Sachant qu'ils risquent la peine de mort, les autorités anglaises ont collaboré avec les Américains, sans exiger que leurs ressortissants soient épargnés.
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Indonésie : 4 ans de prison ferme pour un chrétien accusé d’insulte à l’islam
Martinus Gulo, un chrétien de 21 ans, a été condamné en Indonésie à quatre ans de prison pour avoir traité le prophète Mahomet de porc sur son compte Facebook, en vertu d’une loi controversée dans le pays musulman le plus peuplé au monde.
Des dizaines d’islamistes partisans d’une ligne dure ont scandé « Allah Akbar » (« Dieu est le plus grand », en arabe) à la lecture du jugement mardi par un tribunal de Medan (ouest), qui a reconnu coupable Martinus Gulo, un étudiant de 21 ans, d’avoir insulté l’islam en répandant de la haine.
« Le prévenu a abusé d’informations en heurtant les croyants via son compte Facebook et est condamné à quatre de prison ferme« , a déclaré le président de la juridiction, Saïdine Bagariang. L’étudiant s’est aussi vu infliger une amende d’un milliard de roupies (59.750 euros) ou six mois de prison supplémentaires. Il a été condamné pour avoir enfreint la loi sur l’information et les transactions électroniques, qui sanctionne toute propagation de haine, un texte critiqué par des ONG lui reprochant d’être vague et d’ouvrir la voie à des poursuites pénales contre des minorités et critiques du pouvoir.
Martinus Gulo avait été arrêté en mars après avoir traité le prophète Mahomet de porc, animal jugé impur par l’islam. Il avait été dénoncé à la police par des militants du Front des défenseurs de l’islam (FPI), une organisation fondamentaliste se présentant comme un chantre de l’ordre moral. […]
Le Figaro
Une femme en burqa interpellée après avoir fait irruption dans un centre de loisirs à Grisolles (Tarn-et-Garonne)
Quelles étaient ses motivations ? Une jeune femme d'une vingtaine d'années, de nationalité canadienne, a fait irruption tôt ce mercredi matin dans les locaux du centre de loisirs pour enfants, rue des déportés à Grisolles (Tarn-et-Garonne) puis s'y est retranchée, a-t-on appris auprès des gendarmes.
La jeune femme, menaçante, est entrée vers 7h45, portait une burqa et a crié "Allah akbar", selon les termes employés par le commandant du groupement de gendarmerie du Tarn-et-Garonne, le lieutenant-colonel Gaël Ronde.
Plusieurs personnes choquées
Il y avait 8 personnes à ce moment-là dans le centre de loisirs (des animateurs et du personnel ainsi qu'un enfant et sa maman), qui ont réussi à prendre la fuite. Les autres enfants attendus pour cette journée de vacances ont été mis à l'abri et ne sont pas entrés dans le centre de loisirs. Selon le maire de la commune, Patrick Marty, interrogé par France 3, une personne a été en contact avec la jeune femme un peu plus longtemps et est particulièrement choquée. Toutes ont été pris en charge par une cellule psychologique en mairie.
Menaces d'égorgement
Rencontrée par France 3 sur place, une femme de ménage présente au moment des faits, a indiqué que la jeune femme l'a agressée physiquement et menacée de l'égorger. Elle aurait ensuite saccagé les lieux et tenté de mettre le feu avec une poubelle.
Interpellée par les gendarmes
La jeune femme, qui était donc seule retranchée dans les locaux, a ensuite indiqué aux négociateurs qu'elle était en possession de plusieurs bombes. Des sacs ont été saisis par les gendarmes mais les démineurs, venus de Toulouse, n'ont découvert aucun engin explosif.
Elle a fini par être interpellée, aux alentours de 9h30 : à la faveur de ses aller-retours entre l'intérieur et l'extérieur, elle a été "cueillie" en douceur par les hommes du PSIG. Les locaux étaient, en milieu de matinée, passés au peigne fin par les forces de l'ordre.
Il n'y a pas eu de blessés. "La situation est sous contrôle et tout le monde est en sécurité" a indiqué à France 3 la mairie de Grisolles. La femme a été placée en garde à vue.
Remarquée un peu plus tôt sur le marché
Selon plusieurs sources, la piste terroriste est écartée. Il s'agirait plutôt d'une déséquilibrée qui tenait des propos incohérents.
Quelques minutes avant d'entrer dans le centre de loisirs, elle avait été remarquée par des commerçants du marché pour son attitude étrange. Elle ne portait pas alors de burqa, a indiqué le maire de la commune, mais semblait "sous l'emprise de l'alcool ou de médicaments". La police municipale avait été prévenue mais à leur arrivée, la jeune femme avait déjà pris la direction du centre de loisirs.
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Redoine Faïd, repéré à Sarcelles, échappe aux forces de l’ordre et abandonne son véhicule chargé d’explosifs
On avait perdu sa trace depuis sa spectaculaire évasion du centre pénitentiaire de Réau (77) dimanche 1er juillet, à bord d’un hélicoptère.
Le braqueur Redoine Faïd a été vu mardi 24 juillet dans une voiture retrouvée dans un parking de Sarcelles avec des explosifs à son bord, ont révélé mercredi 25 juillet des sources policières auprès de l’AFP.
« Il a été repéré » comme l’un des deux occupants du véhicule, qui avait fui un contrôle de la gendarmerie mardi vers 16 h 30 à proximité d’une station-service, avant d’être retrouvé garé dans un parking souterrain d’un centre commercial à Sarcelles, a indiqué cette source, confirmant une information du Parisien. Six pains de plastic et des fausses plaques d’immatriculation avaient été retrouvés dans le coffre du véhicule.
Le monde
«L'Affaire Benalla est une déflagration sur les réseaux sociaux» (RMC, 24/07/18, 7h27)
Impopularité record pour Macron. 80% des Français choqués par l’Affaire Benalla. Les 2/3 des électeurs de Macron estiment qu’elle l’impacte négativement.
Sondage Elabe pour BFM TV : 80% des Français se disent choqués par l’Affaire Benalla, dont 1 sur 2 «extrêmement choqués». Les 3/4 des Français estiment que cette Affaire impacte négativement Emmanuel Macron (les 2/3 de ses électeurs sont aussi de cet avis).
– BFM TV, 24 juillet 2018, 19h18
Affaire Benalla: Éric Bio-Farina contredit la version de l'Élysée sur la manif du 1er mai
POLITIQUE - La négation est sans appel. Face à Guillaume Larrivé, corapporteur de la commission des lois, le commandant militaire de la Présidence de la République, Éric Bio-Farina, est très clair: Vincent Crase, employé de LREM mis en cause tout comme Alexandre Benalla pour son rôle le 1er mai, n'a "absolument pas" été autorisé à accompagner la police en tant qu'observateur lors des manifestations.
Une version qui, comme vous pouvez le voir dans la vidéo en tête d'article, va à l'encontre de celle de l'Élysée. Le 19 juillet, le porte-parole du Palais, Bruno Roger-Petit, expliquait dans une courte allocution que la présence d'Alexandre Benalla place de la Contrescarpe était due à sa qualité d'observateur lors de cette journée... tout comme le gendarme réserviste Vincent Crase.
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Retailleau sur l’affaire Benalla : « Emmanuel Macron a fait hier soir un bras d’honneur à l’opposition, aux journalistes et aux Français »
Bruno Retailleau (Chef de groupe LR au Sénat) : «Emmanuel Macron a fait un Bras d’Honneur hier soir à l’opposition quand il dit “Qu’ils viennent le chercher”, un Bras d’Honneur aux journalistes et un Bras d’Honneur aux Français car il ne devait pas s’exprimer devant sa cour.»
– F2, 25 juillet 2018, 7h35
Note; ce sont les journalistes qui ont mis Macron au pouvoir, est-ce les journalistes qui vont le faire tomber !
Macron sur l’affaire Benalla : « S’ils cherchent un responsable, le seul responsable, c’est moi »
« S’ils cherchent un responsable, le seul responsable, c’est moi et moi seul. » Emmanuel Macron a choisi un cadre et un moment inattendus — un pot de fin de session parlementaire de la majorité LRM-MoDem à la Maison de l’Amérique latine de Paris, mardi 24 juillet — pour enfin s’exprimer, de façon non officielle, sur l’affaire Benalla.
Devant les députés, il est revenu sur les incidents liés à la présence d’Alexandre Benalla lors d’une manifestation le 1er mai au côté de policiers et de CRS. « Ce qui s’est passé le 1er mai est grave, sérieux. Et ça a été pour moi une déception, une trahison », a déclaré le président de la République. « Personne, personne auprès de moi ou dans mon cabinet n’a jamais été protégé ou soustrait aux règles, aux lois de la République, au droit de tous les citoyens », a-t-il dit pour justifier l’action de l’Elysée.
LE MONDE
La Commission européenne veut inciter financièrement les Etats membres à accueillir les migrants secourus en mer
La Commission européenne tente de dessiner les contours des engagements politiques pris par les 28 chefs d’Etat et de gouvernement concernant l’accueil des migrants secourus en mer. Les centres contrôlés, situés sur le territoire des Etats membres, seraient ainsi complètement financés par l’Union.
L’institution propose aussi une aide de 6.000 euros par personnes transférée. Elle envisage aussi la mise en place de plateformes régionales de débarquement, basées cette fois hors de l’UE. Ce dispositif doit être mené en étroite collaboration avec l’Organisation internationale pour les migrations et le Haut-Commissariat de l’ONU pour les réfugiés. Les deux concepts « doivent aider à s’assurer que nous avons une réelle responsabilité partagée pour répondre aux défis migratoires complexes« , souligne la porte-parole de la Commission, Natasha Bertaud.
Quand une blogueuse défend l'exploitation des domestiques philippins
"Comment peut-on laisser son domestique garder son passeport ? Imaginez qu’il s’enfuit et qu’il retourne dans son pays ? Qui me remboursera pour ça ? " – Au Koweït, une blogueuse célèbre défend l’exploitation des domestiques philippins
Note; France 24 sans étonne ! Les Arabes musulmans ont été dans le trafique humain pendants 1400 ans et ils n'ont jamais rien regretté. Je défît quiconque de me montrer l’existence d'un mémorial dans les pays musulmans, sur l'esclave qu'ils ont commit
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