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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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29 juin 2018

 

 

 

Macron annonce que la France « n’ouvrira pas de centres » d’accueil pour les migrants

 

En France, venant de droite comme de gauche, les critiques n’ont pas tardé après l’annonce d’un accord conclu à Bruxelles sur le dossier migratoire, vendredi 29 juin au petit matin. Après de longues heures de négociations, les vingt-huit dirigeants de l’Union européenne sont parvenus à s’entendre sur plusieurs mesures de principe, dont la mise en application demeure cependant floue.

Le compromis propose la création de « centres contrôlés » dans l’UE, que les Etats membres mettraient en place « sur une base volontaire », et d’où une distinction serait faite « rapidement » entre migrants irréguliers à expulser et demandeurs d’asile légitimes, qui pourraient être répartis dans l’UE, là aussi « sur une base volontaire ». Il invite aussi à examiner la possibilité de créer des « plateformes de débarquements » de migrants hors de l’UE pour dissuader les traversées de la Méditerranée.

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Note; c'est du flan, de quoi calmé la population de certain pays d’Europe, mais les migrants continuerons a venir et a être acceptés

 

 

 

Moscou s’exprime sur un éventuel affrontement avec les troupes US en Syrie

 

Une confrontation entre les troupes russes et américaines en Syrie est impossible car Moscou et Washington coordonnent leurs activités dans la région par un canal de communication fiable et déconflictuel, a déclaré le vice-ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Verchinine.

Le vice-ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Verchinine a déclaré qu’un éventuel affrontement entre les soldats russes et américains déployés en Syrie n’était pas possible.

«Il ne peut y avoir de confrontation directe, c'est totalement exclu. Au contraire, nous invitons tout le monde à mener conjointement des actions coordonnées contre les terroristes», a-t-il expliqué.

Selon lui, cela est dû, entre autres, au fait que la Russie et les Etats-Unis ont sur leur ligne militaire un «canal de déconfliction efficace et fiable».

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Au moins 200 chrétiens massacrés au Nigéria

 

Les chrétiens de l’État de Plateau ont eu moins de chance que leurs frères de l’État de Yobe… Samedi 23 et dimanche 24 juin, des peuls musulmans ont attaqué à l’arme automatique et à la machette une dizaine de communautés majoritairement chrétiennes près de Jos (État de Plateau, Nigéria). La police avait, dans un premier temps, évalué le nombre de tués à 86, mais le bilan est beaucoup plus lourd : dans un seul village du district de Gashish, plus de 70 villageois ont perdu la vie. Le nombre de corps transportés à la morgue de Jos, dépasserait les 216 et la Christian Association of Nigeria (CAN) évoque 218 tués… Des maisons et des églises ont été réduites en cendres.

Source : Morning Star News, 27 juin (via https://www.christianophobie.fr)

 

 

Islamisme : Un évêque nigérian dénonce le « nettoyage ethnique » dont sont victimes les chrétiens dans le centre du pays

 

«Ne faites pas la même erreur que celle qui a été faite avec le génocide au Rwanda. C’était évident pour tout le monde, mais personne ne l’a arrêté. […] »

C’est le message envoyé par Mgr William Amove Avenya de Gboko, un diocèse situé dans la région centrale du Nigeria, dans un entretien avec Aide à l’Église en détresse publié le 26 juin 2018.‎

[…] une voix de plus […] qui s’élève pour dénoncer un phénomène de plus en plus inquiétant, celui des attaques menées par des éleveurs peuls islamistes qui ont réalisé ces derniers jours de nouvelles attaques à Jos, la capitale de l’État de Plateau, tuant plus de 100 personnes.

Les éleveurs peuls ont fait paître leurs troupeaux dans la ceinture centrale nigériane pendant des siècles et il y a toujours eu des conflits avec les agriculteurs locaux, principalement chrétiens, dont les cultures sont souvent réduites de moitié ou même détruites par les troupeaux. Mais si dans le passé de tels conflits pouvaient être de nature purement ethnique ou économique, le caractère religieux semble maintenant prédominer. […]‎

«Ce sont des criminels et des terroristes, mais ils ne font pas les mêmes choses dans les territoires à majorité musulmane », a déclaré l’évêque Avenya. »Nous sommes convaincus que ce qui est en cours, c’est un nettoyage ethnique des chrétiens»‎.

(Traduction Fdesouche)

Source

 

 

 

La situation des chrétiens en Algérie : question écrite au gouvernement

 

Constance Le Grip, députée LR de la 6ème circonscription des Hauts-de-Seine, a posé, le 26 juin dernier, une question écrite à Jean-Yves Le Drian, ministre de l’Europe et des affaires étrangères, sur la situation des chrétiens en Algérie. En voici le texte.

Mme Constance Le Grip appelle l’attention de M. le ministre de l’Europe et des affaires étrangères sur la situation de la liberté religieuse en Algérie. L’ordonnance algérienne 06-03 fixant les conditions et règles d’exercice des cultes autres que musulman, adoptée en février 2006 et effective depuis le mois de septembre de la même année, provoque de fortes complications pour la pratique d’autres confessions en Algérie. Au cours des dernières années, certains chrétiens algériens ont ainsi été harcelés, interrogés ou arrêtés en raison de ces dispositions. En 2018, l’ONG Portes Ouvertes place l’Algérie au 42ème rang de l’Index mondial de persécution des chrétiens. Les convertis au christianisme depuis la religion musulmane semblent particulièrement concernés, la principale source de persécution étant l’intolérance de l’entourage proche. Elle souhaite savoir quelles démarches le gouvernement entend entreprendre afin de faire savoir au gouvernement algérien l’intérêt vigilant de la France quant à la liberté de conscience et la liberté d’expression.

Source : Assemblée nationale

 

Note: avec tous ce qui se passe dans les pays musulmans, la France continue à accueillir cette religion qui demande qui respect alors qu'elle n'en a jamais accordé à ses propres minorités

 

 

 

Les 28 pays de l'Union européenne trouvent un accord sur l'accueil des migrants

 

"C'est d'abord le fruit d'un travail commun et c'est la coopération européenne qui l'a emporté", s'est félicité Emmanuel Macron à la sortie du sommet à Bruxelles vendredi matin. Cet accord comprend la création de centres d'accueil sur la base du volontariat.

Emmanuel Macron au milieu du président du Conseil européen Donald Tusk (à gauche) et du Premier ministre espagnol Pedro Sanchez, lors d\'un sommet européen à Bruxelles le 28 juin 2018.

Ils ont accouché d'un texte commun au petit matin. Les 28 dirigeants de l'Union européenne ont trouvé un accord, vendredi 29 juin, sur les migrations, lors d'un sommet tendu à Bruxelles. Parmi les solutions avancées, les pays de l'UE se sont accordés sur la proposition "d'avoir des centres contrôlés sur le territoire européen pour mieux organiser [l']accueil" des migrants, a indiqué Emmanuel Macron.

Le chef de l'Etat a salué cet accord, "fruit d'un travail commun". "C'est la coopération européenne qui l'a emporté sur le choix d'un non accord ou de décisions nationales qui n'auraient été ni efficaces ni durables", a-t-il déclaré à la sortie du sommet, après neuf heures de tractations sur la gestion de l'accueil des migrants.

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Notes: des ânes, des cancres qui n'ont pas compris que la plupart des européens ne veulent pas de ces migrants, et surtout pas qu'ils soient accueillis sur notre sol, parce que c'est les invités à venir encore plus nombreux

C’est bien le propre des politiciens faire du bruit pour rien, faire des accords qui ne n’arrangeront pas les choses 

 

 

 

Bardella (RN) à la communiste Elsa Faucillon : «Vous êtes responsable des morts en Méditerranée en soutenant les ONG complices des passeurs» (vidéos)

 

Jordan Bardella (RN) à Elsa Faucillon (PCF) : «Je sais pas où vous tenez vos sondages, peut-être sur le compte twitter de la France Insoumise, mais les Français disent stop à l’immigration (…) Vous êtes responsable des morts en Méditerranée en soutenant les ONG complices des passeurs»
– CNEWS, 28 juin 2018, 18h10

 

Le Maroc «rejette» le concept de centre d’accueil pour migrants

 

Le Maroc « rejette » le concept de centres d’accueil hors-UE envisagé par l’Union européenne pour externaliser la gestion des flux migratoires hors de ses frontières, a déclaré jeudi le chef de la diplomatie marocaine, Nasser Bourita. « Le Maroc rejette et a toujours rejeté ce genre de méthodes pour la gestion de la question des flux migratoires », a-t-il dit après une rencontre à Rabat avec son homologue espagnol Josep Borrell, en dénonçant les « solutions faciles » et les « mécanismes contre-productifs ».

Le Maroc, comme la Tunisie ou l’Albanie, fait partie des pays cités comme possible localisation des centres d’accueil de migrants ou des « plateformes de débarquement hors de l’Europe » qui devaient être discutées au cours du sommet européen sur les migrations, ouvert jeudi à Bruxelles.
(…)

Le Soir

 

Note: « mécanismes contre-productifs ». !! parce que c’est productif que certains migrants partent des cotes marocaine, parce que le Maroc ne fait pas son travail !

Les migrants devraient être automatiquement renvoyer d’où ils sont venue que cela plaise ou non au pays qui les ont laissé partir de chez eux

ils manquent vraiment une paire de couille a chacun de nos politiciens !

 

 

 

Six Français sur dix estiment que la France accueille trop de migrants

 

Dans un sondage dévoilé vendredi, seuls 30% des sondés à trouver que la France accueille le « bon nombre de migrants » .

 

 

 

Salah Abdeslam justifie les attaques terroristes en France pour la première fois : il n’a aucun remords

 

Il s’exprime rarement. Salah Abdeslam a parlé devant le juge antiterroriste, jeudi 28 juin. Le dernier survivant du commando des attentats du 13 novembre 2015 reste silencieux dans quasiment tous ses rendez-vous. C’est la 7e fois qu’il comparaissait, et pour une fois, il a expliqué les raisons des attaques terroristes.

Devant le juge Salah Abdeslam confirme d’abord qu’il ne souhaite pas d’avocat. Il s’en « remet à Allah » dit-il, avant de se lancer dans sa longue tirade. En aucun cas pour s’excuser, mais au contraire pour justifier les attentats jihadistes.

Le terroriste interpelle d’abord Emmanuel Macron, « dont la soif de puissance et de renommée appelle à faire couler le sang des musulmans ». « La sécurité ne régnera pas sur notre territoire tant que cela continuera », ajoute le kamikaze survivant du 13 novembre.

Une logorrhée classique chez les membres de Daesh, que Salah Abdeslam reprend à son compte. Il s’adresse ensuite aux victimes, là encore pour se justifier : « Nous ne vous attaquons pas parce que vous mangez du porc, vous buvez du vin ou vous écoutez de la musique, mais les musulmans se défendent contre ceux qui les attaquent ».

Aucune compassion, aucune excuse : « Mettez votre colère de côté », poursuit le terroriste, « et raisonnez quelques instants, vous ne subissez que les erreurs de vos dirigeants. »

Fin de la déclaration. Abdeslam en appelle de nouveau à Allah et replonge dans le silence. Le juge lit alors 20 pages de questions dans le vide. Et le terroriste du 13 novembre repart vers sa cellule. L’audition a duré un peu plus d’une heure.

Kalachnikovs enterrées à Toulouse, projet d’attentat contre une centrale nucléaire française… Les révélations d’un djihadiste toulousain

 

Le récit de Jonathan Geffroy auprès de la Direction générale de la sûreté intérieure (DGSI) est effrayant. Depuis qu’il a été transféré en France avec l’aide des autorités turques, le 11 septembre 2017, ce djihadiste qui se dit repenti n’a cessé de donner des détails sur les activités de Daech en Syrie et sur les projets de l’État Islamique. Dans des notes publiées par L’Express, le djihadiste originaire de Toulouse dévoile des détails qui font froid dans le dos.  (…)

 

Note : En Irak ils ont la solution pour ces gens là

 

Irak : exécution « immédiate » de centaines de djihadistes par pendaison

 

Le Premier ministre irakien, critiqué pour son manque de fermeté après la découverte des corps de huit Irakiens enlevés par le groupe État islamique (EI), a ordonné jeudi l’exécution « immédiate » des centaines de djihadistes condamnés à mort, dont des femmes et des étrangers.

L’annonce de ces pendaisons massives, à une date qui n’a pas encore été fixée, intervient au lendemain de la découverte des corps de huit Irakiens enlevés par l’EI, qui avait diffusé une vidéo d’hommes au visage tuméfié en annonçant leur mort prochaine si des femmes djihadistes n’étaient pas libérées.

« Le Premier ministre ordonne la punition immédiate des terroristes condamnés à mort et dont les peines ont passé le degré décisif« , a annoncé M. Abadi dans un communiqué, voulant dire que leur appel a été rejeté et que la peine capitale a été ratifiée par la présidence. Plus de 300 personnes, dont une centaine d’étrangères, ont été condamnées à mort en Irak, et autant d’autres à la prison à perpétuité, pour appartenance à l’EI, avait-on indiqué en avril de source judiciaire. […]

news.yahoo.

 

 

Suède : une femme de 21 ans massacrée de 130 coups de couteau par un migrant syrien « qui aurait du être expulsé » (MàJ : le meurtrier condamné à la perpétuité)

 

28/06/2018

Le Syrien Rebar Hesso, âgé de 26 ans, estimait que sa voisine de 21 ans troublait son sommeil. Il l’a tuée de 130 coups de couteau et a également attaqué la soeur de la victime, qui a survécu à ses blessures. Le migrant a été reconnu coupable de meurtre et d’assassinat et condamné à la perpétuité.

C’était au milieu de la nuit du 20 février, quand Rebar Hesso a appelé la police et lui a dit ce qu’il avait fait. « Dans ce crime, l’influence d’une perturbation psychologique grave sur le comportement de l’accusé semble être relativement faible, ce qui justifie une peine d’emprisonnement », écrit le tribunal de district dans le jugement.

Rebar Hesso a la nationalité syrienne et est venu en Suède en 2012. Ensuite, il a reçu un permis de séjour. Le tribunal de district écrit qu’il aurait du être expulsé, mais en raison de la situation précaire de son pays d’origine, il n’était pas possible de l’expulser vers la Syrie.

NyheterIdag

 

 

Syrie : la société Lafarge mise en examen. Elle a versé 13 millions d’euros à des groupes armés dont l’organisation État islamique

 

Convoquée jeudi 28 juin en tant que personne morale, la société Lafarge a été mise en examen dans l’affaire de financement de terrorisme présumé en Syrie, a appris franceinfo de source judiciaire.

Lafarge SA est poursuivie des chefs de violation d’un embargo, mise en danger de la vie d’autrui, financement d’une entreprise terroriste et complicité de crimes contre l’humanité. Cette mise en examen est conforme aux réquisitions du parquet. La personne morale mise en examen a été placée sous contrôle judiciaire comprenant une caution de 30 millions d’euros.

LafargeHolcim « prend acte » de la mise en examen de l’entreprise en France et annonce son intention de faire appel. Le groupe reconnaît « un manque de supervision » qui ne lui a « pas permis d’identifier les manquements » survenus en Syrie, mais précise qu’il fera appel « des infractions reprochées » devant la chambre de l’instruction.

Des fonds versés à des groupes armés dont l’organisation Etat islamique

Lafarge SA, la holding actionnaire de la filiale syrienne, était convoquée jeudi devant les juges d’instruction. Lafarge a reconnu avoir versé 13 millions d’euros à des groupes armés, dont l’organisation État islamique, pour faire tourner son usine de Jalabiya (Syrie) en pleine guerre, et au moins jusqu’à sa prise par le groupe terroriste en septembre 2014.

Les juges n’excluent pas que les fonds versés par le cimentier à Daech aient pu financer les attentats de 2015 à Paris. En janvier dernier, les magistrats ont accepté que l’association Life for Paris, qui regroupe des victimes du 13 Novembre et leurs proches, soit partie civile dans ce dossier. (…)

 

 

 

Les islamistes du CCIF réagissent à l’affaire du « groupe terroriste AFO »


 

Note : et remarquer que sur leur vidéo Youtube, ils n’accordent pas le droit a la parole (verrouillage), ni mm a voir le nombre de personnes qui apprécie ou non leur vidéo de propagande
C'est bien le propre de l'Islam se plaindre mais faire tard les autres

 

 

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28 juin 2018

 

 

 

 

Un quotidien de l’establishment syrien : la phase de la confrontation directe avec les forces américaines en Syrie a commencé

 

Les tensions militaires s’accroissent entre le régime syrien et les Etats-Unis, comme en témoignent les incidents sur le terrain et les échanges d’accusations réciproques.

Le 20 juin 2018, il a été rapporté que l’armée syrienne avait réussi à déployer ses forces autour de la base militaire américaine d’Al-Tanf, près de la frontière syro-irako-jordanienne, et que l’avant-poste est en effet actuellement en état de siège.[1] Le lendemain, des informations ont fait état du premier incident à balles réelles sur le terrain, entre les forces du président syrien Bachar Al-Assad et les forces américaines en Syrie. Selon ces informations, un bataillon de l’une des milices du régime syrien a ouvert le feu contre une patrouille des forces de la Coalition internationale contre le terrorisme dirigée par les Etats-Unis, dans la région de la base d’Al-Tanf. En réaction, un avion de la Coalition internationale a attaqué une base du régime dans la région rurale orientale proche de Homs, tuant plusieurs soldats syriens.[2]

Le 18 juin 2018, deux jours avant le siège contre la base d’Al-Tanf, le régime d’Assad a accusé la Coalition internationale d’avoir attaqué une base militaire dans le village d’Al-Hari, au sud-est d’Al-Bukamal, et près de la frontière avec l’Irak,[3] où, selon certaines informations, plusieurs dizaines de soldats des forces syriennes et des milices irakiennes combattant avec le régime ont été tués.[4]

La tension entre les deux parties a été renforcée par le déploiement, au cours des dernières semaines, de forces du régime syrien et de leurs alliés, en prévision du lancement d’une campagne au sud du pays, zone incluse dans l’accord de désescalade signé par les Etats-Unis, la Russie et la Jordanie en novembre 2017. Cette action a été accueillie par des menaces de la part des Etats-Unis de prendre des mesures agressives si l’accord était enfreint. En dépit de ces menaces, des informations ont indiqué qu’au cours des derniers jours, le régime syrien, soutenu par les forces russes, aurait entrepris de mener des attaques au sud de la Syrie.

Dans le contexte de ces événements, le quotidien de l’establishment syrien Al-Thawra a publié un article intitulé « La base terroriste américaine se trouve sur la ligne de tir de l’armée arabe syrienne – du sud à l’est, les victoires se succèdent, et les paris sionistes-américains tournent mal ». L’article accuse les Etats-Unis et Israël de prolonger la crise syrienne en soutenant des factions d’opposition au sud de la Syrie...

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Crise migratoire et Dialogue 5+5: l’Algérie suggère de s’attaquer aux causes du drame

 

La crise migratoire qui touche l’Europe du sud et les pays nord-africains ne peut être résolue que dans le cadre d’une action commune entre tous les États concernés des deux rives de la Méditerranée. C’est ce pour quoi a plaidé l’Algérie à la 3e édition du Forum des membres du réseau des think tanks du Dialogue 5+5, du 25 au 27 juin, à Alger.

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Algérie : « Des migrants soumis à un traitement inhumain » selon l’ONG Human Rights Watch

 

Depuis janvier 2018, l’Algérie a expulsé des milliers d’hommes, de femmes et d’enfants vers le Niger et le Mali dans des conditions inhumaines et, dans de nombreux cas, sans tenir compte de leur statut légal en Algérie ou de leurs vulnérabilités spécifiques, a déclaré aujourd’hui Human Rights Watch.

En avril et en mai, Human Rights Watch s’est entretenu avec 30 migrants en provenance de différents pays d’Afrique subsaharienne qui ont déclaré que les autorités algériennes avaient effectué des descentes dans des zones où se trouvaient des migrants, en procédant à des arrestations en pleine rue ou sur des chantiers de construction et à des expulsions massives à la frontière avec le Niger ou le Mali, la plupart du temps sans leur donner de vivres ni d’eau. Ces migrants ont expliqué avoir été contraints de marcher des dizaines de kilomètres à travers le désert, par des températures élevées, avant de rallier des localités où ils ont pu obtenir une aide ou avoir accès à des moyens de transport privés.

« L’Algérie a le pouvoir de contrôler ses frontières, mais cela ne signifie pas qu’elle peut regrouper les gens en fonction de la couleur de leur peau et les larguer dans le désert, indépendamment de leur statut juridique et en l’absence de garanties de procédure équitables », a déclaré Sarah Leah Whitson, directrice de la division Moyen-Orient et Afrique du Nord à Human Rights Watch.

Tous les migrants interrogés ont affirmé avoir été rassemblés avec des dizaines, parfois des centaines d’autres migrants subsahariens, dans les rues, lors de raids nocturnes dans les quartiers à forte concentration de migrants, ou sur leurs lieux de travail. Dans la plupart des cas, ont-ils précisé, les policiers ou les gendarmes ne demandaient pas à vérifier leurs papiers.

Certains qui ont dit posséder un visa valide, ou un certificat du Haut-Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés (HCR) assurant que leur demande de statut de réfugié était à l’examen, ont tenté en vain de convaincre les forces de sécurité qu’ils étaient en situation régulière. « Ils nous ont dit : ‘‘Vous êtes tous illégaux ici ; vous n’avez pas le droit d’être en Algérie’’. »

Selon les personnes interrogées, la police algérienne a passé à tabac des migrants, rejeté leurs demandes de récupérer leur argent et leurs effets, et à plusieurs reprises ont saisi leurs téléphones et autres possessions. Des expulsions sommaires ont également séparé des familles.

Emanuele, une Ivoirienne âgée de 30 ans, a déclaré à Human Rights Watch qu’elle était enceinte de huit mois et vivait avec son fils de deux ans à Oran, où elle était femme de ménage. Le 24 avril, à 4 heures du matin, la police a fait une descente dans son quartier de Coca, et elle a raconté qu’ils y ont regroupé des habitants au faciès, sans leur permettre de récupérer leur argent ou d’autres possessions. La police, a poursuivi Emanuele, l’a ensuite mise avec son fils dans un bus, aux côtés d’une centaine d’autres personnes – parmi lesquelles une autre femme enceinte et une mère et son nouveau-né –, au départ d’Oran, en route vers un entrepôt à Reggane, dans la province d’Adrar. Ils ont tous passé une journée sur place. Puis, le 26 avril à 5 ​​heures du matin, les autorités les ont contraints à monter à bord de camions, conduits jusqu’à la frontière et leur ont ordonné de se rendre au Mali. Emanuele n’avait que deux petites bouteilles d’eau pour elle et son fils.

Nous avons marché pendant des heures avant d’atteindre In Khalil. C’est à peine croyable : moi enceinte de huit mois, avec un garçon âgé de 2 ans, marchant dans le désert ? Il faisait si chaud que nous pouvions à peine respirer.

Un autre migrant de Guinée, arrêté à Tlemcen le 12 avril et reconduit à la frontière du Mali quatre jours plus tard, a témoigné : « Je n’ai plus rien. J’ai tout perdu. Je suis arrivé à Gao sans un sou en poche, sans téléphone et avec seulement un pantalon et une chemise. Nous avons été traités comme du bétail. »

Ahmed Ouyahia, alors chef de cabinet du président Abdelaziz Bouteflika, avait déclaré le 7 juillet 2017 que les migrants sont une « source de criminalité et de drogue » et que les autorités doivent protéger la population algérienne de ce « chaos ».

Le ministre de l’Intérieur, Noureddine Bedoui, a quant à lui assuré aux agences de presse, le 22 mars 2018, que les « rapatriements » de migrants sont effectués « à la demande de leurs pays d’origine ». Toutefois, aucun des migrants interrogés n’aurait bénéficié d’un programme de retour volontaire assisté, soit par l’intermédiaire de l’Organisation internationale pour les migrations (OIM), soit après avoir pris contact avec leurs consulats ou ambassades respectifs. […]

Human Rights Watch

 

 

 

 

 

 

 

Alain Duhamel contre « la marée noire du populisme » (Libé)

 

Le Conseil européen consacré à la question migratoire qui s’ouvre ce jeudi est un sommet à haut risque.

La marée noire du populisme.

Le sommet de l’Union européenne qui s’ouvre ce jeudi est assurément l’un des plus périlleux et des plus angoissants que l’on ait connus depuis l’entrée en vigueur, en 1958, des traités de Rome. Certes, l’Europe a rencontré bien des obstacles en soixante ans : crises politiques avec le général de Gaulle ou Margaret Thatcher, crises monétaires et financières à répétition, échec du traité constitutionnel en 2005, Brexit, mais cette fois-ci, il s’agit d’une crise de la démocratie européenne, donc d’une crise d’identité. La question de l’immigration déchire l’Union européenne comme jamais. Ce qui se dessine est le risque d’une déconstruction de l’Europe, submergée non pas par les demandeurs d’asile mais par la marée noire du populisme qui s’épanouit essaime et triomphe dans les milieux populaires à travers toute l’Union. La pression migratoire et le chômage constituent au sein des vingt-huit Etats membres le terreau d’un populisme qui n’a connu pareille expansion que dans les années 30. L’Europe est aujourd’hui l’otage d’un populisme se nourrissant du rejet de l’immigration. Ce populisme a incontestablement gagné la première manche.

Le phénomène a quelque chose de paradoxal. Dans les faits, la pression migratoire a considérablement diminué depuis le pic de 2015. L’accord avec la Turquie a largement fait refluer le flux de demandeurs d’asile et de migrants économiques qui passaient par la route des Balkans. Les subsides versés aux factions libyennes ont beaucoup allégé la pression migratoire qui pesait sur l’Italie. La situation se normalise. Par ailleurs, tous les gouvernements sans exception mènent une politique migratoire très restrictive. Certes, les uns le font ouvertement et d’autres discrètement. Quelques-uns l’affichent et s’en glorifient (Pologne, Hongrie, République tchèque, Slovaquie), d’autres assurent poursuivre une politique équilibrée entre accueil humanitaire et fermeté nécessaire. En réalité, la fermeté, peu différente de la fermeture, l’emporte largement sur l’accueil. Depuis trente ans, la France constitue le symbole de cette asymétrie camouflée. Face au chômage et à la progression du populisme, tous les gouvernements se barricadent, publiquement ou en catimini. Tous veulent renforcer Frontex, identifier sévèrement les demandeurs d’asile et rejeter les migrants économiques, même lorsque ces Etats ont une démographie défaillante et un besoin de main-d’œuvre. Le maître mot de la politique migratoire s’appelle l’hypocrisie et la ligne générale implicite est celle du verrouillage. Les gouvernements européens ont peur de l’immigration parce qu’ils ont peur du populisme et ne savent pas comment l’arrêter. […]

Libération

 

 

 

« Entre 700 000 et un million de migrants et réfugiés seraient présents en Libye » (Le Monde)

 

« Entre 700 000 et un million de migrants et réfugiés seraient présents en Libye », a expliqué, dans un tchat jeudi, Frédéric Bobin, correspondant du « Monde ».

Le flux de départs vers l’Italie concerne surtout la région occidentale de la Libye, la Tripolitaine, la plus proche de l’île italienne de Lampedusa. Il s’est globalement tari depuis près d’un an, depuis juillet précisément, en raison d’une meilleure coopération entre l’Union européenne et le gouvernement d’« accord national » de Faïez Sarraj installé à Tripoli, notamment dans la formation et l’équipement des garde-côtes libyens.

Il y a eu aussi des accords occultes entre Rome et certaines milices de passeurs, notamment à Sabratha, l’ex- « capitale des passeurs ». Du coup, la courbe s’est retournée, la baisse est de l’ordre de 75 % par rapport à l’année précédente.

La difficulté de contrôler les réseaux de passeurs sur la longue durée tient au chaos qui règne en Libye, l’absence d’Etat central, la fragmentation du pays en milices rivales et quasi autonomes sur le terrain.

Henri : D’où viennent les migrants qui arrivent en Libye ?

Il faut distinguer la migration de transit vers l’Europe de la migration de travail composée de gens désireux de rester en Libye. La première, la migration de transit, touchait historiquement plutôt des ressortissants de la Corne de l’Afrique (Ethiopie, Erythrée, Somalie), fuyant guerres civiles et famines. Ils ont été rejoints plus récemment par des ressortissants d’Afrique centrale (Nigeria) et d’Afrique de l’Ouest (Mali, Côte d’Ivoire, Sénégal, Gambie, etc.).

Cette migration de travail persiste car dans cet ancien eldorado pétrolier, et malgré les chaos ambiants, il y a toujours de petits boulots disponibles. Elle concerne surtout les pays voisins de la Libye (Egypte, Soudan, Tchad, Niger et, dans une moindre mesure, Tunisie). Et au-delà de l’Afrique, il avait aussi beaucoup de Bangladais, Philippins, etc.

Cette typologie n’est pas si claire dans les faits. Car des migrants peuvent passer de l’une à l’autre en fonction des vicissitudes de leur traversée et de leur séjour en Libye. Il n’y a pas de chiffres officiels.

Mais toutes catégories confondues, on estime qu’entre 700 000 et 1 million de migrants et réfugiés sont présents en Libye. Telle était du moins la situation en 2017.[…]

Le Monde

 

Note ; et on évite de dire au grand public que l’Afrique compte plus de 1,2 milliard d'habitant ( ils seront 4 milliard en 2100 ! ! )

 

 

 

 

La politique d’immigration australienne : modèle à suivre ou déshonneur ?

 

Au moment où les populistes anti-immigration ont le vent en poupe en Europe et aux Etats-Unis, l’Australie se vante de sa propre politique draconienne, stratégie controversée mais efficace qui a largement dissuadé les migrants de gagner ses rivages. […]

Jusqu’alors, des migrants désespérés originaires d’Afghanistan, du Sri Lanka et du Moyen-Orient prenaient la mer à partir de l’Indonésie pour débarquer quasi quotidiennement sur les côtes septentrionales de l’immense pays.

Environ 1.200 personnes ont péri noyées lors de ces traversées, si bien que le gouvernement a opté pour la tolérance zéro, justifiée à ses yeux par la lutte contre les passeurs et la nécessité de dissuader les clandestins de risquer leur vie.

Les bateaux de migrants étaient systématiquement refoulés par les bâtiments de la marine australienne et le plus grand secret régnait sur ces opérations en haute mer.

Ceux qui parvenaient quand même à passer à travers les mailles du filet étaient exilés dans des camps de rétention reculés du Pacifique, à Nauru et en Papouasie-Nouvelle-Guinée. Même si leur demande d’asile était jugée fondée, ils n’étaient pas acceptés sur le sol australien.[…]

Peu après son investiture, le président américain Donald Trump a eu une conversation téléphonique tempétueuse avec le Premier ministre australien Malcolm Turnbull.

Mais sur l’immigration, les deux hommes ont trouvé un terrain d’entente.

«C’est une bonne idée. On devrait faire ça aussi. Vous êtes pires que moi», a lancé selon le Washington Post le locataire de la Maison Blanche à son interlocuteur.[…]

Beaucoup de migrants ont été envoyés dans des pays tiers. De manière ironique, certains sont partis aux Etats-Unis aux termes d’un accord conclu avec l’ancien président américain Barack Obama.

Le sujet ne fait plus la une de la presse australienne.

Le gouvernement australien fait valoir depuis longtemps que la tolérance zéro envers les clandestins sauve des vies et lui permet d’être plus compatissant envers ceux qui arrivent par les voies légales pour demander l’asile.

Si les frontières sont hermétiques, a souligné M. Turnbull la semaine dernière, les programmes humanitaires et de réfugiés sont généreux.

«La raison pour cela c’est que nous décidons, le gouvernement australien décide au nom du peuple australien, qui vient en Australie, pas les passeurs».

Certains contestent cette générosité. Mais le gouvernement conservateur n’est pas près de changer son fusil d’épaule. Ce qu’a dit clairement le weekend dernier le ministre de l’Intérieur Peter Dutton, expliquant que les passeurs étaient toujours actifs en Indonésie où un nombre estimé à 14.000 migrants attendent un bateau.

«Il est essentiel que les gens se rendent compte que les succès obtenus de haute lutte ces dernières années pourraient être mis par terre par un seul geste de compassion, par le transfert en Australie de 20 personnes sur Manus», a-t-il prévenu. «Les bateaux ont disparu et si un seul bateau réussit à gagner l’Australie, la nouvelle se répandra comme une traînée de poudre».

Le Point

 

Rioufol : « Le Pape François est en train de faire de l’Eglise une ONG droit-de-l’hommiste »

 

Immigration : pourquoi le pape se trompe.

S’il est une personnalité dont il ne faut pas suivre les conseils concernant l’immigration, c’est le pape François. C’est pourtant ce que risque de faire Emmanuel Macron. A l’issue de sa rencontre avec le Saint Père, mardi au Vatican, le chef de l’Etat a confié que la conversation avait notamment porté sur « les populismes ». Selon La Croix de ce mercredi, les deux hommes partagent la conviction qu’il faut aujourd’hui « entendre les angoisses dans la société, mais ne pas céder à la manipulation de ces peurs ». Or la position que défend le pape, d’une ouverture de l’Europe à l’Autre, n’est qu’en apparente conformité avec le message du Christ (« J’étais étranger et vous m’avez accueilli », Matthieu). Le 16 avril 2016, sur l’île grecque de Lesbos, François a invité les Européens à l’accueil sans limite des étrangers, comme le rappelle Jean-Philippe Vincent dans une note pour la Fondation pour l’innovation politique (1) : « L’Europe est la patrie des droits humains, et quiconque pose le pied en terre européenne devrait pouvoir en faire l’expérience (…) », avait-il notamment déclaré. Cependant, cette vision millénariste, qui voudrait faire la cité de Dieu sur terre en oubliant les nations, est contestable et dangereuse. Le christianisme n’a jamais eu pour prétention d’être une doctrine politique destinée à changer le monde. « Mon royaume n’est pas de ce monde », dit Jésus. Comme l’écrit Jean-Louis Harouel dans un livre déjà cité (2) : « La manière chrétienne de changer le monde consiste à se changer soir-même », tandis que la démarche millénariste vise « à changer les autres ». C’est ainsi que François est en train de faire de l’Eglise une ONG droit de l’hommiste, insensible aux angoisses identitaires des Européens qui se tournent vers les populistes honnis. […]

Ivan Rioufol, Le Figaro


Notes: lorsque Jésus dit « J’étais étranger et vous m’avez accueilli », (Matthieu 25: 31-46), c'est un Juif (Jésus) qui s'adresse à d'autres juifs, pas un migrant africain qui arrive en terre hébraïque
Pour ce qui est du Pape, ce Pape est un danger pour le christianisme, parce que au nom de sa charité aveugle et sans limite, il ferait islamiser l’Europe en une dizaine d'années
Si la plupart des Papes que se sont succédé pendant des siècles en Europe ont toujours refusé que des musulmans s’installent chez nous, se n'est pas pour rien.

 

 

 

 

Magnanville (78) : il poignarde trois jeunes sur un parking pour un mauvais regard

 

Ce jeune homme de 18 ans a été interpellé, mercredi soir à Mantes-la-Ville. Les faits remontent à samedi.
 

Aussi insensé que violent. Un jeune homme de 18 ans a été interpellé, durant la soirée de mercredi à Mantes-la-Ville, alors qu’il conduisait une voiture sans être titulaire du permis de conduire. Il était surtout recherché pour avoir poignardé trois jeunes gens de 23 ans, samedi dernier sur un parking de Magnanville.

Tout commence vers 23 h 10 samedi, lorsque les trois victimes se rendent à l’hôpital de Mantes, souffrant d’entailles et de plaies causées par des coups de couteau. « L’un d’eux est affligé d’une grave blessure invalidante et les urgences médico-légales lui ont accordé une incapacité totale de travail de 3 mois », précise une source proche de l’affaire.

Trois jours plus tard, les trois victimes racontent à la police que samedi soir, vers 19 heures, ils étaient dans leur voiture, arrêtée sur un parking. Ils ont alors été rejoints par un inconnu qui leur reprochait, quelques minutes auparavant, de lui avoir jeté un mauvais regard sur la route. Ce dernier les a ensuite agressés au couteau. Le suspect retrouvé mercredi par les policiers de la brigade anticriminalité a été placé en garde à vue pour tentative d’assassinat dans les locaux du commissariat de Mantes-la-Jolie.

 

Notes:   (a propos des mauvais regard et les musulmans j’écrivais  le 3 juin 2018) un mauvais regard ! et c’est le drame
Dans la nature, ce sont certaines espèces de singes qui ne supportent pas le regard des autres mâles, chez les hommes c’est typiquement les mâles musulman, pourquoi !?
Pendant des siècles les Juifs et les chrétiens qui vivaient avec les musulmans, par obligation (puisque les musulmans avaient conquis leur terre) étaient des dhimmis, ils devaient obéissante aux musulmans contre une soit disent protections (mm système que la mafia, qui vient chez vous pour vous protéger!) . Dans les califats, lorsqu'un dhimmi crossait un musulman, ils devaient obligatoirement baisaient les yeux et passé a sa gauche (considéré comme le côté impur), un regard pouvait être mal prit et le dhimmi pouvait être battu !
Alors comment expliquer que des siècles plus tard les maghrébins d’aujourd’hui, ont encore gardé cette "tradition" dans leurs ADN !
  L'ADN a-t-il une mémoire  (voir lien)

 

 

 

 

 

Le service national universel de Macron accueilli avec défiance

 

Promesse de campagne d'Emmanuel Macron, le service national universel entrera en vigueur le 1er janvier 2019. Les grandes lignes du projet, vivement critiqué, ont été annoncées le 26 juin par Benjamin Grivaux, porte-parole du gouvernement.

Alors que le gouvernement s’apprête à lancer une large consultation à l'automne afin de définir les modalités du service national universel (SNU), Benjamin Grivaux, porte-parole du gouvernement, en a dévoilé quelques aspects le 26 juin lors de son passage à Europe 1.

Promesse de campagne d’Emmanuel Macron, le SNU qui entrera en vigueur le 1er janvier prochain, comprendra deux phases : la première, obligatoire à partir de 16 ans, sera d’une durée d’un mois (deux périodes de deux semaines), et comprendra notamment un bilan de compétence afin de détecter les éventuelles difficultés scolaires. L’autre phase, d’une durée de trois à six mois, sera en revanche facultative et consacrée à un projet de volontariat.

Aucune période spécifique n’a été délimitée pour effectuer ce nouveau service qui touchera environ 800 000 jeunes dès 2019. Selon un groupe de travail mandaté par l’Elysée, le budget annuel est quant à lui estimé à 1,6 milliard d'euros « en rythme de croisière », hors investissements en infrastructure (1,7 milliard sur sept ans).

Cette version du SNU est très différente de celle qui avait été imaginée initialement par Emmanuel Macron. Emmanuel Macron voulait en effet que chaque jeune, à partir de 18 ans, puisse vivre une expérience militaire d'une durée d'un mois, encadrée par l'armée et la gendarmerie. Un projet initial qui devait alors mobiliser en cinq ans 20 à 30 milliards d’euros selon un rapport d’information du Sénat publié en juin 2017.

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