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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Le 9 mai 2018

 

Actualité a suivre ...

 

 

DIRECT. Nucléaire iranien : les Européens "feront tout" pour que l'Iran reste dans l'accord, déclare Angela Merkel

 

13h43 : Les Européens "feront tout" pour que l'Iran reste dans l'accord sur le nucléaire, malgré le rétablissement des sanctions américaines, réagit Angela Merkel. De son côté, l'Agence internationale de l'énergie atomique assure que l'Iran respecte ses engagements liés au nucléaire, et que le pays est "soumis au régime de vérification nucléaire le plus solide du monde" dans le cadre de cet accord.

 

13h16 : Le guide suprême iranien, l'ayatollah Ali Khamenei, exige des "garanties réelles" de la part des pays qui souhaitent poursuivre l'accord sur le nucléaire malgré le départ des Etats-Unis, hier. "Je ne fais pas confiance à ces trois pays (...) Demain ils feront la même chose que ce que les États-Unis ont fait", a-t-il lancé, à la télévision, à l'adresse de la France, l'Allemagne et le Royaume-Uni.

 

11h48 : Le département du Trésor a annoncé hier que les Etats-Unis allaient rétablir une large palette de sanctions concernant l'Iran après des périodes transitoires de 90 à 180 jours. Le gouvernement français a prévu de rencontrer les entreprises hexagonales installées dans le pays, afin de tenter de les protéger des sanctions, a aussi promis sur RTL le ministre des Affaires étrangères.

 

 

 

 

 

Accord sur le nucléaire : un drapeau américain brûlé au Parlement iranien

 

09 mai 2018, 13h07

La réaction de Téhéran ne s’est pas fait attendre après l’annonce mardi soir par Donald Trump du retrait des Etats-Unis de l’accord sur le nucléaire. Un drapeau américain en papier a été brûlé mercredi lors d’une séance au parlement iranien. « Mort à l’Amérique », ont crié plusieurs élus. « Faites attention à ne pas brûler le parlement », leur a juste lancé son président Ali Larijani.

Le guide suprême, l’ayatollah Ali Khamenei, a exigé des Européens qu’ils donnent des « garanties réelles » à l’Iran pour lui permettre de rester dans l’accord de Vienne sur le nucléaire iranien après le retrait des États-Unis. « Maintenant, on dit qu’on veut continuer l’accord nucléaire avec les trois pays européens, (mais) je ne fais pas confiance à ces trois pays […] Vous voulez conclure un accord, obtenez des garanties réelles, car demain ils feront la même chose que ce que les États-Unis ont fait », a-t-il déclaré lors d’un discours diffusé par la télévision d’État iranienne.

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Syrie: 15 morts dont huit Iraniens dans la frappe nocturne attribuée à Israël

 

La frappe nocturne attribuée à Israël près de Damas a tué 15 combattants pro-régime étrangers dont 8 Iraniens, selon un nouveau bilan fourni par l’Observatoire syrien des droits de l’Homme (OSDH).

Le tir a visé mardi soir un dépôt d’arme des Gardes de la révolution, l’armée d’élite du régime iranien, dans le secteur de Kiswé au sud de la capitale, a précisé l’OSDH.

« Neuf combattants appartenant aux Gardiens de la Révolution iraniens ou aux milices chiites pro-iraniennes ont été tués » dans le secteur de Kiswa, avait initialement indiqué à l’AFP le directeur de l’OSDH, Rami Abdel Rahmane.

Les « dépôts d’armes ciblés appartiennent à la Garde révolutionnaire iranienne », qui combat aux côtés des forces gouvernementales dans la guerre qui ravage la Syrie depuis 2011, a-t-il ajouté.

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Iran : Bolton affirme que la sortie américaine n’est pas un prélude à une guerre

 

WASHINGTON – La décision du président américain Donald Trump de se retirer de l’accord nucléaire iranien n’est pas un prélude à une confrontation militaire avec l’Iran, a déclaré mardi le conseiller à la sécurité nationale John Bolton.

John Bolton s'exprime au sommet des responsables républicains 'First in the nation' à Nashua, dans le New Hampshire, le 17 avril 2015 (Crédit : Darren McCollester/Getty Images via JTA)

Il a souligné que Téhéran violait actuellement l’accord qui l’engageait à ne pas poursuivre son programme nucléaire. Interrogé sur une future attaque contre la République islamique suite à l’annulation de l’accord, Bolton a déclaré aux journalistes que ceux qui pensaient cela « se trompaient gravement ».

Connu comme fervent partisan de la confrontation militaire américaine – Bolton a déjà exhorté à attaquer les installations nucléaires de Téhéran et a été l’un des principaux architectes de la guerre en Irak en 2003 –, l’ancien ambassadeur américain aux Nations unies a cherché à apaiser les inquiétudes.

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Arabie saoudite : deux missiles interceptés au dessus de Ryad

 

12h24, le 09 mai 2018

La chaîne Al-Massirah, contrôlée par les rebelles Houthis du Yémen, a revendiqué le tir d'une "salve de missiles" sur Ryad.

La défense antiaérienne saoudienne a "intercepté" mercredi deux missiles balistiques au dessus de la capitale Ryad, a annoncé la chaîne de télévision d'État El-Ekhbariya.

Une "salve de missiles". La chaîne Al-Massirah, contrôlée par les rebelles Houthis du Yémen, a revendiqué le tir d'une "salve de missiles" sur des sites économiques de la capitale saoudienne, sans préciser le nombre de projectiles. La chaîne saoudienne El-Ekhbariya n'a pas précisé qui avait tiré ces missiles.

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Lors d'une nouvelle visite en Chine, Kim Jong-un assure que «la dénucléarisation est réalisable»

 

Quelques semaines avant sa rencontre historique avec Donald Trump, Kim Jong-un s'est rendu en Chine. L'occasion de réaffirmer ses liens avec Pékin et d'envoyer un message fort à Washington : «La dénucléarisation est réalisable.»

Le président chinois Xi Jinping a accueilli le dirigeant nord-coréen Kim Jong-un pour une visite de deux jours les 7 et 8 mai à Dalian, ville portuaire du nord-est de la Chine. C'est la deuxième fois que le chef de l'Etat chinois recevait son homologue, moins de deux mois après ce qui avait constitué le premier voyage à l'étranger de ce dernier.

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"Je n’ai pas pu tuer" : l’auteur de l’attentat du Thalys a livré sa version des faits

 

Lors d’un interrogatoire en novembre 2017, il a expliqué avoir refusé de porter une ceinture d’explosifs car il était "contre le fait de massacrer des gens". 

Le tireur qui a blessé deux personnes lors de l’attaque du Thalys reliant Amsterdam à Paris a livré sa version des faits aux enquêteurs lors d’un interrogatoire en novembre dernier, révèle France Inter ce mercredi. 

Fait exceptionnel dans un dossier pour terrorisme, Ayoub El Khazzani a donné des détails sur son état d’esprit ce 21 août 2015, lorsqu’il a profité d’un arrêt du Thalys 9364 Amsterdam-Paris pour monter dans le train armé d’une Kalchnikov, de 270 munitions, d’un cutter, d’une arme de poing et d’un bidon d’essence. 

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Ebola : le virus de retour en République Démocratique du Congo, 17 morts déclarés

 

Alors que la République Démocratique du Congo avait annoncé officiellement la fin de l'épidémie Ebola sur son sol en juillet dernier, il semblerait que le virus soit de retour : 17 morts ont déjà été recensés.

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Ivan Rioufol : Pourquoi la censure française est un scandale

 

Le scandale : dès qu’il s’agit d’immigration ou d’islam, la censure officielle veille et tranche. Dimanche, le préfet Frédéric Potier, délégué interministériel à la lutte contre le racisme, l’antisémitisme et la haine anti-LGBT a tweeté, amusé, en réaction à la suspension des comptes Facebook et Instagram du mouvement Génération Identitaire : « Je confirme, et ce n’est pas un incident technique… ». Il faut donc comprendre que cette sanction a été demandée par les pouvoirs publics. Il est reproché à Génération Identitaire de mener des campagnes contre l’immigration et l’islamisation, et ce faisant « d’attiser la haine ». Cette organisation, qui défend une Europe des nations, avait symboliquement bloqué dernièrement le col de l’Echelle (Hautes-Alpes), point de passage des clandestins. En réponse à l’opération « Defend Europe », le ministre de l’Intérieur Gérard Collomb avait dépêché des renforts de police et de gendarmerie, prenant acte de la faiblesse des contrôles aux frontières alpines et donc de la justesse de la cause. A contrario, ni Potier ni les responsables de Facebook n’ont jugé utile de suspendre le compte des black-blocs, ce mouvement anarchiste et anticapitaliste qui a fait de la violence et de la haine des flic sa signature. L’autre jour, Libération a fait sa une sur un de ces petits néo-fascistes, en lui accordant un entretien complaisant. Samedi, le maire de Béziers, Robert Ménard, a été agressé physiquement, à Saint-André-de-Cubzac (Gironde) par des militants de gauche, sans que personne ne s’émeuve. Le tort de Ménard est de soulever les problèmes liés à l’immigration de masse et à l’islam politique. Sur ces sujets, la gauche a lâché les chiens.  (…)

 

Les directives de l’Union européenne au sujet des lanceurs d’alerte

 

Les lanceurs d’alerte sont à l’origine de nombreux scandales connus. Les SwissLeaks ont révélé le scandale des fraudes fiscales, Les luxleaks ont mis à jour les accords fiscaux passés par des multinationales avec le Luxembourg. Les Panama papers ont dévoilé 200 000 sociétés offshore. En 2016, l’Europe a décidé de mettre en place une directive sur le « secret des affaires ». Celle-ci est transposée en France cette année.

Le Parlement français envisage des sanctions pénales contre les lanceurs d’alerte. Les députés européens ont donc décidé d’écrire une nouvelle directive pour mettre les choses au clair et considéré que l’intérêt général prime sur les intérêts économiques. Il faut donc protéger les lanceurs d’alerte. Cette nouvelle directive sera contraignante pour les États membres. Elle devrait être votée avant les prochaines élections européennes en mai 2019.

 

 

 

Syrie: tir de missiles israéliens près de Damas, neuf combattants pro-régime tués (OSDH)

 

Beyrouth - Au moins neuf combattants pro-régime ont été tués mardi soir dans le tir de missiles israéliens visant un secteur proche de Damas, aindiqué une ONG, l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH).

De son côté, l'agence de presse officielle syrienne Sana a fait état de la mort de deux civils dans la province de Deraa, proche de Damas, causée par le tir de missiles.  

"Neuf combattants appartenant aux Gardiens de la Révolution iraniens ou aux milices chiites pro-iraniennes ont été tués" dans le secteur de Kiswa, a indiqué à l'AFP le directeur de l'OSDH, Rami Abdel Rahmane. 

Les missiles ont visé un "dépôt d'armes appartenant aux Gardiens de la révolution iraniens", qui combattent aux côtés des forces gouvernementales dans la guerre qui ravage la Syrie depuis 2011, a-t-il ajouté.  

Israël n'a pas fait de commentaires. 

(..)

Sana a indiqué plus tôt que l'armée syrienne avait intercepté mardi soir deux missiles israéliens visant un secteur proche de la capitale Damas.  

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La DCA syrienne repousse une attaque de missiles israélienne au sud de Damas

 

08.05.2018 à 22:52

La défense antiaérienne syrienne a intercepté les tirs de missiles israéliens près de la ville d'al-Kiswah située à 23 kilomètres au sud de Damas, indique la télévision d'Etat syrienne, citant une source militaire. 

«Les forces de défense antiaérienne de la Syrie ont abattu deux missiles israéliens. Ils ont été détruits près d'al-Kiswah, dans la banlieue sud de Damas», indique la télévision d'État.

Une source à l'aéroport international de Beyrouth a déclaré à Sputnik qu'au moment présumé de l'attaque contre des positions de l'armée syrienne dans le secteur d’al-Kiswah, des avions israéliens se trouvaient dans l'espace aérien libanais.

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"Activités" iraniennes en Syrie: Israël ordonne de préparer les abris antimissiles du Golan

 

, mis à jour à

Jérusalem - L'armée israélienne a indiqué mardi avoir demandé aux autorités locales du plateau du Golan occupé d'ouvrir et de préparer les abris antimissiles en raison "d'activités inhabituelles des forces iraniennes en Syrie", de l'autre côté de la ligne de démarcation.

Cette annonce est intervenue peu de temps avant l'annonce attendue de la part du président américain Donald Trump de sa décision sur l'accord nucléaire iranien. 

Source

 

 

Iran: Trump claque la porte de l'accord nucléaire, les Européens "déterminés" à le sauver

 

Donald Trump a annoncé le retrait pur et simple des Etats-Unis de l'accord sur le nucléaire iranien avec un retour de toutes les sanctions, une position dure limitant les marges de manoeuvre des Européens qui devraient poursuivre mercredi leurs concertations pour sauver le compromis de 2015.

Le président iranien Hassan Rohani, qui s'était beaucoup investi dans cet accord, a immédiatement accusé son homologue américain de pratiquer "une guerre psychologique", alors que la décision fracassante de Washington, dénoncée par tous les autres signataires, fait craindre une nouvelle montée des tensions au Moyen-Orient.

C'est "une grave erreur", a aussi réagi l'ex-président démocrate Barack Obama, sortant de sa réserve avec un ton particulièrement ferme pour défendre le texte conclu sous son administration.

"J'annonce aujourd'hui que les Etats-Unis vont se retirer de l'accord nucléaire iranien", a déclaré Donald Trump à la Maison Blanche. Il tient ainsi, quinze mois après son arrivée au pouvoir, une promesse de campagne: "démanteler" cet accord emblématique fruit de 21 mois de négociations internationales acharnées pour empêcher l'Iran de se doter de la bombe atomique.

"Aujourd'hui, nous avons la preuve définitive que la promesse iranienne était un mensonge", a-t-il martelé. "Le futur de l'Iran appartient à son peuple" qui mérite un "meilleur" gouvernement, a-t-il aussi estimé, dans une formule qui alimente les spéculations sur la volonté de Washington de faire tomber in fine le régime iranien.

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"Tout pays qui aidera l'Iran dans sa quête d'armes nucléaires pourrait aussi être fortement sanctionné par les Etats-Unis", a mis en garde M. Trump. Son conseiller à la sécurité nationale John Bolton a même laissé planer la menace de "sanctions supplémentaires".

Autrement dit, il sera très risqué pour une entreprise européenne de maintenir ses investissements en Iran. Cela devrait compliquer la tâche des signataires européens de l'accord de 2015, qui espèrent encore sauver les meubles.

(..)

"La France, l'Allemagne et le Royaume-Uni regrettent la décision américaine", a déclaré sur Twitter Emmanuel Macron. Dans un communiqué commun, le président français, la chancelière allemande Angela Merkel et la Première ministre britannique Theresa May, qui s'étaient tous trois investis en vain pour tenter de convaincre Donald Trump de rester dans l'accord, se sont dits "déterminés à assurer la mise en oeuvre" de ce texte en "maintenant les bénéfices économiques" au profit de la population iranienne.

Moscou a aussi fait part de sa "profonde déception" et de son "extrême inquiétude".

Dans la région, la Turquie a dit craindre "de nouveaux conflits" tandis que la Syrie a "condamné avec force" l'annonce du retrait des Etats-Unis de l'accord, affirmant sa "totale solidarité" avec Téhéran.

En revanche, le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, plus ferme soutien de Donald Trump sur ce dossier, a soutenu "totalement" cette décision "courageuse", tout comme le royaume sunnite d'Arabie saoudite, grand rival régional de l'Iran chiite.

L'annonce américaine était très attendue au Moyen-Orient mais aussi de l'autre côté de planète, en Corée du Nord, à l'approche du sommet entre Donald Trump et Kim Jong Un sur la dénucléarisation de la péninsule.

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Note: les journaleux d'euronews oublient de préciser qu'Obama a signé cet accord alors que les Iraniens n'ont jamais accepté que les inspecteurs de l'IAEA inspectent certains sites iraniens

 

 

Hassan Rohani: l'Iran n'exclut pas de reprendre l'enrichissement d'uranium

 

Les USA n'avaient pas le droit de se retirer de l'accord nucléaire, mais l'ont fait, prouvant ainsi qu'il n'honoraient pas leurs engagements, a estimé le Président Hassan Rohani. Il a en outre souligné que s'il restait fidèle à l'accord signé avec les cinqs parties, son pays était prêt à reprendre l'enrichissement d'uranium.

Hassan Ruhani

S'adressant à la nation après l'annonce du retrait des États-Unis de l'accord nucléaire, le Président iranien Hassan Rohani a insisté sur le fait que son pays ne le résiliait pas et que l'accord parachevé en 2015 restait en vigueur entre la République islamique et les cinq autres signataires.

Et d'ajouter qu'il avait chargé son chef de la diplomatie de mener dans les semaines à venir des négociations sur la question nucléaire avec les pays européens ainsi qu'avec la Russie et la Chine. 

«Si nous atteignons les objectifs de l'accord de Vienne sur le nucléaire iranien en coopération avec les cinq autres pays [l'Allemagne, le Royaume-Uni, la Chine, la Russie et la France], l'accord restera en vigueur», a déclaré le dirigeant iranien.

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L'Iran ou Israël: la Russie doit-elle choisir?

 

Les experts débattent activement de la visite du Premier ministre israélien à Moscou.

Quels sont les enjeux globaux du déplacement de Benjamin Netanyahu en Russie? L'analyse du portail Novye Izvestia. Le 9 mai, Vladimir Poutine s'entretiendra avec Benjamin Netanyahu qui a déclaré que cette rencontre était particulièrement importante au vu des efforts grandissants de l'Iran pour créer en Syrie des bases militaires dirigées contre Israël. Netanyahu a ajouté que ces derniers mois, les Iraniens projetaient en Syrie des armements modernes, notamment des missiles sol-sol et des systèmes de défense antiaérienne menaçant les avions de l'armée de l'air israélienne. Selon le Premier ministre israélien, son pays est résolu à «stopper l'agression iranienne même si cela nécessitait des activités militaires — il vaut mieux le faire plus tôt que plus tard».

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«Les USA feraient un pas de plus pour se préparer à la guerre en Europe»

 
 
Les États-Unis recréent une unité très symbolique de l'époque de la Guerre froide: la 2e flotte de la marine. L'orientation antirusse de cette décision n'est pas dissimulée.
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Kim Jong-un pose ses conditions pour renoncer aux armes nucléaires

 

Lors de sa seconde visite en Chine depuis la fin du mois de mars, le leader nord-coréen a expliqué quelles conditions devraient être réunies pour que son pays dise finalement «niet» aux armes nucléaires.

Pyongyang renoncera aux armes nucléaires, si les parties intéressées mettent un terme à leur politique d’hostilité à l’égard de Pyongyang, a déclaré le leader nord-coréen, Kim Jong-un lors de sa rencontre avec le Président chinois Xi Jinping. 

«Il faut que les parties intéressées renoncent à leur politique hostile et à leurs menaces à l’encontre de la Corée du Nord, alors la partie nord-coréenne n’aura plus besoin de détenir des armes nucléaires et la dénucléarisation deviendra possible», a-t-il déclaré, cité par l’agence Chine nouvelle. 

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