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Le 22 février
La Ghouta, le nouveau «siège d’Alep» des médias occidentaux
La Ghouta, l’un des derniers fiefs djihadistes de la banlieue de Damas, est de nouveau sous le feu des canons… et des projecteurs. Depuis quelques jours, tous les éléments semblent être réunis pour que l’on assiste à une nouvelle campagne médiatique, comparable à la couverture de la reprise des quartiers d’Alep-Est par l’armée syrienne. Analyse.
La Ghouta, l’un des derniers fiefs djihadistes de la banlieue de Damas, est de nouveau sous le feu des canons… et des projecteurs. Depuis quelques jours, tous les éléments semblent être réunis pour que l’on assiste à une nouvelle campagne médiatique, comparable à la couverture de la reprise des quartiers d’Alep-Est par l’armée syrienne. Analyse.
«À mon sens le pire est devant nous et, que, s'il n'y a pas d'éléments nouveaux nous allons vers un cataclysme humanitaire».
«Cataclysme humanitaire», l'expression est lâchée et elle fait les choux gras de la presse française ce 21 février, il faut dire qu'elle a été prononcée par le ministre des Affaires étrangères en personne. Jean-Yves le Drian était en effet interpellé la veille à l'Assemblée nationale par la députée LREM Monica Michel sur la situation «extrêmement dramatique» des populations civiles dans une Syrie en proie à la «déstabilisation». La députée évoquait notamment l'intervention de l'armée turque autour du canton d'Afrine, où elle aurait éliminé en un mois, selon ses dires, 1.715 «terroristes» (combattants kurdes et djihadistes confondus). Un drame qui s'ajoute à celui de la population d'une autre zone, celle de la Ghouta orientale, soumise quant à elle au feu de Damas.
C'est sur cette dernière que le chef de la diplomatie française concentrera sa réponse, annonçant ses déplacements prochains à Moscou et Téhéran, rappelant l'appel de la France à une «trêve humanitaire» et le rétablissement des négociations de Genève, tout en soulignant un «processus politique bloqué» et «l'échec de l'initiative russe à Sotchi.»
Depuis ces déclarations, une surenchère macabre s'est emparée de la presse française, 100, 250, 300, tel est le décompte des civils qui auraient été tués dans les bombardements de la poche «rebelle» de la Ghouta Orientale depuis dimanche dernier. Des chiffres communiqués par l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH, basé à Londres), qui côtoient les témoignages de secouristes ou médecins, les tweets et vidéos de Casques Blancs en pleurs tenant des enfants morts, évoquant des hôpitaux qui auraient été ciblés par des frappes russes et syriennes.
La comparaison entre Alep-Est et la Goutha orientale vient aussitôt sous la plume de nos confrères. Et de fait, sur le terrain les deux zones de combat présentent certaines similitudes: une poche de résistance au gouvernement syrien, présentée comme «rebelle», mais essentiellement composée d'éléments djihadistes radicaux? Une offensive gouvernementale qui met à mal les positions des djihadistes, au grand dam des chancelleries et des médias occidentaux, tous très remontés contre le «régime» de Bachar el-Assad.
Mais au-delà de l'horreur indéniable des combats, ne sommes-nous pas en présence des mêmes éléments de langage qui avaient fait le succès de l'offensive médiatique contre Damas et Moscou, fin 2016 lors de la reprise des quartiers d'Alep-Est par l'armée syrienne?
Des éléments de langage que l'on retrouve déjà dans l'invitation d'un groupe d'étude à venir rencontrer au Palais Bourbon le vice-président des Casques blancs, le 13 février dernier: «Éviter un nouvel Alep ailleurs en Syrie».
«Ce n'est pas une guerre, c'est un massacre» titrait hier après-midi The Guardian, illustrant son article d'une vidéo tournée par les fameux Casques Blancs: dès les premières lignes, on comprend que l'article ne fera guère preuve d'objectivité dans le traitement de cette actualité tragique. Il ne sera par exemple pas fait mention des Damascènes tués par des tirs de roquettes djihadistes, pas plus que des bavures de l'armée américaine ou de ses raids contre les troupes loyalistes.
Dans une guerre où le téléspectateur se perd dans un mille-feuille d'alliances, un seul camp bénéficie d'un quasi-monopole de la souffrance médiatisée. Une victimisation morbide qui tend à encourager la mise en scène de séquences particulièrement tragiques et de drames humains à destination du citoyen occidental. D'ailleurs, comme dans le cas d'Alep, un parallèle avec Srebrenica est dressé dans cet article du Guardian. Un comparatif que reprend à la volée le journal Le Monde.
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Notes : Et en France c'est la mème chose, lorsque la tête pensante de l'AFP (dirigé par Emmanuel Hoog un gauchiste) titre Syrie: le régime s'acharne sur un fief rebelle près de Damas ...
... tous les bons toutou suivent ( ce qui démontre bien que le métier de journaliste d’aujourd’hui n'est qu'une méprisable mascarade manipulatrice. Il suffit que la tête soit gangrénés pour que tout les autres membres soit contaminés aussi)
Et les pays du Golfe qui inondent d'argent, de pétrole et de gaz nos politiciens corrompus, dénoncent eux aussi le régime Syrien (alors que l'Arabie Saoudite fait bien pire au Yémen sous le silence médiatique et de ses voisins)
Syrie: des pays du Golfe demandent au régime de cesser ses bombardements sur la Ghouta
Ryad - L'Arabie saoudite et les Emirats arabes unis mais aussi le Qatar, pays voisin avec lequel ils ont rompu lui reprochant notamment ses liens avec l'Iran, ont appelé jeudi à mettre fin à la violente offensive du régime syrien sur une enclave assiégée sous contrôle rebelle.
Ces appels sont intervenus alors que la pression internationale s'est accrue en faveur d'un cessez-le-feu à la Ghouta orientale, où au moins 335 personnes dont de nombreux enfants ont été tuées par les bombardements du régime syrien depuis dimanche.
"Nous soulignons la nécessité pour le régime syrien d'arrêter la violence pour permettre l'aide humanitaire, et de rejoindre sérieusement le chemin d'une solution politique à la crise", a déclaré le ministère saoudien des Affaires étrangères sur Twitter.
"Nous sommes inquiets devant la poursuite des attaques du régime syrien à la Ghouta orientale et l'impact sur les civils" dans ce fief rebelle près de Damas, a ajouté le ministère à Ryad.
Les Emirats arabes unis ont eux aussi exprimé leur inquiétude face à l'escalade et appelé à "une trêve immédiate" pour mettre un terme à l'effusion de sang et protéger les civils, leur permettant notamment l'accès aux aides humanitaires et aux soins.
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Lire aussi (massacre saoudiens) : Yémen : une carte révèle l'ampleur des destructions à Sanaa
ou "Blocus au Yémen : 'Si rien n’est fait, il s’agira d’un crime de guerre'
Notes : Encore une chose importante, l'actualité me démontre que lorsque Nostradamus prédit "de Aleph & Aleph" (voir quatrain C 10 - Q 96) il fait allusion à Alep et la Ghouta (les journalistes eux mème font la similitude)
Donc la Ghouta est a surveillé de prés
Après l'intervention de Damas, quel avenir pour Afrin ?
Dans cette partie du nord de la Syrie, où des milices pro-Damas sont entrées pour appuyer les forces kurdes, s'exposant aux représailles d'Ankara, la situation se complique de jour en jour. Comment envisager l'avenir ? Décryptage...
Israël soutiendrait au moins sept groupes rebelles contre Damas, pour sécuriser le Golan occupé
Inquiet de voir les forces syriennes se rapprocher du plateau du Golan, Israël soutiendrait militairement des groupes armés affiliés à l'Armée syrienne libre, délaissés par la CIA dans la guerre contre Damas, selon le célèbre quotidien Haaretz.
Malgré des déconvenues, comme le sursaut des rebelles islamistes dans la région de la Ghouta (est de Damas), la Syrie reprend morceau par morceau certaines des dernières enclaves qui échappent encore à son contrôle. Dans le sud du pays, l'armée arabe syrienne progresse ainsi depuis plusieurs mois en direction du plateau du Golan, au grand dam d'Israël, qui l'occupe illégalement depuis 1967 et qui l'a finalement annexé en 1981. Les deux pays sont d'ailleurs officiellement en guerre.
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Hassan Chalghoumi : Les individus ayant quitté la France pour rejoindre l’EI ne devraient pas être autorisés à revenir ; pourquoi devrions-nous payer le prix de ce qui pourrait arriver ?
L’imam franco-tunisien Hassan Chalghoumi a dénoncé l’islam politique, précisant que le takfir [le fait d’accuser les autres d’hérésie] « fait partie de la nation islamique et du monde arabe » et que l’Etat islamique a émergé « de nos propres pays, d’entre nos fils ». Selon Chalghoumi, imam de la mosquée de Drancy, en Seine-Saint-Denis, les individus partis rejoindre l’EI en Syrie et en Irak ne devraient pas être autorisés à revenir. « Ce sont des tueurs », a-t-il déclaré, lors d’une interview sur la chaîne télévisée tunisienne Al Janoubia, le 7 février 2018, avertissant que « les services sociaux [français] ne sont pas habilités à s’occuper de ce type d’enfants ». « A cause des crimes brutaux qu’ils ont commis, ils sont devenus barbares », a déclaré l’imam Chalghoumi : « un garçon de 12 ans de ce type pourrait entrer dans une école française avec un couteau et massacrer 60 personnes. Pourquoi devrions-nous être ceux qui payent le prix ? », a-t-il demandé. Extraits :
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Opération policière à Bruxelles, au moins un individu serait retranché dans un immeuble
Un quartier de la commune de Forest à Bruxelles a été bouclé par les forces de l'ordre. Selon les médias belges, des policiers seraient postés sur des toits. Un homme potentiellement armé serait retranché dans un immeuble.
Le 22 février, un important déploiement de policiers a été mis en place près de la place Saint-Denis à Forest, une commune de Bruxelles-Capitale. Joint par RTL.be, le bourgmestre Marc-Jean Ghyssels a précisé que les mesures de sécurité avaient été appliquées en raison de la «suspicion de présence d'un homme armé» dans un immeuble. Selon des médias belges, un hélicoptère survole la place.
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Tariq Ramadan: des responsables musulmans réclament sa libération
Le recteur de la Grande mosquée de Lyon Kamel Kabtane et son homologue de Villeurbanne Azzedine Gaci réclament mercredi la «libération immédiate» de Tariq Ramadan en raison de son état de santé, à la veille d’une décision sur sa détention.
Dans un communiqué commun, les deux recteurs estiment l’islamologue suisse «victime d’un lynchage médiatico-politique où les convictions personnelles et les rancœurs prennent souvent le pas sur la sacro-sainte présomption d’innocence à laquelle on ne songe pas un instant».
«Le régime d’exception et la sévérité appliquée à cet intellectuel de renom, reconnu et respecté au sein des musulmans de France, alimente sans cesse le sentiment d’une justice à double vitesse et nourrit l’idée selon laquelle Tariq Ramadan est plus jugé pour ses idées et ses engagements que pour les faits qui lui sont reprochés, et sur lesquels la justice doit pouvoir travailler en toute sérénité», écrivent Kamel Kabtane et Azzedine Gaci. (…)
www.liberation.fr
Immigration : « La loi Collomb est la plus grande machine à régulariser de l’histoire de France »
Antonin a tout du personnage de roman noir. Grande-gueule, ce travailleur social a le visage buriné par la vie, par les coups durs. C’est parce que le problème des sans domiciles fixes le révolte qu’il a bien voulu répondre à nos questions anonymement. Ses positions surprenantes dérangeront probablement ceux qui ont des idées préconçues sur le sujet. Qu’importe, le mérite principal d’Antonin est bien de ne pas verser dans le misérabilisme compassionnel qui fait le bonheur des fictions télévisuels et des chanteurs engagés. Lui, connaît la réalité de la rue pour l’avoir vécue dans sa chair d’homme et de travailleur.
(…) » 95% des migrants arrivant en France sont considérés comme des SDF alors qu’ils ont un logement (souvent une maison) au pays. D’ailleurs, ils y retournent en vacances « au bled », dès que l’Etat les régularise. Imaginez qu’il y a presque 100 millions de touristes qui viennent en France tous les ans. Sont-ils considérés comme des SDF ? »
(…) « Ces associations d’insertion engagent des salariés via des contrats aidés. Les fameux contrats dont Hollande avait fait une priorité. Emmanuel Macron a, de son côté, décidé de les limiter à ces associations. Les salariés, plus de 90% d’immigrés, ont donc des fiches de paie avec contrat de travail, deux éléments cruciaux pour accéder aux logements sociaux. Ils deviennent prioritaires pour quitter les centres d’hébergement aux yeux de la mairie et de la préfecture (70% du contingent de la préfecture leur est dédié en plus des 1.500 logements de la mairie de Paris via les accords collectifs). »
(…) « Le projet de loi asile et immigration de Gérard Collomb va-t-il changer les pratiques en matière d’hébergement d’urgence ?
« Ce projet est la plus grande machine à régulariser de toute l’histoire de France. L’Etat sait très bien qui est hébergé dans chaque centre puisqu’il finance 18.000 euros la place à l’année via la DRIHL (service de la préfecture). Les associations mentent donc en refusant de communiquer les noms des personnes s’y trouvant. Cette opération va permettre de faciliter les régularisations grâce à la circulaire Valls. Au surplus, les fonctionnaires devront être bienveillants et moins pointilleux que par le passé. »
(…) « Il faut savoir qu’il y a 700 demandes par jour pour deux places en centre d’hébergement et de réinsertion sociale. Et là intervient la deuxième étape jouant contre les SDF Français : la loi DALO/Sarkozy impose qu’il n’y ait pas de rupture d’hébergement quand une personne est prise en charge par l’état. Donc tous les demandeurs d’asiles ayant obtenu le statut de réfugié sont prioritaires pour vider les CADA (centres d’accueil pour demandeurs d’asile) puisqu’ils basculent dans le droit commun. »
(…) « Quand j’entends un certain mouvement politique reprendre le chiffre officiel de 143.000 SDF, je ne peux qu’être dégouté par cette volonté de surfer sur la vague des SDF, comme les associations, pour faire du buzz. Défendre un toit pour les 143.000 « SDF » revient à donner un toit à plus de 140.000 étrangers : même les associations les plus à gauche ne pourraient rêver mieux. »
lincorrect.org
Notes : Macron l'avatar socialiste d’Hollande, vient d’accélérer le grand remplacement. Maintenant grâce à son parti, 200 milles migrants pourront faire venir leur femme, leurs enfants et leurs frères et leurs sœurs, se transforment vite en 1 million de personnes. (le calcul est simples) . De nos jours on peut désormais envahir un pays pacifiquement (dans un premier temps) et avec la bénédiction des politique!
Je le redit, seule une guerre pourra nous sauver de la mort lente et irréversible qui nous attend
Collard sur la Loi Immigration : «Des gaillards de 25 ans nous prennent pour des cons en disant qu’il en ont 15. Ils peuvent faire venir frères et soeurs.»
Gilbert Collard (député FN du Gard) : «La loi et Asile et Immigration renforce le rapprochement familial en permettant aux mineurs réfugiés de faire venir frères et soeurs. Incroyable mais vrai ! (…) Des gaillards de 25 ans nous disent en nous prenant pour des cons qu’ils en ont 15.»
– LCI, 22 février 2018, 8h16
Stephen Smith : « On parlait beaucoup d’Afrique française, il faudrait peut-être commencer à parler d’Europe africaine, il faut prendre la mesure du réel »
Stephen Smith, journaliste et écrivain, spécialiste de l’Afrique était l’invité de Bourdin Direct ce jeudi. Pour lui, les États européens vont devoir négocier entre eux pour faire face à la forte pression migratoire en provenance de l’Afrique ces prochaines décennies.
« Jusqu’en 2050, on sait que l’Europe va s’africaniser, les jeunes sont là, ils sont déjà nés, il n’y a rien à faire ». Ces propos sont de Stephen Smith, journaliste et écrivain, spécialiste de l’Afrique, qui vient de publier « La ruée vers l’Europe: la jeune Afrique en route pour le vieux continent » (éd. Grasset). « Je dis ça sans affolement, tempère-t-il ce jeudi dans Bourdin Direct. Quand vous avez un voisin qui en 2050 sera 5 fois plus nombreux que toute l’Europe comprise, il y a une pression migratoire qui est très forte et il faut s’arranger entre voisins (européens), il faut négocier ». Face à cet afflux à venir, Stephen Smith explique: « Il faut prendre la mesure du réel d’abord. Puis il faut des négociations entre l’Europe et l’Afrique pour éviter notamment que ses forces vives quittent le continent ».
RMC
Israël: premières incarcérations de migrants africains
Les sept migrants incarcérés mardi faisaient partie des quelque 750 personnes actuellement détenues à Holot. Ce centre de semi-détention a été ouvert pour regrouper, dans le désert du Neguev, ces étrangers entrés illégalement sur le territoire israélien. Et le gouvernement veut désormais en obtenir la fermeture.
Ces sept Erythréens avaient reçu en janvier un avis des autorités israéliennes. Elles leur donnaient un mois pour décider entre un départ dit « volontaire » vers un pays tiers et une incarcération pour une durée indéterminée. Ce mardi, ces sept personnes étaient convoquées par les services de l’immigration au sein du centre de Holot. Selon l’un de leurs co-détenus joint par RFI, elles devaient alors signifier leur réponse. Et ces sept Erythréens ont choisi l’incarcération dans un centre fermé plutôt qu’un départ d’Israël.
Les autorités israéliennes les ont alors immédiatement transférés vers la prison de Saharonim, à quelques centaines de mètres de Holot. Mais les migrants n’ont pu rassembler leurs effets personnels. Une rapidité d’exécution perçue comme une brutalité par les détenus de Holot. En geste de protestation, tous ont décidé d’entamer solidairement une grève de la faim dès mardi soir.
www.rfi.fr
Voir aussi cette vidéo sur F de souche : Immigration : le professeur et essayiste Stephen Smith alerte sur la possibilité d’une « Europe africaine »
Suisse : le Conseil central islamique justifie les mutilations génitales pratiquées sur les jeunes filles
La circoncision du prépuce masculin est une pratique largement acceptée à travers le monde. La situation est en revanche tout autre en ce qui concerne l’excision féminine, rappelle ce lundi le «TagesAnzeiger». De nombreux pays condamnent cet acte, qui est passible de lourdes sanctions.
En Suisse, les mutilations génitales féminines sont explicitement interdites depuis 2012. Selon la gravité, cet acte est passible d’une peine pouvant aller jusqu’à 10 ans de prison. Cela s’applique également aux cas où les filles sont emmenées à l’étranger pour se faire exciser.
Des recherches du journal alémanique montrent que le Conseil central islamique suisse (CCIS) a récemment élaboré une «expertise juridique islamique», dans laquelle il justifie la moins dangereuse des formes de circoncision féminine. Il s’agit de l’ablation du prépuce clitoridien. Selon le CCIS, cette variante est légitimée par l’islam.
Le Matin
Nigeria. Une partie des écolières enlevées par Boko Haram retrouvées
Deux jours après l’attaque d’une école de filles par des combattants de Boko Haram, 76 écolières, sur les 111 lycéennes portées disparues, ont été retrouvées par l’armée nigérienne. Cette nouvelle attaque a ravivé la menace d’un kidnapping de masse au Nigeria, comme celui des lycéennes de Chibok, en 2014.
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JC 23/02/2018 00:17
3guerremondiale 24/02/2018 06:42
JC 23/02/2018 18:28
3guerremondiale 23/02/2018 08:28