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Le 21 février
Syrie : l’ONU demande l’arrêt des combats, Macron appelle à « une trêve »
Au quatrième jour de l’offensive aérienne menée par le pouvoir syrien et son allié russe contre la Ghouta orientale, le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, a réclamé l’arrêt des combats dans cette enclave rebelle située en périphérie de Damas, et assiégée depuis cinq ans.
« J’appelle toutes les parties impliquées à un arrêt immédiat de toute action de guerre dans la Ghouta orientale afin de permettre une aide humanitaire à ceux qui en ont besoin », a déclaré M. Guterres au Conseil de sécurité.
Le président français, Emmanuel Macron, a lui aussi demandé « une trêve afin de s’assurer de l’évacuation nécessaire des civils du maintien ou plutôt de la création de tous les accès humanitaires indispensables dans les meilleurs délais ».
« Ce qui se passe dans la Ghouta orientale aujourd’hui est clairement, vigoureusement condamné par la France », a dit le chef de l’Etat lors d’une conférence de presse avec son homologue du Liberia, George Weah, à l’Elysée. « Car au prétexte de la lutte contre les terroristes djihadistes, le régime avec quelques-uns de ses alliés a décidé de s’en prendre à des populations civiles et vraisemblablement à certains de ses opposants ».
Le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) a quant à elle réclamé, mercredi, l’accès à la Ghouta. « Les violences risquent vraisemblablement de causer davantage de souffrances dans les jours et les semaines à venir, et nos équipes doivent être autorisées à se rendre dans la Ghouta orientale pour porter secours aux blessés », a rappelé Marianne Gasser, représentante du CICR en Syrie.
Selon l’Observatoire syrien des droits de l’homme (OSDH), au moins 24 civils, dont trois enfants, sont morts mercredi dans de nouveaux bombardements.
Les frappes se sont concentrées sur la localité de Kfar Batna, où 22 civils sont morts tués par les barils d’explosifs largués par les avions du régime, a précisé l’OSDH. Deux autres civils sont morts dans la localité de Jisrine.
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Notes: les journalistes ne se soucient pas trop des Kurdes, c'est surtout les rebelles qui affectionnent
Tous les journalistes braquent maintenant l'attention du public sur la Ghouta islamique, les Américains prépareraient-ils un mauvais cout ! nous approchons de Pâques 2018 ! et des 70 ans d’Israël, ne surtout pas oublier
Des factions de l’Armée syrienne libre aux côtés de la Turquie
Dès le départ, des factions de l’Armée syrienne libre (ASL) se sont engagées auprès de la Turquie dans la bataille d’Afrin. Ces groupes de rebelles s’étaient constitués pour lutter contre le régime de Bachar al-Assad au début de la guerre civile syrienne, en 2011. Aujourd’hui, selon le centre d’études Jussoor, proche de l’opposition syrienne, cité par Le Monde, entre 5 000 et 7 000 de ses combattants seraient déployés auprès des Turcs. "Ces brigades de l’ASL sont armées et payées par Ankara", indique Wassim Nasr, journaliste spécialiste de la question syrienne à France 24. Par le passé, entre 2014 et 2018, ces factions de l’ASL avaient également combattu les jihadistes de l’EI.
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Note : bien étrange que ses rebelles anti régime soit payer pas les turques ! et ils sont payer par la Turquie depuis combien de temps ? Quelle est leur intérêt de faire la guerre aux Kurdes !?
Ankara reconnaît avoir des contacts avec Damas
Malgré l’absence de dialogues officiels et diplomatiques, la Turquie entre en contact avec les dirigeants syriens via Moscou, et les contacte directement en cas d’urgence, a reconnu la présidence turque.
Ankara entre en contact avec Damas par le biais de Moscou. En cas d'urgence, des contacts directs ou indirects sont possibles, a déclaré mercredi le porte-parole du Président turc, Ibrahim Kalin.
«Nous n'avons pas de contacts officiels avec le régime [syrien]. Mais lors du processus d'Astana, nous avons mis en place avec la Russie et l'Iran un mécanisme visant à instaurer des zones de désescalade. Parfois, si besoin est, nous transmettons nos messages au régime via la Russie. Mais dans les cas les plus urgents, certains de nos cercles peuvent avoir des contacts directs ou indirects afin d'éviter des incidents momentanés, tels que des affrontements etc.», a-t-il indiqué aux journalistes.
Il n'est pas question pour l'instant d'établir des conacts diplomatiques directs entre la Turquie et la Syrie, selon lui.
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Notes ; je pense que la Russie vas calmé le jeux entre la Turquie et la Syrie, mais les USA, eux vont continuer a jouer au jeux d'échec (accusation d’utilisation d'arme chimique !)
Lire aussi : De nouvelles unités des milices populaires arrivent à Afrine
Syrie: sous la pression des acteurs étrangers, l’après-Daech s’annonce explosif
La Turquie veut assiéger la ville d’Afrine, en dépit de l’approche de l’armée syrienne de cette localité. Les USA bombardent des troupes gouvernementales syriennes, tandis que la DCA de Damas abat un avion israélien. Alors que la Syrie est presque débarrassée de Daech, jamais peut-être elle n’a autant ressemblé à une poudrière.
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Des «réglages de dernières minutes à opérer» souligne Georges Malbrunot, grand reporter pour le Figaro et spécialiste du Moyen-Orient qui revient à notre micro sur les déclarations d'Ankara, qui ne serait pas «convaincu que Damas soumette les combattants kurdes du YPG»:
«Les Turcs souhaitent une chose, que les combattants kurdes liés au YPG soient soumis et qu'ensuite il y ait des garanties apportées à la Turquie sur la gouvernance locale d'Afrine. Ces garanties peuvent être apportées soit par le gouvernement de Damas, soit par les rebelles proturcs qui combattent aujourd'hui avec la Turquie contre les Kurdes d'Afrine.»
Mais si les caméras sont aujourd'hui braquées sur le canton d'Afrine, ce nouvel épisode (pas si médiatique) de la guerre syrienne s'inscrit à la suite d'une série d'incidents opposant des États intervenant sur le théâtre syrien.
Le plus médiatisé fut sans doute ce F-16 de l'armée israélienne, abattu par la défense antiaérienne syrienne le 10 février lors d'un raid mené suite à l'intrusion d'un «drone iranien» dans l'espace aérien de l'État hébreu. Suite à cette perte, douze sites de l'armée syrienne ont été ciblés par de nouvelles frappes israéliennes.
Quelques jours plus tôt, le 7 février dernier, estimant agir en «légitime défense» suite à l'attaque dans la région de Deir-ez-Zor d'un poste des Forces Démocratiques Syriennes (FDS), une coalition arabo-kurde soutenue par Washington, l'aviation américaine a mené une série de frappes. D'après le bilan dressé par le Pentagone, les forces fidèles à Damas déploreraient une centaine de morts dans leurs rangs, parmi lesquels plusieurs combattants de sociétés militaires privées de nationalité russe. Le tout dans une région, le nord-est syrien, où les États-Unis ont annoncé dans le courant du mois de janvier leur intention de déployer une force frontalière forte de 30.000 hommes. Une initiative, qui «souligne la volonté américaine de se réengager dans le conflit syrien» d'après Georges Malbrunot,
«Les Américains à travers cette présence dans le Nord-est occupent quand même 25 —28% de la Syrie et surtout, via leurs alliés kurdes, contrôlent une bonne partie des champs gaziers et pétroliers.»
Le grand reporter évoque ainsi les différents objectifs recherchés par une telle force, à savoir épauler les Kurdes dans leur lutte contre les derniers reliquats de «Daech», ainsi que parer *«l'avancée […] des milices chiites irakiennes pro-iraniennes» dans la région.
Cependant, satisfaire certaines attentes d'Israël ou des pays du Golfe ne semble pas les uniques motivations de Washington à en croire notre intervenant:
«Le troisième objectif je crois, c'est d'empêcher que Bachar al-Assad et ses alliés iraniens et russes reconquièrent- comme Bachar al-Assad l'a rappelé —l'ensemble de la Syrie et on a bien vu il y a quinze jours que les Américains étaient près à recourir à la force pour empêcher cet objectif.»
Une allusion transparente à ces frappes américaines les forces loyalistes syriennes et où des combattants russes ont trouvés la mort. Un incident sur lequel revient Samir Aita, opposant syrien, qui craint une escalade du conflit syrien, cette fois-ci directement entre les acteurs étatiques.
«On l'a vu, les Américains tuent des combattants russes- il est vrai pas de l'armée, mais ce sont des combattants russes quand même- et on a vu des militaires américains menacés par certaines forces alliées au régime syrien. On est dans une zone très dangereuse.»
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En parallèle, le processus d'Astana, qui vise lui aussi à amener la paix en Syrie sous le parrainage d'Ankara, Moscou et Téhéran, connaît des avancées concrètes. ...
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*Notes: ce qui démontre bien que les Américains finiront obligatoirement par s'attaquer directement à l'armée iranienne en Syrie.
Mais ce que les Américains n'ont pas prévue c'est que l'Iran va profiter pour retourner cette guerre à leur avantage, en s'attaquant directement à Israël, la haine de tous les pays musulmans pour Israël fera le reste
De plus comme je les déjà fait remarqué, les discours de l'Iran démontrent bien que l'Iran a déjà comme ambition de réunir les pays musulmans
Syrie : les forces turques et le régime de Bachar al-Assad s'affrontent à Afrine
Afrin sous les bombes : la Turquie continue à pilonner
La Turquie poursuit ses bombardements sur l'enclave d’Afrin alors que des milices pro-Damas sont venues soutenir les forces Kurdes. Ankara affirme les avoir empêchées de pénétrer dans la ville mais elles maintiennent y être parvenu.
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Syrie : Guterres « profondément inquiet » devant l’escalade
Le secrétaire général de l’ONU Antonio Guterres s’est déclaré mardi « profondément inquiet » devant l’escalade de la violence dans la Ghouta orientale, enclave rebelle de Syrie qui subit des bombardements meurtriers des forces gouvernementales.
« Le secrétaire général est profondément inquiet devant la situation qui s’aggrave dans la Ghouta orientale et son impact dévastateur sur les civils », a rapporté le porte-parole de l’ONU Stéphane Dujarric.
Des frappes aériennes syriennes et russes sur l’enclave rebelle proche de Damas ont tué 106 civils mardi, selon une ONG, l’Observatoire syrien des droits de l’homme (OSDH). Lundi, 127 civils avaient été tués, selon la même source.
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Notes :Voici un bon exemple du lèche cul de service ! il montre du doigt les lieux incendier mais ignore de voir qui sont les pyromanes . Voyons réfléchir un peu, pourquoi les Turques veulent entrer à Afrine ! Qui s'installe (encore sans en être invité) dans un territoire riche en pétrole et en gaz ?
Budget record pour l'armée américaine : Washington se «prépare vraiment à la guerre» (VIDEOS)
Pour l'analyste en sécurité Charles Shoebridge, le budget militaire record de 686 milliards pour 2019 montre que les Etats-Unis se préparent à des guerres conventionnelles entre Etats, et non plus seulement à faire face à des groupes terroristes.
Conformément aux promesses de Donald Trump, l'armée américaine va bénéficier d'une dotation budgétaire record pour 2019, avec une augmentation de 54 milliards de dollars par rapport à l'année précédente. Avec 686 milliards de dollars, le budget 2019 représente, à quelques milliards près, l'équivalent du PIB de la Suisse ou de l'Arabie saoudite. Autres ordres de grandeur : la Russie consacrait, selon les chiffres du Forum économique mondial, l'équivalent de 66 milliards de dollars à ses armées en 2015, la France 55 milliards.
Si ces dépenses militaires sont présentées comme indispensables pour entretenir le matériel, il est à noter l'effort consenti sur la production d'obus de 155 millimètres, qui se trouve être le calibre standard des forces navales de l'OTAN, en augmentation de plus de 800%, avec 145 297 exemplaires prévus.
Pour l'analyste en sécurité Charles Shoebridge, une telle quantité est supérieure aux seuls besoins de renouvellement et illustrerait plutôt que les Etats-Unis se prépareraient à d'éventuels combats conventionnels dans le cadre de conflits classiques entre Etats, plutôt qu'à une confrontation à des groupes terroristes. «C'est une augmentation très importante du nombre d'obus dans le but des les stocker, ce qui signifie que l'armée se prépare vraiment à la guerre», conclut-il, interrogé par RT.
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Lire aussi : Brandissant la «menace» russe, l'OTAN veut préparer les infrastructures civiles à la guerre
Notes ; les Russes aussi et plusieurs pays du monde ont augmenté largement leur budget militaire, ce qui prouve bien que l'on se dirige vers une Troisième guerre mondiale
Dans les Bouches-du-Rhône, seuls 30,7% des collégiens musulmans se sentent Français

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Maradi (Niger) : Ville championne du monde des naissances
Avec 7,6 enfants par femme, le Niger enregistre le taux de fécondité le plus élevé du monde. Maradi, ville du sud-est du pays, détient le record : 8,4.
(…) Le Niger est l’un des pays les plus pauvres du monde, mais cela n’empêche pas ses ressortissants de faire des enfants. Avec 7,6 enfants par femme, le pays détient le record du taux de fécondité le plus élevé de la planète. À Maradi et à Zinder, il s’élève à 8,4 enfants par femme. Pour la majorité des parents, une large progéniture est une promesse de prospérité. « Quand on a beaucoup d’enfants, la richesse est là ! Il peut y en avoir un qui devient riche. Souvent, c’est le cadet, il devient riche et la maison est reconnue. Mais dans certaines maisons de trois enfants, ils sont tous nuls et personne ne sera utile à la famille », explique Issoufou Oumarou, père de 19 enfants.
Faire beaucoup d’enfants, c’est aussi être un bon musulman. « Le prophète a dit de se marier et de procréer pour que sa communauté soit le plus élargie possible le jour du jugement dernier », explique le marabout Awalou Issouf. « Mais, le problème, c’est que les gens n’arrivent pas à très bien comprendre le message de l’Islam. Ils prennent la moitié du texte, et laissent tomber l’autre partie. Le prophète a aussi dit qu’il ne voulait pas de n’importe quels enfants parmi ses fidèles. Il faut que ce soit des enfants bien formés, bien encadrés, bien soignés et qu’ils soient utiles à la société », poursuit-il.
(…) Le Point
Italie : Castel Volturno, petite ville fantôme près de Naples, tombée aux mains des gangs nigérians et des clandestins africains (Màj)
Dans les faubourgs de Naples, Castel Volturno est devenu un symbole de la campagne électorale italienne. La ville de 30.000 habitants compte 20.000 migrants. L’État promet 21 millions d’euros pour la sécurité et l’intégration.
Au nord de Naples, une station balnéaire abandonnée a été réinvestie par les clandestins africains et les gangs nigérians qui règnent sur la prostitution et le trafic de cocaïne.

A Castel Volturno, il n’y a plus de noms de rue. Les panneaux ont été effacés. Dans cette station balnéaire fantôme, à une cinquantaine de kilomètres au nord de Naples, les rues sont défoncées. Et il y a bien longtemps qu’on ne ramasse plus les ordures. La poste a fermé. L’école, l’église, le commissariat aussi.
A Castel Volturno, il n’y a plus de droit, il n’y a plus d’Etat. La moitié des habitants sont des clandestins africains qui occupent des pavillons décatis devenus des squats. Dans ces quartiers à l’abandon, la mafia nigériane est comme chez elle. Elle règne sur la prostitution et le trafic de drogue. A chaque coin de rue, un cerbère contrôle sa portion de territoire, un bâton dans une main et un téléphone dans l’autre. A Castel Volturno, une journaliste ne se promène pas sans escorte.
Mieux vaut être accompagnée, comme ce fut mon cas, par deux policiers en civil, revolver à la ceinture. Les seules femmes que l’on croise sont des prostituées nigérianes, le plus souvent mineures, que leurs souteneurs font travailler sur la via Domitiana, le long de la mer. Tarif : de 10 à 15 euros la passe. Certaines s’offrent même pour 5 euros.
(…) L’Obs
Notes ;C’est un petit exemple de ce qui nous attend dans quelque années
Les politiciens font venir des glandeurs et des voleurs et ils croient pouvoir les transformer en artistes et en philosophes !
Les 90% de ces migrants sont musulmans, chez eux les artistes construisent des mosquées et philosophes ne jurent que par la charia
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Le 20 février
Erdogan: l'entrée des forces pro-Damas à Afrine ne restera pas sans réponse
Le Président turc a jugé inacceptable l'entrée des milices syriennes à Afrine et a déclaré que cette opération ne resterait pas sans réponse.
Les milices syriennes ont abandonné Afrine après s'être retrouvées sous le feu de l'artillerie turque, a déclaré ce mardi le Président turc Recep Tayyip Erdogan. Les médias turcs avaient eux aussi précédemment annoncé le repli des milices syriennes.
Une source au sein des milices syriennes avait indiqué pour sa part à Sputnik que les milices étaient entrées dans Afrine et étaient prêtes à des affrontements face à l'armée turque. Il n'y a pour le moment aucune réaction officielle de Damas aux informations sur l'arrivée des milices dans Afrine.
«Une dizaine de tout-terrain faisant route vers Afrine ont été repérés ce soir, mais à l'issue de tirs d'artillerie [de l'armée turque, ndlr], ils ont dû rebrousser chemin. Pour le moment, on en est là. Nous avons contacté hier le très respecté [Président russe Vladimir, ndlr] Poutine et le très respecté [Président iranien Hassan, ndlr] Rohani, nous avons des ententes sur le sujet. Malheureusement, certains groupes terroristes prennent des décisions erronées, ce qui est inacceptable, et ils devront en assumer la responsabilité», a dit Recep Tayyip Erdogan aux journalistes à Ankara.
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Notes : Pour Erdogan que des syriens entrent dans un territoire syrien c'est inacceptable !! Mais que des turques entrent dans un territoire syrien c'est tous a fait légitime
La Turquie pilonnerait les forces pro-Damas entrant dans la région d'Afrine
La Turquie pilonne les forces pro-Damas dans la région d'Afrine, informe l'agence Sana.L'agence syrienne Sana a fait état de bombardements turcs visant les forces pro-Damas qui entraient dans la région d'Afrine, dans le nord de la Syrie
La zone en question est contrôlée par les milices kurdes des Unités de protection du peuple (YPG), cibles de l'opération Rameau d'olivier lancée le 20 janvier dernier par l'armée turque et l'Armée syrienne libre (ASL).
Un membre des YPG avait auparavant annoncé à Sputnik que des milices pro-gouvernementales syriennes étaient entrées à Afrine pour repousser l'agression turque. Les YPG ont également affirmé que le gouvernement syrien avait répondu à leur appel et envoyé des unités pour les aider à repousser les forces ennemies.
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Notes ; que va-t-il se passer si la Turquie entre en guerre avec la Syrie, sachant que la Turquie fait partie de l'Otan !?
Moscou brise le silence sur l’opération turque contre les Kurdes à Afrine
La Russie est convaincue que les intérêts sécuritaires de la Turquie peuvent être pleinement garantis par un dialogue avec le gouvernement syrien, a déclaré le chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov, appelant ainsi à s’opposer aux tentatives de promotion du problème kurde, visant à approfondir le chaos dans la région.
Le ministre russe des Affaires étrangères Serqueï Lavrov a évoqué l'opération turque contre les Kurdes à Afrine, en Syrie, lors d'une conférence de presse avec son homologue pakistanais.
«Nous plaidons fermement pour que tout problème, en Syrie ou ailleurs, soit résolu dans le respect de l'intégrité territoriale de l'État en question, qui est la Syrie dans le cas présent», a déclaré M. Lavrov. «Nous comprenons les préoccupations de la Turquie dans le contexte de la situation en Syrie. Bien entendu, nous comprenons les aspirations des Kurdes.»
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Syrie: L'offensive turque dans son 2e mois, Erdogan veut assiéger Afrine
Ankara - Le président Recep Tayyip Erdogan a affirmé mardi que les forces turques assiégeraient prochainement la ville d'Afrine, chef-lieu de l'enclave où une offensive turque est entrée dans son deuxième mois pour en déloger une milice kurde.
"Dans les prochains jours et de façon beaucoup plus rapide, le siège du centre de la ville d'Afrine va commencer", a déclaré M. Erdogan lors d'un discours devant les députés de son parti au Parlement.
Baptisée "Rameau d'olivier", l'opération lancée par l'armée turque et ses supplétifs rebelles syriens vise les Unités de protection du peuple (YPG), alliées kurdes de Washington dans la lutte contre le groupe Etat islamique (EI) en Syrie, mais considérées comme "terroristes" par la Turquie.
Bien qu'il ait reconnu avoir perdu 32 soldats, Ankara répète à l'envi que l'offensive avance "comme prévu".
Les forces turques ont certes pris à ce jour le contrôle de plus de 30 villages, mais ces localités sont situées pour la plupart dans des zones frontalières du nord de la région d'Afrine.
"Comme nous agissons pour éviter de mettre en danger nos forces de sécurité et en tenant compte des civils, il peut sembler que nous avançons lentement", a convenu M. Erdogan.
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Notes : En plus d’être malhonnête il sont menteur ces putain de journalistes !
Erdogan fait la guerre aux Kurdes depuis 5 semaines parce que les États Unie veulent créer une force de sécurité de 30000 hommes à la frontière turque et pour cela les USA vont armé les kurdes que Erdogan déteste
Depuis le début de l’offensive Erdogan dit vouloir entrer dans Afrin
Afrin : Assad dit « oui » aux Kurdes
Re-information - 19 février
Les sources syriennes ont fait part de l’accord intervenu entre Damas et les Unités de protection du peuple (YPG) pour l’entrée des forces populaires syriennes dans la ville d’Afrin pour soutenir les Kurdes dans la guerre avec l’armée turque.
Les forces kurdes affilées aux YPG et le gouvernement syrien se sont récemment mis d’accord sur l’intervention des forces de mobilisation populaires dans la guerre d’Afrin. L’accord s’est réalisé après d’âpres négociations sous les auspices de la Russie. Conformément à cet accord, les forces volontaires syriennes entrent à Afrin dans les prochaines heures pour y rejoindre les forces kurdes.
Pour rappel, l’armée régulière syrienne a entraîné les forces populaires qui luttent, à côté de l’armée syrienne, contre les groupes armés terroristes.
Les forces populaires, alliées de l’armée syrienne, se joindront, dans 24 heures, aux forces kurdes à Afrin qui combattent les militaires turcs.
Par ailleurs, des sources proches du gouvernement ont nié les rumeurs concernant la précondition proposée par le gouvernement pour rejoindre les Kurdes.
Rizan Hadou, conseiller médiatique des Unités de protection du peuple à Afrin, a fait part de la poursuite des pourparlers entre le gouvernement syrien et les Unités kurdes dans la ville nordique. « Nous acceptons toutes les options sauf l’occupation de notre territoire », a-t-il ajouté.
Par ailleurs, selon certains rapports, l’armée est en train d’acheminer de lourds équipements militaires à proximité de la Ghouta orientale pour y mener une offensive d’envergure contre les terroristes.
Ces équipements comprennent des centaines de chars d’assaut, de véhicules militaires, de pièces d’artilleries, de même que douze mille effectifs dirigés par Soheil Hassan, l’un des commandants réputés de l’armée syrienne.
Avancée de l’armée dans la Ghouta orientale
Par ailleurs, le centre militaire russe de Hmeimim a annoncé que Moscou soutenait l’opération terrestre des forces gouvernementales dans la zone de désescalade dans la Ghouta orientale pour éliminer le Front d’al-Nosra (rebaptisé Front Fatah al-Cham).
Juillet dernier, la Russie et les opposants syriens sont tombés d’accord sur la création d’une zone de désescalade dans la Ghouta orientale.
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Erdogan se rêve-t-il sultan de la Turquie?
Depuis le coup d’Etat manqué de juillet 2016, le président turc, Recep Tayyip Erdogan, déploie des mesures plus autoritaires. Etat d’urgence, purge dans les administrations et dans le système judiciaire, prise en main de l’armée… Le pouvoir semble de plus en plus concentré derrière la volonté d’un seul homme. Et ce régime, pour beaucoup, ne ressemble plus à une démocratie.
Pour le journaliste belgo-turc Mehmet Koksal, interrogé dans Soir Première, il est clair que l’on a basculé en Turquie : "Depuis l’instauration de l’État d’urgence, le Parlement, et donc les élus du peuple, a été mis hors circuit. Le gouvernement gouverne à travers des décrets, dans lesquels il se permet tout et n’importe quoi. Tout l’exécutif est dans les mains du président lui-même."
Une situation inévitable selon l’avocat Selçuk Demir, qui est également conseiller juridique au consulat de Turquie à Paris.
"On doit tenir compte du contexte particulier de ces derniers mois", explique-t-il. La tentative de coup d’Etat, mais aussi la tentative d’assassinat du Président. Il y a également eu le bombardement de l’Assemblée, la menace terroriste et celle du PKK, la proximité avec le conflit en Syrie… Tout cela a nécessité une riposte exceptionnelle, car c’était une question de survie".
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Turquie: mandats d'arrêts contre 170 soldats accusés d'être liés à la confrérie de Gülen
Les autorités turques ont émis de nouveaux mandats d'arrêts à l'encontre de 170 militaires soupçonnés d'être liés à la confrérie de Fethullah Gülen elle-même accusée d'avoir planifié le coup d'Etat manqué de juillet 2016, rapporte aujourd'hui l'agence de presse Anatolie. Parmi les hommes visés par cette opération figurent des militaires à la retraite, d'autres qui ont déjà été suspendus de leurs fonctions ou qui sont toujours sous les drapeaux. Vingt-deux ont été arrêtés hier, précise l'agence turque.
Ces hommes ont eu des contacts téléphoniques avec des membres éminents de la confrérie dirigée par Fetthulah Gülen, a-t-elle ajouté. Fethullah Gülen, qui vit depuis 1999 en exil aux Etats-Unis, fait depuis un an l'objet d'une demande officielle d'extradition formulée par la Turquie. Il dément toute implication dans la tentative de coup d'Etat de juillet 2016 qui a fait 250 morts et déclenché de vastes purges dans l'appareil administratif, judiciaire et sécuritaire en Turquie.
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La Pologne est prête à prouver l'implication de juifs dans l'Holocauste
Les récents propos du Premier ministre polonais, selon lesquels parmi les coupables de l'Holocauste, il y avait des «auteurs juifs», ne contredisent pas les faits historiques, a déclaré Michal Dworczyk, chef de la Chancellerie du président du Conseil des ministres de Pologne.
Pour apaiser la controverse entre le Premier-ministre israélien et son homologue polonais, le chef de la chancellerie du gouvernement de la Pologne, Michal Dworczyk, a dû expliquer ce que signifiaient les propos de ce dernier sur le sujet l'implication des Juifs dans l'Holocauste.
«Le Premier ministre voulait dire qu'il y avaient des collaborateurs que ce soit parmi les Polonais ou parmi les représentants d'autres nationalités qui habitaient alors sur le territoire de la Pologne. C'est une vérité amère» a-t-il déclaré sur la chaîne privée TVN24.
Il a également souligné que ce problème est discuté par des historiens de plusieurs pays, y compris ceux d'Israël.
Rappelons que Benjamin Netanyahu a qualifié d'«inadmissible» les propos de Mateusz Morawiecki qui a déclaré que parmi les coupables de l'Holocauste, il y avait non-seulement des Polonais, des Ukrainiens et des Allemands, mais aussi des Juifs. Selon M.Netanyahou, «il n'y a aucune raison de comparer les actions des Polonais et des juifs pendant l'Holocauste».
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Note: je n'ai pas trop suivie cette histoire, ni se qui se passe en politique en ce moment en Pologne
Mais il existe un quatrain de Nostradamus qui dit qu'un jour les Polonais seront alliés aux Arabes
J’avoue ne pas avoir fait de recherche sur ce quatrain, assez curieux !
C5 - 73
Persécutée sera de Dieu l’Église,
Et les saints Temples seront expoliez,
L'enfant la mère mettra nue en chemise,
Seront Arabes aux Pollons (polonais) ralliez.
Pologne. Le torchon brûle avec Israël, la presse divisée
La polémique continue après les déclarations du chef du gouvernement sur les « auteurs juifs » de la Shoah. La presse du pays est divisée entre opposition et soutien au Premier ministre. Les relations entre Varsovie et Tel Aviv demeurent tendues.
Le gouvernement polonais espérait que les émotions soulevées par sa loi controversée retomberaient rapidement, mais en parlant d'« auteurs juifs » de la Shoah, le Premier ministre Mateusz Morawiecki a rallumé l’incendie avec Israël.
En voulant défendre la récente loi controversée destinée à protéger la Pologne d’accusations de complicité de génocide avec les nazis, Mateusz Morawiecki a fait scandale samedi en affirmant qu’il y avait aussi « des auteurs juifs » de la Shoah. Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a jugé ces propos « inacceptables ».
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Le Liban se dit prêt à faire face à une agression de Tsahal «quel qu'en soit le prix»
Nouvelle escalade des tensions entre Beyrouth et Tel Aviv : l'armée libanaise annonce sur les réseaux sociaux qu'elle est prête à en découdre avec l'armée israélienne, quel que soit le prix d'une telle opération.
Dans un communiqué publié sur les réseaux sociaux Facebook et Twitter, l'armée libanaise a clamé haut et fort le 19 février qu'elle était prête à répondre à toute «agression israélienne».
Cité dans ce communiqué, le général Joseph Aoun, commandant en chef de l'armée libanaise, a déclaré : «Je réaffirme notre rejet catégorique de l'ennemi israélien qui empiète sur la souveraineté du Liban et sur son droit sacré à exploiter ses ressources économiques. L'armée ne fera l'économie d'aucun des moyens à sa disposition pour faire face à une agression israélienne, quel qu'en soit le prix.»
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Une guerre douanière s’annoncerait entre Pékin et Washington
Outré par les nouvelles mesures protectionnistes proposées aux États-Unis, Pékin promet de ne pas rester les bras croisés. Une éventuelle contestation à l’OMC prendrait cependant des années.
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Fêtes johanniques à Orléans : Jeanne d’Arc 2018 est d’origine africaine, « si cette désignation permet à une autre partie de la population de se tourner vers les fêtes, c’est gagné »
Mathilde Edey Gamassou, 17 ans, incarnera cette année la Jeanne d’Arc d’Orléans. Une jeune fille souriante et sûre d’elle, dont la nomination bouscule déjà, et bien malgré elle, le microcosme local. Voire au-delà…

Ce lundi midi, quelques minutes avant que l’association Orléans Jeanne d’Arc ne dévoile aux médias le nom de la lycéenne qui allait endosser l’armure lors des 589è Fêtes johanniques, les salons de l’hôtel Groslot bruissaient de « la nouvelle » : Jeanne d’Arc 2018 est métisse.
De fait, Mathilde Edey Gamassou, 17 ans, tient ses origines béninoises de son père et entretient également des racines polonaises, héritées de sa mère. Née à Paris, elle habite Orléans depuis 2003 et se révèle parfaitement bilingue.
De quoi faire parler un peu (beaucoup) dans le microcosme orléanais (voire au-delà) puisque la situation ne s’était jamais présentée.
Mais ceux qui se posaient encore la question ont désormais la réponse : oui, les candidates à l’armure peuvent être métisses. Du moment qu’elles habitent à Orléans depuis dix ans (c’est son cas : depuis 2003), qu’elles sont scolarisées dans un lycée orléanais, baptisée dans la religion catholique et qu’elles font preuve d’un engagement à titre bénévole.
Bénédicte Baranger (Présidente de l’association Orléans Jeanne d’Arc) : « La couleur de peau n’est pas un frein à notre choix ; elle ne doit pas l’être… »
Les réactions de la frange conservatrice orléanaise ne l’inquiètent pas. « Ce n’est pas mon problème. Mathilde aime sa ville, son histoire, elle va vers les autres. Elle répond à tous les critères. En revanche, si cette désignation permet à une autre partie de la population de se tourner vers les fêtes, c’est gagné ».
La République du Centre
Note : Même nos personnages historiques, il faut les offrir aux autres maintenant. Au nom de la diversité, on nous dépouille et on nous africanise
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