Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion
Finlande: une attaque au couteau fait deux morts et six blessés à Turku
L'aggression s'est déroulée dans le centre-ville de cette ville de 200.000 habitants à l'ouest du pays. Les autorités, qui ont interpellé un individu, écartent pour le moment la piste terroriste.
Deux personnes sont mortes et six ont été blessées après avoir été poignardées dans la ville de Turku, dans le sud-ouest de la Finlande. «Je peux confirmer que huit personnes sont à l'hôpital. Une personne est morte. Les autres sont dans un état stable», a indiqué le directeur du centre hospitalier de Turku, Petri Virolainen.
La police a indiqué avoir arrêté un suspect après l'avoir touché par balles à la cuisse. Selon le journal finlandais Aamulehti, l'homme aurait agi seul mais la police n'écarte pas l'hypothèse d'éventuels complices.
Attentat de Barcelone : ce que l’on sait de Moussa Oukabir, le principal suspect toujours en fuite
Annoncé comme principal suspect, Driss Oukabir se serait rendu le 17 août au poste de police de la ville de Ripoll, où il réside, pour signaler le vol de ses papiers d’identité. Il aurait accusé son frère, qui deviendrait le principal suspect.
Citant une source policière anonyme, le journal régional fait savoir que les enquêteurs se tourneraient vers le petit frère de 18 ans, Moussa Oukabir. Accusé par Driss d’avoir volé ses papiers, il pourrait donc devenir le principal suspect de l’attentat qui a fait au moins 13 morts à Barcelone. Cette version a également été confirmée par l’ancien maire de la commune et député au Congrès, Teresa Jordà, selon La Vanguardia.
Sur le réseau social Kiwi, un utilisateur du nom de Moussa Oukabir, s’adressant à une personne qui lui demandait ce qu’il ferait s’il dirigeait le monde, avait répondu : «Tuer les infidèles et permettre aux musulmans de suivre leur religion.»
On retrouve le même jeune homme sous le nom de Moussa De La Vega sur un profil Facebook (depuis lors supprimé) cité par plusieurs médias dont le Daily Mail.
Sur le compte, on pouvait notamment voir une publication partagée par Moussa De La Vega qui dénonçait «le massacre de milliers d’enfants» par le gouvernement de Bachar el-Assad, au moment de la reprise de la ville d’Alep par l’armée syrienne, en décembre 2016.
Espagne : ce que l'on sait du second attentat qui a fait un mort et plusieurs blessés à Cambrils
Les faits se sont déroulés dans une station balnéaire située à 120 km au sud de Barcelone dans la nuit de jeudi à vendredi. Les cinq "terroristes présumés" qui se trouvaient à bord de la voiture bélier ont été tués, a annoncé la police de Catalogne.
Attentat à Barcelone -Liens présumés entre les individus abattus à Cambrils et l'attentat de Barcelone
Publié le 18 août 2017 à 04h08
La police régionale de la Catalogne a pour hypothèse que les cinq terroristes présumés abattus dans la nuit de jeudi à vendredi à Cambrils ont un lien avec l'attentat à Barcelone et l'explosion à Alcanar les heures précédentes. Les autorités ont annoncé que sept personnes avaient été percutées par le véhicule des suspects qui a foncé dans la foule avant la fusillade.
"Nous oeuvrons dans l'hypothèse que les terroristes abattus à Cambrils sont liés aux évènements à Barcelone et Alcanar", a indiqué le service policier catalan Mossos d'Esquadra sur Twitter. Dans la soirée, une opération policière a été déclenchée dans cette station balnéaire à une centaine de kilomètres de Barcelone. Les policiers ont abattu quatre individus suspectés de terrorisme, un cinquième, blessé et placé en détention, a succombé à ses blessures. Cette opération a eu lieu, quelques heures après une attaque à la camionnette bélier jeudi à Barcelone, capitale de la Catalogne, tuant au moins 13 personnes, dont une Belge, et blessant une centaine de personnes, de 18 nationalités, dont belge. L'attentat a été revendiqué par le groupe terroriste Etat islamique. Le conducteur du fourgon s'est échappé et est toujours en fuite, non armé, selon la police. La veille, une explosion a eu lieu dans un logement d'Alcanar, dans la province de Tarragone, faisant deux morts et sept blessés. La police soupçonne que les occupants préparaient un engin explosif, et lie donc l'explosion au drame de Barcelone.
Nouvel attentat en Espagne, quatre terroristes abattus
Information du 17 août 2017 à 03h19
Au moins quatre assaillants ont été éliminés lors d'une opération spéciale menée par la police à Cambrils, en Catalogne, après qu'ils eurent foncé sur des piétons à bord d'une fourgonnette. Plus tôt dans la journée, un attentat similaire avait eu lieu à Barcelone.
La police catalane a confirmé avoir éliminé quatre terroristes à Cambrils, station balnéaire à 120 km au sud-ouest de Barcelone, qui préparaient une nouvelle attaque. Le cinquième assaillant a été blessé, puis arrêté par les forces de l'ordre.
La chaîne de télévision 24 Horas précise que, tout comme plus tôt à Barcelone, des terroristes au volant d'une fourgonnette ont foncé sur des piétons. À l'issue d'une opération spéciale, les forces de l'ordre ont abattu les assaillants.
«Nous travaillons sur l'hypothèse selon laquelle l'incident à Cambrils était une attaque terroriste. Nous avons abattu les auteurs», ont annoncé les représentants des forces de l'ordre
La chaîne 24 Horas précise que les individus portaient des ceintures explosives et s'apprêtaient à commettre une attaque similaire à celle qui avait plus tôt endeuillé Barcelone.
Selon les informations précédentes, la police avait lancé une opération spéciale à Cambrils dans la nuit du 18 au 19 août en relation avec l'attaque à la fourgonnette de Barcelone.
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Syrie: jusqu’à 3 000 djihadistes de Daech pourraient revenir en Europe
Entre 1 200 et 3 000 Européens pourraient revenir en Europe après avoir combattu aux côtés de l’Etat Islamique.
Entre 1 200 et 3 000 Européens ayant vécu ou combattu avec l’organisation Etat islamique (EI) en Irak et Syrie pourraient revenir en Europe, selon un rapport d’analystes qui appelle les pays concernés à préparer minutieusement la gestion de ces retours à risques.
Le nombre de ces « revenants » devrait notamment augmenter si le « califat » autoproclamé de l’EI, qui a beaucoup cédé de territoire en Syrie et Irak ces derniers mois, « est vaincu militairement ou s’effondre », note-t-il dans un rapport remis en juillet aux pays membres de la Commission.
30 % sont déjà rentrés
Diverses estimations prévoient « entre 1 200 et 3 000 retours » d’Européens avec « des antécédents différents », en grande partie « des femmes et des enfants », ajoute le RAN, qui estime qu' »environ 30% » sont déjà rentrés, au su des autorités – ils sont alors souvent arrêtés – ou clandestinement.
Selon le RAN, « plus de 42 000 combattants terroristes étrangers », ont voyagé pour joindre Daech depuis plus de 120 pays entre 2011 et 2016 – un afflux d’une ampleur inédite dans l’histoire du jihad dans le monde – dont « plus de 5 000 » d’Europe. […]
Préoccupation sérieuse
Alors que la mobilisation des combattants étrangers a semblé atteindre un pic en 2015, la perspective de retours importants est « une préoccupation sérieuse et croissante » en Europe, sachant que certains « revenants » ont participé aux attaques de novembre 2015 à Paris et de mai 2014 et mars 2016 à Bruxelles, souligne le rapport.
Ils peuvent également revenir car ils ont perdu leurs illusions, ont des remords, par opportunisme (ils sont toujours radicaux mais veulent de meilleures conditions de vie), pour intégrer une cellule jihadiste dormante en Europe, ou de manière involontaire (lorsqu’ils sont arrêtés), explique-t-il. […]
Australie : une sénatrice siègeen burqa pour demander son interdiction
Une sénatrice australienne, Pauline Hanson, a créé la polémique en arrivant en pleine séance de questions au gouvernement vêtue d’une burqa, pour demander son interdiction.
Un coup de com’… et une grosse polémique. En Australie, la sénatrice Pauline Hanson, du parti One Nation, a fait irruption en burqa lors d’une séance de questions au gouvernement pour réclamer l’interdiction de ce vêtement religieux très porté en Afghanistan et au Pakistan, autorisé dans son pays, mais par exemple interdit en France.
La sénatrice a attendu une vingtaine de minutes avant d’enlever sa burqa et d’interpeller le ministre de la Justice. “Je suis heureuse d’ôter ce vêtement car il n’a pas sa place dans ce Parlement. Si quelqu’un se présente devant une banque ou un autre bâtiment vêtu d’une cagoule ou d’un casque, on lui demandera de l’enlever. Pourquoi n’est-ce pas le cas lorsque quelqu’un se couvre le visage et ne peut pas être identifié ?” a-t-elle déclaré.
Plus de 2000 personnes évacuées des campements du nord de Paris
Cassel (59) : des dizaines de jeunes migrants manifestent pour réclamer de l’argent liquide
Le 17/08/2017
28 jeunes migrants accueillis au centre de répit temporaire et collectif (CRTC) de Cassel ont manifesté ce mercredi vers 10 h dans les rues de la commune. Munis de banderoles et de pancartes, ils sont allés devant la mairie puis ont voulu rejoindre la gendarmerie.
Ils dénoncent les procédures d’intégration et leurs conditions d’accueil dans le centre géré par l’Afeji, depuis son ouverture en novembre dernier. « Leur principal souhait est d’obtenir de l’argent liquide plutôt que les bons qu’ils reçoivent et qui sont valables dans les commerces casselois », explique le capitaine Vanagt, commandant de la compagnie de gendarmerie d’Hazebrouck.
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