Au moins 119 personnes ont trouvé la mort dans de nouveaux raids de la coalition internationale anti-Daech réalisés en Syrie et en Irak.
La coalition internationale anti-Daech dirigée par les États-Unis a identifié 119 victimes supplémentaires parmi la population civile dans ses raids effectués en Irak et en Syrie, a annoncé l'état-major de la coalition.
«En mai, la coalition a achevé l'évaluation de 141 rapports, dont 114 ont été jugés peu fiables, alors que 27 étaient crédibles», annonce le communiqué.
Il est également indiqué que ces 27 cas avaient «causé involontairement la mort de 119 civils».
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La Russie estime que l'intention du secrétaire d'État américain Rex Tillerson de coopérer avec la Russie en Syrie est «un pas dans la bonne direction», a déclaré le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov.
«La coopération entre la Russie et les États-Unis est un pas dans la bonne direction», a déclaré le chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov, faisant allusion à la déclaration récente du secrétaire d'État américain Rex Tillerson.
«Il est seulement important que l'aspiration au règlement de la crise syrienne soit mutuelle, que personne n'essaie de prétendre que rien ne dépend de lui» a-t-il souligné lors d'une conférence de presse conjointe avec son homologue français Jean-Yves Le Drian au Quai d'Orsay.
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La Société Henry Jackson vient de publier un rapport accusant l’Arabie saoudite de soutenir l’extrémisme islamique au Royaume-Uni, écrit jeudi le site de la chaîne Russia Today (RT). Cette étude identifie Riyad comme étant le principal sponsor des organisations radicales britanniques.
«Depuis les années 1960 l'Arabie saoudite dépense des millions de dollars pour exporter le wahhabisme dans le monde islamique, notamment au sein des communautés musulmanes en Occident», affirme le rapport de la Société londonienne Henry Jackson. Ses auteurs indiquent qu'au Royaume-Uni ce financement s'effectue principalement sous forme de dons aux mosquées et aux établissements scolaires islamiques où trouvent notamment refuge les «passeurs de l'extrémisme islamique» et où «la littérature extrémiste est diffusée».
«L'influence est également exercée par la préparation de leaders religieux britanniques en Arabie saoudite, ainsi que par l'utilisation de manuels saoudiens dans les écoles islamiques indépendantes du Royaume-Uni», stipule le rapport. Selon ses auteurs, l'Arabie saoudite est le principal sponsor des organisations radicales au Royaume-Uni, où au cours des cinq derniers mois les islamistes radicaux ont commis trois crimes retentissants: l'attentat sur le pont de Westminster du 22 mars (6 morts), l'attentat de Manchester du 22 mai (22 morts) et l'attentat sur le pont de Londres du 3 juin (8 morts).
Le document liste les mosquées financées par Riyad à Londres, Édimbourg, Birmingham et dans d'autres villes du pays où l'on appelle au djihad et l'on confesse une idéologie extrémiste. «Il a été constaté que le Fonds islamique de Leicestershire, dont l'activité extrémiste était très préoccupante, était largement financé par l'Arabie saoudite», indique le document.
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Notes :Et pourtant rien ne sera fait contre ce pays ! Lorsque l’Arabie Saoudite se verra trop en accusation, les Saoudiens signeront alors des gros contrats de millions de dollars, et les Anglais auront tous oublié (comme un certain Trump)
Le Qatar, accusé d’exacerber la crise diplomatique, menacé de sanctions
Les quatre pays arabes qui ont imposé un ultimatum au Qatar (Arabie saoudite, Émirats arabes unis, Bahreïn, Égypte) affirment que Doha refuse de remplir leurs exigences. Ils déclarent être prêts à «prendre les mesures appropriées».
«Le gouvernement qatari a sapé tous les efforts diplomatiques pour régler la crise, confirmant ainsi sa position irréconciliable et son intention de poursuivre la politique visant à déstabiliser la situation dans la région. La position adoptée par le Qatar ne fait que confirmer ses liens avec les terroristes», stipule la déclaration conjointe des quatre pays rendue publique vendredi après la réponse du Qatar à l'ultimatum.
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La ville de Hébron inscrite au patrimoine mondial de l'Unesco
Le Comité du patrimoine mondial de l'Unesco a déclaré ce vendredi 7 juillet la vieille ville d'Hébron, en Cisjordanie occupée, « zone protégée », en tant que site « d'une valeur universelle exceptionnelle ». L'ambassadeur de l'État hébreu auprès de l'Unesco a aussitôt dénoncé « l'un des moments les plus déshonorants » dans l'histoire de l'organisation. Douze membres du Comité réuni à Cracovie, dans le sud de la Pologne, ont voté pour l'inscription, six se sont abstenus et trois ont voté contre. La ville de Hébron était au cœur d'un affrontement diplomatique entre Israéliens et Palestiniens. La ville abrite une population de 200 000 Palestiniens et de quelques centaines de colons israéliens, retranchés dans une enclave protégée par des soldats près du lieu saint que les juifs appellent tombeau des Patriarches et les musulmans mosquée d'Ibrahim.
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Neuf avions étrangers interceptés en une semaine aux frontières russes
Les avions de reconnaissance de l'Otan ne cessent de sonder la frontière russe, soigneusement protégée par les chasseurs Su-27 et MiG-31.
Les chasseurs russes ont intercepté à neuf reprises, au cours de la semaine dernière, des avions de reconnaissance étrangers, annonce le ministère russe de la Défense sur son site.
Selon ce dernier, les interceptions ont été réalisées par les chasseurs MiG-31 et Su-27 des Troupes aérospatiales russes.
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Cette première rencontre a lieu après des soupçons de collusion entre l'entourage du président américain et le Kremlin.
Le président russe Vladimir Poutine et son homologue américain Donald Trump se sont serré la main pour la première fois à leur arrivée vendredi au sommet du G20 à Hambourg, en Allemagne, a annoncé le Kremlin. « Ils se sont serré la main et ont dit qu'ils se rencontreraient à part et se verraient bientôt », a indiqué à la presse le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov. La première rencontre officielle entre les deux dirigeants est prévue en marge du sommet. Vladimir Poutine et Donald Trump devraient s'entretenir de plusieurs dossiers épineux comme la crise ukrainienne, la guerre en Syrie et la lutte antiterroriste, alors que les relations entre Moscou et Washington sont au plus bas depuis la fin de la Guerre froide après l'annexion de la Crimée en 2014 et la mise en place des sanctions occidentales contre la Russie. La rencontre des deux présidents sera observée attentivement par leurs pairs, mais aussi aux États-Unis, sur fond d'enquête sur l'influence russe dans l'entourage du président américain et sur une éventuelle ingérence de Moscou dans l'élection présidentielle de novembre 2016.
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