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Le 1er juillet
Trump: fini la patience dans le dossier nord-coréen
L’ère de la patience stratégique face au régime de la Corée du Nord est terminée, a déclaré Donald Trump depuis la roseraie de la Maison-Blanche aux côtés du Président sud-coréen Moon Jae-In.
Lors de la conférence de presse tenue à l'issue des pourparlers avec le Président sud-coréen Moon Jae-in, le Président américain Donald Trump a souligné la nécessité de répondre de manière déterminée à la Corée du Nord et a appelé tous les pays du monde à soutenir les sanctions visant le pays.
«Nous travaillons étroitement avec la Corée du Sud et le Japon, ainsi qu'avec les partenaires à travers le monde entier sur un éventail de mesures diplomatiques, économiques et sécuritaires afin de protéger nos alliés et nos propres citoyens de la menace nord-coréenne», a déclaré le Président des États-Unis.
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Armée syrienne: deux positions de tir attaquées par un hélicoptère israélien
17:08 30.06.2017
Les militaires syriens ont annoncé avoir été la cible d’un nouveau raid israélien dans le Golan. Samedi dernier, deux soldats ont été tués et 25 autres blessés dans une frappe aérienne de l’armée israélienne dans cette région.
Un hélicoptère de l'Armée de l'air israélienne a effectué une frappe contre deux positions de tir des troupes gouvernementales syriennes dans la province de Quneitra, dans le Golan, a appris Sputnik d'une source informée sur place.
«Un hélicoptère d'Israël a attaqué deux positions de l'armée syrienne, à l'est de la ville de Samdaniyeh et dans une banlieue d'Al-Baath», a indiqué l'interlocuteur de Sputnik.
Selon les médias locaux, la frappe de vendredi a visé un char et une équipe de canonniers à proximité de Samdaniyeh.
Le service de presse de l'armée israélienne a antérieurement déclaré que l'aviation du pays avait frappé les positions des troupes syriennes suite à la chute d'un obus dans la partie du Golan contrôlée par Israël.
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Pour ne pas disparaître, les chrétiens d'Irak veulent une région autonome
(..)
Une véritable hémorragie
« Il y avait 1,5 million de chrétiens au temps de Saddam Hussein. Combien en reste-t-il aujourd'hui ? 300 000 ? 400 000 ? Chaque jour, des familles entières quittent le pays, pour l'Europe ou les États-Unis. Si nous voulons stopper cette hémorragie, il nous faut un territoire autonome, protégé par l'ONU », explique Gérald Bidawid, neveu de Raphaël 1er Bidawid, l'ancien patriarche catholique chaldéen de Babylone. Il est diplômé de l'Institut Pasteur, dispose d'un passeport français, et préside l'International Industriel MedicalGroup, basé dans le canton de Fribourg, en Suisse.
Accueillir d'autres minorités
Gérald Bidawid se rendra à la fin du mois à Paris, à Bruxelles et à Berne pour présenter cette initiative et recueillir les premiers soutiens. « J'ai travaillé sur le projet de constitution de la région autonome du Kurdistan, je me penche sur celui d'un gouvernorat des minorités dans la Plaine de Ninive », précise Muna Yukhana Yaku, professeur de Droit international (*). Les chrétiens, qui ont toujours vécu dans cette région en bonne entente avec les Yazidis, veulent proposer à cette minorité persécutée de les rejoindre. La Plaine de Ninive pourrait s'ouvrir à d'autres petits groupes, comme les mandéens, les Shabaks, les Kakaïs. Des populations inconnues à l'extérieur de l'Irak, car leurs membres ne peuvent souvent que se marier entre eux.
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Lire aussi : Le député irakien Joseph Saliwa : les chrétiens irakiens veulent l’autonomie ; les Irakiens finiront par demander le retour des juifs en Irak
Vidéo : au Pakistan les chrétiens « vivent toujours en danger de mort »
Boulevard Voltaire a mis en ligne le 24 juin, la vidéo d’un entretien accordé à Charlotte d’Ornellas par le Père Emmanuel Parvez, prêtre pakistanais et curé de la paroisse Sainte-Bénédicte-de-la-Croix de Pansara (diocèse de Faisalabad). À l’invitation de SOS Chrétiens d’Orient, ce prêtre pakistanais a fait une tournée de conférence en France du 24 au 30 juin, sur le thème « Les chrétiens oubliés du Pakistan »…
Notes : C’est scandaleux , l'Allemagne et je suis sûr bientôt la France , se dirigent vers une dictature de la pensée ! C'est les lois anti-blasphème demandé par l'OCI , que ces pays corrompus par l'argent des Saoud, veulent faire passé
Voir lien
Qui va décidé si une information est vraie ou fausse !! Qui va décidé qu'un propos est haineux ou pas !? qui feras la censure ! des personnes payer par Facebook qui vivent au Maghreb !
L'ISLAM EST UNE RELIGION DE PAIX (pas censuré)
L'ISLAM EST UNE RELIGION DE FANATIQUE ET DANGEREUSE POUR NOTRE FUTURE (censuré pour appel a la haine raciale)
Merde a chaque fois que ces putains de socialiste sont au pouvoir en Europe , ils nous pondent une nouvelle dictature ! Ne pas oublier que ces de leur mentalité pourris, soit-disant social , qu'est sortie le communisme, le nazisme et le fascisme
Raciste hier , anti-raciste aujourd’hui ! mais toujours dans le délit de réalité
Bouches-du-Rhône (13) : quand l’armée se fait voler des lance-roquettes
Un pilleur de train a mis la main sur quatre lance-roquettes antichars dans un convoi de fret. Les armes ont été retrouvées avant d’être vendues.

Incroyable histoire de vol de lance-roquettes et de munitions militaires sur les voies de chemin de fer. Un jeune homme de 23 ans a été mis en examen, ce vendredi, à Aix-en-Provence (Bouches-du-Rhône), pour vol aggravé, détention et transport d’armes de guerre.
L’affaire commence dimanche, lorsqu’un train de marchandise ordinaire part de Miramas (Bouche-du-Rhône), commune connue pour accueillir l’établissement militaire principal des munitions de Provence. Il doit se rendre de Brienne-le-Château (Aube), où se trouvent une base aérienne et un arsenal. Sur le parcours, les agents de la Suge (la surveillance générale de la SNCF) se rendent compte qu’un des wagons contenant de l’armement militaire a été ouvert, car les scellés en plombs ont été brisés. Quatre lance-roquettes antichars et quatre caisses d’obus dits flèches, qui sont conçus pour pénétrer les blindages, ont été volés. (…)
Source
Comment l’INSEE et l’INED manipulent les chiffres de l’immigration
Pour pouvoir poursuivre sa politique immigrationniste sans encombres et sans que la population de souche ne se révolte, la classe dirigeante met en œuvre différentes techniques de propagande et d’intoxication. L’une des principales consiste à manipuler les chiffres concernant l’immigration qu’elle choisit de rendre publics.
Deux organismes publics, l’Insee et l’Ined, sont chargés de fabriquer les chiffres de l’immigration. Ces institutions se livrent à trois manipulations principales, qui usent de la même technique : truquer la définition des concepts utilisés, afin d’obtenir des chiffres sans rapport avec la réalité
Les chiffres de l’immigration ne comptabilisent que les première et deuxième générations
La première manipulation, la plus importante, consiste à évacuer des chiffres tous les immigrés de la troisième génération et des générations suivantes. Elle repose sur l’adoption d’une définition restrictive de ce qu’est l’immigration.
Selon l’Insee, en effet, un « immigré » est une personne, résidant en France, qui est née à l’étranger et qui était de nationalité étrangère à sa naissance. Autrement dit, selon cette définition, quelle que soit son origine, celui qui est né en France n’est pas un immigré : l’Insee considère qu’il est « descendant d’immigré ». L’Insee définit ainsi le « descendant d’immigré » comme une personne née en France dont l’un des deux parents ou moins est « immigré ». Ces définitions, comme on va le voir, conduisent à ne comptabiliser que les immigrés de la première et de la deuxième génération.
La première génération d’immigrés est née à l’étranger avant de venir s’installer en France : ce sont les « immigrés » au sens de la définition de l’Insee.
Les immigrés de la deuxième génération, c’est-à-dire les enfants des immigrés de première génération, sont eux nés en France. Ce sont eux que l’Insee nomme « descendants d’immigrés ».
Les enfants des « descendants d’immigrés » ne sont pas, eux, considérés par l’Insee comme des descendants d’immigrés, puisque leurs parents sont, par définition, nés en France. Autrement dit les personnes appartenant à la troisième génération de l’immigration sont considérées par l’Insee au même titre que les Français de souche. Il en est de même des générations suivantes.
Prenons l’exemple d’un Algérien arrivé en France en 1965 à l’âge de 20 ans pour travailler dans les usines automobiles. Imaginons qu’il ait fait venir en 1976, à la faveur de la nouvelle loi autorisant le regroupement familial, sa femme et les trois enfants qu’il avait d’elle à cette date. Cet Algérien et sa familles seront considérés par l’Insee comme des « immigrés » (puisqu’ils sont nés étrangers à l’étranger).
Imaginons que cet Algérien ait eu avec sa femme un quatrième enfant, un garçon né en France en 1977. Cet enfant sera, selon l’Insee, un « descendant d’immigré », puisque né en France de parents immigrés.
Imaginons maintenant que ce garçon né en 1977 ait à son tour, en 2000, à 23 ans, avec une femme elle-même d’origine algérienne, un premier enfant, qui seront suivis de 4 autres. Ces 5 enfants ne seront comptabilisés par l’Insee ni comme immigrés, ni comme descendants d’immigrés. Alors qu’ils sont issus de l’immigration, dont ils constituent la troisième génération, ils seront comptabilisés par l’Insee comme des Français de souche. Il en sera de même des générations suivantes (c’est ainsi que, les premiers immigrés non européens étant arrivés en nombre au début des années soixante, ont désormais commencé à naître en France des immigrés de la quatrième génération).
Les définitions de l’Insee sont donc, on le voit, abusivement restrictives. Les immigrés de troisième génération sont bel et bien des descendants d’immigrés : ils sont pourtant comptabilisés par l’Insee comme le sont les Français de souche.
Les responsables de l’Insee justifient leurs chiffres en affirmant qu’à compter de la troisième génération, les personnes originaires de l’immigration sont intégrées à la société française au même titre que les Français de souche. Cette argumentation est manifestement sans rapport avec la réalité : les personnes de la troisième génération restent ethniquement et culturellement issues de l’immigration. La plupart sont musulmanes. De même on peut constater que les intégristes et djihadistes appartiennent fréquemment à la troisième génération de l’immigration.
Les chiffres de l’Insee mêlent l’immigration européenne et non européenne
Sur la base de ces définitions, l’Insee publie les chiffres suivants. Selon l’Insee les « immigrés » en 2013 étaient 5,8 millions. Concernant les « descendants d’immigrés », l’Insee estime qu’en 2008, ils représentaient 11 % de la population métropolitaine, soit 6,8 millions de personnes (remarquons au passage que le dernier chiffre publié par l’Insee sur ce point date de près de dix ans). En additionnant les deux chiffres (même s’ils ne portent pas sur la même année), on obtient 12,6 millions de personnes qui, selon l’Insee, résident en France et sont immigrés ou descendants d’immigrés.
Ces chiffres en apparence robustes et carrés permettent aux « experts » d’affirmer que « tous les chiffres sont sur la table, contrairement à ce que prétend la fachosphère ». Ces données de l’Insee pourtant ne correspondent pas à la réalité.
Ces chiffres tout d’abord, comme on l’a vu plus avant, ne tiennent pas compte des immigrés de la troisième génération. Ils sont trompeurs également pour une deuxième raison : ils mélangent en effet l’immigration non européenne et l’immigration de personnes originaires d’autres pays européens. Il faut se reporter à différents tableaux enfouis dans les documents et le site de l’Insee pour prendre une mesure approximative de l’immigration non européenne.
S’agissant des « immigrés », un tableau de « deuxième niveau » nous apprend que, sur le total de 5,8 millions d’immigrés, 3,708 sont non-européens. Concernant les « descendants d’immigrés », un autre tableau, partiel et alambiqué (il ne concerne que les personnes de 18 à 50 ans ?!) permet de conclure que les descendants d’immigrés non européens représentent 55 % du total de 6,8 millions, soit 3,74 millions. Selon ces tableaux, l’immigration non européenne (immigrés + descendants) serait donc, non pas de 12,6 millions mais de 7,448 millions (3,708 + 3,74).
Le « solde migratoire » de l’Insee mêle les étrangers et les Français
La troisième manipulation concerne le chiffre du « solde migratoire », qui est la différence entre les entrées du territoire et les sorties. Ce solde annuel est pour 2016 de 67 000.
Les experts malhonnêtes, relayés par les médias, utilisent ce chiffre pour démontrer que l’immigration est faible : « Si l’on prend en compte les immigrés qui s’installent en France et ceux qui en repartent, le nombre des immigrés présents sur le territoire n’augmente que de 67 000 par an, ce qui est peu, rapporté à la population française ». Cette démonstration suffit sans doute à convaincre et à rassurer la plupart de ceux qui en prennent connaissance. Or ce chiffre de 67 000 n’a aucune valeur.
Ce chiffre du solde migratoire est sans signification tout d’abord parce qu’il ne repose pas sur des bases statistiques solides. Il n’existe pas en effet en France d’enregistrement des entrées et des sorties du territoire. Le nombre des immigrés qui entrent en France de façon légale pour s’y installer est connu car le ministère de l’intérieur leur délivre des titres de séjour une fois qu’ils sont entrés sur le territoire, titres de séjour qui sont comptabilisés. En revanche le nombre des sorties du territoire ne fait lui l’objet d’aucune comptabilisation. Dans ces conditions le solde migratoire de l’Insee ne peut résulter d’un décompte : il ne constitue qu’une estimation.
L’absence d’enregistrement et de comptabilisation des entrées et des sorties peut être analysée comme le signe d’une mauvaise administration : mais elle a le grand intérêt de contribuer à camoufler la réalité des flux migratoires.
Ce solde migratoire relativement faible permet aux experts malhonnêtes de prétendre que « de nombreux immigrés repartent». Cette affirmation est comme on vient de le voir sans fondement statistique. Elle est en outre très probablement mensongère : on ne voit pas en effet ce qui pourrait conduire à repartir les immigrés qui ont rejoint la France pour tirer parti des différents avantages qu’elle leur offre (travail, prestations sociales, services publics…).
Le solde migratoire est sans signification pour une deuxième raison : il rend compte des flux immigrés de toute origine, non européens comme européens.
Le solde soit disant « migratoire » n’a aucunement la signification que lui donnent les experts et commentateurs de mauvaise foi pour une dernière raison : il vise à rendre compte des entrées et des sorties du territoire, quelle que soit la nationalité des personnes concernées. C’est ainsi qu’un Français qui part s’installer à Londres réduit le solde migratoire positif et l’augmente s’il revient.
Ces différentes caractéristiques n’empêchent nullement les experts de s’appuyer sur le solde migratoire de l’Insee pour affirmer que « les flux migratoires n’ont rien à voir avec les fantasmes de la fachosphère ».
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Les données que l’Insee publie sont donc partielles, biaisées, déformées. L’Insee cache les deux chiffres essentiels : le nombre des immigrés non européens et de leurs descendants présents sur le territoire ; le nombre des immigrés supplémentaires qui s’installent chaque année.
Si elles camouflent les données essentielles, l’Insee et les autres institutions publiques qui produisent des statistiques (Ined, services statistiques des différents ministères) abreuvent en revanche le public de chiffres portant sur des questions accessoires : la place de la femme dans la population originaire de l’immigration, les modalités de l’insertion professionnelle des immigrés, les modes de consommation des populations issues de l’immigration… Sur des thèmes de ce type, les tableaux, graphiques, gloses et commentaires abondent. Les revues « scientifiques » et les travaux de recherche sont innombrables. Le déluge statistique joue un rôle majeur dans l’opération d’enfumage : multiplier les chiffres concernant la périphérie du sujet pour mieux en cacher le cœur.
Il se trouve pourtant que, curieusement, l’administration laisse à l’occasion filtrer, par négligence ou inconséquence, certains éléments chiffrés, qui, décryptés et mis bout à bout, prouvent la réalité de l’invasion et du Grand Remplacement. On connaît ainsi le chiffre annuel de l’immigration légale : 200 000 immigrés non européens s’installent chaque année en France. L’ordre de grandeur de l’immigration irrégulière est elle aussi connu : au moins 70 000 (soit le nombre des déboutés de leur demande d’asile, jamais expulsés). On connaît même approximativement le nombre annuel des naissances issues de l’immigration non européenne : 300 000. On connaît donc le nombre total des immigrés non européens supplémentaires qui chaque année naissent ou s’installent en France : plus de 500 000 (desquels il faut déduire le nombre des décès et des départs, qui lui n’est pas connu mais qui est probablement très faible).
Les flux sont donc à peu près connus : entre 4 et 500 000 immigrés non européens supplémentaires par an. Et le stock ? Au moins 15 millions de façon certaine. Entre 15 et 20. Nous reviendrons sur ce point, en tentant d’être plus précis.
Leblogdepaysansavoyard
Notes : 7,5 millions de musulman en France et entre 4 et 500 000 immigrés non européens supplémentaires par an ! À ce rythme-là la France est musulmane dans 10 ou 15 ans
Avec de tel chiffre, vous comprenez pourquoi seule une guerre peut nous sauver du multiculturalisme imposé par nos élites
CFCM : Erdogan veut-il mettre la main sur l’islam de France ?
C’est un Franco-turc, qu’on dit proche du président Recep Tayyip Erdogan, qui va prendre la tête du Conseil français du culte musulman. Doit-on s’en inquiéter ?
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