Qatar: ses adversaires demandent son retrait du mondial 2022
Les six pays, qui ont rompu le mois dernier leurs relations avec le Qatar, ont demandé à la Fédération internationale de football de le priver de l'organisation du Mondial 2022, rapporte dimanche un site d'information suisse.
Selon The Local, l'Arabie saoudite, le Yémen, la Mauritanie, les Emirats arabes unis, Bahreïn et l'Egypte ont fait cette demande à la Fifa en se basant sur l'article 85 du code de l'instance mondiale de football qui permet qu'une telle mesure soit prise en cas d'urgence.
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Biens russes saisis aux USA: la Russie forcée de prendre des mesures de rétorsion
Après les récentes déclarations de Washington concernant les biens immobiliers diplomatiques russes saisis aux États-Unis en décembre 2016, Moscou sera contraint de durcir le ton et de prendre des mesures de rétorsion, estime le sénateur russe Konstantin Kossatchev. Selon lui, ce seront des mesures forcées mais nécessaire.
La Russie sera forcée de prendre des mesures de rétorsion dans l'affaire des biens immobiliers diplomatiques russes saisis par l'administration Obama en décembre 2016, a déclaré le sénateur russe Konstantin Kossatchev.
«Dans ce cas, la partie russe semble ne pas avoir de choix, il est temps de passer aux mesures de rétorsion. Ce n'est pas notre choix, et ce seront des mesures forcées. Mais elles doivent être prises.», a indiqué le sénateur.
D’après un mémorandum dont a eu connaissance le Daily Mail, la France a l’intention de détruire coûte que coûte l'économie britannique, en commençant par sa pièce maîtresse, le quartier d'affaires londonien de la City.
«L'affaiblissement du Royaume-Uni» et «la poursuite de la désagrégation de la City de Londres», voilà les objectifs du gouvernement français, selon Jeremy Browne, émissaire de la City de Londres auprès des États de l'Union européenne dans le cadre des négociations du Brexit et auteur du rapport auquel a eu accès le journal britannique Daily Mail.
«Ils sont clairs comme de l'eau de roche sur leurs objectifs: affaiblir le Royaume-Uni et poursuivre la désagrégation de la City de Londres», a déclaré M. Browne cité par le média.
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Budget de l'Armée : Macron au bras de fer avec le général de Villiers
16/07/2017
En raison d'une coupe budgétaire dans le budget de l'Armée cette année, les relations entre Emmanuel Macron et le chef d'état-major Pierre de Villiers se sont franchement dégradées. Un bras de fer qui pourrait aller jusqu'à la démission du général.
La partie de bras de fer avec Emmanuel Macron finira-t-elle par la démission du général de Villiers ? Aujourd'hui, dans le Journal du Dimanche, Emmanuel Macron rappelle clairement ses prérogatives : "Si quelque chose oppose le chef d'état-major des armées au président de la République, le chef d'état-major des armées change", pouvait-on lire. En jeu, la coupe budgétaire de 850 millions d'euros décidée sur le budget de la Défense de cette année. Le chef d'état-major ne l'accepte pas et l'a fait savoir, provoquant une réplique cinglante et publique d'Emmanuel Macron. "Les engagements que je prends devant nos concitoyens et devant les armées, je sais les tenir. Et je n'ai à cet égard besoin de nulle pression et de nul commentaire", avait-il déclaré.
On pourrait penser que la polémique est close. Le président de la République est bien le patron de l'armée française. Mais dans un texte plein de sous-entendus sur sa page Facebook, le général de Villiers s'interroge sur l'obéissance. "Parce que tout le monde a ses insuffisances, personne ne mérite d'être aveuglément suivi", écrit-il. Dans ses conditions, certains experts militaires pensent que le général de Villiers ne peut plus rester à son poste. Les questions budgétaires ont souvent empoisonné les relations entre militaires et politiques. Mais cette fois, si cette polémique provoquait la démission du chef d'état-major, ce serait une première dans la Ve République.
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Il (le général de Villiers) évoque d'abord les propos du général Charles Delestraint, héros de la Résistance et premier chef de l’armée secrète. En 1940, il exhortait ses compagnons d'armes à “rejeter toute mentalité de chien battu et d'esclavage”. Le général de Villiers donne ensuite sa définition de la “confiance”. “La confiance, c’est le refus de la résignation. C’est le contraire du fatalisme, l’antithèse du défaitisme. Et, en même temps, il y a dans la confiance une forme d’abandon. Agir sans s’abandonner, c’est faire preuve d’orgueil. S’abandonner sans agir, c’est se laisser aller”.
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Lire aussi : Entre Emmanuel Macron et Pierre de Villiers, son chef d'état-major, l'histoire d'une rupture en cinq actes
Notes :On peut encore constater comme ce Macron est complètement déconnecté de toute réalité. Alors que la France est engagé sur plusieurs territoires contre le terroriste islamique, y compris sur son propre sol, voilà que Macron le banquier, qui se prend pour le roi de France, cherche à faire des économies sur notre défense ! c'est lamentable
Anvers (Belgique) : un individu armé d’une hache dans un centre commercial arrêté par des militaires
Des militaires ont intercepté vers 18h30 un homme armé d’une hache dans un centre commercial d’Anvers (le shopping Stadfeestzaal à Meir), rapportent VTM et HLN. Les soldats ont été alertés par un couple.

Les militaires ont tenu en joue le suspect jusqu’à l’arrivée de la police.
On ignore les motivations du suspect.
Le Soir
Sevran (93) : les policiers dénoncent « un déchaînement de violence inqualifiable »
Dans la nuit du 14 juillet, un policier appelé en renfort à Sevran pour des feux de poubelle a été violemment agressé par des jeunes. L’agent a fait usage de son arme pour se dégager, blessant au bas-ventre l’un de ses assaillants. Un responsable du syndicat Alliance 93 revient sur les faits.

Situation tendue à Sevran, en Seine-Saint-Denis, où un policier a été roué de coups par des jeunes dans la nuit du 14 juillet. Cet agent motocycliste faisait partie d’une compagnie de sécurisation et d’intervention qui avait été appelée en renfort pour des feux de poubelle. Mais la situation a très vite dégénéré comme l’explique Grégory Goupil, secrétaire régional du syndicat Alliance 93. Il dénonce un « déchaînement de violence totalement inqualifiable ».
« Mes collègues de la compagnie de sécurisation et d’intervention sont arrivés sur place au nombre de six et se sont retrouvés dans une impasse avec aucun échappatoire. Il y avait des jeunes qui arrivaient de partout. Les deux premiers sont arrivés à s’extraire assez rapidement. Malheureusement, les quatre autres ont été victimes de coups de barres de fer et le dernier de nos collègues s’est retrouvé isolé, seul et pris de nouveau à partie par les individus qui l’ont roué de coups au sol. C’est à ce moment-là qu’il s’est dit qu’il allait réellement y passer ».
Le policier, qui est toujours hospitalisé en soins intensifs, a fait usage de son arme à huit reprises pour se dégager. L’un de ses agresseurs, âgé de 18 ans, a été touché à l’abdomen. Il a été pris en charge par les secours dans un état instable mais son pronostic vital n’est pas engagé.
RMC
Fête nationale : 897 voitures brûlées dans les nuits des 13 et 14 juillet
Les soirées des 13 et 14 juillet, au cours desquelles toutes les communes de France organisent leurs traditionnels feu d’artifice et bal populaire, ont été émaillé, comme chaque année, par des mises à feu de voitures. En 2017, le ministère de l’Intérieur a comptabilisé pas moins de 897 véhicules brûlés lors des deux dernières nuits. En outre, 368 personnes ont été placées en garde à vue.

Un chiffre en très légère hausse par rapport à l’année 2016. L’an passé, 855 véhicules avaient pris feu quand 577 personnes avaient été placées en garde à vue. Le ministère estime, dans son communiqué, que l’importante mobilisation des forces de l’ordre a permis de limiter le nombre d’incidents.
RTL
Pourquoi les migrants ne repartent-ils pas ? le système d’expulsion connaît de grave dysfonctionnements
Crise migratoire. En théorie, les expulsions de personnes entrées illégalement en France existent. En pratique, le système connaît de graves dysfonctionnements.

Un maquis judiciaire impénétrable. C’est par ces mots, lâchés sur un ton désabusé, qu’un ancien responsable des questions migratoires au ministère de l’Intérieur décrit le système de reconduite à la frontière. Le constat en effet est terrible : 70 % des demandeurs d’asile sont déboutés, mais seulement 5 % des déboutés quittent effectivement le territoire français. La raison première est simple : les migrants ne veulent pas repartir chez eux, même quand l’État offre 2 500 euros d’aide au retour volontaire. Or, si le clandestin veut rester, ce « maquis judiciaire » et administratif lui offre de nombreuses possibilités de le faire.
Un cas concret. Évacué de Calais, un migrant passe d’abord dans un centre d’accueil et d’orientation (CAO) puis intègre un centre d’accueil pour demandeurs d’asile (Cada), où le nombre de places disponibles a doublé en cinq ans, atteignant les 40 000. La transition est presque systématique, la demande d’asile, désormais quasi détournée, permettant de demeurer sur le sol français le temps que le dossier soit instruit.
Une processus de renvoi interminable
Si la demande d’asile est refusée, comme c’est donc le cas près de 3 fois sur 4, le candidat doit alors rejoindre l’un des 30 centres de rétention administrative (CRA), d’où il sera renvoyé dans son pays d’origine. Voilà pour le schéma général. En réalité, pour en arriver là, l’individu a dû être convoqué devant une commission d’expulsion (Comex), convocation dont il a été informé par un bulletin spécial qui lui a été délivré au moins quinze jours avant la réunion. Il est entendu par la Comex, qui doit donner son avis, motivé, dans le mois suivant. L’avis est communiqué au préfet (qui peut ne pas suivre).
Plus précisément encore, la Direction générale des étrangers en France (DGEF), qui gère les renvois, a transmis à l’Office français de l’immigration et de l’intégration (OFII), gestionnaire des lieux d’hébergement, une notification écrite de fin de prise en charge. Un délai d’un mois au maximum est offert. Passé ce délai, le centre concerné informe l’OFII et le préfet que la personne est toujours présente. Il y a alors mise en demeure. Si elle est encore dépassée de quinze jours, elle est considérée comme infructueuse. Le préfet peut alors saisir le tribunal administratif afin que le juge statue en référé. Un mémoire type de référé est annexé à la présente information par la DGEF permettant aux préfets, enfin, de recourir à la force…
Un système global à bout de souffle
Une force qui ne garantit rien : les CRA sont saturés, les structures aéroportuaires ne sont pas toujours équipées de salles dédiées, l’expulsion peut être différée pour des raisons liées à la situation du pays d’accueil, etc. Enfin, tout au bout de la chaîne, les compagnies comme Air France ou easyJet, échaudées par des plaintes de passagers, rechignent de plus en plus à accueillir à leur bord des migrants reconduits chez eux. L’État a alors recours à des compagnies d’aviation privées, à un coût prohibitif. Conclusion d’un spécialiste :
On procède à quelques expulsions symboliques, mais la majorité se perd dans la nature et, au bout de trois, quatre ans, avec un petit boulot et un ou deux enfants, ils sont régularisés…
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