La Palestine confirme avoir reçu la tranche de 221 M de dollars d'Obama
Peu après les informations sur le gel du transfert de plusieurs millions de dollars par la nouvelle administration américaine, le conseiller du président palestinien, Husam Zomlot, annonce avoir reçu la somme transférée lors des dernières heures de la présidence de Barack Obama.
Le conseiller pour les questions stratégiques du chef d'État palestinien Mahmoud Abbas a affirmé que son pays avait bien reçu l'aide financière américaine dont le montant est estimé à 221 millions de dollars (206,7 M EUR).
« Nous avons déjà reçu la dernière somme fixée par l'administration d'Obama. Ces fonds ont déjà été transférés », a déclaré à Sputnik Husam Zomlot.
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Trump reconnait la responsabilité US dans la création de Daech
Le président américain Donald Trump a pointé la responsabilité des États-Unis dans la création de Daech au Proche-Orient. Il a également confirmé son intention de créer des «zones sécurisées» en Syrie afin de mettre un terme à la crise migratoire.
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Donald Trump «prendra des décisions quasiment déterminantes» pour le Maghreb
Donald Trump veut changer l’implication des Etats-Unis en Afrique et dans le Maghreb, ce qui poussera les antagonismes entre les pays de la région et modifiera l'équilibre des forces. Le politologue Mustapha Tossa esquisse les changements à venir
(..) Il n’y a pas eu beaucoup de déclarations qui peuvent révéler le sens de la nouvelle politique américaine. La seule indication c’est que Donald Trump a décidé et a déclaré que sa nouvelle politique serait de se débarrasser du fardeau financier imposé par l’implication américaine sur le continent africain et donc, le Maghreb. Bien sûr, les capitales du Maghreb sont dans l’attente. La question est de savoir, qui va profiter de ces changements effectués par la diplomatie américaine.
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Le président mexicain suit le conseil de Donald Trump et annule sa visite à Washington
Donald Trump a conseillé à son homologue mexicain Enrique Peña nieto, d'annuler sa visite prévue à Washington, s'il refuse de payer pour le mur à la frontière des deux pays. Ce que le dirigeant a décidé de faire.
Le président des Etats-Unis Donald Trump a fait monter encore un peu plus la tension avec le Mexique jeudi en conseillant à son président Enrique Peña Nieto d'annuler sa visite à Washington s'il ne souhaite pas payer le mur à la frontière. "Les Etats-Unis ont un déficit des échanges commerciaux de 60 milliards avec le Mexique. Depuis le début de l'Aléna, c'est un accord qui ne va que dans un sens, avec énormément de pertes d'emplois et d'entreprises", a lancé le président républicain sur Twitter. "Si le Mexique n'est pas prêt à payer le mur, qui est vraiment nécessaire, ce serait mieux d'annuler la rencontre à venir", a-t-il ajouté, évoquant la rencontre prévue dans cinq jours à la Maison Blanche.
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Trump veut financer le mur par une taxe de 20% sur les produits venus du Mexique
Le président des Etats-Unis Donald Trump envisage de financer la construction d'un mur à la frontière avec le Mexique en imposant une taxe de 20% sur tous les produits en provenance de ce pays, a déclaré son porte-parole.
Le financement de la construction de ce mur visant à endiguer l'immigration clandestine a suscité de vives tensions entre les deux pays: le président mexicain Enrique Pena Nieto a annoncé jeudi qu'il annulait sa visite à Washington, initialement prévue le 31 janvier.
«En faisant cela, nous pouvons récolter 10 milliards de dollars par an et facilement payer pour le mur grâce à ce seul mécanisme», a déclaré Sean Spicer aux journalistes à bord de l'avion présidentiel Air Force One de retour de Philadelphie.
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Un filtre contre les «fake news» sponsorisé par Soros, ça vous tente?
Cette année, Google a bloqué en permanence 200 éditeurs qui sont étiquetés par les géants des moteurs de recherche comme de faux sites de nouvelles. À son tour, Facebook Allemagne a chargé le centre de recherche Correctiv de vérifier les faits en filtrant de fausses informations dans son flux de nouvelles.
Selon la recherche du journaliste Paul Schreyer, la campagne est née aux États-Unis dans une école de journalisme de Floride, l'Institut Pointer. Depuis plus d'un an, l'école gère un réseau international de vérification des faits composé de journalistes travaillant pour de grands médias comme AP ou ABC.
« Le réseau de l'Institut Pointer est sponsorisé indirectement par le gouvernement américain via un think-tank, mais aussi par la fondation Bill Gates, Google, George Soros et quelques autres. Vous voyez donc qu’à la base de la campagne contre les fausses nouvelles il y a un réseau d’élites très puissantes et solides sur le plan financier et du gouvernement. Sachez bien qu'il n'y a pas que les journalistes qui se soucient de leur réputation, mais aussi des financiers très influents en arrière-plan », a déclaré le journaliste à Sputnik.
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Le texte du projet de constitution syrienne proposé par la Russie révélé
Sputnik a obtenu le document du projet de constitution syrienne proposé par la délégation russe lors des négociations d'Astana.
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La Grèce refuse d’extrader huit officiers turcs
Les huit militaires turcs sont accusés d’avoir participé au putsch raté de juillet 2016. La Turquie a émis une deuxième demande d’extradition et a menacé d’annuler l’accord de réadmission des migrants.
Il est tout juste 15 heures, jeudi 26 janvier, et les huit officiers turcs, six pilotes et deux techniciens – réfugiés en Grèce depuis leur fuite de Turquie en hélicoptère au matin du coup d’Etat manqué contre le régime de Recep Tayyip Erdogan, le 16 juillet 2016 –, sont soulagés d’apprendre que la Cour suprême grecque refuse leur extradition vers la Turquie. « Vous voilà en sécurité sur le sol européen », commente l’un de leurs deux avocats, le professeur en droit pénal international Christos Milonopoulos. « Une victoire pour la dignité de notre justice », ajoute-t-il.
Un peu plus tard, le ministère des affaires étrangères turc a promis de procéder à une « évaluation exhaustive » de l’impact de cette décision de justice sur ses relations « bilatérales » avec Athènes, ainsi qu’en matière de « coopération dans la lutte contre le terrorisme ». Et la justice turque a émis un mandat d’arrêt visant les huit hommes.
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En bref - L'actualité de France
26/01: Mehdi Boulenouane, caution de 500.000€ en cash: émeutes à Grenoble (source)
26/01: Jawad Bendaoud, logeur de terroriste, en procès pour trafic de drogue (source)
25/01: Trappes (78) Face à l’Islamisme et au communautarisme, djihad etc… (source)
25/01: + 15 000 islamistes radicaux en France, aucun département épargné (source)
25/01: France: Salim.B, photographe de mode, accusé de viols: huit plaintes (source)
25/01: (79) Nassim tire sur des Tchétchènes, libéré pour cause de justice lente (source)
24/01: (86) Karim Benhaddad: agressions+harcèlements sexuels sur 9 femmes (source)
24/01: (Paris/RP) Un réseau de passeurs de migrants Sri-lankais démantelé (source)
Trappes (78) : face à l’islamisme et au communautarisme
(…) A Trappes, l’intégrisme religieux est une question aussi sensible que majeure. En dépit de l’impression que peut laisser une visite rapide de la ville, les marqueurs de radicalisation ont de quoi préoccuper. Ces dernières années, entre 60 et 80 Trappistes sont partis faire le djihad en Syrie. Soit beaucoup plus que dans d’autres villes de même taille et touchées par les mêmes difficultés sociales.

Un rapport confidentiel transmis courant 2016 par le procureur de la République de Versailles au ministre de la Justice ferait état d’une ville en proie à un «communautarisme rampant». Selon ce document, quelque 80 familles préféreraient l’enseignement à domicile à l’école de la République pour leurs enfants.
En juillet 2013, la ville est par ailleurs le théâtre d’une contestation religieuse, après le contrôle policier d’une femme portant un voile intégral. «J’ai vu passer en direction du commissariat un groupe d’une soixantaine de personnes se déplacer aux cris de « Allah Akbar »», se souvient Stéphane Dumouchy, ex-militant PS de Trappes, devenu conseiller municipal LR en 2014. Ce soir-là, 400 personnes jettent des pierres contre les forces de l’ordre et incendient des poubelles et des Abribus. Un événement qu’un acteur associatif local attribue à un «ras-le-bol général sur la situation» sociale et aux rapports difficiles avec la police, plus qu’à une revendication intégriste. Une enquête est alors diligentée par l’IGPN, sans suite.
Dans ce contexte, Benoît Hamon affirme chercher à apaiser les tensions. Quand on tente d’évoquer le sujet avec lui, la réaction est épidermique. Sollicité par Marianne pour livrer sa conception du vivre-ensemble, de la laïcité, et son approche de la menace communautariste à Trappes, le député des Yvelines, exaspéré qu’on ose lui poser
des questions sur ce sujet, a sèchement décliné. Son entourage, en revanche, a apporté des précisions partielles.
(…) Mais Othman Nasrou, le patron de l’opposition LR à Trappes, l’accuse de faire preuve d’une mollesse calculée. «Benoît Hamon se préoccupe peu des questions relatives au radicalisme islamique, comme la situation des familles dont un enfant est parti faire le djihad. Je ne l’ai jamais entendu condamner l’intégrisme dans le département par des paroles claires et sans ambiguïté. Ce qui compte, c’est sa boutique», tonne l’élu auprès de Marianne.
(…)
Pour Othman Nasrou, la gauche trappiste s’emploie à faire de la religion une question politique pour gagner les élections : «Dans cette ville, le PS monte les gens les uns contre les autres, et plus précisément, parfois, les musulmans contre les autres. Benoît Hamon est dans une logique boutiquière. Il traite la communauté musulmane comme une clientèle électorale.» Même au sein de la gauche locale, le positionnement de l’ex-ministre de l’Éducation nationale ne fait pas l’unanimité.
Son suppléant à l’Assemblée nationale, Jean-Philippe Mallé, député de 2012 à 2014, a récemment claqué la porte du PS, en désaccord avec ce discours. Stéphane Dubouchy, militant PS à Trappes pendant près de vingt ans, est lui aussi parti après l’arrivée de Benoît Hamon. «Il ne dit jamais clairement qu’il y a un problème avec la place de la religion à Trappes. Il se complaît dans une certaine désinvolture, aux relents électoralistes», reproche ce postier, transfuge de la liste municipale de LR en 2014, sur laquelle il a été élu.(…)
Marianne
Australie: une affiche montrant deux filles voilées pour la fête nationale retirée après des menaces
En Australie, à quelques jours de la fête nationale du 26 janvier, une publicité montrant deux fillettes portant le hijab et arborant le drapeau australien a fait polémique. Cela a provoqué des réactions violentes de la part de groupes anti-islam.
Alors que le «Australia Day», jour de la fête nationale australienne, a lieu le 26 janvier, une affiche faisant la promotion du multiculturalisme et qui fait partie d'une campagne du gouvernement de l’Etat de Victoria diffusée avant la fête nationale a créé un malaise.
Une grande affiche publicitaire montrant deux petites filles d'une dizaine d'années portant le hijab (voile islamique recouvrant l'intégralité de le tête, sauf le visage) et tenant le drapeau australien avait d'abord été installée à Melbourne. A Canberra, la capitale, le théâtre national a également tenu à mettre en avant cette affiche sur un grand écran placé sur la façade du bâtiment.
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