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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Le 2 janvier

 

L'Arabie Saoudite sous les feux des critiques après avoir executé 47 personnes dont un chef religieux chiite

 

L'Arabie Saoudite a exécuté ce samedi 47 personnes condamnées pour "terrorisme" dont le chef religieux chiite Nimr Baqer al-Nimr, figure de la contestation contre le régime, suscitant l'indignation dans le monde chiite. Parmi les 46 autres personnes mises à mort figurent une majorité de jihadistes d'Al-Qaïda, alors que le royaume s'inquiète de la menace représentée par les groupes extrémistes sunnites comme l'Etat islamique (EI).

Les condamnés (45 Saoudiens, un Égyptien, un Tchadien) ont été exécutés au sabre ou par balles dans douze villes du royaume. Ils avaient été condamnés, selon les autorités, dans différentes affaires, notamment pour avoir épousé une idéologie radicale, rejoint des "organisations terroristes" et mis à exécution des "complots criminels". Mais l'annonce parmi ces personnes du cheick al-Nimr a été très mal accueilli dans le monde arabe.

Les protestations les plus fortes après l'exécution du cheick al-Nimr sont venues d'Iran, puissance chiite qui entretient des relations tendues avec l'Arabie saoudite sunnite. Téhéran a averti que Ryad paiera "un prix élevé" pour cette exécution, tandis que des manifestations ont été appelées pour dimanche contre l'Arabie. Qualifiant "d'irresponsables" les déclarations de Téhéran, le porte-parole du ministère saoudien de l'Intérieur, Mansour al-Turki, a souligné que son pays "ne se préoccupait pas de ce que les autres pensent".

Timide réaction de l'UE

Des monarchies sunnites de la région dont Bahreïn et les Emirats arabes unis ont salué l'attitude de l'Arabie saoudite. Mais à Bahreïn, quelques jeunes de la majorité chiite se sont toutefois rassemblés dans au moins deux villages à majorité chiite, Jidhafs et Malikyia. La police a d'ailleurs dû faire usage de gaz lacrymogènes pour disperser ces groupes de manifestants, qui scandaient des slogans tel que "mort aux Al-Saoud" (la dynastie au pouvoir en Arabie saoudite).

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(..)

A court terme, l'exécution de Cheikh Nimr - dont le neveu se trouve lui aussi sous les verrous - risque d'enflammer la situation dans les provinces orientales d'Arabie où vit la minorité chiite, qui souffre de discriminations multiples. Elle pourrait entraîner également une relance de l'insurrection chez leurs voisins chiites de Bahreïn, et durcir encore la guerre meurtrière au Yémen.

Il ne faut pas prendre à la légère les menaces iraniennes contre l'Arabie. Jamais depuis de nombreuses années, les relations n'ont été aussi tendues entre les deux pays à la tête des pôles chiite et sunnite de l'islam. Ces derniers mois, plusieurs incidents ont témoigné de cette dégradation. Un ambassadeur iranien a mystérieusement disparu durant le hadj avant que Riyad reconnaisse qu'il avait été tué dans une bousculade qui fit plus de 2000 morts. Un prince saoudien a été arrêté à l'aéroport de Beyrouth par les alliés chiites de Téhéran. Sans compter d'autres épisodes méconnus d'une guerre de l'ombre que se livrent depuis des années Saoudiens et Iraniens sur différents théâtres.

Source

 

En Irak, Khalaf Abdelsamad, chef du bloc parlementaire du parti chiite Dawa — le parti du Premier ministre Haider al-Abadi — a exhorté le gouvernement à "fermer l'ambassade saoudienne en Irak, expulser l'ambassadeur et exécuter tous les terroristes saoudiens emprisonnés en Irak", en rétorsion, selon un communiqué de son cabinet.

Source

 

L'Union européenne a exprimé samedi ses "sérieuses inquiétudes" : "Le cas spécifique du cheikh Nimr al-Nimr soulève de sérieuses inquiétudes sur la liberté d'expression et le respect des droits civils et politiques de base, qui doivent être préservés dans tous les cas, y compris dans le cadre de la lutte contre le terrorisme", a déclaré la chef de la diplomatie européenne Federica Mogherini, citée dans un communiqué. "Ce cas a le potentiel d'enflammer un peu plus les tensions sectaires qui font déjà beaucoup de dégâts dans la région, avec des conséquences dangereuses", estime encore Federica Mogherini. L'UE appelle ainsi le royaume à "promouvoir la réconciliation entre les différentes communautés" qui le composent et demande à toutes les parties de faire preuve de "retenue et de responsabilité".

Source

 

 

 

Inde: Une base militaire attaquée près de la frontière pakistanaise

 

 

 

L'attaque aura duré plusieurs heures avant que les assaillants soient tués.
Une base militaire indienne, située à la frontière pakistanaise, a été la cible d’un assaut dans la nuit de vendredi à samedi.
Soupçonnés d'appartenir à un groupe terroriste pakistanais, quatre hommes se sont introduits dans ce complexe de l’armée de l’air déguisés en militaires indiens, à bord d'un véhicule de police volé. S’ensuivent des échanges de coups de feu nourris.
En plus des quatre assaillants, on dénombre deux morts parmi le personnel de sécurité.
Cet assaut survient une semaine tout juste après la visite surprise du Premier ministre indien au Pakistan. Une fois encore, des attentats sanglants tentent de faire dérailler le dialogue indo-pakistanais naissant.

 

(..)Des islamistes présumés

Les hommes qui ont attaqué la base sont soupçonnés d'appartenir au Jaish-e-Mohammed, un mouvement terroriste interdit au Pakistan, qui combat l'Etat indien dans la région himalayenne du Cachemire. "Nous voulons la paix mais si les terroristes mènent des attaques sur le sol indien nous, répondrons de manière appropriée", a réagi le ministre de l'Intérieur, Rajnat Singh, à la télévision. De son côté le Pakistan a condamné cet "acte terroriste". 

L'Inde avait accusé le groupe islamiste d'avoir attaqué en décembre 2001 le Parlement indien, faisant 11 morts et entraînant une escalade militaire à la frontière indo-pakistanaise au point d'amener les deux pays au bord de la guerre. 

 

 

 

Attaque de Valence : selon le procureur, «la piste terroriste écartée» pour l'instant

 

L'homme, qui a foncé vendredi sur des militaires devant la Mosquée de Valence (Drôme), est actuellement entendu par les enquêteurs. A la mi-journée ce samedi, le procureur de la République Alex Perrin a donné une conférence de presse pour donner des premiers éléments.

«Le suspect est d'origine tunisienne mais de nationalité française», a expliqué le magistrat. Marié, l'homme originaire de la banlieue lyonnaise, à Bron, séjournait chez les parents de son épouse à Valence. Sa femme a déclaré ne pas être au courant de ses intentions et s'est dite «surprise». 

Le procureur a précisé qu'en l'état «rien ne nous rattache à un réseau terroriste» et l'acte semble être «totalement individuel». Ni arme, ni explosif n'ont été trouvés lors des perquisitions. L'homme est un «musulman pratiquant» mais ne montrait aucun signe de radicalisation. Il aurait déclaré «Allah est grand» lors de son acte puis affirmé lors de sa prise en charge par les secours «avoir voulu être tué par des militaires car ils tuaient des gens». «La piste terroriste est écartée actuellement», a ajouté Alex Perrin, précisant que la section antiterroriste du parquet de Paris a décidé de ne pas se saisir du dossier. «Le parquet de Valence reste donc saisi de ce dossier», a-t-il ajouté. 
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L'auteur de la fusillade de Tel-Aviv est toujours introuvable

 

VIDÉO - La police israélienne poursuivait samedi sa chasse à l'homme pour interpeller le tireur ayant tué vendredi deux personnes et blessé sept autres à Tel-Aviv pour des raisons toujours inconnues.

Jérusalem

Scènes d'horreur à Tel-Aviv. Un Arabe israélien a ouvert le feu de sang-froid, vendredi après-midi, avec un pistolet-mitrailleur vers un café de la rue Dizengoff, une des principales artères de la ville, tuant deux personnes et blessant six autres personnes, dont deux grièvement. Tous participaient à un anniversaire. Aussitôt, la police a lancé une vaste chasse à l'homme pour tenter d'arrêter l'auteur du premier attentat terroriste de l'année. Les opérations se poursuivaient samedi. Des barrages routiers ont été mis en place, mais dans les rues de Tel-Aviv, la forte présence policière a disparu et les badaux étaient nombreux ce samedi matin. Les recherches semblaient s'être déplacées ailleurs dans le pays.

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Gaza : Israël bombarde des sites du Hamas après des tirs de roquettes

 

L'aviation israélienne a mené plusieurs raids contre le Hamas à Gaza, tôt ce samedi matin. Plusieurs sites du groupe islamiste palestinien ont été bombardés, quelques heures après des tirs de roquette depuis la bande de Gaza, vers le sud d'Israël.

Selon des sources sécuritaires palestiniennes, les bombardements, qui n'ont fait aucune victime mais ont provoqué des dégâts, ont visé quatre sites, depuis Beit Hanoun au nord jusqu'à Rafah, au sud.

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Israël tente d'apaiser les tensions avec les Palestiniens

 

Israël a restitué vendredi aux Palestiniens en Cisjordanie occupée les corps de 23 auteurs d'attentats anti-israéliens commis au cours des derniers mois, a indiqué une porte-parole de l'armée israélienne. Cette restitution est un geste vraisemblablement destiné à tenter d'apaiser les tensions actuelles qui ont fait 138 morts palestiniens et 20 morts israéliens depuis le 1er octobre. Une grande majorité des Palestiniens tués sont des auteurs d'attentats ou accusés par Israël de l'être.

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L'Arabie saoudite exécute 47 individus présentés comme "terroristes"

 

L'Arabie saoudite a exécuté 47 personnes condamnées pour terrorisme parmi lesquelles le dignitaire chiite Nimr Baqer al-Nimr, figure de la contestation contre le régime saoudien. L'annonce a été faite par le ministère de l'Intérieur dans un message diffusé à la télévision publique.

Le royaume détient des milliers de militants islamistes dans ses geôles depuis une série d'attentats commis par Al Qaida entre 2003 et 2006. De nombreux membres de la minorité chiite sont aussi derrière les barreaux…

(..)

L'Iran promet que Riyad paiera « un prix élevé » pour cette exécution

Le cheikh Nimr avait été condamné à mort en octobre 2014 pour « sédition », « désobéissance au souverain » et « port d'armes » par un tribunal de Riyad spécialisé dans les affaires de terrorisme. L'arrestation de cheikh Nimr en juillet 2012 s'était déroulée de manière mouvementée et deux de ses partisans avaient été tués au cours des manifestations qu'elle avait provoquées.

L'Iran n'a pas tardé à réagir par la voix du porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères. Hossein Jaber Ansari, cité par l'agence Irna, a expliqué que « le gouvernement saoudien soutient d'un côté les mouvements terroristes et extrémistes et, dans le même temps, utilise le langage de la répression et la peine de mort contre ses opposants intérieurs (...), il paiera un prix élevé pour ces politiques ». « Cette action provoquera la colère des jeunes » chiites en Arabie saoudite, a averti Mohammed al-Nimr, le frère du supplicié, tout en appelant au calme : « J'espère qu'il y aura un mouvement de protestation pacifique. »

Source

 

 

Notes : Et exécuté de quelle manière !? 

 

(..) Le royaume sunnite d'Arabie saoudite vient de décapiter 47 personnes condamnées pour terrorisme. Parmi elles, un dignitaire religieux chiite, Nimr Baqr al-Nimr. Ce chiffre est considérable, mais ces exécutions ne constituent pas véritablement une surprise.

Le risque d'une vive réaction dans l'est du royaume saoudien

En octobre 2014, ce religieux chiite non violent avait été condamné par un tribunal saoudien à la décapitation, suivie de crucifixion, pour sédition. Quelque mois plus tard, son neveu Ali Mohammed al-Nimr, âgé de 17 ans seulement au moment des faits qui lui sont reprochés (participation à une manifestation), écopait de la même peine. Compte tenu de la très grande popularité du cheikh Nimr al-Nimr chez les chiites saoudiens, qui représentent 10 % de la population du royaume, il faut s'attendre à de très vives réactions, notamment dans la province orientale. L'Iran avait mis en garde contre les conséquences d'une exécution de Nimr al-Nimr. Reste également à voir ce que seront les réactions des alliés occidentaux de l'Arabie saoudite, à commencer par la France et les Etats-Unis.(source)

 

Vers une guerre de religion, infos du 2 janvier 2016

Notes : et encore une info sur l'Arabie Saoudite qui date de quelques jours..

 

17/decembre/2015
L’ambassadeur d’Arabie Saoudite auprès des Nations Unies, Faisal Trad, celui-là même qui préside un groupe "consultatif" proposant des experts" pour le Conseil des droits de l’homme des Nations unies, a confirmé en personne la décapitation publique de 28 membres du personnel, considérés comme responsables la mort de 1300 personnes à la Mecque suite à la chute d’une grue.

C’est le roi d’Arabie Saoudite en personne qui a donné l’ordre de la décapitation de ces 28 personnes sur la place publique…
En revanche, motus et bouche cousue concernant les responsabilités d’un convoi de VIP à l’origine de la tragique bousculade de Minaa. N’étant pas des VIP, les 28 membres du personnel ont été jugés et condamnés à la décapitation sur la place publique.

Le spectacle de la décapitation publique des 28 membres du personnel saoudien a été filmé et diffusé sur You Tube avant d’être supprimé en raison ... tenez-vous bien ... de son «contenu qui ne respecte pas les règles de You Tube concernant les contenus choquants et dégradants».

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Vers une guerre de religion, infos du 2 janvier 2016

Yémen : la coalition arabe met fin au cessez-le-feu

 

Le cessez-le-feu au Yémen aura duré une quinzaine de jours. Entré en vigueur le 15 décembre, il a pris fin officiellement ce samedi. La coalition militaire arabe, qui soutient le gouvernement yéménite en lutte contre des rebelles chiites, l'a annoncé.

La trêve a cessé en raison de la poursuite des "attaques rebelles" contre le royaume saoudien, visé notamment par des tirs de missiles balistiques ces deux dernières semaines, a indiqué une déclaration de la coalition citée par l'agence officielle saoudienne SPA.

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Turquie : Erdogan prend l'Allemagne nazie comme exemple

 

Pour mettre en place un système présidentiel fort en Turquie, Recep Tayyip Erdogan vante le modèle présidentiel mis en place par Adolf Hitler.

«Dans un système unitaire (comme la Turquie) un système présidentiel peut parfaitement exister. Il y a actuellement des exemples dans le monde et aussi des exemples dans l'histoire. Ainsi l'Allemagne d'Hitler», a-t-il déclaré le président islamo-conservateur turc, Recep Tayyip Erdogan, à des journalistes jeudi soir de retour d'une visite de travail en Arabie Saoudite.

Le fondateur du Parti de la justice et du développement (AKP) qui dirige la Turquie depuis 2002, d'abord comme Premier ministre puis président depuis 2014, veut modifier la constitution afin que le rôle du président passe d'une fonction symbolique à celle d'un dirigeant aux pouvoirs étendus, comme aux Etats-Unis, en Russie ou en France. Il entend mobiliser dans le courant de la nouvelle année la société turque pour un débat afin de parvenir à un «consensus social» sur ses ambitions présidentielles.

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Syrie: une ville stratégique reprise aux djihadistes suite à des combats acharnés

 

Selon l'armée, 50 djihadistes ont trouvé la mort et 250 ont été blessés lors des combats acharnés qui ont duré trois jours.

Les soldats de l'armée syrienne ont repris Cheikh Meskin, une ville clé située au sud de Damas et se trouvant au croisement de routes menant vers les provinces sud de Deraa, d'Al-Quneitra et d'Al-Sweida, rapportent les médias locaux.
Selon l'armée, 50 djihadistes ont trouvé la mort et 250 ont été blessés lors des combats acharnés qui ont duré trois jours.

"Les djihadistes se sont retirés en direction de la ville de Nawa, le centre administratif de la région du Hauran", a indiqué un officier de l'armée syrienne ayant participé à l'opération.

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Une nation d’assassins? Un ancien ambassadeur US vide son sac

 

"La paix mondiale ne sera pas garantie tant que les États-Unis continueront à vendre des armes et à déclencher des guerres", estime l’ancien ambassadeur américain Dan Simpson.

"Compte tenu de l'attitude de la communauté internationale envers la politique adoptée par les Etats-Unis en 2015, j'en viens à croire que nous sommes considérés comme une nation d'assassins aussi bien à l'étranger que dans notre propre pays", a relevé M. Simpson dans un article du journal Pittsburgh Post-Gazette en date du 1er janvier.

Et d'ajouter: "Telle est notre réputation, que cela nous plaise ou non. La plupart des étrangers avec qui je fais connaissance nous tiennent pour des cinglés. Nombreux sont ceux qui jugent que nous représentons un vrai danger pour la communauté internationale".

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L'Otan reconnaît la suprématie des forces armées russes


L'Otan perd des points face à la modernisation des forces armées russes et craint un renforcement des positions de la Russie, estime un de ses généraux.

Le général allemand de l'Otan Hans-Lothar Domröse s'est prononcé au sujet de la performance des forces armées russes et a dévoilé les craintes de l'alliance à ce sujet.

"Dès le deuxième mandat de Vladimir Poutine, les investissements de la Russie dans le domaine de la défense se sont intensifiés, ce qui rend aujourd'hui ses forces armées ultramodernes, flexibles et aptes au combat", souligne M.Domröse.

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En bref - L'actualité de France

 


01/01: Ariège: Mohamed et Sabir agressent Patrick, policier en civil (source)
01/01: Tarek.K tue Brahim.A à Paris en 2014 et est remis en liberté (source)
01/01: Nîmes: dispute dans un kebab et rixe entre bandes: un mort (source)
01/01: Nouvel An/France: 804 véhicules incendiés selon le ministère (source)

Bellaing (59) : Les 5 véhicules d’un plombier carbonisés à la Saint-Sylvestre - voir vidéo

 

 

 

 

Afghanistan : Attaque suicide des talibans contre un restaurant français de Kaboul

 

(infos déjà données hier)

Un attentat suicide à la voiture piégée a eu lieu vendredi dans le centre de Kaboul. C’est un restaurant français, « Le Jardin », fréquenté par les étrangers, qui a été visé d’après les premiers éléments de l’enquête. Les talibans ont revendiqué l’attaque.

«C’est un attentat suicide commis à l’aide» d’une voiture piégée, selon Gul Agha Rohani, chef-adjoint de la police de la capitale afghane. «L’explosion a eu lieu dans le quartier de Qala-e-Fatullah», a précisé Sediq Sediqqi, porte-parole du ministère de l’Intérieur qui n’a pas indiqué si des personnes avaient été blessées ou tuées. [...]

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